Dans le 10ème - Page 78
-
Université populaire au Louxor
Décidément, le Louxor n'en finit pas de nous surprendre ! Après le lancement du ciné-club du mardi soir, voilà l'Université populaire.Annoncé dès les débuts du trio CinéLouxor, le programme de l'Université Populaire arrive enfin !Le principe est simple, une personnalité : un architecte, un musicien, un sportif, un cuisinier, un homme politique… vient présenter un film de son choix.Les séances ont lieu une fois par mois, le jeudi après-midi, à 14h et sont au tarif de 3€.Cliquez sur l'image pour télécharger le programme.Les 3 premiers à avoir dit oui sont Ollivier Pourriol (le 3/10/13), Lionel Jospin (le 07/11/13), et Marie Desplechin (le 12/12/13). -
Marché Saint-Quentin: le fonctionnement et les points en suspens
C'est un événement de faire venir des commerçants dans un conseil de quartier, surtout pour leur faire raconter leur métier, leur environnement, les problèmes qu'ils rencontrent. Comme nous l'avons dit dans un précédent article, le marché ferme à 20 heures le soir, mais la journée n'est pas finie pour autant. Il faut encore descendre les denrées dans les chambres froides, situées au sous sol du marché, s'il s'agit de produits frais, ou simplement ranger les stands pour le lendemain. Pas facile dans ces conditions de participer aux réunions des Conseils de quartier.
Le marché couvert est une petite société organisée sous sa grande halle historique avec ses avantages et ses inconvénients, ses bonheurs et ses problèmes. Les marchands, au nombre de 35 actuellement, sont réunis dans une association des commerçants avec un bureau et un président. Les pouvoirs du président ne sont pas immenses, mais il est le représentant de l'ensemble des commerçants du marché face aux institutions et c'est lui qui est l'interlocuteur privilégié du gestionnaire du marché, la société Bensidoun.
-
Marché Saint-Quentin : des traiteurs de dernière minute et plus si affinités
C'est une élue qui habite à deux pas qui nous a donné le tuyau. "Quand, parfois, je manque d'inspiration ou tout simplement de temps et qu'un couple d'amis s'annoncent un peu tardivement, je ne m'inquiète pas, je sais qu'au marché Saint Quentin, je pourrai trouver un beau poisson grillé, quelques acras pour l'apéritif, un joli plat de riz pour accompagner et je suis sauvée."
C'est chez Hervé, qu'elle descend et qu'elle trouve son bonheur. Une boutique qui vous plongera dans l'ambiance instantanément. On peut aussi déjeuner sur place.
Oh Africa ! le traiteur africain, entrée rue de Chabrol
-
Marché Saint-Quentin: un vrai coup de projecteur
L'équipe d'animation du conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul a décidé avant de partir en vacances de dédier sa réunion de rentrée au marché Saint-Quentin. C'est une vraie bonne idée car sans elle, nous ne serions pas allés rencontrer les commerçants, sur place, chez eux, avec le même souci de faire connaissance, de connaître le mode de fonctionnement du marché, ses atouts et ses difficultés.
Nous avions donné un premier et petit coup de projecteur à ce marché couvert en juillet dernier lors de l'inauguration d'un nouvel espace "convivialité" que tout le monde attendait depuis de très longs mois (voir notre article du 22 juillet).
Ce marché couvert est installé depuis près de 150 ans dans l'une des dernières halles, encore en place, construites par l'architecte Victor Baltard, auquel le Musée d'Orsay a rendu un bel hommage au début de l'année. Il fut connu en tant que l'architecte des halles centrales de Paris puis fut désigné architecte officiel de la Ville de Paris (1860-1870).
Cette fois, la rédaction du blog a donc décidé à son tour de consacrer plusieurs articles au marché, à la fois pour mieux connaître les marchés parisiens et leur longue histoire, et vous faire découvrir les attraits d'un vrai marché à l'ancienne, où l'on trouve de bons produits à des prix qui supportent la comparaison avec les supermarchés apparus ces dernières années à tous nos coins de rues (et dont parfois certains ferment aussi sans crier gare, c'est le cas du Monop' dans le haut Magenta fermé fin juin).
La presse s'est fait l'écho cet été de la redécouverte des marchés de proximité. Déjà en juin, on pouvait lire dans Le Parisien que La qualité et la proximité sont les deux principaux atouts des 80 marchés alimentaires. Ils ont aussi su s’adapter aux horaires des parisiens avec des étals ouverts parfois au-delà de 20 heures. Au-delà de 20h... pas partout, car c'est justement un des regrets de certains de nos interlocuteurs rencontrés au marché Saint-Quentin. Nous reviendrons sur cette question demain.
Une étude du CROCIS de mai 2013 intitulée "Les marchés franciliens dans l'air du temps" notait que :
"Face notamment aux questionnements récents et aux problèmes liés à la sécurité et à la traçabilité des aliments, les consommateurs se tournent à nouveau vers les marchés, qui sont revenus dans l'air du temps. Ils constituent l'un des circuits privilégiés de consommation de la population, avec comme premier argument la qualité, puis l'ambiance et la variété des produits (source : CCI France).
Aujourd'hui, les marchés représentent un quart des fruits et légumes et un quart des produits de la mer vendus en France."
C'est encourageant ! Et ce constat légitimise tout à fait le thème choisi pour le prochain conseil de quartier qui se tiendra le mardi 1er octobre, au collège Bernard Palissy 21 rue des Petits Hôtels, de 19h à 21h.
-
Salles de consommation à moindre risque : les preuves et la pratique
La prochaine mise en place de la salle de consommation de drogues à moindre risque (SCMR) au 39 boulevard de La Chapelle fait l’objet d’une controverse que seule une approche rationnelle peut valablement résoudre. Les a priori, les principes et les postures politiciennes ne font pas avancer le débat. S’enfermer dans une logique uniquement répressive pour les questions liées à la drogue n’a jamais donné de résultats. Les trafics et les réseaux de trafiquants ont-ils disparu ces dernières décennies ? Non bien sûr. Le nier serait faire preuve d’une réelle mauvaise foi. Qui empoisonne aujourd’hui les cités Nord de Marseille si ce n’est le développement des mafias et de l’économie souterraine dont il y a fort à parier qu’aucune action de police ne viendra à bout. Faire respecter l’Etat de Droit est évidemment indispensable, la police et la justice sont là pour cela mais, concernant la drogue, ne faut-il pas y ajouter un accompagnement sanitaire des toxicomanes ? L'accompagnement des toxicomanes en grande précarité permet simplement de les extraire de l'espace public (notre intérêt en tant que résidents), tout en améliorant leur état sanitaire (dans l'intérêt général et leur intérêt en particulier).
C’est donc une nouvelle approche de la question qu’il faut avoir. S’obstiner dans des politiques de répression coûteuses, inefficaces et même dangereuses par leurs effets secondaires (argent sale, criminalité, …) ne sert à rien.
Action Barbès se propose de vous fournir régulièrement des informations sur le sujet afin que chacun puisse construire son opinion. Nous avons publié il y deux semaines une interview de Line Beauchesne traitant de la prohibition puis la semaine dernière un débat sur France Inter. Continuons ce travail.
Le Consortium International sur les Politiques des Drogues (IDPC), réseau mondial pour un débat ouvert et objectif sur les politiques liées à la drogue, a publié en juin 2012 un intéressant rapport intitulé : Salles de consommation à moindre risque : les preuves et la pratique.
Action Barbès a étudié ce rapport et vous en propose ci-après un petit résumé. Vous pouvez télécharger le rapport complet en cliquant ICI
-
Abords de la Gare de l'Est : pensez à envoyer votre Carte Postale pré-imprimée!
Nous avons lancé, samedi 14 septembre dernier, une initiative pour relancer le projet d'aménagement du quartier des abords de la Gare de l'Est, dont on parle depuis 2004, et visant à améliorer le cadre urbain environnant confronté à de gros problèmes de cohérence entre les différents flux (véhicules, transports publics, piétons, cyclistes) et de partage de l'espace public.
Cliquez ici pour obtenir à nouveau la description du contexte, des enjeux et l'historique du projet d'aménagement des abords de la Gare de l'Est (article du samedi 14 septembre dernier).
Le quartier des abords de la Gare de l'Est (panneau n°19 sur la carte) comprend aussi d'autres sites remarquables comme l'Eglise Saint-Laurent (n°17) et le Couvent des Récollets (n°21) [Source: Carte Mairie de Paris / Histoire de Paris - Le 10ème - mise à jour 01/2007].
Ce projet, devenu ainsi en quelque sorte l'arlésienne du "Coeur du 10e" et comprenant le Balcon Vert, avait pourtant bien démarré avec la mise en place d'une concertation inter quartiers permettant à de nombreux habitants et aux différents protagonistes (services techniques de la ville, RATP, taxis etc.) de travailler ensemble, entre 2008 et 2010, sur les différentes problématiques.
D'où notre opération "une carte postale au maire du 10e" pour donner un petit coup de pouce à cette rénovation urbaine à l'échelle du quartier des gares... en sensibilisant Rémi Féraud et son équipe: les élus du 10e et du Conseil de Paris, mais aussi, plus généralement, en attirant l'attention de tous les candidats aux prochaines élections municipales sur ce sujet!
Notre opération se poursuit et met donc à votre disposition des cartes postales que nous avons pré-imprimées, recto et verso, où nous soulignons la nécessité de "pacifier", "apaiser", et "sécuriser" le quartier des abords de la Gare de l'Est.
Voici donc le texte pré-imprimé que vous trouverez au dos de la carte postale:
Paris, le ....... septembre 2013
Monsieur le Maire,
De nombreux habitants se sont mobilisés dès 2008 pour réfléchir aux réaménagements des abords de la Gare de l'est, améliorer le cadre de vie, apaiser l'espace public, sécuriser les circulations. Dans ce périmètre nous incluons les rues du 8 mai 1945, du faubourg Saint-Martin, d'Alsace, Saint-Laurent, Sibour et le boulevard de Strasbourg.
La concertation engagée avait abouti à une exposition au Forum de Dix sur Dix au Couvent des Récollets, en 2009, avec tout le succès que l'on connaît.
Le choix de la Ville s'est porté sur d'autres projets d'urbanisme et seuls des aménagements à la marge ont pu être financés et réalisés.Vous avez affirmé que ce projet ne serait pas abandonné. C'est pourquoi nous demandons son inscription au PIPP (Plan d'Investissements Pluriannuel de la ville de Paris).
Vous êtes directeur de campagne d'Anne Hidalgo, nous comptons sur vous pour porter le projet au nom des habitants du 10e et de leurs conseils de quartier.
Recevez, Monsieur le Maire, mes meilleures salutations.
[Nom + Signature]
Nous vous rappelons que les cartes postales sont disponibles gratuitement au magasin des Caves Bardou, 124 rue du faubourg Saint-Denis (entre les deux gares): cliquez ici pour voir sa localisation sur le plan.
Mais d'autres options s'offrent également à vous pour obtenir rapidement une carte postale (ou plusieurs, pour distribuer à vos voisins):
- D'une part, vous pouvez cliquer sur la carte postale ci-dessous pour télécharger le fichier, qu'il vous suffit d'imprimer. Une fois que vous avez daté, signé (en indiquant également votre nom), vous pouvez envoyer cette lettre au maire du 10ème à l'adresse indiquée.
(Cliquez sur la carte ci-dessus pour la télécharger)
- D'autre part, nous pouvons nous déplacer pour déposer dans votre boîte aux lettres une carte postale (voire plusieurs): dans ce cas, contactez-nous (tel: 06 66 14 22 16) en nous laissant votre nom, adresse et, le cas échéant, les codes d'accès.
- Autre solution éventuelle: en fonction de la demande, nous pourrions faire une "petite" permanence demain, samedi 21 septembre entre 10h et midi, au café "A la Ville de Provins", au 74 boulevard de Strasbourg à l'angle avec la rue Saint-Laurent. Si cette alternative vous arrange, surtout indiquez-le nous (sur le même numéro de portable, en prenant soin de nous laisser vos coordonnées).
Pour le plaisir, et alors que nous abordons le futur du quartier de la Gare de l'Est, nous partageons avec vous cette photo (prise dans les années 1920) de l'ancienne épicerie "Aux Deux Gares" des ailleuls d'Arnaud Bardou (qui a bien voulu accepter de diffuser les cartes postales, et nous l'en remercions). Cette épicerie a été présente dans le quartier des 2 gares depuis 1907 et pendant plus de 90 ans, à l'angle entre la rue du 8 mai 1945 et la rue du faubourg Saint-Denis en lieu et place de l'agence Matmut située en face du marché couvert Saint-Quentin de l'autre côté du carrefour.
-
Donnez une chance au quartier des abords de la Gare de l'Est!
... En envoyant une des cartes postales que nous avons pré-imprimées!
Troisième opération de ce type pour notre association... Souvenez-vous...
Mai 2009: après plus d'un an d'actions et de réunions avec la Ville face à l'insalubrité autour de la station de métro Barbès, nous nous étions mobilisés et avions lancé une opération d'envoi de "Cartes Postales" à François Dagnaud, alors adjoint au Maire de Paris pour réclamer des mesures efficaces et durables en matière de propreté.
Février 2012: nous nous étions lancé dans une nouvelle opération d'envoi de "Cartes Postales à Daniel Vaillant, Maire du 18e pour imaginer l'amélioration du carrefour Barbès autour d'un nouveau lieu pour se rencontrer, boire un verre... avant ou après la séance de cinéma au Louxor qui était alors sur le point de re-naître! Et c'est ainsi qu'a surgi l'idée d'une Brasserie en lieu et place des cendres du magasin Vano (cliquez ici, pour lire tous nos articles sur ce sujet).
Septembre 2013: nous y voilà! 3ème opération "Cartes Postales", cartes qui, cette fois, sont destinées à Rémi Féraud, Maire du 10e arrondissement. Le sujet de notre mobilisation concerne l'aménagement des abords de la Gare de l'Est.
Il s'agit de la zone comprenant les rues entourant la Gare de l'Est: nous ne parlons pas du parvis rénové de la Gare de l'Est, propriété de la SNCF, mais faisons référence au quartier autour de la gare, délimité approximativement par les rues du faubourg Saint-Martin, le boulevard de Strasbourg au sud de l'église Saint-Laurent le boulevard Magenta, et la rue du faubourg Saint-Denis, avec la rue d'Alsace.
Ce quartier souffre des flux importants de circulation avec la présence de la Gare de l'Est et les interconnexions avec sa cousine, la Gare du Nord. Les éventuels projets d'aménagements de cette zone, évoqués depuis 2004 puis plus récemment en 2008, ont échoué, y compris le projet du Balcon Vert de la rue d'Alsace qui n'a pas vu le jour. Il est désormais temps de leur donner un coup de pouce, avec cette initiative vous suggérant d'envoyer une carte postale pré-imprimée pour que ce projet d'amélioration du cadre urbain autour de la gare soit remis à l'ordre du jour par nos élus actuels, mais aussi repris dans les programmes des différentes équipes de campagne se préparant aux prochaines élections de mars 2014.
-
Drogues et prohibition
L'article publié dans Le Parisien d'hier nous annonçant l'ouverture de la Salle de Consommation à Moindre Risque (SCMR) pour novembre prochain ne dit pas grand-chose sur sa future installation prévue depuis des mois le long des voies de la gare du Nord en contrebas du boulevard de la Chapelle. Contrairement au Parisien, nous continuons à nommer ce local une "salle de conso" (cf. notre article du 23 juillet dernier) et non une "salle de shoot", qui en soi révèle le regard négatif qu'on porte sur cette expérience. Plus, nous continuons à informer. En témoigne la vidéo découverte sur la toile tout récemment.
Cela nous vient du Canada ! Et c'est une interview qui remet les choses à leur place. Line Beauchesne est professeure titulaire au Département de criminologie de l'Université d'Ottawa. Elle étudie la prohibition depuis 20 ans. De cette politique des drogues, elle dresse trois constats : l'inutilité, la nuisance et le gaspillage. Inutile, d'abord, parce qu'interdire n'élimine aucunement l'accessibilité des produits illicites. Nuisible, ensuite, parce que la prohibition oblige l'argent à suivre la voie des marchés noirs ce qui renforce le pouvoir des mafias dont les réseaux sont maintenant mondialisés. Gaspillage, enfin, parce que 95 % des ressources publiques investies vont à la répression plutôt qu'au traitement et à la prévention. L'échec est donc total : éliminer la drogue est une utopie et les moyens mis de l'avant ne font qu'empirer la situation.
"Ce qu'il faut comprendre, c'est que la prohibition des drogues n'a rien à voir avec des questions de santé publique". Le ton est donné et les explications argumentées suivent. La vidéo dure 53 minutes. Oui, c'est long. Mais ce n'est pas trop pour y voir clair en pensant au projet de la SCMR.
Non, l'interdiction et la répression n'ont pas réglé le problème de la consommation de drogues. Ayons le courage de regarder cette question bien en face, abordons la d'une manière intelligente et pas en fonction de principes qui ne font qu'aggraver les choses.
Le livre :
Les drogues : les coûts cachés de la prohibition
Par Line Beauchesne
-
Le plus grand miroir d'eau du monde?
Dernière carte postale de l'été 2013... car il faut bien que les derniers retardataires se décident à rentrer : les prochaines vacances n'en seront que meilleures!
Mais de quel miroir d'eau parle-t-on? Nous ne faisons pas allusion à celui de la nouvelle Place de la République inaugurée à la mi juin (cf. nos deux articles spécifiques du lundi 17 juin et du jeudi 20 juin) mais évoquons aujourd'hui le miroir d'eau de Bordeaux inauguré 7 ans avant son petit frère parisien, à la mi 2006.
Le site web de la ville de Bordeaux nous le présente en effet comme le plus grand miroir d'eau du monde par sa surface (3450 m²), équivalente à environ 1/3 d'un terrain de foot ou encore 13 terrains de tennis. En comparaison, le miroir d'eau parisien avec ses 270 m² ne représente même pas 1/10 de sa superficie.
Faisant face à la Place de la Bourse (autrefois dite "Royale", construite par Jacques Gabriel entre 1729 et 1733), ce miroir d'eau se situe sur les quais de la Garonne dans le périmètre du Port de la Lune désignant l'ensemble urbain et architectural exceptionnel inscrit depuis 2007 sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Son concepteur est le fontainier Jean-Max Llorca, également l'auteur des colonnes d'eau du parc André Citroën à Paris 15e, qui s'est inspiré de la Place Saint Marc de Venise lorsqu'elle est légèrement submergée par l'Aqua Alta en hiver. Le scénographe de l'aménagement des quais, dans lequel s'inscrit le miroir d'eau, est le paysagiste-urbaniste français Michel Corajoud qui a d'ailleurs posté sur son site plusieurs vidéos de ce miroir d'eau.
Les deux miroirs d'eau, à Bordeaux et Paris, fonctionnent de manière intermittente. Sur les quais de Bordeaux, le miroir d'eau alterne effet-miroir (durant 15 minutes, après le remplissage) et effet-brouillard (avec les brumisateurs en action durant 3 minutes après la vidange du bassin). A Paris, le fonctionnement intermittent alterne jets d'eau et brumisateurs.
Lorsque l'eau n'est pas troublée, comme en ce matin de début septembre, le bâti exceptionnel de la Place de la Bourse se reflète alors en prolongement des façades des quais, dont les ordonnancements classiques sont ainsi mis en valeur par l'effet-miroir.
Crédit Photos F.Rémongin -
On peut encore s'amuser APRES la rentrée
L'affiche de la Ville de Paris qui vante les plaisirs d'une rentrée festive au bord du canal indique le dimanche 8 septembre...
Nous nous sommes trop précipités pour vous fournir l'info...
ATTENTION et PATIENCE
ce n'est que DIMANCHE PROCHAIN LE 8 septembre
Programme:
dès 14h: jeux, quizz, ateliers éco-responsables et préventionhele organisés par une dizaine d'associations du 10è sur le quai Valmy (Face au Jardin Villemin)
à partir de 16h: guinguette au kiosque du Jardin Villemin organisée par le Club seniors de la GAB (CASVP)
17h30: remise des lots par tirage au sort parmi les participants au kiosque.
-
On peut encore s'amuser avant la rentrée des classes
Si vous ne savez pas quoi faire avec vos enfants dimanche, la Maison du Canal organise une nouvelle fois un rallye à partir de 14h quai de Valmy (rdv devant le Jardin Villemin)
On vous proposera des jeux, des quizz, avec des lots à gagner et vous pourrez terminer la journée à la guinguette.
Un aperçu des activités organisées:
- fabriquer vos sacs entièrement recyclés,
- découvrir diverses facettes de l’eau avec notre bar à eaux,
- tester vos connaissances avec un quizz sur le quartier,
- évaluer votre culture avec le blind-test musical,
- conduire votre bateau à travers les écluses,
- trouver les bons gestes de tri,
- guincher au kiosque du jardin Villemin, etc.
Le soleil devrait être encore de la partie. N'hésitez pas à en profiter.
-
Rénovation des verrières à Barbès : délais respectés
Les travaux de rénovation de la station Barbès sur la ligne 2 continuent et nous avons souhaité faire un point d'étape avec le responsable RATP Richard Hermann.
Comme prévu, les usagers pourront de nouveau reprendre le métro dès le 31 août au matin à la reprise du service. Pour autant, tout ne sera pas terminé. La pose de vitrages à l'horizontal est achevée; reste la pose en vertical puis la pose du fameux film translucide demandé par plusieurs riverains — peut-être même les riverains en général , si l'on en juge par le nombre de commentaires que cet article a généré dans notre blog —afin d'éviter la vue plongeante dans les appartements. Pour la partie vitrée le long des escaliers, là, on reste à l'identique.
Vue de la terrasse du Louxor
Et du côté des nuisances sonores?
Pour le mois de septembre, finitions de peinture, pose de luminaires et travaux de métallerie. Pas vraiment bruyant. Il faudra encore passer quelques nuits fenêtres fermées pour la partie échafaudages (la RATP informera la population). Ceux-ci seront démontés en journée, mais il faudra bien les évacuer et là, l'entreprise est obligée de bloquer la circulation pour charger les racks sur des camions. On imagine bien ne pas pouvoir interdire la circulation le jour dans le secteur Barbès.