Le 28 mars 2013 de 14h à 17h Salle des fêtes - Mairie du 10e
Accueil à partir de 13h30 autour d’un café
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Le 28 mars 2013 de 14h à 17h Salle des fêtes - Mairie du 10e
Accueil à partir de 13h30 autour d’un café
et débat sur l'expérimentation d'une salle de consommation à moindre risque.
Cliquez sur le lien ou sur le fac simile, pour lire la lettre de Rémi Féraud qui vous y invite. (format de lecture)
Certaines associations de riverains se sont manifestées contre ce projet, et malgré plusieurs entretiens avec le maire du 10e, plusieurs réunions sur le sujet sur place ou à la mairie, elles persistent dans le rejet de cette expérimentation.
Le maire du 10e, Rémi Féraud, accueille dans le hall de sa mairie
à partir du 25 mars à 19 heures
l'exposition réalisée par les Amis du Louxor sur
A l'occasion de l'ouverture prochaine du cinéma Louxor, avant qu'il soit rendu aux Parisiens, enfin, il était important de retracer l'histoire de ce bâtiment : luxueux écrin du cinéma muet en 1921, lors de son inauguration, il finira en discothèque avant de fermer ses portes à la fin des années 80.
Au-delà de cette histoire, une partie de l'exposition est également consacrée au travail de rénovation mis en oeuvre par la Ville de Paris afin de réhabiliter et de mettre en valeur cet exemple remarquable de patrimoine architectural et de permettre la réouverture au public du Louxor, cinéma de quartier "art et essai".
VERNISSAGE CE SOIR à 19 heures
L'exposition se tiendra du 25 mars au 25 mai 2013. Horaires : du lundi au vendredi de 8h30 à 17h, jeudi de 8h30 à 19h30 et samedi de 9h à 12h30.
Conseil du QuartierLariboisière Saint Vincent de Paul :
.... les conseils de quartier s'exprimaient sur leurs problèmes locaux. Le règlement du conseil d'arrondissement du 10e permet aux conseils de quartier de présenter un voeu et d'obtenir en réponse la position de l'équipe municipale. Nous saluons toujours dans notre blog cette avancée démocratique qui n'existe pas dans tous les arrondissements.
Au pré-conseil d'arrondissement, donc, le conseil de quartier Château d'eau Lancry, très actif sur la problématique des étalages et terrasses présentait un voeu dont nous reprenons ci-dessous les demandes:
Bilan de la situation dans l'arrondissement,
Elaboration concertée d'une Charte pour le 10e
Mise en oeuvre ou renforcement des opérations de contrôle dès les beaux jours
Mise en place d'un comité de suivi associant élus, professsionnels et habitants au travers du Conseil de quartier
Si dans notre quartier, situé autour du carrefour Barbès, nous avons plus à souffrir des débordements d'étalages et notamment ceux des magasins de chaussures du boulevard de Magenta, puis sur le boulevard de Rochechouart côté 18e, des colifichets pour touristes après Anvers, dans le quartier Château d'Eau Lancry le problème est constitué plutôt par les terrasses de cafés et restaurants. Il manque l'affichage – obligatoire - de leur autorisation ; il n'y pas de marquage au sol ; les débordements sont fréquents ; les menus et les chevalets balisent le trottoir ; les riverains se plaignent du bruit en soirée; enfin le manque de place pour le passage des handicapés est notoire...
« Un bilan représente un travail long et important. Une charte a déjà été réalisée pour la Cour des Petites Ecuries et, pour le moment, ma priorité est de faire la même chose rue du Faubourg Saint-Denis» a précisé Hélène Duverly, l'élue chargée du commerce dans le 10e . « N'hésitez pas à signaler une terrasse qui déborde ! » a ajouté le maire.
Le conseil de quartier Louis-Blanc Aqueduc revenait une fois de plus sur la création de périmètres de préemption des fonds de commerce et des baux commerciaux, des mesures rendues possibles par la loi du 2 août 2005. Il s'agit de permettre la sauvegarde du commerce et de l'artisanat de proximité. Sujet déjà évoqué sur notre blog il y a un peu plus d'un an (notre article du 20 janvier 2012).
Si dans notre quartier l'opération Vital quartier a permis le rachat de plusieurs boutiques rue de Dunkerque récemment et rue de Maubeuge, le dispositif n'a pas d'impact sur le secteur Gare du nord - La Chapelle. Il s'agit donc d'aller plus loin. De nombreuses villes ( 116 en Ile de France) ont exercé leur droit de préemption lors de la cession de fonds de commerce, mais aussi de baux commerciaux.
Cette fois, il semblerait qu'il y ait des avancées significatives de la part de la ville de Paris. Rémi Féraud a reconnu que l'opération Vital Quartier se heurte à des limites et qu'il faudra trouver d'autres pistes pour enrayer la mono activité de certains secteurs. « Très certainement dans la prochaine mandature » a t-on entendu.
Du côté du patrimoine, on a reparlé de l'église Saint-Vincent-de-Paul dont l'état nécessite encore bien des restaurations. Peut-être vous souvenez-vous des laves émaillées rendues aux façades de l'église au début de l'été 2011 ?
Il s'agit maintenant de s'occuper de la toiture qui est d'origine et n'a quasiment jamais bénéficié de réparations. Mais cela a un coût : 4 millions d'€uros qu'il faudra budgéter dans la prochaine mandature. En attendant un grand lifting, on se contentera de la restauration du péristyle (frises en bronze entre autres) pour une somme plus modeste de 38 830 €.
Pour mémoire, toutes les églises construites avant 1905 sont propriétés de la ville qui doit donc en assurer l'entretien.
Avant d'être transformé en logements sociaux il y a quelques années, l'immeuble au 9 de la rue Guy Patin était un foyer d'étudiants juifs qui appartenait à la famille Rothschild.
En 1899, la baronne Edmond de Rothschild lègue au Comité de bienfaisance israélite de Paris son immeuble au 9, rue Guy Patin dans le 10e arrondissement, pour qu’y soit créé le « Home israélite pour jeunes filles » qui portera le nom de Toit familial à partir de 1904. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Toit familial devient la propriété de l’UGIF, sous le nom de Centre Guy Patin. Après la guerre, le Comité de Bienfaisance Israélite de Paris récupère son bien immobilier, qu’il décide de transformer en foyer d’étudiants juifs. Cet établissement a accueilli des étudiants de toutes disciplines et de diverses nationalités: libanais, iraniens, égyptiens, anglais, allemands, américains, roumains... Mais les plus nombreux venaient d’Afrique du Nord. Plus qu’une maison d’étudiants, le Toit familial fut un centre communautaire pour les juifs qui pouvaient assister aux conférences, aux soirées d’études, aux offices du Chabbath et des fêtes.
Extrait des archives de la fondation CASIP-COJASOR, comité de bienfaisante de la Communauté depuis 1809.
Dimanche 10 février, en présence du maire du 10e, une cérémonie a rappelé la rafle du 10 février 1943. Ce jour-là et le suivant, la police française arrête des enfants dans plusieurs arrondissements parisiens et en banlieue.
D'après le recensement effectué par Serge Klarsfeld, 6 182 arrestations d'enfants ont eu lieu à Paris. Pour un grand nombre d'entre eux, ils habitaient dans une partie du nord-est de la capitale dans des îlots insalubres.
Voici également un lien vers une carte interactive (Paris).
A l'aide du recensement mené par Serge Klarsfeld, un historien a mis en ligne une carte interactive des arrestations des enfants juifs à Paris, entre 1942 et 1944.
Rue par rue, immeuble par immeuble, vous découvrez les noms des enfants arrêtés. La carte et la plaque commémorative au 9 rue Patin ne sont pas d'accord sur le nombre des arrestations. Ce sont des morts de trop qu'ils soient cinq ou onze.
Ci-contre la plaque commémorative, actuellement visible
sur une des façades de l'immeuble du 9 rue Guy Patin :
" Au cours de la seconde grande rafle des juifs de la Région Parisienne qui eut lieu le 10 février 1943,
11 enfants furent arrêtés dans ce centre de l'Union Générale des Israélites de France,
déportés et exterminés à Auschwitz.
N'oublions jamais "
Cette plaque devrait être déplacée
bientôt pour être exposée
sur le mur extérieur
donnant sur la rue
afin d'être visible
par tous les passants.
Voici l'affiche : 2013 Amenagement de la rue Boulevard de la Chapelle...
On aurait pu présenter un plan, voire plusieurs avec des options, et les expliquer aux riverains et associations, lors de la toute dernière réunion du conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul (28 janvier).
Mais, non, les deux réunions sur le sujet remontent à février et mars 2012. Certes, la question avait été posée de l'élargissement du trottoir le long des grilles de la station. Bien sûr, on pouvait raisonnablement penser que l'espace nouveau tenterait les vendeurs à la sauvette. Mais ne doit-on rien entreprendre, rien aménager qui aille dans le sens de ce que collectivement on avait choisi sous prétexte que ces espaces ne seront pas respectés ? Non. Notre association a validé l'élargissement de trottoir pour qu'il fasse le pendant à celui côté 18e.
En revanche, nous avions suggéré de réserver la file de stationnement - si vraiment il fallait garder des espaces de stationnement - au côté des immeubles, de façon à supprimer la facheuse tendance du quartier à se garer à cheval sur la piste cyclable, ce qui la rend inutilisable. Cette disposition permettait également l'insertion d'aires de livraison, et éventuellement de stationnements deux-roues.
Mais la section de voirie n'a pas tenu compte de ces observations, ou les a oubliées comme elle a oublié pendant des semaines, malgré nos signalements, des palissades écrasées, broyées, laminées le long de la station de métro. Un spectacle affligeant, cerné de dépôts sauvages, de cartons abandonnés, et de détritus en tout genre. Les schémas standard et les normes de la section de voirie ne sont pas forcément applicables partout. Elle compte sur le respect des signalisations, sur le sens civique des usagers....
Qui peut croire qu'une aire de livraison, a priori destinée au boucher et au patissier du 45 bd de La Chapelle, située le long de la station de métro, va faciliter les livraisons chez ces commerçants, quand le livreur devra traverser en permanence la file de voitures ??
Voici ce que nous recevions vendredi dernier, envoyée par notre élue du 10e chargée de l'espace public, une affiche, celle-là même que placarderont les agents de la DVD ou de la mairie sur les portes des immeubles du quartier. Les travaux commencent lundi prochain et dureront jusqu'à la fin du mois de mars.
Aménagement de la rue
Boulevard de la Chapelle (10ème)
Entre le boulevard de Magenta et la rue Guy-Patin (côté impair)
Direction de la voirie et des déplacements
5ème Section territoriale
24, avenue Niel
75017 Paris
Tél. : 01 43 18 51 70
du lundi au vendredi de 8h30 à 17h
Relations avec les usagers : Alain Vielle
Nous avons évoqué brièvement dans notre article du 2 février le dernier conseil de quartier Lariboisière-St Vincent de Paul.
C'est à cette occasion qu'Action Barbès a reçu le soutien des habitants présents pour demander la mise en zone 30 des abords de l'hôpital. C'est un souhait que nous avions déjà émis lors de la concertation sur les double sens cyclables (DSC). Bertrand Delanoë a insisté sur sa volonté d'augmenter le nombre de zones 30 dans la capitale lors de ses voeux pour 2013, notamment près des crèches, des écoles et des hôpitaux. L'occasion de réitérer notre demande était là, à ne pas manquer.
Elisabeth Carteron, présidente de notre association, a donc présenté le voeu commun (ici le texte complet) lors du conseil d'arrondissement du 4 février en mairie du 10e.
C'est Elise Fajgeles qui a répondu avec des arguments sans surprise : il faudra un financement pour réaliser cette mise en zone 30, examiner le coût des aménagements qui seront nécessaires (panneaux, modifications éventuelles de voirie....).
Certes, nous avons un avis favorable de l'élue mais aucune certitude sur la faisibilité, aucun calendrier si le projet était validé.
Nous ne l'avons pas évoqué en conseil, car ce n'était pas le sujet, mais des modifications de voirie sont déjà envisagées pour pérenniser l'expérience en cours de réduction de la rue Ambroise-Paré à une seule voie roulante. Le dispositif actuel, à base de palissades, qui empêchent le stationnement gênant des camions de transport "porte-huit" devant l'hôpital est chaudement plébiscité par ce même hôpital. Ne serait-ce pas une opportunité pour faire d'une pierre deux coups ? Avec des économies d'échelle... comme on dit en langage économique ?
Au risque d'en repasser une couche, n'est-il pas dans les tuyaux également d'ouvrir le passage Paré-Patin aux taxis.... ce changement ne se fera pas sans l'intervention de la section territoriale de voirie. Alors, réfléchissons et globalisons. Autant pour les finances de la Ville que pour la tranquillité des riverains.
Action Barbès a par ailleurs suggéré que le budget alloué au déplacement de la piste cyclable sur la chaussée du Magenta au niveau du Louxor soit plutôt utilisé pour les abords de l'hôpital. Rappelons que nous avions demandé, puis rejeté cet aménagement au vu du coût prohibitf de l'opération (voir article du 13 octobre 2012).
Encore un dossier à suivre...
La cérémonie des vœux de Rémi Féraud en mairie du 10e, jeudi dernier, a été l'occasion de croiser Elise Fajgeles, une de nos interlocutrices préférées en matière d'espace public. En effet, elle est chargée de cette délégation pour le 10e et souvent nous avons eu des débats sur tel ou tel aménagement de voirie. Des débats cordiaux, car c'est une élue qui sait écouter les habitants, même si parfois elle ne tient pas tous les cordons qui mènent à la décision. Cette fois, elle voulait nous voir pour nous confirmer une décision qui ne laisse pas de nous surprendre. Le retour d'une circulation autorisée au passage Paré-Patin.
Ah ? Tiens !
Remémorons les faits. Lors du réaménagement du boulevard de Magenta qui se termine en 2006 (Le Moniteur du 9 mai 2006) par une inauguration en grandes pompes et sous des fanions colorés, il fut décidé de rendre les trottoirs aux piétons en ré-équilibrant l'espace public à leur profit. Parmi les innovations de taille on avait la restriction des chaussées roulantes à une seule voie de chaque côté, doublée d'une voie pour bus en site protégé, la plantation d'une deuxième rangée d'arbres, des dispositifs sécurisant les passages piétons aux intersections, etc. Et la mairie avait fait accepter par le chef de projet l’aménagement d'une placette et même l'idée que la rue Ambroise Paré ne déboucherait plus sur le boulevard de Magenta. Pendant longtemps cette voie, qui permettait aux automobilistes « futés » de rejoindre le Magenta en contournant l'hôpital Lariboisière leur évitant l'embouteillage fréquent du carrefour Barbès, se trouvait très encombrée, au point de bloquer la circulation sur le boulevard de Magenta lui-même. Les anciens habitants du quartier se souviendront de cet engorgement qui nuisait gravement aux accès à l'hôpital, parmi d'autres inconvénients.
A la suite de cette fermeture, les habitudes ont été longues à prendre. Devant l'embouteillage du boulevard de la Chapelle, de nombreux automobilistes continuaient à contourner l'hôpital par les rues de Maubeuge et Ambroise-Paré et venaient s'entasser rue Guy-Patin. Le barreau Patin sous le viaduc était alors à double sens, créant un pataquès de taille. Puis au fil des années, les automobilistes se sont enhardis à franchir les interdits du passage Paré-Patin, au point qu'ils sont des centaines chaque jour à l'emprunter sans plus de formalité, dans un sens comme dans l'autre.
Nous avons maintes fois demandé à ce que ces infractions soient verbalisées, d'autant qu'une caméra plantée au beau milieu du Magenta balaie le champ. Mais rien ne vient.
Nous nous sommes même entendu dire par un représentant de la Préfecture de Police que le passage était interdit à TOUT VEHICULE, y compris ceux d'urgence, puisque les panneaux d'interdiction ne sont pas accompagnés d'exception, du type « sauf véhicule d'urgence ». Mais sans plus d'émotion pour la situation et les dangers induits.
Récemment, c'était le 3 décembre (Le Parisien), dès 8h30, les taxis se sont emballés dans un mouvement de protestation contre leurs difficiles conditions de circulation dans Paris, mais surtout le manque d'espace autour de la gare du Nord, la concurrence des moto-taxis et des fraudeurs sans licence. Elise Fajgeles a participé à la réunion qui a suivi, au cours de laquelle elle n'a pu que prendre connaissance de la demande des taxis parisiens de lever l'interdiction au passage Paré-Patin. Demande acceptée par l'Hôtel de Ville dans le cadre des accords passés entre la Ville et les taxis. On cède ici pour ne pas céder là. Dommage que le « ICI » soit justement chez nous. Car, enfin, si nous protestons depuis plusieurs années de la dangerosité de ce passage pour les piétons et les cyclistes du Magenta, justement parce que l'interdiction d'y circuler n'y est pas respectée, ce n'est pas en l'autorisant à d'autres véhicules, qu'on en diminuera la dangerosité. Ne nous y trompons pas, de nombreux taxis passent déjà allègrement, au risque extrêmement faible d'être verbalisés et beaucoup d'autres leur emboîtent le pas, les véhicules de la Propreté de Paris, les voitures de la Banque Postale, et bien d'autres.
Dans le cas avéré d'une réouverture du passage, qu'on y implante un feu tricolore qui retiendra les véhicules autorisés (ou non) aussi longtemps que le flux sur le boulevard de Magenta est au vert. C'est un minimum !
Nous sommes méfiants sur la durée de l'expérience, même si l'Hôtel de Ville s'est engagé sur une durée de 6 mois seulement, et qu'il a promis de procéder à des comptages, histoire de pouvoir revenir à la situation actuelle. Or celle-ci n'est pas satisfaisante non plus....
La rue Ambroise-Paré sans les palissades qui interdisent le stationnement des porte-huit.
Ne les décevez pas, venez et participez à ce remue-méninges !
Le programme dans notre article du vendredi 11 janvier, et l'on vous avait dit de vous inscrire....
Samedi 26 janvier à 16h30
Salle des fêtes de la mairie du 10e
72, rue du Faubourg Saint Martin
Au programme :