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  • Embarquez à bord du Sagan Express à la médiathèque Françoise Sagan

    La médiathèque Françoise Sagan propose en mai et juin "Gares & trains", une exposition thématique sur le train à voir, à écouter, à découvrir avec vos enfants.

    "En mai et juin, la salle d’actus vous invite à embarquer à bord du Sagan Express, un attelage de découverte et d’évasion consacré au rail, aux gares et aux trains. Située à proximité immédiate de deux gares parisiennes, la médiathèque devient elle aussi un quai d’embarquement pour des voyages familiers ou étonnants. Laissez-vous emporter dans nos sélections de documents, au rythme de la machine."

    médiathèque-françoise-sagan,10e

    À bord du Sagan Express :

    Trains d’exception

    Du plus ancien, au plus légendaire, en passant par le plus effrayant et celui qui vous rendra nostalgique, venez découvrir notre sélection de trains et partez dans votre imagination.

    Sélection de Narration de Crimes Ferroviaires

    A travers de cette sélection de romans policiers, vous constaterez que prendre le train n’est pas toujours sans risques et que les auteurs ont depuis longtemps été inspirés par ce moyen de locomotion.

    Attention au départ!

    Les trains ont toujours fascinés les enfants. retrouvez ici des documentaires sur la fabuleuse histoire du train, de magnifiques albums illustrés, des romans policiers, sans oublier des histoires de trains-fantômes à vous faire dresser les cheveux sur la tête!!!

    Entre deux gares…

    Quand le cinéma s’empare du train, tout peut arriver, des rencontres, des romances, des crimes, de l’horreur et même parfois…de magnifiques voyages.

    Trains et Gares : Numérique

    Pour apprendre tout ce que l’on peut faire de chez soi, recharger un passe navigo, se faire rembourser un billet en cas de retard, mais aussi découvrir en avant-première les innovations de la SNCF ou encore les sites regroupant les plus belles gares du monde.

    Hoboes (1/2) : de pages en images, à travers l’Amérique

    A la rencontre des hoboes, vagabonds des rails, qui occupent une place tout à fait particulière dans l’imaginaire culturel américain. Voici quelques récits et films pour mieux les connaître.

    Hoboes (2/2) : chanter le train, la misère, le travail et la liberté

    De l’influence de la culture hobo dans les musiques populaires américaines ou le parcours de certains artistes.

    Entendez-vous siffler le train ?

    On embarque pour un voyage musical, voyage hommage à un moyen de transport qui a enflammé et enflamme toujours les imaginations, le train.

  • C'était hier, quand la voiture s'invitait partout

    Aujourd'hui, nous vous envoyons une carte postale d'un passé pas si lointain. Vue sur l'hôpital Lariboisière dans les années 1970. On aperçoit la Goutte d'Or avec la flèche de l'église Saint-Bernard en fond, mais au premier plan ce qui attire le regard quelques décennies plus tard, c'est la cour centrale de l'hôpital qui est littéralement envahie de voitures. En effet, juste sous les fenêtres des malades et des services, s'alignent des dizaines de voitures, ce qui est un comble quand on sait que l'architecture de cet hôpital a été conçue pour assurer une bonne ventilation des bâtiments pour permettre aux patients de bénéficier d'un "bon air".

    Les années ont passé et on n'imaginerait pas aujourd'hui cette cour transformée en parking. Ce petit retour dans le passé nous montre l'omniprésence de la voiture dans la conception de l'espace public. On était là à l'apogée du "tout voiture", mais si depuis la répartition de l'espace public est redistribuée progressivement en défaveur de la voiture, il faut rappeler que ce mode de déplacement minoritaire à Paris occupe toujours un place majoritaire de l'espace parisien. Il y a donc encore de la marge pour faire plus de place aux modes de déplacement doux.

    Et peut-être que dans un avenir pas si lointain, nous porterons le même regard sur des rues et places qui aujourd'hui font encore trop de place à la voiture, que celui que nous portons sur cette cour-parking.

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  • "Cinémas de Paris" : appel à témoignage de l'association Paris-Louxor

    À l’occasion du centenaire du Louxor-Palais du cinéma (1921-2021) et afin de soutenir les salles de cinéma parisiennes, mais aussi maintenir un lien avec les habitant.e.s et cinéphiles, l'association Paris-Louxor, avec le soutien du magazine Historia, lance "Cinémas de Paris", une série de portraits de salles de cinéma accompagnée de témoignages et documents, parfois inédits.

    "Cinémas de Paris" vous donne la parole et vous propose de contribuer, à votre tour, à ce travail collaboratif, en apportant vos témoignages, informations, souvenirs et documents, sur ces cinémas de quartier. Ces apports permettront d’enrichir et de partager avec le plus grand nombre, vos connaissances et anecdotes sur les salles de cinéma parisiennes.

    Si vous souhaitez contribuer à ce joli projet, pour l'instant réservé au 9e, 10e et 18e arrondissements, rendez-vous sur le site de Paris-Louxor.

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    La grande salle du Louxor à son origine

  • Devinettes confinées : les réponses

    Suite à notre série de devinettes confinées historiques, nous vous apportons aujourd'hui les réponses aux trois petits jeux proposés cette semaine.

     

    1. La petite maison et son atelier

    Sur les deux photographies, que nous vous montrons ici dans leur entièreté, nous voyons donc une petite maison et son atelier dans la cour, situé alors au 16 rue Richomme dans le 18e (la numérotation des immeubles a changé depuis), avant son prolongement jusqu'à la rue des Poissonniers. Plus précisément, nous sommes là au croisement des actuelles rues Richomme et Erckmann-Chatriant.

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    La question subsidiaire portait sur l'habitant de ce lieu. Il s'agissait de François-Rupert Carabin (né le 17 mars 1862 à Saverne et mort en  novembre 1932 à Strasbourg). Sculpteur, ébéniste, médailliste et photographe, certaines de ses oeuvres sont à présent visibles dans plusieurs musées à travers le monde, dont celui d'Orsay qui lui avait consacré une exposition en 1993. On aperçoit d'ailleurs un bas relief sculpté en fond de cour sur le second cliché.

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    Médaille de Carabin "L'Imprimerie" pour Le Journal

     

    2. Qu'est-ce que c'est ce chantier ?

    Sur cette série de photographies, on assiste à l'élévation d'un immeuble annexe à la gare du Nord, au début de la rue Ambroise Paré dans le 10e arrondissement. Ce bâtiment, élevé en 1907-1909 et toujours existant, fait face à l'hôpital Lariboisière. Et si aujourd'hui nous voyons un bâtiment paraissant fait uniquement de pierre, la structure utilise en fait beaucoup la technique du béton armé.

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    3. Barricade !

    Ce cliché réalisé durant la Commune, où nous voyons une barricade de pavés, est pris rue de La Chapelle dans le 18e, la rue la plus large de Paris. Il y avait une petit piège. Car s'il est assez facile de retrouver la légende de cette photo sur internet, il ne fallait pas oublier qu'aujourd'hui il s'agit de la rue Marx Dormoy, la première moitié de la rue de La Chapelle ayant pris ce nom en 1945.

    La Barricade si situe donc rue Marx Dormoy, approximativement au niveau du Carrefour Market, du côté de la place de La Chapelle. Il restent quelques immeubles visibles sur la photo qui existent toujours aujourd'hui.

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    Nous félicitons particulièrement Yamina L. et Rémi Philibert, qui se sont prêtés à ce jeu avec beaucoup de sagacité et de perspicacité, bravo à eux !

  • Toxicomanie dans l'espace public : qui appeler en cas de besoin ?

    Les évacuations de la tristement célèbre "colline du crack" à la Porte de la Chapelle et du tunnel Rosa-Parks dans le 19e arrondissement, des évacuations nécessaires au vu de la situation intenable pour les riverains mais qui n'ont finalement été que des dispersions, ordonnées par la Préfecture, sans prise en charge ni accompagnement social et sanitaire, ont eu des conséquences pour beaucoup de quartiers du nord-est parisien. Avec la crise sanitaire, depuis le premier confinement notamment, la situation s'est encore aggravée. Du côté de Stalingrad, en premier lieu, au jardin d'Éole, mais également autour de la gare du Nord, à la Chapelle, à la Goutte d'Or et même à Château Rouge, ces quartiers connaissent dorénavant des scènes ouvertes de drogues au quotidien, principalement de consommation de crack, créant les nuisances qu'on sait.

    Les habitants sont souvent démunis face à certaines scènes. Pour les questions d'agressions et de violence, il faut bien évidemment appeler la police. Mais au quotidien, il est possible de faire appel aux associations dédiées à l'accompagnement des usagers de drogues, en particulier ceux qui sont sans domicile. Les riverains de la SCMR savent qu'en journée ils peuvent appeler la salle de consommation (pour rappel : 07 62 49 93 45) en cas de problème pour qu'une équipe de maraude intervienne, par exemple. Mais au-delà de ce petit périmètre, le plus souvent, on ne sait qui contacter. L'Agence régionale de santé (ARS) et la ville de Paris éditent un fascicule qui recense et localise les associations engagées sur le terrain, les dispositifs de prise en charge des usagers de drogues et les différentes actions menées. On retrouve des informations utiles, notamment les numéros à appeler en cas de besoin (intrusion dans un immeuble, scène de consommation dans l'espace public, seringues abandonnées...). Un dépliant utile pour les habitants concernés, dans les arrondissements du quart nord-est de Paris, du centre au 20e.

    Cliquer ici pour télécharger le dépliant

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  • Une exposition particulièrement intéressante sur le pont Saint-Ange

    En ces temps de restrictions culturelles pour cause de crise sanitaire, une nouvelle exposition  à découvrir est une aubaine. Et qui plus est, si cette exposition a de l'intérêt, cela n'est qu'encore mieux !

    C'est sur le pont Saint-Ange, sur le boulevard de la Chapelle, que cela se passe, avec l'exposition : "Les pionniers du Grand Paris". À travers cette exposition qui montre un très grand nombre de photos anciennes, dont certaines sont très rarement montrées, on retrace l'histoire de l'urbanisation et du lotissement des territoires devenus aujourd'hui la Goutte d'Or ou Château-Rouge, de 1730 jusqu'au dernier grand élargissement des frontières de Paris en 1860.

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    Cette exposition orchestrée dans l'ombre par l'historien Alexandre Frondizi (Institut d’histoire de l’Université de Neuchâtel), fin connaisseur de l'histoire de l'urbanisation et de la vie de ce secteur de Paris, lui ayant consacré sa thèse de doctorat. Cela nous assure une exposition de qualité qui montre un passé démystifié de la Goutte d'Or notamment. Il est intéressant aussi de pouvoir visiter une exposition de plein air qui restitue les évolutions historiques d'un lieu sur le lieu même de cette histoire urbaine. Vous pourrez, par exemple, comprendre pourquoi le pont Saint-Ange porte ce joli nom.

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    Cette exposition très riche en documents (photos, dessins, plans..) a été montée avec le concours de la Ville de Paris, des mairies des 10e et 18e arrondissements, du Comité d'Histoire de la Ville de Paris, de la Bibliothèque historique de la ville de Paris, la Bibliothèque nationale de France, des Archives nationales et des musées de la Ville de Paris. 

    C'est donc en plein air, et les horaires de visite sont ceux du couvre-feu. Et vous l'aurez compris, c'est une exposition à découvrir !

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  • Une nouvelle association de riverains dans le sud du 10e arrondissement : "Vivre! Bd de Strasbourg – Fg St-Denis St-Martin"

    Une nouvelle association de riverains s'est créée au sud du 10e arrondissement : Vivre! Bd de Strasbourg – Fg St-Denis St-Martin. Cette nouvelle voisine d'Action Barbès est le fruit de l'évolution d'un collectif d'habitants.

    Tout a commencé durant l’été 2018, avec une pétition pour la réhabilitation du boulevard de Strasbourg. Rapidement, une trentaine d’habitants se regroupe alors en collectif. Ils s’activent et engagent un dialogue constructif avec plusieurs acteurs publics. La pétition recueille plus de 1 500 signatures. L'intérêt croit.

    Pour répondre aux demandes des habitants et inscrire leur démarche dans la durée, ils décident, fin 2020, de fonder une association. Vivre! Bd de Strasbourg – Fg St-Denis St-Martin est née !

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    Malgré ce changement de statut – faire vivre une association est une activité qui demande énormément plus d'investissement que d'animer un collectif informel –, l'ambition reste la même pour ces habitants : améliorer la qualité de vie et l’environnement du boulevard de Strasbourg et du quartier des portes Saint-Denis et Saint-Martin.

    Si vous habitez dans le secteur de Vivre! Bd de Strasbourg – Fg St-Denis St-Martin, l’association organise un "café rencontre" ce samedi, 6 mars à 10 h 30 en visioconférence. Ce sera l’occasion de faire connaissance, de poser des questions, de faire des suggestions et d’échanger sur les projets. Pour participer, il suffit de s’inscrire ici :

    https://www.vivrebddestrasbourgfgstdenisstmartin.org/CAFEVISIO.z.htm

    Vous recevrez ensuite un lien de connexion.

    Nous saluons chaleureusement la naissance de cette nouvelle association de riverains, notre voisine, et gageons que nous aurons l'occasion de travailler ensemble sur certains dossiers communs, les échanges entre nos associations ayant déjà été amorcés de manière très cordiale !

     

    -> Pour visiter le site de l’association, c'est par ici.

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  • Promenade urbaine : les "toilettes en bois" vont être enlevées

    Le 19 février dernier, en compagnie d'autres associations et collectifs d'habitants, nous avons parcouru la Promenade urbaine avec les adjoints à la propreté du 10e et du 18e arrondissement, Léa Vasa et Fred Badina-Serpette, ainsi qu'un représentant de la direction de la propreté de la Ville.

    Un grand nombre de sujets ont été discutés, retenons deux points importants abordés lors de cette marche.

    D'abord côté marché Lariboisière (aka "marché de Barbès"), si le nettoiement de l'après marché par la "fonctionnelle" ne pose aucune question, il est toujours parfaitement réalisé, se pose la question du nettoiement du "marché de la misère" qui se tient en parallèle du marché alimentaire. Aujourd'hui, si tout va bien, c'est le lendemain matin que le terre-plein-central du boulevard et les rues adjacentes où le marché de la biffe s'installe (en ce moment la rue Guy Patin) sont nettoyés cette fois par les agents de la propreté des 10e et/ou 18e arrondissements. Nous avons plaidé pour un nettoiement systématique les soirs de jours de marché (mercredi et samedi) de l'espace de marché, mais également des rues qui voient parfois se former le marché informelle (rues Guy Patin, pont de Jessaint...). Espérons avoir été entendus.

    promenade-urbaine,boulevard-de-la-chapelle,10e,18e

    Boulevard de la Chapelle, après le "marché de la misère"

    Autres sujet d'importance sur la Promenade urbaine : la présence des "toilettes en bois" dont l'expérimentation ici est un échec patent. Léa Vasa et Fred Badina-Serpette nous ont annoncé que ces édicules de bois allaient bientôt être retirés du boulevard.
    promenade-urbaine,boulevard-de-la-chapelle,10e,18e
    En attendant de trouver des solutions pérennes, des urinoirs de type "goutte" (ces urinoirs gris qu'on trouve le long du canal Saint-Martin) vont être déployés tout au long de la promenade urbaine. Avec d'autres habitants nous avons insisté pour que ces urinoirs soient nettoyés quotidiennement, sept jours sur sept. Nous avons demandé également qu'une signalétique adaptée puisse indiquer les emplacements des toilettes le long du boulevard, cela ne règlera pas tout, mais en matière de propreté, nous savons que les réponses sont toujours multiples et qu'il faut agir de concert sur plusieurs fronts : prévention et nettoiement.

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    Autre lieu et autre dispositif qu'on aimerait voir partir et remplacé par une solution plus acceptable : "l'uritrottoir" au pied de l'église Saint-Vincent de Paul dans le 10e

     

     

  • Devinette confinée : la concierge fait des impairs

    Saurez-vous localiser cette singularité ? C’est une mutualisation de la fonction de conciergerie. Et pourquoi pas ? 

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    Certes, la rue n’est pas très longue, mais malgré tout elle compte une dizaine d’immeubles de cinq étages. Si une même personne doit cumuler le nettoyage de plusieurs cages d’escalier, la tâche de ce gardien-là est bien lourde. Cependant il existe maintenant une partition de l’activité des gardiens, et la partie nettoyage peut être confiée (doit-on dire externalisée ici ?) à une entreprise extérieure, tout comme la sortie des ordures ménagères.  Par exemple Commeneuf-Nettoyage, ou Ara-Nettoyage, et bien d’autres, le nombre de ces entreprises a explosé proportionnellement à la diminution de celui des concierges. Changement d’époque. Une économie pour les copropriétés ? Peut-être. Mais qui réceptionne les nombreux paquets d’Amazon, de Cdiscount, etc. ? Cette tendance explique aussi, parallèlement, la présence des conteneurs verts sur les trottoirs plus longue que de raison, quand la collecte a du retard. Une incitation à une fouille désordonnée de certains biffins. Conclusion, la suppression du gardien ou de la gardienne n’a pas que des aspects positifs. 

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    Bon, un indice ? La rue porte le nom d’un peintre belge du 19e s. qui était propriétaire du terrain sur lequel elle a été tracée et construite. Cela vous aide ? 

  • Devinette confinée : le rideau des clowns

    Deuxième épisode de notre petit jeu de "devinettes confinées" sur le passé récent de nos quartiers.

    Qui se souvient de ce rideau de fer si joliment illustré ?rideau jonglerie 1.JPG

    C’était une grande boutique de matériel de cirque, de jonglerie, de loisirs et de jeux pour les enfants, avec une vitrine d’une bonne vingtaine de mètres. On y trouvait des diabolos, des balles, des massues, des ballons, des échasses, du maquillages, des yoyos, des bilboquets et des kendamas, des trottinettes, des équipements de magiciens, etc, etc… une grotte d’Alibaba.

    Où était-ce donc ?

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  • Jeu : devinette confinée

    Privés de sorties, privés de terrasses et d’apéro entre amis, nous sommes un peu sombres. Peu à peu, une lassitude nous gagne. Pour notre blog aussi, c’est la disette. Pas de réunions où se retrouver entre adhérents, ou entre citoyens autour d’un thème qui nous anime, qui nous fait débattre…et nous chamailler. Seules quelques consultations en ligne viennent réveiller notre conscience citoyenne, et nous ne manquons pas de vous en avertir quand votre participation est possible, et parfois même attendue. Telle cette sollicitation de la mairie du 18e sur le thème de la restauration scolaire du jeudi 4 février. 

    Et entre temps… ? Pour ne pas perdre le contact avec vous, nous avons créé la rubrique de la "culture confinée" : présentations en ligne d’expositions de peinture, captures de pièces de théâtre, concerts enregistrés en vidéo, etc…. Inspirés par un ami blogueur du 12e arrondissement, nous essayons maintenant une série de devinette : retrouver l’adresse d'une boutique disparue, comme aujourd’hui, ou localiser une curiosité architecturale. Nos archives photographiques sont très riches et y plonger fait ressortir des souvenirs associatifs, que les plus anciens de l’asso sauront peut-être apprécier. 

    Bien sûr, nous sommes toujours à l’écoute des remarques que vous pourrez faire, vos observations sont les bienvenues. Et dans la mesure de notre savoir et de nos connaissances, nous nous engageons à répondre à vos sollicitations. 

    Devinette n° 1 : Le monde des reptiles 

    Nous avons beaucoup d’archives dans l’association, et notamment de nombreuses vues du quartier, des quartiers quand on considère les trois arrondissements autour du carrefour Barbès.

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    Celle-ci date de 2004, et présente un singulier commerce…. la vente de serpents, de toutes sortes. C’était un grand magasin, assez profond pour comporter de grandes boites vitrées, chauffées pour certaines, avec des reptiles plus ou moins impressionnants, à l’allure endormie, souvent.

    Le magasin en question était installé dans notre quartier au 43... Mais de quelle rue ? Vous souvenez-vous ?

     

  • Recyclons nos sapins de Noël

    Comme chaque année après les fêtes de fin d'année revient l'épineuse question de se débarrasser du désormais encombrant sapin de Noël. Il n'est évidemment pas question d'abandonner son résineux sur le trottoir, pour cela il existe une multitude de points de collectes dans les squares et jardins mis en place par la ville de Paris. Cette collecte initiée en 2007 est à présent bien rodée et les sapins abandonnés sur les trottoirs sont devenus rares, poursuivons dans ce sens.

    Les sapins ainsi récoltés par la Ville vont être broyés pour servir de paillis végétal. Les arbres de Noël doivent être déposés débarrassés de leurs décorations et sans sac (même compostable), les sapins floqués ne sont pas acceptés. Les points de collecte sont en place jusqu'au 20 janvier 2021.

    Quelques points de collecte dans nos quartiers : 

    Dans le 9e

    • Square d'Anvers, 3 place d'Anvers
    • Square Montholon, 79 bis rue Lafayette

     

    Dans le 10e

    • Square Aristide Cavaillé-Coll, place Franz Liszt
    • Jardin Villemin, 14 rue des Recollets 

     

    Dans le 18e

    • Square Alain Bashung, 16 rue de Jessaint
    • Jardin Rosa Luxemburg, 63 quater rue Riquet
    • Square Saint-Bernard-Saïd Bouziri, 16 rue Affre

     

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