Avec une pensée pour les enfants qui ne partent pas...
(Et merci au Secours Populaire à qui nous empruntons cette image)
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Avec une pensée pour les enfants qui ne partent pas...
(Et merci au Secours Populaire à qui nous empruntons cette image)
Saemes vous propose des places vélos dans 25 de ses parkings, soit plus de 300 places disponibles à l’abri des intempéries et surveillées ! Pour un abonnement, selon les parkings, comptez entre 6,40€ et 18,30€ /mois. Une très bonne solution si vous avez besoin de vous garer fréquemment au même endroit. Pour entrer et sortir votre vélo du parking, vous utiliserez les ascenseurs. Aucun risque de croiser une voiture ou de s'épuiser en remontant la rampe !
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Ce message engageant, c'est la communication de SAEMES sur son site. Et....
Entre forte chaleur et dernier orage, un arc en ciel sur Saint-Vincent de Paul, envoyé par une de nos lectrices assidues :
La mairie de Paris a organisé, le mercredi 29 juin 2016, la 3e assemblée plénière du Conseil de la Nuit à l'Hôtel de Ville, en présence des nombreux acteurs participant aux ateliers organisés dans ce cadre. Pour en savoir davantage voir nos articles du 21 janvier 2015 et du 28 octobre 2015.
Cette assemblée, présidée par Frédéric Hocquard, conseiller de paris délégué de la Nuit, a tout d'abord été l'objet d'une table ronde réunissant des représentants de la Préfecture de Police, de la Préfecture de la Région Ile-de-France et de la Direction de la Prévention et de la Protection (DPP) de la Ville de Paris afin d'échanger plus particulièrement sur l'axe PRÉVENTION, MÉDIATION, RÉGULATION. En introduction de cet échange, Matthieu Clouzeau, directeur de la DPP, a présenté la brigade de lutte contre les incivilités qui sera mise en place progressivement de septembre à décembre 2016. Brigade qui aura vocation à mieux assurer la tranquillité dans l'espace public et à lutter contre les incivilités, et qui regroupera au sein de la DPP — qui, à cette occasion, sera renommée Direction de la Prévention, de la Sécurité et de la Protection (DPSP) — l'ensemble des agents agissant dans la lutte contre les incivilités (aujourd’hui répartis dans plusieurs services de la Ville : DPP, DEVE, DPE, etc..) ainsi que des effectifs complémentaires. Le service dédié de la DPP disposera ainsi de 1900 agents, contre 1000 aujourd’hui. Ce regroupement s'accompagne d'un maillage territorial plus fin (10 "entités territoriales" contre 6 actuellement) et d'un renforcement des moyens aux jours et horaires où la DPP n'est actuellement pas assez présente (nuit, soir, week-end). Les effectifs seront notamment doublés pour la brigade d'intervention de Paris (BIP) qui a vocation à intervenir la nuit, en particulier pour les éventuelles nuisances liées à des activités nocturnes. Le sujet étant sensible, F. Hocquard a rappelé que cette brigade est distincte d'une police municipale. Pour plus d'informations, voir sur le site de la ville ici.
On ne va pas vous annoncer cette bonne nouvelle par un " La forêt avance ! " Ce serait excessif. Toutefois quelques arbres de plus dans ce quartier très fréquenté, très dense, c'est franchement une bonne nouvelle.
Situons le tronçon touché par cette "végétalisation" de l'espace public : celui limité par le boulevard Barbès et la rue des Poissonniers.
La rue Marcadet vue ici depuis le boulevard Barbès.
Une réunion s'est tenue récemment pour présenter le projet envisagé et mis sur plan par la section territoriale de voirie du 18e. La rue Marcadet est limitée a une seule voie de circulation mais les trottoirs ne sont pas très larges. On y a maintenu du stationnement de chaque côté. L'idée est de redonner un peu d'espace aux piétons en réduisant celui occupé par les voitures tout en conservant des stationnements, notamment sur le côté impair de la voie. De l'autre côté apparaitront des lincoln (des aires de stationnement inclus dans les trottoirs). On passe aussi à l'étape suivante en introduisant des plantations d'arbres. Une façon d'agrémenter le passage des cyclistes qui sont autorisés à prendre cette voie en contresens — comme dans toutes les voies où la vitesse est limitée à 30.
La proposition consiste à planter 6 arbres, sur le trottoir des numéros pairs, à savoir devant les immeubles des n° 40, 46, 48, 50bis 54 et 56. Le choix des emplacements n'est pas anodin puisqu'il doit impérativement tenir compte de la présence en sous-sol des concessions de la Ville, conduites d'eau, de gaz, des fournisseurs d'énergie, de téléphonie, etc... le gruyère habituel parisien ! Sans oublier le tout-à-l'égout...
Nous avons pu obtenir les plans que voici :
La mairie du 18e a réuni mardi 5 juillet le comité vélo de l'arrondissement afin d'échanger sur l'organisation prochaine de la 2e édition de l'opération "Paris sans voiture" qui se tiendra le dimanche 25 septembre 2016 de 11h à 18h.
Tout d'abord, Félix Beppo, adjoint au maire du 18e chargé de la voirie et des déplacements, a précisé que pour cette 2e édition la ville avait prévu d'intégrer chaque arrondissement au dispositif et de ne pas uniquement se limiter au centre de Paris (lire notre article sur la 1e édition).
Dans le 18e arrondissement, l'opération prévoit ainsi :
- un élargissement du dispositif Paris Respire de la Butte Montmartre, en intégrant le quartier situé entre la rue Ordener et les rues Caulaincourt/Custine ainsi que le secteur compris entre la rue de Clignancourt et le boulevard Barbès.
- un élargissement du dispositif Paris Respire de la rue du Poteau, en y associant des rues adjacentes.
La mairie du 18e envisage de solliciter l'intégration d'une partie du quartier du marché de l'Olive et de la rue Pajol. Toutefois, il n'est pas certain que ces propositions soient retenues par les services centraux de l'Hôtel de Ville.
La Mairie de Paris est ouverte à l'organisation de multiples activités et événements liés à la promotion du vélo (rallyes vélos, actions d'initiation au vélo, etc..). Le cas échéant, la mairie du 18e pourrait être favorable à ce que certaines actions soient pérennisées, par exemple des actions régulières d'initiation aux vélos à destination des scolaires.
Un prochain comité vélo devrait être organisé en septembre ou octobre 2016 afin de présenter la mise en œuvre du plan vélo telle que prévue dans le 18e ainsi que les extensions de zones 30 dans l'arrondissement.
Les associations présentes au comité vélo — Paris en selle et Mieux se déplacer en bicyclette (MDB) — ont identifié certaines actions envisageables. De nombreux acteurs doivent encore être sollicités (l’Interloque, l'Espace mobilité électrique, et autres associations agissant en faveur du vélo).
F. Beppo a bien précisé que toute personne intéressée pour réaliser une animation en faveur du vélo était la bienvenue. Si vous avez des idées, n'hésitez pas à nous l'indiquer pour vous orienter vers les correspon-dants concernés de la mairie du 18e !
Nous avons participé au printemps à un conseil de quartier Goutte d'or Château rouge (30 mars 2016) qui en fin de séance avait débattu sur la présence d'espaces qui semblaient inconfortables aux femmes du quartier. Une lauréate d'un projet retenu par la Ville, expliquait qu'un réaménagement simple et peu coûteux de la placette située au début de la rue de la Goutte d'or (voir ci-dessous le plan), avec implantation de bacs à plantes, disposées de façon intelligente, permettrait de la rendre plus accueillante aux femmes. En effet, celles-ci rechignent à la fréquenter, voire à la traverser, car ce lieu est souvent occupé exclusivement par des hommes. D'autres participants se sont alors élevés contre cette description, démontrant qu'il s'agit d'une place à palabres... Peut-être, mais la "palabre" doit-elle être l'apanage des seuls hommes?. Les femmes ayant les cuisines peut-être pour bavarder ? La salle fut un peu houleuse à ce moment-là. On comprend bien pourquoi. On touche là à des traditions, des habitudes méditerranéennes qui tiennent malgré l'éloignement. Néanmoins, il faut évoluer et donner aux femmes, d'où qu'elles viennent, leur place, toute leur place, y compris dans l'espace public. Ce n'est pas gagné... mais ne lâchons pas le morceau !
Plus récemment, nous avons été informés d'une opération de marches exploratoires organisées par la Politique de la Ville avec l'aide de l'équipe de Développement local Goutte d'Or.
Nous ne ferons pas de harcèlement sur les pieds d'arbres, mais laissez-nous vous dire que notre article récent sur le sujet a su rencontrer son public.... Gros succès chez nos lecteurs du blog et de notre page Facebook.
Aujourd'hui nous ne partagerons avec vous qu'une photo que nous adresse notre adhérent vigilant de la rue de Clignancourt.
Ne trouvez-vous pas que certaines affichettes auraient intérêt à se faire oublier dans certaines circonstances ?
Dans notre quartier de gares, un train ne peut pas en cacher un autre ! Ils s'arrêtent tous en bout de quai. En revanche, une voiture peut en cacher une autre, et cela même sur les passages pour piétons ! On vous explique.
Nous nous sommes battus pendant des années pour que le passage Paré-Patin soit mieux sécurisé : pour les lecteurs qui ne fréquentent pas le boulevard Magenta vers le 150, disons qu'il s'agit du passage qui fait la jonction entre les rues Ambroise-Paré, Guy-Patin et le boulevard de Magenta, il est légalement réservé aux véhicules d'urgence et, désormais aussi, aux taxis qui sortent vers Magenta. C'est une bataille perdue, avouons-le. Les automobilistes ont continué à emprunter ce passage pour gagner le Magenta vers le carrefour Barbès et s'épargner le tour du terre-plein central sous le métro aérien. D'autres poussent même l'infraction jusqu'à tourner à gauche vers la place de la République. Aux heures d'affluence, certains restent coincés au milieu de la chaussée... dans la voie de bus, ou au beau milieu du trottoir.
Depuis peu, et c'est une de nos lectrices qui nous en a informés, la Voirie a fait poser des plots en plastique blanc au milieu du boulevard de Magenta pour empêcher les voitures de tourner à gauche.
Cette fois, c'est parti pour le Balcon Vert de la rue d'Alsace. Les partenaires du projet avaient donné rendez-vous sur le quai 1 de la gare de l'Est pour le lancer officiellement le 29 juin dernier.
A la tribune, le maire du 10e Rémi Féraud, l'adjointe à la maire de Paris chargée des espaces verts Pénélope Komitès, Patrick Ropert directeur de Gares et Connexions, Frank Hilloud PDG de Spie Batignolles et le responsable du projet pour Akko Hotels, Olivier Devys.