Avant le vote de septembre, revenons sur les deux projets portés par notre association dans le cadre des budgets participatifs
le projet 10 dans le registre CADRE DE VIE
Le projet 16 dans le registre CULTURE et PATRIMOINE
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Avant le vote de septembre, revenons sur les deux projets portés par notre association dans le cadre des budgets participatifs
le projet 10 dans le registre CADRE DE VIE
Le projet 16 dans le registre CULTURE et PATRIMOINE
Traditionnellement, le blog d’Action Barbès fait relâche pour l’été et quitte l’actualité de nos quartiers. Mais cette année durant la pause estivale, nous vous invitons à une promenade dans le temps à travers une série d’articles sur l’histoire des rues de la Goutte d’Or, ce quartier des faubourgs de Paris né dans la commune de La Chapelle.
Traditionnellement, le blog d’Action Barbès fait relâche pour l’été et quitte l’actualité de nos quartiers. Mais cette année durant la pause estivale, nous vous invitons à une promenade dans le temps à travers une série d’articles sur l’histoire des rues de la Goutte d’Or, ce quartier des faubourgs de Paris né dans la commune de La Chapelle.
" Plan vélo, piétonisation, restrictions des voies… les travaux entamés pour chasser les automobilistes rendent la ville impraticable." C'était le gros titre d'un article du Figaro le week end dernier. De la part du Figaro, on ne peut s'étonner que le parti des automobilistes soit bien défendu, et que les décisions de la Maire de Paris soient, disons... pourfendues.
Le Figaro, ce jour-là, entérinait avec amertume la décision du préfet de police de Paris, Michel Delpuech, de valider la fermeture définitive des voies sur berge, une décision de la maire de Paris pour promouvoir les circulations douces, d'une part, et lutter contre la pollution, de l'autre, dans la continuité du Plan Climat de Paris.
Traditionnellement, le blog d’Action Barbès fait relâche pour l’été et quitte l’actualité de nos quartiers. Mais cette année durant la pause estivale, nous vous invitons à une promenade dans le temps à travers une série d’articles sur l’histoire des rues de la Goutte d’Or, ce quartier des faubourgs de Paris né dans la commune de La Chapelle.
Vous êtes nombreux à avoir vu des jeunes garçons marocains depuis le début de l’année dans notre quartier, sans attache, dormant dans les autolib’ ou dans les laveries, vivant de rapines ça et là. Partis un temps, puis revenus récemment, certains semblent très agités, voire dangereux comme en témoignent certains signalements. La situation est préoccupante, et le maire du 18e a jugé nécessaire de faire publier cette communication sur le site de la mairie. Nous ne faisons que le reprendre ici pour votre information. Pour être tout à fait complet, il faut ajouter que le conseil des ministres du 12 juillet s'était déjà saisi du sujet, et s'inquiétait du nombre croissant des mineurs isolés, ou non-accompagnés, selon le terme officiel, comme du fonctionnement peu satisfaisant des dispositifs déjà existants pour en assurer la répartition sur l'ensemble du territoire. Voir plus bas, dans la suite de l'article.
Voici le flash d'information de la mairie du 18e :
SITUATION DES MINEURS MAROCAINS
Début 2017, des mineurs marocains, passés par l’Espagne sont arrivés à Paris, notamment dans les quartiers de la Goutte d’Or et de La Chapelle dans le 18e arrondissement, mais également dans les 10e et 19e. Ce phénomène qui se retrouve dans d’autres grandes villes d’Europe ne serait pas lié à des réseaux mais à des départs volontaires d’enfants des rues.
Eric LEJOINDRE, Maire du 18e, a immédiatement saisi toutes les autorités nécessaires à la compréhension de cette situation inédite. La Ville de Paris a coordonné le travail de l’ensemble des acteurs : services sociaux et sanitaires, Justice, Police mais aussi autorités consulaires du Maroc. Cette situation inédite a demandé à chacun un travail considérable. Quelques semaines plus tard, après des prises en charge de la plupart de ces mineurs dans des lieux dédiés, les enfants ne se trouvaient plus ni dans l’espace public, ni ne cherchaient plus à être accueillis dans les structures ad hoc. Les réponses que nous avions apportées ont donc porté leur fruit.
Pourtant, depuis quelques semaines, nous faisons face à une nouvelle arrivée de mineurs dans la rue, pour beaucoup dans le square Alain Bashung. Tous les acteurs, extrêmement vigilants depuis l’hiver dernier, ont pu immédiatement se remettre au travail avec les jeunes.
Leur situation a évolué depuis mars : leur état de santé est inquiétant, leurs actes de violences sont plus nombreux et des jeunes filles sont désormais présentes.
Nous avons donc immédiatement engagé de nombreuses actions pour faire face à cette situation nouvelle :
• Maraudes quotidiennes des associations
• Ouverture dans les tous prochains jours d’un lieu d’accueil de jour
• Recherche d’un lieu d’accueil de nuit
• Lien avec le 119 pour information et rapidité des signalements
• Dispositifs d’urgence en lien avec le Parquet pour éloigner les jeunes filles
En outre, la question a été posée de faire fermer temporairement le square Bashung. Après réflexion et consultation, nous avons décidé de le maintenir ouvert. En effet, une fermeture du square risquait d’avoir pour seule conséquence un report et une dispersion de ces enfants, rendant leur suivi et le travail social engagé plus difficile encore.
Ainsi, l’engagement de la Ville de Paris comme de la Mairie du 18e, avec l’ensemble des acteurs concernés est totale pour gérer cette situation inédite et d’une exceptionnelle gravité. Comme en début d’année, ce travail partenarial a été engagé au plus vite et au mieux dans l’intérêt tant des enfants que des riverains.
Les projets du Budget participatif 2017 sont en ligne, consultez-les !
Nous allons y regarder de près et notamment, dans quelques jours, vous présenter ceux du 18e où deux projets, soutenus par notre association, ont retenu l'attention de la commission de l'arrondissement.
Aujourd'hui un regard sur les propositions faites dans le 10e...
Il parait que c'est le gros départ ce week end... alors, en attendant la mer, on s'amuse un peu.
Trop mignons....
Les premiers maillots de bain apparaissent vers 1850, en même temps qu’un intérêt croissant de l’aristocratie pour les bains de mer. D’abord très couvrants et peu adaptés à la nage à cause de leur encombrement et de leur poids une fois imbibés, les costumes de bain se transforment progressivement.
Au début du 20e siècle, le maillot de bain une pièce fait son apparition. Les progrès de l’industrie textile permettent de recourir aux matières élastiques qui adhèrent mieux au corps et facilitent les mouvements dans l’eau. C'est l'apparition des "3L" (Lycra ou élasthanne, Lurex et Latex). L’instauration des congés payés en 1936 démocratise l’accès à la plage et favorise la multiplication des maillots de bain, qui se raccourcissent et changent de forme.
Le bikini, lui, fait son apparition en 1946 et doit son nom à un atoll du Pacifique, où avaient lieu des essais nucléaires. L’un de ses slogans était « première bombe an-atomique ». Puis....
... en 1962, James Bond rencontra Ursula Andress.... un sacré coup de pouce pour les ventes de bikini.
{L'idée de ce court historique du maillot de bain est venue de la saison, bien sûr, mais les compléments sont à rechercher sur le site d'un "certain regard". Allez-y, surfez en 1-pièce, 2-pièces ou moins...}
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Bonnes vacances à tous !
L'aventure de la Promenade Urbaine continue, qu'elle soit une line, civic ou pas, une ligne, de métro c'est sûr, c'est même sa caractéristique la plus évidente, ou une promenade bien française, il va falloir retrousser les manches pour en faire quelque chose de beau, festif, vivant, attractif pour tous, pas seulement pour les habitants de la Place, surtout si l'on veut que l'endroit retrouve le charme qu'il a perdu au cours des dernières années.
L'équipe des co-constructeurs, co-concepteurs, regroupés dans le collectif de l'Atelier d'architecture autogérée et chargée par la Mairie de Paris de mettre en marche le projet, a organisé une fête le samedi 8 juillet et depuis le week end dernier des photos de l'événement sont en ligne sur la page FaceBook du Civic Line.
Avant de partir, nous ne pouvons nous empêcher d'avoir une petite pensée pour notre promenade urbaine (pour les tweetos regardez à #PromenadeUrbaine) de Barbès à Stalingrad, et aussi à notre marché sous le viaduc... Ne pourrait-il pas inclure une fontaine du genre de celle qui se trouve boulevard Richard Lenoir ? Elle s'inclut parfaitement dans le marché, dont on voit les structures sur la photo ci-dessus. Un peu d'autorité de la part de la Direction de l'Attractivité et de l'Emploi (DAE) et du gestionnaire du marché pour que les abonnés dudit marché respectent la longueur des stands qui leur sont concédés, et pas plus.... Ainsi nous trouverons la place et l'espace de faire une fontaine et un lieu sympathique où prendre un café, tout en faisant nos courses.
On en reparle à la rentrée ?
Un des membres de notre Conseil d'administration participe très régulièrement au Conseil de la nuit, et grâce à lui et aux comptes rendus qu'il en fait ici même, nous vous tenons informés des débats, des décisions, puis plus localement de la situation au carrefour des rues Clignancourt, Ramey et Muller, dans le 18e arrondissement.
Pour ceux qui s'intéressent à ce sujet, nous souhaitons transmettre la dernière newsletter reçue du Conseil de la Nuit parisien, avec l'édito de l'animateur en chef à la Mairie de Paris, Frédéric Hocquard.
En cliquant sur l'image ci-dessus vous pourrez lire l'intégralité de la Newsletter N°4
Nous nous réjouissons que l'édition 2017 prenne en compte les débordements liés à l'ivresse excessive, les nuisances aussi bien sonores qu'environnementales, auxquelles les riverains sont soumis quand ils demeurent près d'un lieu apprécié par les noctambules. Certes, nous habitons tous en ville et cela suppose quelque tolérance vis-à-vis des aléas de la vie nocturne, mais un compromis de respect réciproque serait le bienvenu.