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paris - Page 54

  • Musée du son enregistré : chronique d'une mort annoncée ou phénix ressuscité ?

     

    En janvier 2015, nous vous avons annoncé l'ouverture du musée du son enregist au 53 boulevard de Rochechouart, Paris 9e. Confiante dans la qualité de son projet (il n'y a pas de musée de ce type à Paris et un seul en France, seule la Bibliothèque Nationale de France se préoccupe du sujet), confiante dans les encouragements et engagements reçus par de nombreuses institutions dont la mairie de Paris, l'association Phonoplanète qui porte le projet avait donc décidé de se lancer dans l'aventure.

    Un an plus tard, c'est la déconvenue car les aides espérées ne sont pas au rendez-vous. Le musée se verra contraint de fermer ses portes fin février pour des raisons financières. L'article du quotidien 20mn ci-après explique la situation.

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    Cliquez sur la photo pour ouvrir l'article

     

    Comment sauver ce beau projet ?

    D'abord en marquant son soutien à travers les réseaux sociaux. Interpeller par ce biais les responsables à la mairie de Paris et notamment Bruno Julliard, 1er adjoint à la maire de Paris chargé de la Culture et du Patrimoine - @BrunoJulliard - mais aussi Pauline Véron, élue du 9e et adjointe à la maire de Paris chargée entre autres des associations - @PaulineVeron. En un mot faire du buzz, notamment en partageant la page Facebook du musée et son compte Twitter - @Phonomuseum. En partageant aussi cette information avec vos proches et amis Facebook et autres.

    Surtout en aidant financièrement l'association Phonoplanète qui ne baisse pas les bras ! Faire un don via le financement participatif, le tout afin de repartir sur de nouvelles bases assurant la pérennité du projet car celui-ci, en dehors de la charge du loyer, cher dans le quartier, est financièrement viable.

    La presse en parle

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    Le Parisien du 15 février

    Cliquez sur la photo pour l'agrandir

     


    http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1239979

    France Inter - le 7/9 du 18 février

     

  • Concert du choeur Sorbonne Universités à Clignancourt

    Une fois encore, nous n'hésitons pas à relayer l'invitation au concert du Chœur Sorbonne Universités (COSU) à l’auditorium du Centre Clignancourt, des moments musicaux toujours de qualité.

    Ce sera le lundi 22 février à 20h au 2 rue Francis de Croisset métro Porte de Clignancourt. Un florilège de pièces pour chœur a cappella de compositeurs des Pays de l’Est, représentants d’une génération centrée sur l’art choral et qui a excellé dans la production d’œuvres sacrées et profanes d’inspiration folklorique vous sera proposé sous la direction d'Ariel Alonso.

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  • Conseil Local du Handicap du 10e : Assemblée Générale en mairie

    Nous avions évoqué cette nouvelle instance de la démocratie participative locale dans le 10e, composée d'habitants et de représentants associatifs et institutionnels concernés par les problématiques liées au hadicap dans le 10e : le Conseil Local du Handicap (CLH), agissant comme instance consultative extra-municipal et constitué autour de plusieurs commissions dont accessibilité, culture/sports/loisirs, santé mentale etc. Voir nos articles du 12 novembre 2014 et du 9 février 2015.

    Ce CLH tiendra son assemblée générale :

    ce prochain jeudi 18 février à 18h

    en salle des mariages de la mairie du 10e

    Lors de cette prochaine assemblée générale, les thèmes abordés seront notamment le budget participatif, les commissions, la mise en place d'une permanence et la préparation de la 8e édition du "Mois Extra Ordinaire" (M.E.O. : festival de rendez-vous artistiques, sportifs et culturels dédiés au handicap, à la fin du 1er semestre 2016). 

    Vous pouvez vous inscrire à cette assemblée générale auprès de manelli.grisoni@paris.fr, tel : 01 53 72 10 32.

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  • Quand Carrefour Market prend ses aises !

    Nous vous avons parlé des excès d'occupation de l'espace public de Carrefour Market rue de Clignancourt la semaine dernière. Et bien, il semble que cette chaîne de magasins en a fait une spécialité.

    Cette fois-ci c'est le Carrefour Market du boulevard de Rochechouart qui est en cause. Regardez ces belles camionnettes garées en toute impunité sur le trottoir devant le magasin. Elles sont là pour les livraisons à domicile et en attendant, poussettes d'enfants ou fauteuils roulants pour handicapés, passez votre chemin, piétons, utilisez la chaussée !

    Carrefour Market Rochechouart 1.jpg

    Le plus rageant c'est que dans la rue Viollet-le-Duc donne une sortie du même magasin, doublée d'une zone livraison à peu près toujours libre de voitures. On peut même penser en toute honnêteté que les techniciens de la voirie ont créé cette aire de livraison dans cet objectif. Comme souvent, il manque une verbalisation efficace qui rappellerait aux contrevenants que la Ville a pensé à vous, mais qu'ils ne choisissent pas seuls l'emplacement qui leur convient le mieux. 

    Carrefour market Rochcehcouart 2.jpg

    La mairie du 9e est parfaitement au courant du problème puisqu'au cours d'une marche exploratoire faite il y a quelques mois avec le conseil de quartier Anvers-Montholon, l'adjoint au maire Sébastien Dulermo est allé en toucher deux mots au directeur du magasin.

    Mais que fait la police ?

     

  • L'épicerie fine de la rue de Maubeuge : Les Miscellanées de M. Jash

    Séverine et Jimmy ont inauguré leur boutique au 96 rue de Maubeuge le 20 janvier dernier. Peut-être avez-vous croisé cette information dans quelque bulletin municipal ? En effet, là aussi, il s'agit d'une opération pilotée par la Semaest — dont nous parlons régulièrement ici — qui après rachat des locaux, les rénove et une fois fin prêts et aux dernières normes en vigueur, les propose aux candidats commerçants, tout en les accompagnant dans leur projet au besoin.

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    Le nom même de la boutique pique la curiosité : Les Miscellanées de M. Jash. Nous ne dirons pas qui est Mister Jash, allez voir vous-même, demandez éventuellement... Voici une piste seulement, les miscellanées sont un genre littéraire, une technique de fragments, une mosaïque littéraire, perdues de vue par les auteurs depuis la fin du 19e s. puis remises au goût du jour par Ben Schott, un écrivain britannique, en 2006. De là à l'épicerie fine, il n'y a qu'un pas. Sautons-le.

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    Le concept que veut développer ce jeune couple d'habitants du quartier est à la fois novateur et sympathique : vendre des produits de qualité, originaux, recherchés, à leur juste prix, en entretenant des rapports de partenariat sur la durée avec leurs fournisseurs. On n'est pas « bio », mais plutôt dans une agriculture raisonnée, voire de proximité quand on le peut. Qui dit produits de qualité, sélectionnés parmi les meilleurs dit aussi un certain niveau de prix. Pour réduire le risque de l'addition rébarbative un peu lourde, les patrons s'attachent à proposer de petites portions : on goûte et si on aime, on revient.

    Sachez que cette philosophie les conduit à organiser tous les jeudis de 18h à 20h une dégustation de produits fermiers. C'est une formule qui a commencé doucement mais, le bouche-à-oreille aidant, les jeudis des Miscellanées prennent de l'ampleur, à la grande satisfaction de Séverine et Jimmy.

    Séverine ne nie pas que la localisation de son commerce, sur une rue très passante, une voie qui conduit directement à la Gare du Nord, apporte une bonne visibilité. Encore faut-il que les curieux qui s'attardent pour admirer les produits en vitrine poussent la porte... D'où la nécessité et l'envie d'accompagner la vente d'une ambiance conviviale.

    On touche là peut-être aux qualités du premier métier de Séverine. Elle a été précédemment une organisatrice d'événements dans l'hôtellerie. La convivialité  et l'encadrement des loisirs et des séminaires professionnels, elle connaît. Dans cet esprit, elle a aménagé la boutique de telle façon que des alcôves puissent accueillir des accrochages ou permettent d'écouter des lectures. Ce n'est pas vaste, mais c'est une intimité cosy. Ainsi le jeune couple permet à de jeunes photographes de voir exposer leurs œuvres, et même prend en charge au niveau financier le tirage des photos dans un format digne des meilleures expositions. Les vernissages sont l'occasion de soirée entre amis, à discuter sur les banquettes autour d'un verre et d'un morceau de fromage.... fermier, comme il se doit !

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    La cerise sur le gâteau ? Un coin jeu ou même changement de couches pour les jeunes enfants et les très jeunes.

    Leur site et la page FaceBook vous tiendront informer des dates des prochains rendez-vous : https://www.facebook.com/monsieurjash/

    N'hésitez pas à pousser la porte, même si pour la première fois c'est juste pour boire un café. L'accueil est chaleureux, vous ne serez pas déçu. Et vous reviendrez.

    Les Miscellanées de M. Jash
    96 rue de Maubeuge
    Paris 10e
    06 99 88 34 03

    Ouvert tous les jours :

    . du lundi au mercredi : de 9h à 21h

    . de jeudi au samedi : de 9h à 22h

    . le dimanche : de 10h à 18h

    Attention : ce sont les nouveaux horaires selon cette information sur leur page Facebook

     

  • Salle de conso : le débat est-il encore possible ?

    Mardi 9 février en fin d'après midi s'est tenue la première réunion que notre association a organisée avec GAIA, opérateur de la salle d'injection supervisée qui sera installée rue Ambroise Paré.

    L'idée était d'inviter par petits groupes d'immeubles les riverains pour un échange simple et pour cette première réunion, seuls les immeubles de la rue Ambroise Paré avaient été conviés. C'était sans compter sur le rapport de force que veulent absolument établir les opposants au projet qui se sont donc invités en nombre à cette réunion. Autant dire que la très grande majorité d'entre eux n'habitaient probablement pas la rue concernée même si des habitants des rues voisines étaient là.

    Un semblant de débat a néanmoins eu lieu, même si les échanges ont été plutôt tendus. Que faut-il en retenir ? On peut répertorier les demandes des opposants au projet en deux catégories : les questions qui n'auront jamais de réponse et celles qui demandent une réelle attention des pouvoirs publics.

    Les questions qui n'auront jamais de réponse

    Le choix de l'implantation de la salle de consommation à moindre risque (SCMR) aurait du faire l'objet d'une concertation préalable disent les opposants. Mais quel genre de concertation au juste ? Ce type d'équipement, tout comme, pour prendre un exemple qui n'a rien à voir avec notre sujet, les éoliennes, fait partie de ceux qui font l'objet du classique syndrome NIMBY. Que ce soit ici ou là, le rejet des riverains est systématique. Par ailleurs, s'agissant d'un équipement d'intérêt général, la prépondérance des habitants dans le choix du site n'a rien d'évident.

    L'autre question qui n'aura jamais de réponse, c'est le refus entêté de la plupart des riverains de considérer les études scientifiques menées sur le sujet par les meilleurs organismes internationaux dont en France l'INSERM comme fiables et d'y préférer leurs propres affirmations qui en général ne reposent sur rien ou alors sur une expérience toute personnelle que l'on généralise sans vergogne.

    Enfin, et c'est là sans doute le plus ennuyeux, avant même d'avoir ouvert ses portes, la SCMR est vue comme un facteur supplémentaire de la dégradation des conditions de vie du quartier. Il est indéniable que sur certains points à commencer par la présence d’usagers de drogues, la situation ne s’est pas améliorée ces dernières années mais voir a priori dans l'installation de la salle d'injection supervisée un élément forcément négatif pour le quartier, c'est faire preuve d'une certaine malhonnêteté.

    Les questions qui méritent une réelle attention

    Les conditions dans lesquelles la SCMR va être implantée rue Ambroise Paré doivent faire l'objet d'une attention spéciale.

    D'abord en ce qui concerne la sécurité des riverains. Les craintes de ceux-ci à ce sujet sont tout ce qu'il y a de plus légitimes même si par les temps que nous vivons le syndrome sécuritaire est parfois un peu exagéré. La réponse est dans les mains du commissaire du 10e mais aussi et surtout dans celles de la Préfecture de police de Paris. Cette réponse devra être claire et précise, notamment, mais pas seulement, pour ce qui concerne les effectifs alloués, les horaires de surveillance du périmètre "spécial" créé autour de la salle. Des réunions de travail préalables à l'ouverture de la salle entre la Préfecture de police et les représentants des riverains sont sûrement nécessaires, en présence bien sûr d'élus.

    Ensuite, il faudra être vigilant sur le déroulement de cette expérimentation. Il a été dit à juste titre au cours de la réunion que les riverains n'ont rien demandé et surtout pas à participer à ce genre d'expérience qui, de fait, leur est imposée. C'est une manière de voir les choses particulière mais qui ne doit pas être négligée. Au-delà de l'enquête commandée à l'INSERM - organisme d'ailleurs présent dans la salle - sur l'acceptabilité de la SCMR par les riverains mais dont les rapports ne seront publiés qu'assez tard après l'ouverture de la salle - on nous parle de 18 mois - il parait indispensable que les méthodes d'évaluation de l'efficacité à court terme de l'équipement d'une part, que les critères qui permettront de piloter le projet et de prendre les mesures correctives nécessaires en cours d'avancement du projet d'autre part, le soient dans la plus grande clarté possible et évidemment préalablement à l'ouverture de la salle. Il est à cet égard assez étonnant que bon nombre d'opposants au projet ignorent la mise en place du comité de pilotage.

    Même si légèrement houleuse, la réunion a quand même permis des échanges entre les participants. La prochaine réunion organisée pour une partie des habitants de la rue Guy Patin se tiendra mardi.

     

  • Rue de Clignancourt : l'impact des photos

    Grâce aux photos très régulièrement envoyées par un de nos adhérents du quartier Clignancourt, nous avons pu monter un dossier illustré, d’une part, sur des occupations envahissantes de l’espace public et de la voirie par les camionnettes de livraison de l’enseigne Carrefour et les camions de ses fournisseurs, et d’autre part, sur un état de malpropreté et de multiplication de dépôts sauvages sur le large trottoir et les recoins devant le même supermarché Carrefour

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    Pour obtenir un meilleur traitement de la voirie, c’est à Gilles Ménède, adjoint au maire du 18e chargé de la propreté, que nous avons adressé un album très parlant de l’état des lieux. Il nous a répondu très rapidement qu’il avertissait la responsable de la section territoriale de la Direction de la propreté et de l’environnement (DPE). Nous avons pu constater de visu le surlendemain qu’un nettoyage complet venait d'être fait. Toutefois, il nous est clairement apparu que la partie du trottoir qui fait face directement à la sortie du magasin restait sale et était jonchée de papiers et canettes vides de soda et de bière. Cela signifie que même nettoyées certaines parties de la voirie sont souillées très rapidement. 
     
    Ne faut-il pas dès lors sensibiliser plus énergiquement les gérants de magasin pour qu’ils veillent à implanter des corbeilles à leurs sorties ? Voire qu’ils mettent la main à la pâte pour conserver des lieux dignes ? On exige bien que les gérants de bars s’engagent à limiter les nuisances sonores de leur clientèle, pourquoi ne pas décliner les mêmes principes pour les magasins d’alimentation ? Et notamment les grandes surfaces, qui se distancient très largement de l'espace public situé devant leurs locaux. Le coup de balai ou le saut d'eau jeté sur une salissure par le boulanger ou le boucher traditionnels ne sont pas de mise chez les gérants d'enseigne nationale. Et c'est bien dommage.

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    En ce qui concerne l’occupation de la voirie par les véhicules d’approvisionnement ou de livraison de Carrefour, nous avons adressé un autre album photos à Mme Gabelotaud, adjointe au maire du 18e, chargée du commerce et de l’artisanat, d’une part, et le même, tout aussi éclairant à Madame Goetz, commissaire centrale du 18e arrondissement, d’autre part. L’élue s’est engagée à contacter l’enseigne commerciale qui dispose en sous-sol de sa surface de vente d’un accès aux parkings et même d’un quai de chargement et déchargement.  Ce qui signifie en clair que réaliser la sortie des marchandises dans la rue n’est pas une obligation. Elle le fait par commodité et parce qu’elle se sent autorisée à le faire. Pas de verbalisation, donc occupation de la seule "voie roulante" de la rue Clignancourt avec des risques d’encombrement aux heures de grande circulation et au passage du bus 85 de la ligne RATP.
     
    En matière de circulation, une étude devrait être lancée sur la requalification de la rue de Clignancourt et à notre humble avis, une vraie voie de bus avec site protégé pour la ligne 85 permettrait de limiter les stationnements illicites de toutes sortes qui émaillent toute la longueur de la rue. 
     
    Nous resterons en observation pour voir dans quelle mesure les engagements des acteurs de terrains transforment la situation. 
     
  • Concert de l'OHCF : on prend les mêmes et on recommence... à l'église Saint-Vincent de Paul

    Nous avons annoncé le concert de l'Orchestre d'Harmonie du Chemin de Fer du Nord ("OHCF") dans la salle des fêtes de la Mairie du 10e fin janvier pour l'ouverture de sa saison musicale (voir notre article du 28 janvier).

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    Si vous avez raté ce moment musical, vous pourrez retrouver l'éclectisme de son programme lors du prochain concert :

    dimanche 14 février à 15h

    en l'église Saint-Vincent de Paul (5 rue de Belzunce, Paris 10e)

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    L'occasion de retrouver un répertoire varié, de Vivaldi aux musiques de film, et d'écouter cet orchestre habile et virtuose, trois trompettistes solistes : Pierre Badel, Ignacio Ferrera Mena et Raphaël Horbach (deux élèves de Pierre Badel) et un accordéoniste : Marion Buisset. 

    Retrouvez ce nouveau concert sur sa page évènement Facebook !

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    oOo 

    Le programme de ce prochain concert :

    1. The Great Locomotive Chase - Robert W. Smith

    2. Concerto pour 2 Trompettes - Antonio Vivaldi

    3. Out of Africa - John Barry

    4. Klesmer Classics - Johan de Meij

    5. Contrast - Hans Kolditz

    6. Rushes - James Cower

    7. Rock Encounter - Jay Chattaway

    8. Le retour du grand blond - Vladimir Cosma

    9. Buglers' Holidays - Leroy Anderson

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    Une occasion pour (re-)découvrir l'intérieur basalical et la nef de cette église, construite dans la 1ère moitié du 19e siècle et inscrite Monument Historique. 

     

  • Le point sur la Charte de la Vie Nocturne dans le 18e

    paris,commerces,bars,paris-18e,charte,mairie-du-18e,silence-on-fête,nuisances-sonores,nuisances-nocturnes,conseil-de-la-nuitSouvenez-vous : en raison des difficultés rencontrées au niveau des bars du quartier Ramey-Clignancourt-Muller, la mairie du 18e arrondissement a mené une démarche en 2014, qui a abouti à l'élaboration d'une charte de la vie nocturne, dénommée  "Silence, On Fête", signée le 10 mars 2015 par la Mairie et la majorité des bars du quartier (voir notre article du 21 mars 2015).

    Cette démarche a permis d'améliorer la situation, et ainsi de contribuer à une meilleure cohabitation entre les riverains et les bars. En effet, la charte vise à concilier l'activité des bars avec la tranquillité du voisinage via différents engagements pris par les établissements.

    Toutefois, dès l'été 2015, on constatait que plusieurs engagements importants n'étaient plus respectés,  sans réponse adaptée de la part de la mairie qui organisait en septembre une réunion pour faire le point (voir notre article du 25 août 2015 et la réponse de la mairie du 18e dans notre article du 4 septembre 2015). Force est de constater qu'il n'est pas simple de faire appliquer cette charte.

    Mario Gonzalez, adjoint au maire du 18e chargé de la médiation, a alors mené plusieurs rencontres avec les gérants de bars dans l'intention de "relancer" la charte et son efficacité, notamment via un respect strict des engagements. De ces échanges, il est ressorti que les gérants rencontraient des difficultés à respecter à la lettre les horaires de fermetures des terrasses et des devantures, principalement pour des questions financières. Il faudrait donc les adapter.

    Le 15 janvier dernier, nous participions au comité de suivi de la charte, au cours duquel un compromis a été trouvé, et les horaires de fermeture adaptés :

    - fermeture des devantures tous les jours y compris week-end  à 21h (au lieu de 22h30 initialement prévu dans la charte) ;

    - fermeture des terrasses ouvertes du mardi au samedi à 1h du matin et le dimanche et lundi à minuit (au lieu de fermeture à minuit tous les jours - y compris week-end - prévue dans la charte).

    Une exception est prévue pour le bar Au Clair de Lune qui ne dispose pas de terrasse ouverte (uniquement une terrasse fermée côté rue de Clignancourt) : fermeture des devantures à 23h30 en période estivale (il restera à préciser que signifie exactement période estivale).

    Pour plus de détails, voir ici le compte-rendu du comité de suivi et le projet d'avenant à la Charte.

    Nous notons que la Mairie du 18e a renouvelé les autorisations de terrasse des bars du quartier le 1er janvier 2016 uniquement pour une période de 3 mois. En accord avec Mme Gabelotaud, élue du 18e chargée des commerces, M. Gonzalez a précisé que les demandes de renouvellement de terrasses seront effectives tous les 3 mois pour toute l’année 2016, avec possibilité d’émettre un avis défavorable à tout renouvellement pour non respect avéré de la charte. Devant les difficultés rencontrées, notamment pendant l'été 2015, la mairie du 18e a ainsi choisi de disposer d'un levier pour agir en cas de besoin. Il restera cependant à améliorer les actions de vérification du bon respect de la charte par la mairie,  par la mise en place d'un dispositif plus adapté en moyens humains. La brigade "verte" que prévoit de créer prochainement la mairie pourrait ainsi inclure cette tâche dans son périmètre.

    Quoi qu'il en soit, nous espérons que cette évolution de la charte permettra un respect pérenne des engagements qui y sont inscrits, condition nécessaire pour permettre de concilier l'activité des bars avec la tranquillité des riverains. Cela est d'autant plus vrai que les démarches menées depuis 2014 ont permis d'améliorer la cohabitation dans le quartier.

    Notre association participe actuellement au conseil de la nuit à l'Hôtel de Ville (voir sur ce sujet, notre dernier article du 28 octobre 2015) pour préparer une charte parisienne inspirée de celle du 18e.

     

  • Retour sur le conseil de quartier Montmartre

    Pour un conseil de quartier (CQ) intitulé "Qu'est-ce qui bouge à Montmartre ?", peu de monde, un peu moins de 30 personnes. Rappelons que ce CQ devait initialement se tenir en novembre 2015 et qu'il fut reporté en raison des attentats.

    A l'ordre du jour, une présentation de la zone touristique internationale (ZTI) créée dans le secteur Montmartre, la problématique des autocars de tourisme (un thème qui nous est cher !) et le Budget participatif : bilan 2015, et perspectives.

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  • Devenir de Lariboisière et Widal : où en est-on ?

    C'était la deuxième fois que les conseils de quartier Louis-Blanc Aqueduc et Lariboisière Saint-Vincent de Paul organisaient une plénière dans les locaux de l'auberge de jeunesse le Belushi's, rue de Dunkerque. En novembre 2014, on avait parlé sécurité et prévention avec la présence de nombreux habitants (lire notre article du 18 novembre 2014). Cette fois encore, la salle en sous-sol était bondée, environ 150 personnes.

    Invités pour l'occasion, des élus bien sûr, mais également Eve Parier, directrice du pôle hospitalier Saint-Louis-Lariboisière-Widal, François Nicolas, directeur de Lariboisière et Rémy Nizard, chef du service de Chirurgie orthopédique et représentant des médecins du groupe hospitalier.

    Nous avions déjà expliqué le projet dans notre article du 8 décembre 2014.

     

    Alors quoi de neuf ?

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  • Tous les détails sur les travaux de la rue Saint-Laurent (10e)

    Dans notre article du 26 janvier dernier, nous vous annoncions les travaux d'une portion de la rue Saint-Laurent située aux abords de la Gare de l'Est, et que nous avions découverts fortuitement, sans que les riverains ou le Conseil de Quartier Saint-Denis Paradis concernés n'aient été, semble-t-il, préalablement informés ou consultés.

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    Localisation des travaux (cliquez sur la carte pour l'agrandir)

     

    L'élue adjointe au maire du 10e, chargée de l'espace public, Elise Fajgeles, nous a apporté des informations complémentaires, additionnelles aux éléments contenus dans la notice affichée dans le quartier, sur la nature de ces travaux.

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    "La chaussée actuelle de la rue Saint-Laurent a une largeur de 6,70 m stationnement compris, et 3,10 m hors stationnement, sauf au niveau de la traversée piétonne côté bd de Magenta, où la chaussée a une largeur de 3,50 m. Cette voie connaît des problèmes récurrents de propreté, en dépit des efforts constants de la division de la Propreté. L’aménagement projeté supprime la file de stationnement actuelle côté pair, sur le tronçon de la rue Saint-Laurent compris entre le boulevard de Strasbourg et le boulevard Magenta.
     
    Le trottoir ainsi élargi, qui passe d’une largeur d’1,70 m à 3,50 m, aura un fil d’eau continu. La future bouche de lavage créée au 22 rue Saint-Laurent permettra un nettoyage plus efficace de la rue. Le trottoir côté impair reste inchangé.
     
    Le calibrage actuel de la voie (3,10 m hors stationnement) est incompatible avec un double-sens cyclable. Pour pouvoir autoriser celui-ci, il a été décidé de remplacer le stationnement actuel côté impair (largeur 1,80 m) par du stationnement moto longitudinal, entrecoupé de zones de stationnement vélos, sur une largeur d’1,20 m. La chaussée future aura ainsi une largeur de 3,70 m hors stationnement, ce qui nous permet de matérialiser un double-sens cyclable à l’aide de 5 logos vélos au sol, accompagnés d’autant de flèches, côté impair le long du stationnement 2 roues.
     
    Il existe une place de stationnement GIG-GIC côté impair [NDLR : Grand Invalide de Guerre - Grand Invalide Civil, i.e. réservées aux personnes en situation de handicap]. Celle-ci ne peut être maintenue, elle est donc déplacée au 20 rue Saint-Laurent (en face), sur lincoln [NDLR : stationnement en long utilisant une découpe du trottoir par une série d'encoches], sans incidence sur le fil d’eau, et aura une dimension de 2 m x 7 m. Le trottoir pair aura ponctuellement une largeur d’1,50 m au droit de celle-ci.
     
    Enfin, un long plateau surélevé est créé à l’entrée de la voie, côté boulevard de Strasbourg."

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    Nous pourrons admirer début avril 2016 le résultat de ces travaux de rénovation, et ne manquerons donc pas de vous rendre compte de ces améliorations. Avec des photos, à n'en pas douter !