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Dans le 18ème - Page 89

  • Des nouvelles fraîches de la brasserie de Barbès

    Ce mardi matin, dès l'aube, quand le soleil blanchit la campagne, ou le carrefour..., nous recevions un appel téléphonique de l'entreprise Bati-Coppey, de Deuil la Barre, qui oeuvre sur la chantier de la brasserie : il nous proposait des photos de la verrière de notre future brasserie, celle qui va ensoleiller les sorties des cinéphiles devenus les fidèles clients du Louxor. 

    Il ne se passe pas une journée sans qu'un voisin ne nous pose la question : "Et la brasserie ? Elle ouvre quand ?" Nous faisons en sorte de vous transmettre les informations au fur et à mesure et de continuer à y croire dur comme fer. C'est lent mais elle est sur les rails. On ne peut mieux dire ! Regardez cette vidéo transmise par le constructeur la Sarl Lajouanie à Salon de Provence, montrant la verrière en mouvement sur des rails. Nous ne connaissons pas les détails, mais il semble que ce dispositif permettra d'ouvrir le toit les jours de beau temps. Chic ! (Cliquer sur l'image pour voir la verrière se déplacer latéralement.)



    Le mois de septembre, exceptionnellement beau cette année, permet au chantier de bien avancer et nous permet, à nous, d'espérer une ouverture prochaine. Oui, bien sûr, nous avons écrit ces mêmes mots tellement de fois qu'il vous est légitime de hausser les épaules, mais les façades blanches, les huisseries toutes neuves, ne sont-elles pas autant de démonstrations que la situation avance favorablement ?

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     Cliquer sur les photos pour les agrandir

    Merci aux entreprises Bati-Coppey et Sarl Lajouanie pour la fourniture des photos.

  • Promenade urbaine : on y voit plus clair

    Dans un article "Coup de gueule" du 13 septembre dernier, nous nous inquiétions de l'avenir réservé à l'engagement pris par Anne Hidalgo, Rémi Féraud et Eric Lejoindre devenus respectivement maire de Paris, maires des 10e et 18e arrondissements, à propos du projet de promenade urbaine entre Barbès et Stalingrad. La lecture de cet article vous donne toutes les informations nécessaires et il n'est donc pas utile de recommencer ici.

    Action Barbès, dans la mesure de ses moyens, a mis la pression sur les élus des deux arrondissements pour obtenir des réponses claires à ses craintes, craintes par ailleurs relayées dans un article bien renseigné publié dans Le Parisien du 23 septembre (cf. ci-dessous).

    Après quelques jours de tergiversation, la réponse est venue de façon indirecte de Rémi Féraud, maire du 10e, lors d'une interview donnée à France Bleue 107.1. "Action Barbès ne veut pas que le projet soit oublié, elle a raison, et nous non plus" dit Rémi Féraud. "Dans la mandature, le calendrier n'est pas encore décidé. Moi je souhaite, comme Eric Lejoindre, le maire du 18e, que la concertation puisse commencer dès le début de l'année 2015" ajoute t-il. Voilà des propos qui nous rassurent. Nous attendrons donc patiemment mais avec attention au mois de novembre l'inscription au Plan d'Investissement du projet de promenade urbaine Barbès Stalingrad puis dans la foulée la lettre de mission que la maire de Paris enverra à l'APUR.

    Ecouter l'interview de Rémi Féraud :

    Promenade Urbaine à 12 min 41 s.

     

    Article du Parisien (publié sur ce blog avec son accord) :

    (cliquer sur l'article pour l'agrandir)

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  • Notre bus 85 a enfin un peu d'espace pour s'arrêter à la station Labat

    Un courrier du Préfet de Police informe d'une action plus importante des services de police locaux contre le stationnement illégal rue de Clignancourt et au niveau de l'arrêt de bus Labat. 

    Nous avons évoqué les difficultés de fonctionnement du bus 85 dans le 18e, et plus particulièrement dans la rue de Clignancourt, principalement en raison de stationnement illégal au niveau des couloirs de bus et des arrêts de bus (voir notre article du 23 avril 2014 et celui du 6 janvier 2014). 

    Notamment, ce problème de stationnement illégal était quasiment permanent au niveau de l'arrêt de bus Labat face au commissariat du 18e, situé au 79-81 rue de Clignancourt.

    Saisi à plusieurs reprises, le cabinet du maire de Paris a demandé au Préfet de Police qu'une surveillance toute particulière soit exercée sur ce site. Un de nos adhérents nous a ainsi fait parvenir copie du courrier transmis en juillet 2014 par le cabinet du Préfet de Police à Mme la Maire de Paris l'informant que les services de police locaux avaient reçu comme instruction d'apporter une attention particulière au secteur avec mission de sanctionner les infractions et également d'être exemplaires en ne se garant pas au niveau de l'arrêt de bus Labat (cf courrier: cliquer sur l'image pour l'agrandir).

    paris,préfecture-police

    Ce courrier semble montrer ses effets, car, depuis la rentrée, on peut facilement constaté que l'arrêt Labat du bus 85 est libre de tout stationnement (au moins en journée). Il est à espérer que cette situation perdurera et que la lutte contre le stationnement illégal rue de Clignancourt, notamment dans le couloir de bus et au niveau des arrêts de bus, continuera.

     

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  • Travail du dimanche pour ou contre

    paris,commerce,travail du dimancheZone Haussmann des Grands magasins (9e), les Abbesses (18e), commerces aux alentours de la gare du Nord (10e), voilà au moins trois zones que les tenants du travail du dimanche voudraient voir bénéficier des fameuses dérogations signées par la maire de Paris permettant l'ouverture des commerces ce jour-là. Il n'est donc pas inutile de se pencher sur ce gros dossier car les décisions qui seront prises sous peu auront un réel impact sur nos quartiers autour de Barbès.

    Regardons d'abord la situation actuelle.

    C'est une loi de 1906 qui a instauré le repos dominical. C'est à la fois une décision sociale (repos des travailleurs) et sociétale (vie de famille). Cette disposition est considérée à l'époque comme une avancée sociale, un acquis dirait-on aujourd'hui, tout comme la limitation du temps de travail quotidien par exemple. Bien sûr, tout ne s'arrête pas le dimanche et chacun voit bien que son boulanger est ouvert ce jour-là.

    A Paris, les commerces sont donc fermés le dimanche sauf s'ils se situent dans des zones touristiques ayant une dérogation. Ces zones sont créées par la Ville de Paris et on en compte aujourd'hui sept :  Rivoli, Place des Vosges et rue des Francs-Bourgeois, rue d’Arcole, avenue des Champs-Elysées et Viaduc des Arts, boulevard Saint-Germain, quartier de la Butte Montmartre.

    Les difficultés économiques que nous connaissons ont amené certains économistes et à leur suite certains politiques à penser que l'ouverture des commerces le dimanche pourrait améliorer la situation en engendrant à la fois chiffres d'affaires et emplois.

    La France n'occupe pas une place particulière en ce domaine, et suivant les études, entre 7 et 13% des Français travaillent déjà régulièrement le dimanche, ce qui place notre pays dans la moyenne européenne. Rappelons aussi que la loi autorise les commerces à ouvrir leurs portes cinq dimanches par an (qui n'a pas été faire ses courses de Noël un dimanche à Paris ?).

    Alors quels avantages et inconvénients ?

    Un des arguments forts des tenants du travail dominical est économique. L'ouverture des commerces le dimanche aurait selon eux un impact très significatif sur l'activité économique et donc sur la création d'emplois : entre 34 000 et 102 000 emplois selon une étude publiée par Le Figaro, jusqu'à 300 000 selon le MEDEF qui n'est peut-être pas tout à fait neutre dans cette affaire. Une étude du CREDOC vient tempérer ces ardeurs et pense qu'une telle mesure pourrait créer au mieux 15 000 emplois.

    Ouvrir les magasins le dimanche, c'est aussi considérer qu'il y aurait une "réserve de consommation" comme disent les économistes, autrement dit que les gens auraient un pouvoir d'achat suffisant pour consommer sept jours sur sept, que les achats du dimanche viendraient en supplément de ceux du samedi et non pas en substitution à ceux-ci. On peut en douter vu l'état du pouvoir d'achat aujourd'hui. Quant à ceux comme Nathalie Kosciusko-Morizet qui demandent l'ouverture des Grands magasins le dimanche parce qu'autrement les touristes partent faire du shopping à Londres, il n'est pas sûr qu'ils aient une exacte idée de notre monde actuel.

    Le travail du dimanche apporterait du pouvoir d'achat nous disent ses défenseurs. Certes, mais l'argument n'est valable que pour une partie limitée des salariés.

    Les Français y sont favorables. Sauf à penser qu'une majorité fait une vérité, le fait que les Français y soient favorables ne nous démontre qu'une chose : leur addiction à la consommation et leurs préférences pour déambuler et consommer dans les centres commerciaux plutôt que d'en profiter pour pratiquer des activités culturelles ou sportives en famille. Il convient d'ailleurs de remarquer que les défenseurs du travail dominical sont bien souvent aussi des défenseurs de la famille. Chacun ses contradictions. Cette dépendance à la consommation, bien sûr phénomène inconscient chez la plupart des gens, est en fait une véritable aliénation à laquelle les responsables marketing et autres publicitaires devraient quand même réfléchir, s'ils en sont capables ?

    Ce serait un plus pour les touristes. Mais les touristes le demandent-ils ? Encore cette année, Paris reste la ville la plus visitée au monde et la fermeture des magasins le dimanche ne semble pas avoir handicapé la capitale pour atteindre cette performance.

    Où va t-on ?

    Ces dernières semaines, les choses ont évolué assez rapidement. Dans le cadre légal actuel, le Conseil de Paris a mis en place une Mission d'Information et d'Evaluation (MIE) qui devra rendre le résultat de ses travaux cet automne pour un débat au Conseil. Anne Hidalgo a dit qu'elle prendrait ses décisions sur le travail dominical à Paris suite à ce débat. Mais les choses s'accélèrent puisque le gouvernement a décidé de légiférer très rapidement sur le sujet, ce qui pourrait rebattre les cartes à Paris.

    Pour ce faire une petite idée des fausses informations diffusées sur le sujet, regardez cette courte vidéo préparée conjointement par ARTE et le service Désintox de Libération
     

  • Le budget participatif : kezako ?

    paris,budget-participatif,promenade-urbaineA très grand renfort de communication allant du numérique aux rencontres de quartier à la papa, la mairie de Paris lance le budget participatif. "Je souhaite donner les clés du budget aux citoyens" nous dit Anne Hidalgo dans une déclaration quand même à la limite de la démagogie.

    De quoi s'agit-il ?

    Le budget annuel de la Ville de Paris (environ 9,1 milliards d'€) est en gros constitué de deux parties : les investissements (environ 1,6 milliards d'€ soit 17,5% du total) et le fonctionnement (environ 7,5 milliards d'€ soit 82,5% du total). Source mairie de Paris budget primitif 2014.

    Sur la durée de la mandature (2014-2020), le budget participatif consiste à mettre 5% du budget d'investissement, soit 426 millions d'€ nous dit la publicité, à la disposition des Parisiens pour mettre en place les projets proposés et décidés par eux. A se demander si la mairie sait compter : 1,6 milliard € (budget d'investissement) par an sur 6 ans font 9,6 milliards et 5% de 9,6 milliards font 480 millions ! Mettons la différence sur les arrondis. Il n'empêche que 5% du budget d'investissement ne représentent en fait que 0,9% du budget total, on ne peut pas dire que "les clés du budget" nous sont rendues !

    Le fonctionnement de ce dispositif est assez bien expliqué sur le site de la Ville de Paris. Voir ici. Et en prime une vidéo, la mairie ne recule jamais devant la communication.

     


    Parisiens, prenez les clés du budget ! par mairiedeparis

     

    Avantages et inconvénients.

    Donner aux Parisiens les moyens financiers de réaliser leurs projets est en soi une bonne idée. On peut sans doute regretter la modicité de la somme allouée, on aurait pu par exemple monter jusqu'au 1% symbolique du budget total de la ville de Paris. mais enfin, c'est mieux que rien et c'est surtout mieux qu'avant puisque les sommes réservées aux projets des conseils de quartier n'étaient pas, et de loin, aussi importantes.

    Tel qu'on le voit aujourd'hui, le dispositif comporte quand même trois écueils majeurs.

    Le premier est celui de l'implication des Parisiens dans celui-ci. Quand on sait que même les modestes sommes allouées aux conseils de quartier pour les investissements et le fonctionnement n'étaient pas employées la plupart du temps, il y a de quoi se poser des questions.

    L'autre écueil est le choix des projets par vote des Parisiens. Prenons un exemple concret pour illustrer nos craintes. Imaginons que le projet de promenade urbaine entre Barbès et Stalingrad si cher à notre association soit financé par ce dispositif. Imaginons seulement car nous sommes très opposés à ce cas de figure. Mais prenons cette hypothèse. Pour que le projet se fasse, il est nécessaire de financer des études d'abord, puis la réalisation de la promenade urbaine elle-même ensuite. Comment faire ? Les Parisiens qui ne vivent pas à Barbès ne s'en préoccupent pas, on ne saurait le leur reprocher, mais comment obtenir une majorité de votes sur tout Paris afin d'inclure le projet dans le cadre du budget participatif ?

    Les informations diffusées par la mairie de Paris à propos des 15 premiers projets soumis au vote des Parisiens sont à cet égard inquiétantes. Rappelons que nous sommes dans le cadre d'un budget d'investissement. En toute logique, ce type de budget est fait pour financer des projets pérennes, une piscine par exemple ou bien un aménagement de voirie. Et on touche là la limite du processus. Les investissements de projets pérennes sont souvent lourds et il est clair que les modestes 70 millions prévus par la mairie de Paris chaque année n'y suffiront pas. Alors on labellise "investissement" des projets qui n'en sont pas vraiment : des tipis à Paris pour organiser des anniversaires, des grands écrans pour des événements, etc. ... Si certains projets ne sont pas sans intérêt, n'amuse t-on pas le tapis avec les miettes d'un budget.

    Dernier écueil, le processus considéré comme démocratique puisque tous les Parisiens votent est quand même étrange si ce n'est démagogique. Que met-on dans le terme "Parisiens" ? Il eut sans doute été plus judicieux de faire appel aux Conseils de Quartier par exemple ou au moins se limiter au niveau de l'arrondissement.

  • Vide grenier dans le 18e

    Un vide grenier, organisé par l'association Clign'ensemble, se tiendra le dimanche 21 septembre 2014 dans les rues Ramey et Clignancourt (entre la rue Custine et le boulevard de Rochechouart). Notez toutefois comme l'indique l'affiche ci-dessous qu'il est trop tard pour tenter d'y vendre quelques objets devenus inutiles: les inscriptions sont closes, le linéaire disponible est complet.

     

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    Pendant le vide grenier, une déviation du bus 85 via le boulevard Barbès sera mise en œuvre par la RATP.

    Au delà du plaisir de chiner, ce vide grenier peut être l'occasion de se rendre compte de l'ambiance du quartier si le dispositif Paris Respire de Montmartre est prolongé jusqu'au boulevard Barbès (comme le demandait un voeu présenté en conseil d'arrondissement il y a quelques années). Il est d'ailleurs à espérer que la mairie profitera de cet événement pour faire un bilan sur la circulation dans les rues alentours et ainsi étudier concrètement la faisabilité de cette extension du Paris Respire.

  • Brasserie à Barbès en images

    Vous avez sans doute comme nous scruté l'avancée des travaux de la future brasserie face au Louxor pendant l'été ou à votre retour de vacances. Et pensé comme nous que la façade avait peu changé. Pour vous rassurer voici quelques photos récentes de l'avancement des travaux de cette future et tant attendue brasserie.

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    Montage de la charpente qui soutiendra la fameuse verrière (Photo J.Caussé)

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    La verrière devrait arriver fin septembre début octobre... (Photo J.Caussé)

    La fin des travaux de gros-oeuvre, toujours d'après notre enquêteuse, est pour la fin du mois d'octobre. Cuisinistes et installateurs des bars interviendront ensuite.

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    En attendant, les ouvriers s'installent au 1er étage pour le déjeuner (Photo J.Caussé)

    Action Barbès espère y organiser son prochain conseil d'administration avant Noël !

     

  • Journées Européennes du Patrimoine 2014

    La 31e édition de ces journées ("JEP 2014") se déroulera ce prochain weekend : samedi 20 et dimanche 21 septembre, sur le thème:

    " Patrimoine culturel, patrimoine naturel "

    A ce titre, le Ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, et la Journée du transport public (qui se tient également le samedi 20 septembre) s'associeront à ces JEP 2014, organisées par le Ministère de la Culture et de la Communication.

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    Comme chaque année, vous aurez un vaste choix pour vos visites, que vous pouvez déjà programmer avec la sélection que nous avons déjà enregistrée et que vous pouvez consulter en cliquant sur ces liens:

     

    Dans le 9e

     

    Dans le 10e

    Dans le 10e également : Histoire & Vies du 10e organise par ailleurs son propre programme de visites, que vous pouvez consulter ici, comprenant des visites de l'exposition "Le 10e dans la Guerre" et des jardins Saint-Laurent, Villemin et Juliette Dodu

     

    Dans le 18e

     

    ... Ou en faisant vous-même une recherche personnalisée avec vos critères sur le site des JEP 2014.  

     

  • Tout savoir sur "Du Vert près de chez moi"!

    La Ville de Paris a lancé à la mi juillet dernier l'opération "Du vert près de chez moi" destinée à recueillir les propositions des Parisiens (habitants, associations, collectifs etc.) pour 200 lieux publics à verdir. L'idée est de repérer les murs, trottoirs, placettes, façades qui pourraient être végétalisés.

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     Cliquez sur la photo pour télécharger le guide pratique

     

    Comment exprimer vos idées? De diverses manières: en appelant le 3975, en écrivant à la mairie d'arrondissement, ou en utilisant l'application mobile DansMaRue ou le formulaire en ligne dédié à ce recensement.

    Vous avez jusqu'à fin septembre pour proposer les lieux susceptibles d'être végétalisés.    

    Pour en savoir plus, une réunion publique se tiendra demain en Mairie du 10e, en présence de son Maire, Rémi Féraud, de son Adjoint Sylvain Raifaud, et de l'Adjointe à la Maire de Paris en charge des Espaces Verts, de la Nature, de la Biodiversité et des Affaires Funéraires à la Mairie de Paris, Pénélope Komitès :

     

    Jeudi 18 septembre à 19h

     

    N'hésitez pas à assister à cette réunion, participer à ce repérage et faire des propositions de végétalisation, dont voici quelques exemples (que vous pouvez retrouver dans la plaquette téléchargeable ci-dessus) : 

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    Cliquez sur les photos pour les agrandir

     

  • La Sorbonne c'est aussi porte de Clignancourt

    sorbonne, cligancourt 
    (Photo Barbara Vignaux)

    Au début de l'été, nous avons été quelques uns (plutôt quelques unes) à profiter d'une visite privée du Centre Clignancourt avec pour guide Frédéric Billiet directeur de l’UFR Musique et musicologie et un de nos membres du conseil d'administration responsable culturel. Nous y avons découvert un lieu bien agréable, bien équipé et aussi végétalisé.

    sorbonne, clignancourt

    sorbonne, clignancourt 
    (Photos Barbara Vignaux)

     

    C'est dans cet auditorium aux couleurs vives qu'ont lieu régulièrement des concerts du COSU (chœur et orchestre-Sorbonne Universités).

    sorbonne, clignancourt 
    (Photo Barbara Vignaux)

    Voici un avant-goût de la saison 14-15 intitulée "Musiques § cinéma: rencontres et connivences".

    Premier concert le 25 septembre à 19h30: Poulenc, Brahms, Rheinberger et Lukacic. Ce sera l'occasion de connaitre les autres événements de la saison.

    Attention, l'inscription est nécessaire. C'est ici. et c'est gratuit!

    Et du 3 septembre au 24 octobre, dans le hall du centre, une exposition de photographies de Léo Andrés qui a pris des clichés des musiciens et choristes en pleine activité.

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    Pour vous y rendre : c'est au 2 rue Francis de Croisset – Paris 18e - Métro Porte de Clignancourt. Et pour suivre en continu les activités du COSU : rendez-vous sur Facebook et sur www.culture.paris-sorbonne.fr/cos.

  • Excentric City à la Goutte d'Or

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    Béatrice Coron raconte des histoires en papier découpé. Elle vit aux Etats-Unis, où elle est très connue, ses oeuvres ayant entre autres décoré le métro de New-York. Sa conférence devant le prestigieux auditoire de Ted est devenue "culte" et a été visionnée plus de 800 000 fois sur le Net. Elle a choisi un éditeur français, les Grandes personnes, pour publier son premier livre grand public : Excentric City.

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    Ce livre sera présenté en avant-première Chez les libraires associés, qui consacrent une exposition à Béatrice Coron : Excentricités, du 19 septembre au 15 novembre.

    Vernissage le jeudi 18 à 18h30 en présence de l'artiste, et avec une performance de la compagnie Gazelle.

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  • Dimanche matin ordinaire à Barbès

     paris,propreté

    Me voilà dehors pour aller à un vide grenier organisé sur le parvis de l'église Saint-Bernard. Il est 8h. Devant chez moi, un homme à vélo planque un sac plastique sous une Autolib'. Des cigarettes probablement. Depuis que des vendeurs sont repoussés du kiosque, ils vont vers la sortie Patin du métro et je vois régulièrement des sacs déposés sous les voitures. Il y a deux jours, c'était à la suite d'une intervention de police.


    Quelques vendeurs sont déjà en activité mais il y a peu de clients. Le boulevard de La Chapelle et la placette Charbonnière sont jonchés de détritus. Rue de la Charbonnière, rue Caplat même état. Un employé de la boulangerie au carrefour avec la rue de Chartres nettoie le devant de la boutique, ramasse les canettes dans le caniveau, jette les cartons dans une grande poubelle. J'imagine que c'est ainsi tous les matins pour lui.


    Les abords de l'église sont propres mais aucune âme qui vive. Je me demande si le vide grenier a bien lieu. Du coup, je continue et reprends la rue Polonceau. Dans le square Léon, deux agents de la propreté sont au travail. Le lieu est agréable.


    Un adhérent d'Action Barbès se plaignant régulièrement de l'état de saleté du boulevard Barbès et du manque de nettoiement, je décide d'y passer. Côté impair, une voiturette à brosse s'active sur le trottoir. Côté impair, on a déjà lavé. mais je dois reconnaitre que si le trottoir est mouillé, il y a encore beaucoup de papiers et autres détritus. Donc, comment procèdent les  agents? Ils repassent après avec des balais? Quel intérêt?


    Un homme donne du pain aux pigeons. J'ai envie de lui adresser la parole puis je renonce. A quoi bon. Je l'ai fait de nombreuses fois sans succès.


    Autour du kiosque qui est déjà ouvert, c'est propre. Un seul vendeur de cigarettes en train de compter ses billets.


    L'eau continue de couler à flots sur le boulevard face au Louxor. C'est ainsi depuis une semaine malgré mes deux signalements à l'élu chargé de la propreté dans le 18e. Décourageant. Heureusement, le soleil pointe le bout de son nez.

    ***** Toute dernière minute, ce tweet :

    paris,propreté

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    Ne désespérons pas...