En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Découvrez une friche urbaine, vieille de plus de 50 ans, transformée en jardin sauvage ou la faune et la flore se sont implantées naturellement. Une colonisation du milieu totalement libre.
Rendez-vous: rue Saint-Vincent, face au n° 14 (métro Lamarck-Caulaincourt)
JARDIN SAUVAGE SAINT-VINCENT
17, rue Saint-Vincent, Paris 18e
les mercredis 3 et 17 avril et 1er et 15 mai de 14h30 à 16h30
A l’occasion de l’ouverture de la halle Pajol, la Coordination Espace Pajol vous invite à une rencontre/débat Le mardi 2 avril 2013 à 18h30 au Grand Parquet Jardins d’Eole - 35, rue d’Aubervilliers - 75018 Paris
Dans une ambiance que nous espérons festive et conviviale…
Des témoignages et tables rondesévoqueront l’histoire de la concertation et du projet urbain,suivis d’échanges avec le public.
Non, ce n'est pas un poisson d'avril de la mairie du 18e ! Et d'ailleurs, la réunion a lieu demain.
Trois élus du 18e vous proposent de discuter ensemble demain, 2 avril, à 19 heures, dans la salle des fêtes de la mairie, sur un projet de zone 30 : mettre tout le quartier de la Goutte d'Or jusqu'à Château rouge — ils vous présenteront le périmètre envisagé — à petite vitesse. Interdiction de dépasser le 30 km/heure.
Tout cela suppose des aménagements de voirie qui vous seront présentés et qui pourront être discutés grâce à vos expériences de terrain, à votre connaissance fine des habitudes locales, et aussi des mauvaises habitudes locales !
Action Barbès a beaucoup participé depuis le début des années 2000 aux nombreux projets de voirie qui ont transformé au fil du temps la topographie de notre quartier, au sens large. Cela n'a pas été une mince affaire que de suivre toutes ces modifications de voirie et, en conséquence, de circulation, sur un périmètre large, ne tenant pas compte des frontières entre les arrondissements (9e, 10e et 18e). L'expérience acquise de la place Clichy à la place de La Chapelle, en passant par tous les boulevards (Clichy, Rochechouart, Magenta, Barbès) nous confère une vision assez globale, enrichie des problémes rencontrés "ailleurs". Il n'y a pas eu que des grands travaux. Nous étions aussi dans les projets plus modestes comme les élargissements de trottoirs ou les implantations de colonnes à verre ou encore de stationnements deux-roues...
Au-delà du béton, il y a eu les hommes. Nous avons rencontré des personnalités très différentes d'un arrondissement à l'autre, des sections de voirie ouvertes sur le public et les citoyens impliqués dans leurs missions, et d'autres très refermées sur elles-mêmes, ne communiquant pas autrement que par l'intermédiaire de l'élu. Les services de la Ville ne sont pas tenus de communiquer avec le public. L'intermédiaire, c'est vrai, c'est l'élu. Néanmoins, chaque fois que l'on peut rapprocher les parties pour échanger des opinions, des connaissances, des expériences, en évitant les intermédiaires... on ne s'en plaindra pas. Merci à tous ceux qui ont su nous écouter et nous répondre, y compris négativement parfois.
C'est le choix qui se proposait aux Parisiens ce week end... C'est le Parisien de vendredi qui nous a inspiré ce titre un peu blasphématoire, je vous l'accorde. Mais quoi ? Nous sommes républicains et laïcs et pour nous, le blasphème n'est qu'un mot.
A vous de juger : dans un article il est question des 32 chemins de croix qui avaient lieu hier dans Paris. Le plus connu, le plus suivi, peut-être, est celui que monte l'archevêque de Paris dans les jardins de la butte Montmartre jusqu'à la Basilique du Sacré-Coeur. C'est également le plus proche de notre quartier. Voici ce que disait le Parisien d'hier.
Trente-deux chemins de croix sont organisés aujourd’hui à Paris, un record! Ces processions du vendredi saint commémorent le calvaire du Christ en douze stations jusqu’à sa mort sur la croix. Comme chaque année, le cardinal archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois, présidera le chemin de croix qui se déroulera dans les jardins de la butte Montmartre (XVIIIe), devant la basilique du Sacré-Cœur (square Willette), de 12h30 à 14 heures. Au cœur de Paris, le chemin de croix des Halles (Ier) aura lieu avec les sans-abri : la procession partira à 15 heures de la fontaine des Innocents (place Joachim-du-Bellay) pour arriver à l’église Saint-Leu-Saint-Gilles (92, rue Saint-Denis) à 15h30.
Mais, pendant ce week end, les Parisiens ont également l'opportunité de visiter les chemins de l'électricité, des milliers de kilomètres de câbles dans les sous-sol de la capitale. Ce sont les journées de l'énergie, sur trois jours, 29 et 30 mars et 1er avril. Pour le public, le poste source Ternes est ouvert au public ce samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h et dimanche de 14h à 17h (7,rue de l'Arc-de-Triomphe, Paris 17e) C'est la première fois que ErDF accueille du public dans un de ses 36 postes de transformation parisiens.
Particularité du réseau parisien : il est 100% souterrain. Les visiteurs accueillis ce week-end devront d’ailleurs porter casque et chaussures de sécurité pour arpenter, mais en partie seulement, les installations du poste Ternes, après avoir découvert l’exposition consacrée aux métiers de l’électricité, de la maintenance à l’ingénierie, en passant par la construction des ouvrages et la sécurité. A Paris, le courant est l’affaire de près de 11500 électriciens.
« 98% de l’électricité consommée à Paris vient de grandes centrales extérieures, rappelle Christian Vives, le directeur d’ERDF Paris, et nous arrive par des câbles de 400 000 volts, pour passer à 20 000. Et tout l’enjeu est d’assurer en continu la sécurité de l’alimentation ».
Difficile à visualiser, tous les redécoupages ? Il faudra se contenter d’imaginer ce qui circule dans les centaines de gros câbles gainés de noir qui, mis bout à bout, font bien leurs 10 000 km, et qui s’enfoncent sur une centaine de kilomètres sous la capitale, après être passés par de très gros transformateurs comme cette « salle d’étoilement », l’une des premières escales de la visite guidée. « C’est comme un gros disjoncteur », explique Jean Debizet, chargé de l’exploitation du poste source.
Pour lire l'article du Parisien dans sa totalité, cliquer ici, si vous êtes abonnés — toujours la même histoire....
Sur la réunion de mercredi dernier, tout a été dit dans la presse, avec plus ou moins de justesse. Toutefois elle a su rendre l'ambiance houleuse qui régnait dans la salle des fêtes de la mairie du 10e et des craintes, souvent infondées, des peurs et des fantasmes (toute l'Europe de la toxicomanie fondrait sur la Gare du Nord ! par exemple) de certains habitants. Nous n'y reviendrons donc pas tout de suite, mais la semaine prochaine, le temps que les esprits se calment. Voici quelques liens vers des articles parus hier : France Info ; Libération ; Le Monde ; L'Express ; Le Figaro ; le JDD ; RMC(vous pouvez switcher rapidement la pub!) qui vous fourniront un résumé des débats. Une courte vidéo sur le site de BFM traduit l'ambiance.... vivante. Enfin M6 Info se concentre sur les atouts de l'expérimentation.
Les associations de riverains réclament plus d'information, plus de concertation au maire du 10e, en oubliant un peu que chaque fois qu'ils en ont formulé la demande, ils ont été reçus par ledit maire, en l'occurence Rémi Féraud. Les habitants du quartier situé entre la gare du Nord et l'hôpital Lariboisière, c'est à dire quelques rues du 10e, ont les moyens de s'informer par eux-mêmes plutôt que d'avoir recours aux sempiternelles communications alarmistes qui effraient les plus timorés et ne recueillent que haussements d'épaules de la part des personnes informées. Informées parce qu'elles se sont penchées sur le problème. Car, oui, il y a bien un problème et il n'est que trop temps de lui trouver des solutions. L'une des solutions est l'ouverture d'une salle de consommation surveillée, là où se concentrent les usagers de drogue. Plusieurs salles seraient un avantage pour ne pas concentrer la demande. Les habitants opposés à la salle seraient peut-être moins dans le refus si le projet prévoyait plusieurs ouvertures simutanées.
Le boulevard de Magenta la nuit, entre Barbès et la rue Ambroise Paré.
Commencer par l'information.
En quoi la toxicomanie est-elle un problème de santé publique ?
En premier lieu, parce qu'elle met en danger les usagers de drogue. On nous dira que personne ne les oblige à en user. Vrai. Mais on soigne bien le cancer des poumons d'un gros fumeur... L'usage de la drogue, des drogues, associé souvent à l'usage de l'alcool, peut conduire à une précarisation des usagers, par la perte de ses repères, perte d'un emploi, perte des revenus, perte d'un toit, rupture familiale, descente aux enfers assurée. Dans notre quartier, on constate régulièrement cette précarisation bien visible de personnes de tout âge, de tout sexe.
En second lieu, l'usage de drogue injectable comporte des risques de contamination par les maladies qui se transmettent par le sang, pour les usagers eux-mêmes, si les seringues sont réutilisées. Toute la campagne de réduction des risques faite dans la décennie précédente en fournissant massivement des seringues stériles avait pour but de limiter la transmission du sida et des hépatites, entre autres pathologies infectieuses. Mais le but était aussi de prévenir les conséquences des pratiques d'injection (abcès) et les conséquences du mode de vie (désocialisation, malnutrition, manque d'hygiène, isolement). Réduire les risques également pour les non-usagers si les seringues sont abandonnées sur l'espace public (blessure involontaire des personnels de nettoyage, enfants)
La France n'a pas été la seule à développer cette politique de lutte contre les drogues. Les institutions chargées de cette mission sont en constante relation avec les organismes internationaux et partagent les résultats de leurs enquêtes nationales. Les principaux acteurs de cette lutte contre les drogues en France sont
- La Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie (MILDT), chargée de coordonner l’action du Gouvernement dans le domaine de la prévention, la prise en charge sanitaire et sociale, la répression, la formation, la communication, la recherche et les échanges internationaux ; - Le Ministère de la santé, et plus particulièrement la Direction générale de la santé (DGS) qui prépare et met en œuvre la politique de santé publique en matière d’addictions ; - L’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) chargé de mettre en œuvre les politiques de prévention et d’éducation pour la santé.
Observer la situation
Le monde des drogues n'est pas figé, il est au contraire en constante évolution. La législation a bien du mal à suivre. Et l'interdiction pure et simple des stupéfiants risque de déplacer le problème tant la création de nouveaux produits de synthèse (NPS) est inventive... et leur mise sur le marché rapide. L'information dispensée et mise en ligne par les pouvoirs publics, même si elle est très lue par le grand public, parce bien faite dans un cadre de prévention et de vulgarisation des connaissances, est très vite obsolète. La brochure intitulée "Drogues et dépendances" édité par l'INPES, réédité en mars 2007, reste un vulgarisateur de qualité mais doit être complétée régulièrement tant l'arrivée de nouveaux produits stupéfiants (NPS) est inquiétante et rapide, tant les chiffres de consommation évoluent vite. La vente de substances psychotropes par internet ne facilite pas la tâche des autorités chargées d'en endiguer la consommation. L'éradiquer est pure utopie. Reste à l'encadrer.
Pour compléter l'information de chacun, il existe une publication récente (janvier 2013) sur le site de l'OFDT intitulé "Nouveaux produits de synthèse et Internet", téléchargeable gratuitementen ligne.
L'objectif de ce numéro de Tendances est de faire un état des lieux des connaissances sur le sujet : l'offre, les profils des usagers, les modes de consommation, les conséquences sanitaires et les questions sur leur législation. Cela dans un contexte où le nombre de ces substances ne cesse de s'accroître tant en Europe qu'en France.
Les professionnels aussi se posent des questions et cherchent à les résoudre. Ainsi la Fédération Addiction en partenariat avec le Réseau Français de la Réduction des risques organise-t-elle le 3 avril prochain le deuxième séminaire de la RDR sur le thème "Construire des espaces de consommations". On est ici au coeur de notre problème local. C'est un moment de travail prévu pour et par les professionnels, un moment d'échange et d'élaboration d'un cadre pour la construction de possibles espaces de consommation au sein des structures. Le fil rouge est le suivant : Quels sont les problématiques que vous rencontrez dans vos structures ? Quels cadres juridiques pour penser l'espace de consommation ? Quelles questions sanitaires . Quelle construction possible avec les acteurs politiques ?
Nous vous communiquons ci-dessous une invitation d'Eric Algrain, Adjoint au Maire en charge de la Démocratie locale,de la Vie associative et des Personnes en situation de handicap.
Les Permanences d’Accès aux Soins de Santé du Groupe Hospitalier Lariboisière Saint-Louis Fernand-Widal sont des dispositifs médico-sociaux actifs dans le 10e arrondissement. Leurs missions et leur fonctionnement méritent d’être mieux connus.
Dans l’optique de renforcer la coordination des acteurs des champs sanitaires, sociaux et associatifs du territoire, la Mairie du 10e arrondissement et le Groupe Hospitalier Lariboisière Saint-Louis Fernand-Widal vous convient à une après-midi d’échanges entre la PASS du Groupe Hospitalier et les acteurs de terrain.
Le détail de la journée du 28 mars décrite dans le document joint :
Certaines associations de riverains se sont manifestées contre ce projet, et malgré plusieurs entretiens avec le maire du 10e, plusieurs réunions sur le sujet sur place ou à la mairie, elles persistent dans le rejet de cette expérimentation.
Choisir le thème de la culture s'est avéré être une bonne pioche pour l'équipe d'animation du conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul. Non seulement il y avait beaucoup de monde dans la salle de l'école de la rue de Belzunce, mais nous n'avons pas entendu la moindre allusion à la propreté, aux étals débordants ou aux motos sur les trottoirs. Exit les sujets qui fâchent.
On a pu voir les plans de la future médiathèque du Carré Saint-Lazare (voir leur site). La médiathèque occupera plus de 4 000 m² sur le site de l’ancien hôpital Saint-Lazare, dans un quartier en pleine rénovation. Elle ouvrira ses portes courant 2014 et sera la deuxième de Paris en terme d'importance. Une présentation de Viviane Ezraty et de Christophe Sené, les responsables de l'équipement, a été très appréciée dans la salle.
Même enthousiasme lors de l'intervention d'Emmanuel Papillon, choisi pour assurer l'exploitation du Louxor, qui ouvrira ses portes - et ses écrans - au public le 18 avril prochain. Des questions sur la programmation (Art & essai, oui, mais aussi des films grand public en première exclusivité qui entrent dans ce cadre), les tarifs, le bar, également sur l'environnement. Vous pouvez d'ores et déjà vous inscrire au flux de votre futur cinéma sur www.cinemalouxor.fr où s'affichera bientôt le programme.
Pour annoncer et accompagner l'ouverture tant attendue, des expositions auront lieu :
- l'une à la mairie du 10e à l'initiative des Amis du Louxor (voir notre article d'hier)
- une autre à la mairie du 18e avec Paris-Louxor, n'hésitez pas à suivre cette association très dynamique sur les réseaux sociaux (twitter)
- une dernière au centre Valeyre pour le 9e.
Nous ne manquerons pas de reparler de ces expositions dès que nous les aurons visitées.
A l'occasion de l'ouverture prochaine du cinéma Louxor, avant qu'il soit rendu aux Parisiens, enfin, il était important de retracer l'histoire de ce bâtiment : luxueux écrin du cinéma muet en 1921, lors de son inauguration, il finira en discothèque avant de fermer ses portes à la fin des années 80.
Au-delà de cette histoire, une partie de l'exposition est également consacrée au travail de rénovation mis en oeuvre par la Ville de Paris afin de réhabiliter et de mettre en valeur cet exemple remarquable de patrimoine architectural et de permettre la réouverture au public du Louxor, cinéma de quartier "art et essai".
VERNISSAGE CE SOIR à 19 heures
L'exposition se tiendra du 25 mars au 25 mai 2013. Horaires : du lundi au vendredi de 8h30 à 17h, jeudi de 8h30 à 19h30 et samedi de 9h à 12h30.
La nouvelle nous avait échappé ! Pourtant, on ne compte plus les fois où nous avons regretté que le bus 85 ne fonctionne pas les dimanches et jours fériés. Et bien, c'est fait.
L'amélioration du service de cette ligne avait commencé par une prolongation des horaires le soir.
Quelques précisions sont toutefois utiles car le terminus change selon les jours et les horaires. Pour savoir à quelle heure passe votre prochain bus, vous pouvez aussi consulter les horaires en ligne, c'est ici pour Barbès.
C'était le 22 mars 2011. Il y a donc juste deux ans. Depuis lors, le gouvernement a changé de couleur à la suite de l'élection de François Hollande à l'Elysée. Le souhait de ne pas cumuler plusieurs mandats est reparu, comme la promesse en avait été faite pendant la campagne. Pour renouveler le personnel politique, le rajeunir pour être franc, et permettre une meilleure parité, l'entrée des femmes en plus grand nombre, une loi semble nécessaire. Car on peut donner raison à Daniel Vaillant sur ce point, les socialistes ne doivent pas s'imposer à eux seuls des règles, même bonnes, même louables, que d'autres ne respecteraient pas.
Les échanges ont été nombreux sur la question. D'un bord comme de l'autre, les avis sont partagés. On attendait l'avis du Conseil d'état, puis sa publication, où en sommes-nous ? Messieurs les députés, les maires, les conseillers, les juristes, éclairez-nous !
A peine avions-nous terminé cette chronique sur le non-cumul des mandats que dans notre messagerie tombait une autre déclaration du maire du 18e. Cette fois, pas de vidéo, mais un article paru dans le Parisien à la suite d'une interview que Daniel Vaillant a donnée à Christine Henry le 18 mars, intitulé "Je saurais m'arrêter à temps !". En voici quelques extraits :
Etes-vous favorable au non-cumul? Interdire le cumul entre un mandat parlementaire et un mandat exécutif local me semble être une bonne mesure. Mais il reste aussi à régler la question des parlementaires qui cumulent avec une profession ou des fonctions locales. S’agissant des maires d’arrondissement de Paris, ils n’ont pas de fonctions exécutives mais, s’ils devenaient des maires de plein exercice, cela impliquerait des évolutions de leur statut, au regard notamment de leurs prérogatives et pouvoirs vis-à-vis du maire de Paris.
Avez-vous pris votre décision? Cette question n’est pas d’actualité. Mais, lorsque le texte sera discuté à l’assemblée, je le voterai car j’y suis favorable. En revanche, si les socialistes parisiens décidaient d’imposer le non-cumul avant le vote de la loi, j’aurais à faire un choix le moment venu.
Vous pouvez cliquer sur le lien pour lire la suite, il est en lecture libre. Et vous apprendrez aussi que le statut des maires d'arrondissement a un peu changé, par rapport à ce qu'en disait Daniel Vaillant, notamment sur les indemnités... L'écrêtement sera passé par là. Le Parisien ajoute cette précision :
Les maires d’arrondissement n’ont pas les mêmes pouvoirs que les maires de plein exercice, même s’ils sont à la tête d’un territoire parfois aussi peuplé qu’une grande ville. Ils ne lèvent pas d’impôt et ont un rôle essentiellement consultatif. Toutes les décisions sont prises au Conseil de Paris, où ils siègent. Ils disposent d’un budget dit « état spécial » qui comprend une dotation d’investissement, de fonctionnement et d’animation. Cependant, celui-ci est insuffisant pour financer de gros chantiers.
Les maires d’arrondissement ont gagné en compétence dans le cadre de la loi de décentralisation de 2001, renforcée en 2008. Ils gèrent désormais les équipements de proximité (jardins, crèches, écoles…). Ils sont conseillers de Paris et touchent environ 4000 € net.