On vote le dimanche 17 juin, et l'on court aussi ! Voyez-vous mêmes !
Sans oublier la brocante le même jour, dont les gains iront directement
aux écoles partcipantes
et à leurs coopératives respectives.
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On vote le dimanche 17 juin, et l'on court aussi ! Voyez-vous mêmes !
Sans oublier la brocante le même jour, dont les gains iront directement
aux écoles partcipantes
et à leurs coopératives respectives.
Merci à Médiapart de nous offrir la possibilité de revoir le récital d'Angélique Ionatos au Théâtre de la Ville cette semaine, le 13 juin. Totalement gratuitement. Écoutez bien les poèmes que dit Angélique Ionatos avant de les chanter...
La Grèce n'est pas que la cigale de l'Europe, mais une belle et étrange patrie, la sienne.
Revoir le concert : En Grèce, la revanche des... par Mediapart
Vous pouvez regarder en plein écran la revanche des rêves..., la qualité est bonne.
Médiapart est dirigé par Edwy Plenel qu'on ne présente plus. Le 23 mai dernier, il publiait un édito intitulé "Nous sommes tous des Grecs". Malgré le caractère payant de ce média, parfois ses colonnes sont libres d'accès, c'est le cas pour cet édito, très long, mais qui mérite une lecture attentive tant il souligne les dysfonctionnements des règles de notre économie, la main mise des idéologies libérales sur l'avenir des peuples et l'abandon de la politique et de la démocratie. Il se termine par une citation d'un texte anglais qui avait donné à Hemingway le titre de son roman sur la guerre d'Espagne :
« Personne n'est une île, entière en elle-même ; tout homme est un morceau de continent, une partie du tout. Si une motte de terre est emportée par la mer, l'Europe en est amoindrie, tout autant que s'il s'agissait d'un promontoire, ou que s'il s'agissait du manoir d'un de tes amis ou le tien propre : la mort de chaque être humain me diminue, parce que je fais partie de l'humanité, et donc, n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas; il sonne pour toi. »
En Europe, le glas ne sonne pas pour les Grecs. Il sonne pour nous.
Laissons Denis Podalydès nous inviter au théâtre des Bouffes du Nord (métro Chapelle) au spectacle qu'il a mis en scène sous la direction musicale de Christophe Coin (la musique reste celle de Lully, pas de surprise de ce côté là).
du 19 juin au 21 juillet 2012
Places de 20 à 35 Euros.
Billeterie et réservation en ligne.
Le Bourgeois Gentilhomme
Comédie-ballet de Molière, musique de Lully
Mise en scène Denis Podalydès, direction musicale Christophe Coin
Dans « Le Bourgeois gentilhomme », Molière tire le portrait d'un aventurier de l'esprit n'ayant d'autre désir que d'échapper à sa condition de roturier pour poser le pied sur des territoires dont il est exclu… la découverte d'une terra incognita qui, de par sa naissance, lui est interdite. Pourquoi se moquer de Monsieur Jourdain ? Le bourgeois se pique simplement de découvrir ce qu'aujourd'hui nous nommons « la culture » et il s'attelle au vaste chantier de vivre ses rêves… Et qu'importe si ces rêves sont ceux d'un homme ridicule. En choisissant de redonner à la pièce sa forme originale d'une comédie-ballet mise en musique sur les partitions de Lully, Denis Podalydès convoque tous les arts. Avec cette fête de théâtre costumée par Christian Lacroix, il vise à cette apothéose des sens tant espérée par son héros interprété par Pascal Rénéric. Il s'agit bien évidemment de rire de la comédie. Mais, comment ne pas avoir de la tendresse pour cet homme sans qualité qui tente d'initier à lui tout seul la première révolution culturelle. Elevé après mille péripéties comiques au rang de Mamamouchi, Monsieur Jourdain vit son heure de gloire en musique et en danse, malade de sa bourgeoisie, gentilhomme imaginaire, à la fois exaucé et battu, dupé et triomphant, en ce moment théâtral si rare où le ridicule fait place à l'émerveillement pur. (site du théâtre)
Pour ne pas rompre avec ses traditions, avant la coupure de l'été, Action Barbès vous invite à venir prendre un verre au café LE BEAUJOLAIS, 167, rue du faubourg Poissonnière, dès 18h30 si vous êtes libres à cette heure-là, vendredi 22 juin, et plus tard si ce n'est pas le cas.
Vous croiserez l'affiche ci-dessous chez les commerçants du quartier qui ont souvent été les relais fidèles de notre association pour la diffusion
Branchés Internet ou pas, venez partager un moment vendredi prochain au Beaujolais, nous serons heureux de vous y retrouver.
Pour voir l'affiche en grand format, cliquez dessus.
On aurait pu aussi titrer : Des palmiers qui font de l'ombre à la démocratie participative ! Nous vous expliquons l'affaire qui a fait débat lors du conseil d'arrondissement du 12 juin à la mairie du 10e. Comme il est de coutume dans le 10e, le conseil commence par la lecture des voeux ou questions présentés par les conseils de quartier ou les associations, auxquels répondent les élus interpellés. C'est le conseil de quartier Saint-Denis Paradis qui en a été la vedette ce mardi 12 juin, en présentant une protestation argumentée sur l'abattage des arbres de la cour du Pari's des Faubourgs (espace St Lazare). Les membres du conseil de quartier étaient venus nombreux, sans doute déterminés à obtenir sinon gain de cause au moins des réponses satisfaisantes.
« L'équipe d'animation du conseil de quartier St Denis-Paradis a appris qu'il était prévu d'abattre les 6 tilleuls du jardin intérieur de la future médiathèque, et de les remplacer par des palmiers.
Ces arbres, centenaires paraît-il, resplendissants, donnent une ombre et une ambiance tout à fait propice à la convivialité, et font l'agrément du lieu.
Pourquoi les abattre? Pour faciliter la circulation des engins nécessaires aux travaux? Pour satisfaire un caprice architectural d'exotisme ou de nostalgie historique?
Non seulement cette coupe, la replantation et l'entretien qui suivrait représentent un coût non négligeable, mais ils ne garantissent pas une reprise végétale satisfaisante si l'on se réfère à la taille minuscule des deux palmiers déjà sur place.
Ce lieu est quand même bien parisien et , au-delà d'un souci écologique que nous savons partagé, nous pensons que l'abattage de ces arbres seraient un gâchis pour le charme de ce lieu au profit d'une alternative qui serait perçue comme une aberration technocratique, complètement artificielle et incongrue.
Nous souhaitons donc que ces arbres soeint sauvés et demandond à l'équiep municipale et à al mairie de Paris d'agir au plus vite dans ce sens.
Nous soulignons également que si une présentation du projet avait été faite comme nous l'avons plusieurs fois sollicitée sans qu'à chaque fois, elle soit « bottée en touche », nous n'aurions probablement pas à exprimer un tel souhait encore uen fois, hélas, dans l'urgence. »
De nombreux élus se sont exprimés et le débat a duré..
Alexandra Cordebard, première adjointe, a rappelé que l'aménagement de cette cour fait partie du projet de la médiathèque. « Deux arbres sont malades et condamnés, les autres ne seraient pas dans une forme exceptionnelle. Ils sont implantés sur une dalle qu'il faut casser et refaire. Voilà pour l'aspect technique. Par ailleurs, ces arbres très hauts assombriraient considérablement des salles de la médiathèque dans lesquelles il serait nécessaire de maintenir un éclairage.
Pour l'aspect information, les élus ont demandé que le projet leur soit présenté dans son intégralité.
A suivi un long exposé historique d'Alain Pierre Peyraud, chargé des espaces verts, notamment sur les espèces tropicales importées au 19e siècle. Certes, intéressant, mais peut-être pas ce qu'attendaient les membres du conseil de quartier.
Au-delà de ce souci de préserver des arbres centenaires, on comprenait aisément que le manque de concertation ou même d'information pointait comme un reproche.
Medhi Ghadi, élu chargé du développement durable l'a bien compris et s'est davantage attaché au manque d'information donnée aux membres du CQ, qui, il l'a rappelé à juste titre, sont au service de l'intérêt général et peuvent avoir des avis judicieux, voire des compétences. Il a demandé la tenue rapide d'une réunion.
Rémi Féraud également s'est inscrit dans cette demande. Il a expliqué toutefois que le projet avait fait l'objet d'un concours et que, dans ce cadre, le choix du jury ne pouvait plus être contesté (loi). "Il faut donc que la concertation ait lieu au moment de l'élaboration du cahier des charges, a-t-il ajouté. J'aurais préféré qu le projet choisi soit présenté. Nous avons du rechercher les informations. On a des progrès à faire avec certaines directions. Tirons en les leçons."
On l'a appelée un temps "rue de la mode", elle est redevenue la rue des Gardes au fil des années et elle continue avec talent à accueillir des créateurs.
Dominique Pétris nous adresse cette invitation sur nos messageries privées, mais sans doute ne verra-t-elle pas d'inconvénient à vous montrer ses objets préférés :
Je vous invite le
JEUDI 14 ET VENDREDI 15 JUIN DE 15H À 20H
AU 5, RUE DES GARDES 75018
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mes bijoux en nacre, terre de Djenné, oeuf d'autruche, perles années 30, perles vénitiennes, semi-précieuses...
mes coussins en cuir imprimés au tampon.
-20 et -30% sur tous les articles
Une pochette en soie offerte pour tout achat.
À bientôt
Dominique Petris
Sur la Ligne 2 de la RATP, des travaux vont être entrepris pendant l'été pour la rénovation de la verrière de la station Chapelle. Ils vont nécessiter la fermeture de la station et du couloir de correspondance vers la gare de l'Est.
Dans une note d'information que nous a fait suivre la mairie du 18e, la RATP fait savoir que :
- elle est garante de la sécurité des voyageurs
- elle est soucieuse de la pérénité de son patrimoine
- elle poursuit donc sa campagne de rénovation des verrières
- elle finance entièrement l'opération.
Plus technique, elle précise que :
- les anciennes verrières seront déposées
- les structures seront complètement reprises
- de nouvelles verrières seront enfin installées
- les escaliers de la station seront rénovés également pour profiter de la période de travaux.
Elle conclut que la fermeture de la station est, pour ces raisons, incontournable. Les rames ne s'arrêteront donc pas entre Barbès et Stalingrad, pendant la période des travaux.
Comme nous sommes toujours exigeants avec la RATP (qui aime bien châtie bien !), nous nous posons deux questions (au moins) :
- Lors de la rénovation de la station Barbès, qui a duré dix ans environ, pourquoi la station n'a-t-elle pas été fermée pour permettre au chantier de se dérouler dans de meilleures conditions et plus rapidement ?
Si les verrières de la station Barbès laissent passer l'eau, à la moindre averse, inondant plus ou moins les quais et les escaliers, ne serait-ce pas parce qu'elles n'ont pas été rénovées (voire rempacées)dans des conditions de sécurité pour les voyageurs, et parce qu'on n'a pas voulu fermer la station ? En clair, nous avons toujours les vieilles verrières qui fuient !
La RATP a la bonté de nous préciser que le chemin à parcourir entre les stations Barbès et Chapelle d'un côté (750 m) et Chapelle et Stalingrad de l'autre (650 m), n'est pas infranchissable. C'est vrai. Elle suggère par là que la fermeture ne va pas révolutionner les habitudes des usagers du quartier. Pourquoi donc était-ce impossible à Barbès au temps des travaux de rénovation? Les stations ne se sont pas rapprochées depuis lors !
On peut s'attendre à un regain d'affluence pendant ces mois d'été, qui ne sont pas vides dans notre zone. D'autant que le ramadan commencera vers le 20 juillet et que traditionnellement il attire beaucoup de monde à Barbès et aux alentours.
INFO CHANTIER 01 58 77 17 66
mardi 12 juin 2012 - 18h30 Mairie du 18e
Nous ne pouvons assister à toutes les réunions qui se tiennent et nous le regrettons souvent. Là encore nous avions des choses à dire, puisque nous comptons des cyclistes parmi nos adhérents, des accroc' de la petite reine y compris dans notre conseil d'administration.
Même si AB est absente de cette réunion, nous espérons que les élus du 18e et les responsables de la voirie liront notre point de vue et tiendront compte de nos observations. Nous souhaitons donc ici souligner que les cyclistes sont très mal traités dans le carrefour Barbès, alors qu'ils sont nombreux à se rendre du Nord au Sud le matin et du Sud au Nord le soir, empruntant le boulevard Barbès et le boulevard de Magenta, mais se heurtant à un écueil sur ce fameux carrefour. Les transitions entre piste cyclable et voie de bus sur le boulevard Barbès semblent assez bien réalisées et commodes, notamment à la descente devant l'immeuble de la BNP. Les cyclistes doivent toutefois redoubler de vigilance dans la voie de bus car les voitures qui pénètrent dans la rue Bervic - la dernière à droite avant le carrefour - pour éviter le feu, ne sont pas toujours d'une courtoisie et d'une délicatesse à toute épreuve.
En passant dans le 9e, les difficultés se concentrent sur le trottoir entre le boulevard de Rochechouart et le faubourg Poissonnière, sur cette placette créée de toute pièce lors de l'inversion du sens de circulation du faubourg il y a quelques années. C'est le capharnaüm actuellement, entre la foule des passants, les palissades, les poubelles, la sanisette, la cabine téléphonique.... mais on n'est plus dans le 18e, nous ne nous étendrons pas trop sur le sujet. Un bloc béton rouge et un panneau indiquent bien que la piste est neutralisée momentanément, mais rien n'y fait. Certains ne sont pas du tout interpellés par ces obstacles, pourtant visibles, ils passent sur la piste encombrée et se "frittent" avec les passants.
Sur le boulevard de La Chapelle, la situation est dure. La piste est certes protégée de la rue de Tombouctou (et même avant) à la rue Caplat. Après c'est le "grand n'importe quoi". Il faut savoir que la circulation étant toujours, ou presque, difficile sur ce côté du boulevard de La Chapelle, les 2RM circulent très souvent sur la piste cyclable (l'espace de circulation est trop étroit pour pouvoir doubler les voitures qui sont sur deux files jusqu'au barreau Patin. Aux abords de la placette, des voitures stationnent régulièrement à cheval sur la piste. A partir du parking Vinci, les piétons circulent aussi sur la piste. Et apothéose, près du carrefour, l'emprise de Vano (suite à l'incendie de juin 2011) et ses palissades occupent tout le trottoir et neutralisent la piste. Ajoutez des vendeurs à la sauvette...
Du point de vue de la sécurité, c'est franchement limite. Y compris quand, dans le carrefour, les cyclistes passent d'un côté de la chaussée à l'autre, pour monter le long de la trémie du métro, boulevard de Rochechouart. Il y a flottement au milieu des "tourner à gauche" automobiles.
Quelles propositions peuvent-elles être faites aux cyclistes qui empruntent régulièrement cet axe pour relier l'est et l'ouest ? Dans l'autre sens, le problème incombe au 10e, nous n'en parlerons pas, mais ce n'est guère plus brillant, tant que dureront les travaux du Louxor. Chaussée étroite, flot de piétons indisciplinés ou désorientés.... Il est bien mal aisé pour le cycliste de tracer sa route de façon sereine et sûre.
Nous comptons sur le représentant de MDB, Mieux se déplacer à bicyclette, pour défendre les cyclistes et leur sécurité, comme il le fait toujours. Et aussi pour leur dire de bien ouvrir les yeux..
Amusons-nous un peu...
A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit:
- Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.
Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !
La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
- Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps.
Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
- Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens.
C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !
Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin.
Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : Les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
Elle ajoute :
- De mon temps, on montait l'escalier à pied: on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d’ascenseurs.
On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues : On marchait jusqu'à l'épicerie du coin.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On ne connaissait pas les couches jetables : On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge, pas dans un machine de 3 000 watts. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour sécher les vêtements.
On ravaudait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sœur à l'autre.
- Mais, vous avez raison, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n'avait qu'une TV (quand on en avait…) ou une radio dans la maison ; pas une dans chaque chambre.
Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Texas.
On avait un réveil qu’on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées : On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon.
On travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif.
On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.
On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo.
On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 heures sur 24.
Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
ALORS VIENS PAS ME FAIRE CH... AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGISTE !
Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l’environnement. Mais ne vous privez pas de le faire partager !
LA CITOYENNETÉ POLITIQUE DES FEMMES
le vote et l'éligibilité des femmes...
... vers la parité
__________________
LE VOTE ET L'ÉLIGIBILITÉ DES FEMMES ....
CONTRE LE VOTE DES FEMMES : Petite ANTHOLOGIE...
Les voyages forment la jeunesse, affirme le dicton. La jeunesse, peut-être, mais cela donne des idées aussi. Au cours d'un voyage en Catalogne, en plein centre ville de Gérone (Girona-Espagne, nord de Barcelone), nous avons longé ce magnifique viaduc végétalisé, telle une empreinte de la nature laissée sur la ville. (Attention, pas de gibbons suspendus aux lianes...!)
Il s'agit du viaduc du chemin de fer, qui surplombe la rue - carrer ! - Bonastruc de Porta. Vous avez la possibilité de visiter les abords et de voir cette jolie réalisation sous plusieurs angles en naviguant sur le site ci-dessous de Gmaps.
Les végétaux utilisés sont majoritairement des plantes grimpantes et des lianes, toutes espèces à tige ligneuse qui s'adaptent bien aux milieux et colonisent facilement les piliers en béton du viaduc, puis gagnent les parties hautes pour retomber en chutes vertes et abondantes.
Le marché de La Chapelle à l'ombre de ces cascades de verdure.... Cela risque de rester un rêve.
Et maintenant on compare ?
Rappelant la dernière modification des circonscriptions électorales, nous avions présenté ici même plusieurs tableaux qui mettaient en lumière le regroupement du 10e arrondissement avec son voisin, le 3e. En image de fond se dessinait le départ de l'ancien maire du 10e, Tony Dreyfus, député de Paris plusieurs fois réélu avec une large majorité. Un temps où le cumul des mandats ne posait pas trop problème...car il ne faut pas chercher longtemps pour découvrir d'autres "cumulards", à savoir : Jean Tiberi (5e) député-maire, Rachida Dati (7e) maire et députée européenne, Patrick Bloche (11e) député-maire, Philippe Goujon (15e) député-maire, Claude Goasguen (16e) député-maire, Daniel Vaillant (18e) député-maire, Roger Madec (19e) sénateur-maire. Gauche et droite se partagent ce défaut, avec une prédominance des hommes des deux côtés.
Pour cette élection, on rebat les cartes, car le redécoupage a supprimé plusieurs circonscriptions dans Paris, trois pour être précis : on passe de 21 députés à 18, pour rapprocher les secteurs au plus près des 125 000 électeurs en moyenne. Dans le 3e arrondissement qui fusionne avec le 10e pour créer la 5e circonscription, le sort de Martine Billard, députée sortante de la 1ère circonscription qui disparaît en tant que telle, a été scellé par les commissions des partis chargées des nominations.
Après une valse hésitation, le choix s'est porté sur Seybah Dagoma, depuis 2008 adjointe au maire de Paris, chargée de l'économie sociale et solidaire. Jeune femme de 34 ans, issue d'un milieu modeste, intelligente et persévérante, Seybah avait toutes les qualités pour entrer à l'Assemblée nationale et y faire bouger le curseur vers plus de parité.
Nous l'avons rencontrée. Elle a bien voulu répondre à nos questions pour le blog d'Action Barbès.
Action Barbès - Vous êtes avocate dans un cabinet d'affaires (est-ce bien toujours d'actualité ?) et parallèlement vous avez une délégation à l'économie sociale et solidaire à la Ville de Paris. Comment conciliez-vous ces deux activités ?
Seybah Dagoma - Je suis en effet avocate spécialisée dans les entreprises en difficulté. Actuellement, je n’exerce pas ce métier, je me consacre exclusivement à mon mandat. En tant qu’adjointe au Maire de Paris chargée de l’Economie sociale et solidaire, je développe une politique qui s’articule autour de trois axes: l’insertion par le travail et le lien social, le soutien à la création d’entreprises solidaires et l’innovation sociale, et enfin la solidarité internationale grâce au commerce équitable et à la consommation responsable. Au total, plus de 10.000 Parisiennes et Parisiens ont retrouvé un emploi grâce aux actions que nous déployons dans ce secteur dans la capitale depuis 2008. Si les électeurs m’accordent leur confiance, je ne cumulerai pas les mandats. Je serai députée, et je continuerai de défendre à l’Assemblée Nationale le droit à un emploi pour tous.
Comment concevez-vous le rôle d'un député sur le terrain ? Aurez-vous une permanence unique et laquelle choisirez-vous (10e ou 3e arrondissement) ?
D’ores et déjà, en tant qu’élue parisienne, je tiens une permanence hebdomadaire. Pour moi, le lien permanent sur le terrain avec les habitants, les élus locaux, les associations, est indispensable pour bien connaître les priorités des citoyens et y répondre efficacement. Si le 17 juin au soir, je suis élue, je resterai comme dans cette campagne, présente, accessible et à l’écoute de vos préoccupations. C’est pourquoi, je tiendrai des permanences. Mon mandat sera placé sous le signe du dialogue. Je me ferai, à l’Assemblée nationale, l’écho des enjeux de notre circonscription et je vous rendrai compte de mon mandat chaque année.
Dans le cadre de votre futur mandat de députée, quels sont vos centres d'intérêt, et quels projets de loi sont pour vous prioritaires ?
En premier lieu, je soutiendrai les engagements de François Hollande, et par voie de conséquence, les priorités du gouvernement de Jean-Marc Ayrault dont je me sens entièrement solidaire : la jeunesse, l’emploi, la croissance économique, le logement, la justice et la santé. Par ailleurs, je serai force de proposition sur les préoccupations des habitants de notre circonscription parmi lesquelles : la préservation des services publics ; la lutte contre les ventes à la découpe ; le traitement humain des populations migrantes ; la lutte contre le décrochage scolaire ; le soutien aux familles monoparentales ; la prévention contre l’alcoolisme et la toxicomanie ; le partage harmonieux de l’espace public ; l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ou encore la lutte contre toutes les discriminations.
Dans le 10e et plus généralement dans le Nord-Est parisien, les problèmes de drogue et de toxicomanie sont préoccupants, qu’en pensez-vous ?
Il s’agit effectivement d’un problème préoccupant, et je soutiens totalement l’axe de fermeté contre les trafics de drogue récemment exprimée par Jean-Marc Ayrault. En tant que députée, j’interpellerai le Ministre de l’Intérieur Manuel Valls, ainsi que le nouveau Préfet de Police de Paris, Bernard Boucault, sur les moyens mis en œuvre pour les démanteler. Mais pour moi, outre la répression des trafiquants, il est indispensable de mettre en place une politique volontariste de prévention et d’aider les personnes dépendantes à s’en sortir. A cet égard, je rappelle que les élus de gauche à Paris, tant les élus locaux que les députés, soutiennent l’expérimentation de salles de consommation à moindres risques, à l’instar de ce qui a été fait dans d’autres grandes villes européennes, et qui a fait ses preuves. Comme vous le savez, une telle expérimentation nécessite l’accord de l’Etat, ce qui a toujours été refusé jusqu’à présent par le gouvernement de François Fillon. Le changement politique intervenu le 6 mai avec l’élection de François Hollande, ouvre des perspectives nouvelles. Je m’engage donc à relancer, avec tous les élus de gauche à Paris, cette initiative d’expérimentation, dans une concertation globale avec tous les acteurs concernés (élus, professionnels de la santé, associations, riverains).
Un regard sur le clip de campagne ? c'est ci-dessous avec des témoignages de ses militants.