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Comme cadeau de Noël, peut-être aurez-vous envie de vous offrir un téléphone plus récent, plus performant, le choix est vaste à des prix variables. Mais savez-vous à quoi ressemblaient les premières transmissions d'images ? Les MMS de l'ancien temps... Regardez :
La crise économique et sociale, la montée de l’individualisme et bien d’autres facteurs exacerbent les tensions au sein de notre société à tel point que des propos inacceptables ont été prononcés, et on sait qu’après les propos, ce sont les actes qui suivent.
Le rejet de l’autre, sous quelque forme que ce soit, racisme, xénophobie, antisémitisme, islamophobie, sexisme, homophobie, …. c'est-à-dire le rejet de la différence, est incompatible avec la République. Son expression, mais aussi hélas sa mise en pratique, sont une régression de la société.
Après les violentes attaques contre Christiane Taubira et certains propos « décomplexés » d’hommes politiques toujours prêts à caresser l’électeur dans le sens du poil, une réaction commence à poindre et Action Barbès, association citoyenne très vigilante au respect des personnes et des différences, ne pouvait pas ne pas s’en faire l’écho.
La Marche des Républicains a été initiée par un groupe de jeunes gens et jeunes filles pour enfin dire que toute cette haine qui se déverse doit cesser. L’initiative nous parait heureuse, même si quelques esprits chagrins y voient une tentative de récupération politique, notamment par le Parti Socialiste. L’important ici est le fond : oui nous devons défendre ce qui fait la République « Liberté, Egalité, Fraternité ». Cette fraternité ne doit pas être vidée de son sens. La Marche des Républicains appelle à une marche pour la défendre le Dimanche 8 Décembre. Il faut y aller nombreux.
Une exposition contre le racisme à la mairie du 10e
Du 9 au 13 décembre, une exposition intitulée L’invention du sauvage, les « Zoos humains » sera présentée en mairie du 10e arrondissement.
Dans ce cadre, M. Rémi Féraud, Maire du 10e arrondissement, et M. Alain Lhostis, Conseiller de Paris, Conseiller du 10e arrondissement chargé de la Politique de la Ville, vous convient à deux événements :
Le vernissage de l’exposition le lundi 9 décembre à 17h30 dans le hall de la mairie du 10e arrondissement. En présence de Lilian Thuram, Président de la Fondation Éducation contre le racisme, et de Pascal Blanchard, historien, chercheur associé au CNRS, et codirecteur du Groupe de recherche ACHAC.
(cliquer sur l'image ci-dessous pour imprimer l'invitation)
Une rencontre-débat sur L’invention du sauvage, les « Zoos humains », une dimension ignorée de l’histoire coloniale française, le mercredi 11 décembre à 18h30 à la salle des fêtes de la mairie. Avec Alain Ruscio, historien, auteur de Le Credo de l’homme blanc. Regards coloniaux français, XIXe - XXe siècles.
Renseignements et inscriptions au 01 53 72 10 40 ou à manuel.blasco@paris.fr
Il y a juste 30 ans... la marche pour l'égalité et contre le racisme
L'ambition était de montrer qu'une société moderne ne peut pas exclure l'autre. Avant l'arrivée à Paris du 3 décembre, une arrivée en nombre parce que la marche avait réveillé les esprits, il y avait eu les déclarations d'une poignée de personnes aux idées claires et généreuses, décidées à inverser la donne, à montrer le danger du racisme ambiant, et notamment la prise de parole du père Christian Delorme, très actif à l'époque parmi les jeunes des Minguettes, près de Lyon. Voici deux vidéos du site de l'INA.fr. La première est une interview du père Delorme en juin 1983, ses propos trouvent encore de l'écho dans les temps présents ; dans la seconde où on le retrouve également, la marche a commencé et déjà dépassé Valence, elle passe par Chambéry.
Désolé, pour les 20 secondes de publicité, on ne peut plus y couper...
L'événement sera fêté par une exposition qui se tiendra du 9 novembre au 8 décembre 2013
Champ de Mars, Place Joffre (devant l’Ecole Militaire), Paris 7e
Tous les jours de 10h à 19h Nocturnes les vendredis et samedis jusqu’à 22h00
Une scénographie immersive de plus de 2 000 m2 invitera le public à partager la passion qui anime quotidiennement les policiers du 36, quai des Orfèvres depuis 100 ans !
De LANDRU à Guy GEORGES c’est tout un siècle d’affaires célèbres, de grands policiers, d’innovations technologiques au service des citoyens qui ponctueront un espace dédié à l’histoire de la PJ et des Parisiens
Le public découvrira une organisation hors norme et les missions singulières de chacun de ses services, de la pugnace brigade criminelle à la discrète brigade financière, de la célèbre « Mondaine » à la mythique brigade antigang et de tous les services qui luttent, parfois dans l'ombre, contre la criminalité organisée parisienne.
Analyses ADN, recherche d’empreintes, étude de photographies anthropométriques…
Les visiteurs pourront faire « parler » une scène de crime grâce à des animations interactives simulant les techniques de l’enquête.
L’événement sera aussi l’occasion de rencontres avec les professionnels de la PJ et des personnalités passionnées et passionnantes qui partageront leur expérience via un programme de conférences à consulter sur le site internet de l'exposition www.100anspjparis.com. L'exposition est présentée en français et en anglais.
La Société Historique du 10ème, Histoire & Vies du 10e (HV10), propose une exposition déjà présentée à l'hôpital Saint-Louis "Une traversée historique du 10ème". Cette fois, elle se rapproche de notre quartier et s'installe dans l'hôpital Lariboisière.
L'exposition sera visible du 21 au 31 octobre de 9h à 20h, Galerie Bleue, dans l'hôpital, 2 rue Ambroise Paré. L'entrée est libre et si vous ne souhaitez pas déambuler seul, sachez qu'André Krol, secrétaire général d'HV10, fera des visites commentées les mercredi 23 et mardi 29 octobre à 13h. RDV devant la médiathèque (sans inscription).
Le comportement des Français vis à vis du patrimoine est très ambivalent. Le succès de ces journées du patrimoine est incontestable. Plusieurs millions de personnes, partout en France, vont visiter des lieux, partie intégrante de notre Histoire. Mais il est clair aussi que le traitement réservé au patrimoine en France n'est pas à la hauteur de ce qu'il devrait être. Visite t-on l'Elysée, l'hôtel de Matignon ou le Palais Bourbon par curiosité de connaître un lieu de pouvoir ou par son aspect historique ? Qu'il s'agisse de projets aussi emblématiques que celui de l'hôtel Lambert dans l'Ile Saint Louis ou celui plus récent des serres d'Auteuil, reconnaissons que la mobilisation reste assez faible concernant la défense de notre patrimoine. Action Barbès s'est toujours fait le défenseur de notre patrimoine, non pas par conservatisme, mais par souci de préparer un avenir qui dépend aussi de notre passé.
Au delà de ces considérations, nos 9e, 10e & 18e présentent de nombreux lieux ne manquant pas d'intérêt pour une visite. A vous de voir. En lien ci-après, quelques suggestions.
Nous vous avons déjà parlé en Juin 2011 du funeste projet de la Fédération Française de Tennis à propos de l'extension du stade Roland Garros. Très encouragé et soutenu par la Ville de Paris, ce projet refait surface après une première annulation du permis de construire par le tribunal administratif. Une nouvelle demande de permis de construire vient d'être déposée.
Le comité de soutien des serres d'Auteuil nous a fait passer les informations ci-dessous.
Cliquez sur la photo pour accéder au texte
Voilà un beau sujet de débat dans le cadre des prochaines élections municipales.
Une ouverture exceptionnelle de 10 heures à 12 heures et de 15 heures à 17 heures dès jeudi dernier (là l'annonce est un peu tardive, ce sera pour lundi 5 août) : à ne pas rater. C'est une opportunité qui se répètera tous les jeudis et lundis du mois d'août, peut-être pour consoler les Parisiens qui sont restés en ville. C'est un coin de verdure calme et protégé, on dira pour faire littéraire, un havre de paix dans le quartier du Marais...
La bibliothèque historique de la Ville de Paris est installée dans l'Hôtel de Lamoignon : il fait l'angle entre la rue Pavée et la rue des Francs-Bourgeois. Il fut racheté en 1928 par la Ville et restauré de 1940 à 1968. Depuis lors, il abrite les collections de la bibliothèque historique de Paris. Voir ici le chapitre qui lui est consacré sur le site de la Ville.
Bibliothèque historique de Paris, 24, rue Pavée (IVe). M° Saint-Paul.
Doisneau, l’œil des Halles (avec l'aimable coopération du Parisien du 22/07)
Une jeune femme, fonçant vers le métro, s’arrête net, l’œil capté par une immense photo du trou des Halles de Robert Doisneau (1912-1994), accrochée le long d’une palissade, face à la Fnac du Forum. Surprise, elle revient en arrière, rêvasse face à ces images du Paris d’un autre temps, dans le décor même où elle se tient. Alors que le Forum est en chantier, mais que toutes les boutiques restent ouvertes, l’exposition disséminée à travers les places et les allées souterraines du complexe, au vu de tous les passants, à travers d’immenses tirages de Doisneau, raconte cinquante ans du « ventre de Paris ». Ses bouchers, maraîchères, fleuristes, sourient sur ces clichés en noir et blanc. « Ils étaient amusés de voir passer Doisneau, qui mettait son réveil à 3 heures du matin, une ou deux fois par semaine, et travaillait tout seul, en poids léger », raconte Francine Deroudille, sa fille, qui gère le fonds du photographe avec sa sœur Annette. Doisneau vénérait ce cœur nourricier de Paris. Il l’a photographié de 1933 à 1979, jusqu’à sa destruction, le déménagement à Rungis, et la création du Forum. « Mon père s’est passionné pour la disparition des Halles, avec un côté militant qu’on ne lui connaissait pas. Il trouvait un peu criminel la destruction des pavillons Baltard. Il aimait photographier le petit peuple, des modèles laissés pour compte, ajoute sa fille. Je suis sûre qu’il aurait adoré cette exposition en plein chantier, au milieu des gens. » On découvre un « fort des Halles » plus vrai que nature : massif, surpuissant pour manipuler des centaines de kilos de viande. Les voitures aussi respirent l’époque : DS, R5, 4L omniprésentes, R16, 504, et des camions qui semblent dater de la guerre. « Baltard en miettes », « Démolition du dernier pavillon de Baltard » : de 1971 à 1974, les images de Doisneau, méticuleusement datées, gardent l’empreinte des ruines, après les sourires.
« Les Halles de Robert Doisneau », jusqu’au 31 août, promenade fléchée dans le Forum des Halles (Ier), près de l’UGC Ciné Cité, sous la Rotonde, et place Carrée, sur trois niveaux, gratuit.
Le nombre astronomique des tirages de Robert Doisneau permet des exploitations multiples, et la Ville de Paris ne s'en lasse pas. Voici une vidéo faite lors de la précédente exposition, en février-avril 2012, "Doisneau, Paris les Halles", plus exactement lors de son installation. Notez parmi les commentaires de la fille du photographe, Francine Deroudille (photo ci-contre) également commissaire de l'exposition, la présentation des glaneurs d'après marché... Un phénomène qui, s'il a pris de l'ampleur à Barbès, existait déjà largement alors.
Autre souvenir : pour retrouver cette ambiance des halles disparue avec les pavillons Baltard, et si vous êtes amateur de vieux films, tentez de vous procurer Voici le temps des assassins de Julien Duvivier, tourné en 1955-56, en partie en extérieurs sur place. Jean Gabin y incarne un restaurateur, disons un patron de restaurant dans le langage de l'époque, "Aux rendez-vous des Innocents", situé pour le tournage à l'angle des rues Montédour et Rambuteau (Paris 1er).
Et pour tomber totalement dans la nostalgie, regardez cette courte vidéo extraite du film où l'on pouvait encore commander du Chateau Eyquem de 1945... avec l'accent anglais (déjà).
L'hôtel Lambert, dans la nuit de mardi à mercredi 10 juillet. | AFP/KENZO TRIBOUILLARD
L’incendie survenu ces dernières jours à l’hôtel Lambert dans l’île Saint Louis doit nous interpeller. Action Barbès a toujours été un défenseur du patrimoine et quand bien même son combat pour préserver le Louxor originel a-t-il été perdu, l’association n’en reste pas moins convaincue de la nécessité de faire tout ce qui est nécessaire pour le préserver.
L’incendie qui a ravagé l’hôtel Lambert dans la nuit de mardi à mercredi a définitivement détruit une partie d'un joyau de notre culture, c'est-à-dire un peu de nous-mêmes, ce que l’Homme a de meilleur.
La soi-disant rénovation lancée dans des conditions contestables dont nous vous avons déjà parlé est la cause de cet incendie et doit nous interpeller sur le niveau d’intervention acceptable dans des lieux aussi précieux. La destruction du Louxor de 1921 et celle, certes partielle, de l’hôtel Lambert doivent nous faire réfléchir à ce que nous voulons véritablement. Voulons-nous une prépondérance de l’argent, du tape-à-l’œil dans le cadre de travaux dits de « réhabilitation » et qui ne sont en fait que des travaux de destruction du passé pour des satisfactions à court terme souvent mercantiles (réhabilitation de bâtiments anciens en hôtels de luxe par exemple). Certes l’effet de ces destructions est imperceptible aujourd’hui mais une civilisation se perd si ce court terme prédomine, sans, en fait, véritablement construire comme nos ancêtres ont su le faire.
Comme point de comparaison avec un sujet totalement différent, les effets du dérèglement climatique dus aux activités humaines restent encore largement imperceptibles même si des événements particuliers et ponctuels comme la force des ouragans peuvent lui être attribués. Il n’empêche que ce dérèglement climatique est bien là et que nous en subirons, ou plutôt nos enfants, en subiront les conséquences.
Il en est de même pour le patrimoine. Sa destruction n’a pas d’effet immédiat mais la perte de mémoire, voire pire, la réécriture de l’Histoire comme cela a été fait au Louxor, est un risque majeur pour notre société dont nous ferions bien de nous préoccuper avec plus de vigilance et de volonté.
On nous a interrogés sur ce sujet il y a bientôt un mois, une lectrice avisée... et prévoyante. Nous lui avions répondu après avoir nous-mêmes posé la question à la Préfecture de police, qui a pris la peine de répondre par téléphone (et oui !) : en effet, il y aura un seul et unique feu d'artifice le dimanche 14 juillet, sur l'esplanade du Trocadéro.
Pour les détails, voici ce que vous pouviez lire dès le 4 juillet sur le site de la mairie de Paris, paris.fr. Prenez vos dispositions pour dimanche prochain !
Feu d’artifice du 14 juillet, « Liberté, égalité, fraternité » Paris fête la République
La Ville de Paris a confié à la société Fêtes et Feux, la conception du feu d’artifice du 14 juillet sur le thème « Liberté, égalité, fraternité ». Jean-Eric Ougier, maître artificier reconnu, assurera la création artistique de ce spectacle.
Un feu très puissant sera proposé avec près de 25 000 projectiles tirés dont 4 000 bombes de gros calibres afin qu’il soit visible de tous les publics.
Une bande son originale composée de mix de chansons françaises et étrangères accompagnera des textes servis par des personnalités comme Alain Decaux, Macha Meryl, André Dussolier ou Stéphane Bern.
Des effets visuels impressionnants : plus de 100 projecteurs de lumière, des projections d’images, un drapeau tricolore géant déployé sur la Tour Eiffel…
Pour la première fois, le feu sera retransmis en direct et en intégralité sur France Télévisions, Radio France et MFM, permettant au plus grand nombre de profiter pleinement de ce moment exceptionnel.
Informations pratiques : Feu d’artifice à 23h / Accès par le Champ de Mars En direct sur France 2, France Bleu et MFM et sur paris.fr
En prélude au feu d’artifice, tiré depuis le Trocadéro, la Mairie de Paris, France Télévisions et Radio France créent un grand rendez-vous de la musique classique dès 21h30 avec « le Concert de Paris », organisé sur le Champ de Mars.
Prenez le temps d'écouter cette interview de Monsieur Grimaud. Grimaud ? Le préfet Maurice Grimaud. Son nom est resté dans les mémoires des baby boomers qui ont vécu les événements de mai 68, et des autres, car il a su gérer les manifestations et les barricades, maintenir un ordre incertain en rappelant à ses hommes que le métier de policier n'est pas un métier comme les autres — il le dit dans l'entretien avec beaucoup de conviction et un sens aigû de ses responsabilités d'alors —, et malgré les nombreux blessés des deux côtés, on n'a eu à déplorer aucun mort du fait des forces de l'ordre sur le terrain.
Le ton et les souvenirs sont précis, le fond est emprunt de beaucoup d'humanité, comme si parmi ses adversaires qu'il nomme les "galopins", il y avait eu un ou deux fils.... On aimerait que tous les préfets ressemblent au Préfet Grimaud. L'interview date de 2008, elle est en ligne sur le site de la Préfecture de Police.
Un lien vers un échange d'une heure entre le préfet Grimaud et Daniel Cohn-Bendit ici.
Il ne nous a pas échappé que le 8 mai reste attaché à la capitulation de l'Allemagne nazie, en 1945, mais à chacun ses souvenirs...
Toutefois, vous pourrez retrouver des lieux de commémoration de la Seconde guerre mondiale sur le site de Evous avec un historique des grandes dates de la libération.
Bref retour historique grâce au site de l'histoire par l'image ici.
Non, le 1er mai n'est pas qu'une histoire de muguet...
Fourmies. Mai 1891. Cantonnement militaire. Grand-Place. Louis PERRON
Le 1er mai 1891, pour la deuxième fois, les organisations ouvrières du monde entier se préparent à agir par différents moyens dont la grève pour l'obtention de la journée de 8 heures, conformément aux directives de l'Internationale ouvrière. En France, le contexte est plus répressif qu'il ne l'était l’année précédente. A Fourmies, petite ville textile du Nord proche de la frontière belge tout juste sortie d'une longue grève, le patronat a menacé de licenciement les ouvriers qui arrêteraient le travail et obtenu du préfet qu'il mobilise un important dispositif de maintien de l'ordre. En l'absence de forces spécialisées, c'est alors, en France, à l'armée qu'incombe cette mission. Deux compagnies d'infanterie ont été mobilisées. En fin de journée, les soldats tirent sur quelques centaines de manifestants qui tentent d'obtenir la libération de grévistes interpellés dans la matinée et emprisonnés dans la mairie. Les affrontements se soldent par neuf morts, dont quatre jeunes femmes et un enfant. Ces morts, promus martyrs, vont devenir un symbole de la République répressive et de classe. « Car à Fourmies, c'est sur une gamine que le lebel fit son premier essai… » (Montéhus).
Auteure : Danielle TARTAKOWSKY
Fourmies est resté très présent dans l'histoire des mouvements ouvriers mais aussi dans l'histoire du maintien de l'ordre par l'autorité publique. Au point de retrouver son évocation dans des ouvrages plus d'un siècle plus tard. Ci-dessous, d'Odette Hardy-Hémery, L'envers d'une fusillade, Fourmies, 1er mai 1891; Un patron face à la grève. Ed. L'Harmattan, 1996.