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Histoire - Page 13

  • Histoire de Lariboisière : 2. Le Versailles de la misère

    L'hôpital Lariboisière est actuellement en train de connaître de grands changements avec le lancement du "Nouveau Lariboisière" qui bouleversera à terme la physionomie de cet établissement hospitalier parisien situé au Nord du dixième arrondissement à quelques mètres du carrefour Barbès ainsi que du quartier qui l'entoure. À cette occasion, nous consacrons une série estivale d'articles consacrés à l'histoire de l'hôpital Lariboisière en s'intéressant particulièrement aux bâtiments et à leur environnement urbain.

    1. Le clos Saint-Lazare
    2. Le Versailles de la misère
    3. 1848 : La République chasse Louis-Philippe
    4. Une comtesse remplace la République
    5. Évolutions, extensions, rénovations...

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  • Histoire de Lariboisière : 1. Le clos Saint-Lazare

    L'hôpital Lariboisière est actuellement en train de connaître de grands changements avec le lancement du "Nouveau Lariboisière" qui va bouleverser à terme la physionomie de cet établissement hospitalier parisien situé au Nord du dixième arrondissement à quelques mètres du carrefour Barbès, ainsi que du quartier qui l'entoure. À cette occasion, nous consacrons une série estivale d'articles consacrés à l'histoire de l'hôpital Lariboisière en s'intéressant particulièrement aux bâtiments et à leur environnement urbain.

    1. Le clos Saint-Lazare
    2. Le Versailles de la misère
    3. 1848 : La République chasse Louis-Philippe
    4. Une comtesse remplace la République
    5. Évolutions, extensions, rénovations...

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  • Un amoureux des quartiers populaires

    Nous nous autorisons une petite sortie de notre périmètre habituel pour vous inviter à une exposition de photographie de Willy Ronis, car c'est lui que nous désignons comme un amoureux des quartiers populaires. La ville de Paris à l'occasion de son quatre-vingt-quinzième anniversaire lui avait rendu hommage, début 2006, et saluait le grand photographe qui avait su garder un regard tendre sur le Paris populaire du 20e siècle. 

    Nous le saluons aussi un peu comme voisin, puisque né au 8 de la cité Condorcet, juste à côté de la place Turgot, où ses parents, fuyant les pogroms, les migrants de l'époque, déjà..., s'étaient installés. C'est le 14 août 1910 qu'il voit le jour dans cette  cité Condorcet, où il résidera  jusqu'en 1936. 

    Cette très belle rétrospective réunit 590 clichés du photographe, lauréat du Grand Prix national de la photographie en 1979 et du prix Nadar en 1981. Pour l'occasion, et pour fêter les dix ans du Pavillon Carré de Baudouin, la mairie du 20e a offert ce lieu magnifique à une exposition non moins exceptionnelle. 

     

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    Photo : Autoportrait aux flashes, 1951. 

     

    Quand ? Jusqu’au 29 septembre, du mardi au samedi de 11h à 18h. Visites commentées chaque samedi à 15h.
    Où ? Pavillon Carré de Baudouin, 121, rue de Ménilmontant, 20e.
    Combien ? Entrée libre !

     

    Rencontrer le photographe ? Ce cher institut national de l'audiovisuel (l'Ina) a su garder quelques petites vidéos qui nous permettent de voir Willy Ronis dans les rues de Belleville qu'il aimait tant, un peu déboussolé malgré tout devant les rénovations qui ont bouleversé son paysage. 



  • Evolution de la nature à Paris depuis 1730 : rapport intéressant de l'apur

    L'atelier parisien d'urbanisme (apur) a édité un intéressant rapport sur l'évolution de la nature à Paris depuis 1730, un travail étayé par une large cartographie. On y apprend qu'à cette époque de début du 18e siècle, la nature occupait quasiment les ¾ du Paris d'aujourd'hui en maraîchages, arboriculture, bois et encore jardins privés. Avec en plus les productions de la petite couronne, la quasi-totalité des besoins en fruits et légumes était couverte. De quoi faire rêver les citadins en mal de verdure et les défenseurs des circuits courts. La situation évoluera ensuite avec la disparition de ces terrains cultivés au début du 20e siècle. Aujourd'hui, il faut aller bien au-delà de la grande couronne même si des espaces de cueillette existent, de façon isolée, comme par exemple en Seine-et-Marne ou dans les Yvelines.

    Aujourd'hui, on recherche le moindre espace pour cultiver et on voit ici et là plusieurs expériences prendre vie sur les toits parisiens, comme sur celui de la poste du boulevard de la Chapelle (voir photo ci-dessous) ou en sous-sol porte de la Chapelle (réécouter le reportage réalisé par France Inter le 16 octobre 2017).

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    En 2019, on devrait voir les premières récoltes du plus grand toit cultivé (7000m2) toujours dans le nord du 18e arrondissement (lire l'article du Parisien du 26 février 2018)

    L'étude évoque aussi les nombreux jardins et parcs et les arbres plantés notamment sous Haussmann (préfet de la Seine de 1853 à 1870). L'ensemble du document d'une trentaine de pages illustrées et d'une cartographie détaillée vaut le détour. Merci l'apur !

    Les amateurs peuvent retrouver l'intégralité du travail réalisé ici. Il existe également une carte interactive.

  • La piscine des Amiraux en rénovation : une bande audio...

    Nous vous proposons de découvrir "Paris fait Paris, le podcast" : 

    Chaque premier mercredi du mois un bâtiment parisien en chantier est présenté à travers une visite sonore en immersion dans les coulisses de sa construction. L’architecte et les principaux intervenants du chantier nous racontent les grandes lignes et les petites histoires de l’ouvrage.

     

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    La piscine des Amiraux, 6 Rue Hermann-Lachapelle, Paris 18e. 

     

    La piscine des Amiraux est une construction remarquable située dans le 18e arrondissement, sortie des plans de l'architecte Henri Sauvage, en 1930 et classée à l’inventaire des monuments historiques, selon le site de la ville, depuis mars 1993. Une visite de chantier, organisée par le Conseil d'architecture, d'urbanisme et d'environnement de Paris (CAUE) a eu lieu en juin 2017. Cette visite a été mise en onde et est disponible sur le site de la ville (au même titre que d'autres, que nous vous laissons découvrir). On doit la restauration à François Châtillon, architecte en chef du patrimoine, qui nous explique son travail en vidéo ici

    La fameuse piscine d'Amélie Poulain dans le film de Jean-Pierre Jeunet a rouvert ses portes le 8 novembre dernier, et l'événement lui a valu un article dans le Parisien, parmi d'autres.

    Note : 

    Pour découvrir d'autres chantiers de rénovation de notre patrimoine parisien, abonnez-vous, gratuitement,  sur les principales plateformes de podcast ci-dessous et écoutez l'intégralité des visites de "Paris fait Paris"

    Emissions produites par tema.archi, à l’initiative de la Direction des Constructions Publiques et de l’Architecture de Paris et du Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de Paris.