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Histoire - Page 12

  • Ce soir : l'orchestre d'Harmonie du Chemin de Fer du Nord

    L'inauguration de l’événement "1914-2014, Du pain & des liens" se fera en musique, sur le parvis de la Gare de l'Est à 19h, avec un concert de l'Orchestre d'Harmonie du Chemin de Fer du Nord (fondée en 1893, avec un premier concert donné la même année au square Saint-Bernard qu'Action Barbès connait bien).

    Un événement à ne rater sous aucun prétexte, pour bien commencer le week-end, clôturer en grande pompe le colloque "Gares en Guerre, 1914-1918" et découvrir à cette occasion l'Expo 14 s'affichant dans les halles de la gare et sur les grilles de son parvis...   

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    Pour retrouver les paroles des airs populaires chantés pendant ce concert, cliquez ici.

     

  • L'expo "14: Visages et vestiges de la Grande Guerre"

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    Nous avons déjà évoqué quelques événements, qui se déroulent actuellement dans le 10e avec le label de la Mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale: le colloque "Gares en Guerre 1914-1918", le parcours "1914-2014, du pain et des liens" sur le parvis de la Gare de l'Est et enfin l'exposition "Le 10e dans la Guerre" (que vous pourrez voir en Mairie du 10e jusqu'au 24 septembre).

    En vous rendant à la Gare de l'Est, notamment dans le cadre de l'événement se déroulant sur le parvis, vous pourrez également découvrir l'exposition "14, Visages et Vestiges de la Grande Guerre" rendant hommage aux millions de soldats qui ont transité pour aller combattre. 

    Nous avions déjà, mais trop rapidement, mentionné cette exposition au début d'un de nos articles en mars dernier. Nous revenons plus en détail sur cette très originale présentation de 80 photographies grands formats, à la Gare de l'Est, à l'intérieur des différents halls et sur les grilles du Parvis, depuis fin juin et jusqu'au 30 novembre 2014.

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    © Expo 14 / Didier Pazery

    Cette "Expo 14" est une installation spectaculaire de photographies uniques réalisées par Didier Pazery: des portraits des derniers survivants, réalisés entre 1996 et 2007 (avant la disparition du dernier des Poilus: Lazare Ponticelli, en 2008), des paysages sur les champs de batailles de l'ancienne ligne de front (traversant l'Est de la France), des natures mortes d'objets (masque à gaz, projectiles, casque respiratoire, matraques etc.) appartenant à la collection de l'historien Jean-Pierre Verney cédée au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux (ouvert le 11 novembre 2011 et désormais incontournable pour comprendre la Première Guerre mondiale).

    Avant que vous ne découvriez vous-même cette exposition dans le lieu emblématique de la Gare de l'Est, voici quelques impressions en vidéo : 


     

    L'Expo 14 a aussi son site internet, que vous pouvez découvrir en cliquant ici. Elle sera également présentée à Altkirch (située sur l'ancien front de 14-18, dans le Haut-Rhin, en Alsace) du 10 octobre au 14 novembre 2014.

     

    exposition-photos,centenaire-1914-1918,grande-guerre,guerre-14-18,gare-de-l-est,didier-pazeryPour retrouver ces photos, nous vous recommandons ce très beau livre de l'Expo 14, qui associe ces portraits des ultimes témoins de la Grande Guerre et les récits de ces survivants, aux photos d'objets sélectionnés du Musée de Meaux et de paysages de l'ancien front:

    "14, Visages et vestiges de la Grande Guerre"

    de Didier Pazery, aux éditions Michalon.

    Vous pouvez rechercher ce bel ouvrage, dans une librairie proche de chez vous, avec l'aide par exemple via le site parislibrairies.fr que nous avions déjà évoqué (cf. notre article "Des livres à portée de main").

    Nous avons ainsi déjà effectué la recherche des librairies où ce livre est actuellement disponible; pour les résultats, cliquez ici.

      

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  • Parvis de la Gare de l'Est : "1914-2014, Du pain & des liens" !

    Outre le colloque "Gares en Guerre 1914-1918" et l'exposition "Le 10e dans la Guerre", un projet présentera, à partir de vendredi après-midi, d'une part, le rôle essentiel de la gare comme "sas" entre le front et l'Arrière et, d'autre part, la question de l'alimentation des soldats pendant la Grande Guerre.

    Cet événement "1914-2014, Du pain & des liens" vous sensibilisera au rôle de la nourriture durant la Première Guerre Mondiale, devenant un moment de partage et le symbole de la solidarité entre les permissionnaires et la population civile. Et c'est à la Gare de l'Est, carrefour entre les soldats mobilisés et leurs familles, que sont exprimées ces émotions, entre les départs, les retrouvailles et les peurs.

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    Cet événement se déroulera sur le parvis de la Gare de l'Est du vendredi 5 septembre à partir de 14h jusqu'au dimanche 7 septembre (chaque jour dès 9h), et se composera d'un parcours dans un univers sonore et participatif. Les visiteurs et les passants seront ainsi conviés à un univers sensoriel, inspiré par le travail d'Emmanuelle Cronier (Maître de conférence en histoire contemporaine à l'université Picardie-Jules Verne) avec une scénographie conçue par les étudiants de l'une des plus grandes écoles d'art et de design en Europe, l'Ecole Boulle.

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     Cliquez sur l'affiche pour télécharger le programme détaillé.

     

    Ouvert dès 14h vendredi 5 septembre, l’événement sera inauguré à 18h. A 19h, vous pourrez assister au concert de l'Orchestre d'harmonie du chemin de fer du Nord.

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    Plusieurs visites guidées (du parcours mais aussi de la Gare de l'Est, du quartier des 2 Gares) sont proposées pendant cette exposition. L'inscription pour ces visites (dans la limite des places disponibles) se fait en cliquant soit sur les liens dans le programme téléchargeable ci-dessus soit sur le site de "Rails et histoire" ici.

    Vous pourrez également y découvrir, en avant-première (avant son exposition au musée La Piscine de Roubaix) l'oeuvre "Wool War One" de la plasticienne Délit Maille, qui sera présente à la Gare de l'Est le dimanche 7 septembre à 15h pour présenter son projet (Délit Maille vous invite également à découvrir sur sa page Facebook les différents personnages de "Wool War One").

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     © Délit Maille

  • Conférence "Guerre à la Guerre"

    Dans le cadre du colloque "Gares en Guerre", la présidente d'honneur de la société historique du 10e Histoire & Vies du 10e, Jeannine Christophe, vous invite à sa communication "Guerre à la Guerre" d'après l'oeuvre de l'illustrateur Théophile-Alexandre Steinlen (1859-1923) en Mairie du 10e:

     

    le mercredi 3 septembre à 11h

     

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    © Bibliothèque de documentation internationale contemporaine / MHC

     

    A cette occasion, vous pourrez visiter l'exposition de photos "Le 10e dans la Guerre".

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  • Exposition "Le 10e dans la Guerre"

    Outre le colloque "Gares en Guerre" qui se déroulera dans la 2e moitié de la semaine (cf. notre article du 31 août), la Mairie du 10e présente des photographies d'époque du 3 au 24 septembre, pour illustrer l'impact sur le 10e, arrondissement sans doute le plus touché de Paris, du fait de la présence sur son territoire des gares de l'Est et du Nord.

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    Le vernissage de cette exposition "Le 10e dans la Guerre", proposée par la société historique du 10e Histoire & Vies du 10e et avec la collaboration de Rails et histoire, aura lieu à la Mairie du 10e:

     

    le jeudi 4 septembre à 19h

     

    (Invitation téléchargeable ici)

     

  • Colloque "Gares en guerre (1914-1918)"

    colloque,h&v-du-10e,ahicf,mairie-du-10eDans le cadre de la célébration du centenaire de la Première Guerre Mondiale, voici un colloque très complet mettant en avant le rôle essentiel joué par les gares et le système ferroviaire pendant la Grande Guerre et montrant comment la gare est devenue un lieu de mémoire du départ des soldats sur le front.

    Organisé conjointement par l'Association pour l'histoire des chemins de fer ("AHICF": Rails et histoire) et la société historique du 10e (Histoire & Vies du 10e), le colloque se déroulera à la Mairie du 10e du mercredi 3 au vendredi 5 septembre. 

    Le colloque permettra à près d'une trentaine d'intervenants d'évoquer sous différents angles (scientifique, économique, architectural, culturel, littéraire, artistique, historique et sur le plan de la mobilité) différents sujets: les transports exceptionnels, la gare comme sas entre le front et l'arrière, la gare régulatrice, les constructions et reconstructions.

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    Cliquez sur l'affiche pour télécharger le programme complet.

    (Bulletin d'inscription en dernière page)

     

    Ce colloque est gratuit mais l'inscription est obligatoire, soit via le bulletin d'inscription téléchargeable ci-dessus, soit par mail à contact@ahicf.com.

    Vous pouvez aussi vous inscrire en ligne au Colloque en cliquant ici. La date limite théorique est le lundi 1er septembre (afin de faciliter son organisation), mais l'inscription sur place, dès le mercredi 3 septembre, devrait être possible dans la mesure des places disponibles.

     

  • 1897 le dernier des ponts de la Goutte d'Or enjambe les voies

    Les vacances et les loisirs ont cela de bon qu'ils permettent de surfer tranquillement sur la toile et de lire des articles passionnants. Tel celui-ci dans le blog de 28 rue Affre, histoire ordinaire d'un immeuble de la Goutte d'Or.

    On y apprend qu'il y a exactement 117 ans des ingénieurs et entrepreneurs qualifiés mais aussi avant-gardistes réussissaient à lancer le pont Jean-François Lépine par-dessus les voies de la Gare du Nord sans piliers intermédiaires. Et cela en deux jours ! Les 23 et 24 août 1897. 

    Voici un paragraphe extrait de la Science Française n° 132, août 1897 qui explique la nécessité de faire glisser la structure sans l'aide d'éventuelles piles :

     

    Ce pont traverse la vaste tranchée de la ligne du chemin de fer du Nord et exactement à l'endroit de la « bretelle » de jonction de toutes les voies. On désigne sous le nom de bretelle une série d'aiguilles qui permet de faire passer les trains sur toutes les lignes aboutissant à la gare d'arrivée ou s'éloignant de celle-ci.

    C'est un enchevêtrement de rails en ligne droite et en biais, qui supprime tout espace libre; il n'y a pas en quelque sorte d'entre-voie sur ce point et il était donc impossible de placer là un pont à piliers, ni même d'élever un échafaudage pour le montage sur place.

     

    Le risque évident, c'est que passé le point d'équilibre où la masse du pont située au-dessus du vide est plus importante que celle reposant sur la terre ferme de la zone de départ, le tout bascule.... Mais c'est sans compter avec "l'avant-bec", qui pose un autre problème quand il touche l'autre rive... Et bien, non... le pari a été tenu ! Et sans interrompre la circulation des trains. Lisez les explications suivantes de la Science Française : 

     

    Le pont fut placé sur une série de galets, huit treuils furent solidement fixés, et on procéda à l'opération. C'est en apparence très simple: quatre chaînes sont attachées de chaque côté de l'extrémité du pont qui reste sur la rive; ces chaînes vont sous le pont passer sous des poulies de renvoi et reviennent s'engager sur les treuils. Deux autres chaînes sont fixées directement. Les quatre chaînes font avancer, les deux autres retiennent, et cela est si bien agencé que seize hommes suffisent pour faire déplacer cette masse de fer de quatre cent cinquante tonnes. 


    L'avant-bec ayant passé, on commença à faire avancer le pont. Tant que l'avant-bec dépasse, cela va bien, il est supporté par le poids du pont qui lui est quatre fois supérieur mais là où l'opération devient épineuse, c'est quand l'avant-bec prend son appui de l'autre côté. 

    En effet, le pont, à partir de ce moment, n'est plus en équilibre et naturellement tend à basculer, c'est là où l'avant-bec entre en travail, et plus cela va, plus le travail augmente car le poids du pont s'accroît. 

    Il y a un moment émotionnant, car cette opération est très périlleuse ; mais tout avait été disposé en prévision du basculage, qui couperait les voies et bloquerait la gare. Les trains n'ont pas cessé de circuler, le « basculage » ne s'est pas produit, et les craintes des ingénieurs du chemin de fer se sont dissipées.

     

    Nous aimons particulièrement ce "moment émotionnant" qui nous "émotionne" aussi gravement, même cent ans plus tard !

    Pour mieux comprendre les termes techniques que relate l'article de la Science Moderne de 1897, nous vous engageons à visiter le blog de 28 rue Affre qui présente de nombreuses illustrations d'époque. Vous y trouverez également des articles sur la Goutte d'Or. Faites comme nous, profitez de vos vacances pour découvrir... 

  • La Libération de Paris

    Pour visualiser les victimes de la Libération de Paris de cette fin de mois d'août 1944, évoquées par des plaques commémoratives sur nos façades, un journaliste, Julien Jégo, a créé une carte interactive dont nous vous présentons une partie ci-dessous et à laquelle vous pouvez accéder en cliquant sur l'image. 

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    On remarque que le 10e a été rudement frappé. Les points de couleurs signalent les fonctions des personnes abattues dans les combats. Les points jaunes, les plus nombreux ci-dessus, sont des FFI.

  • Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

    C'est un centenaire aux multiples commémorations qui nous rapproche toutefois de notre quartier :  se souvenir que Jean Jaurès a été assassiné le 31 juillet 1914 alors qu'il dîne au café du Croissant, rue Montmartre (2e), à deux pas du siège de son journal, L'Humanité, par Raoul Villain. C'était trois jours avant le début de la Première Guerre Mondiale. 

    Raoul Villain

     

     

     

     

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  • Dimanche au Bourget

    Peu se souviendront de Dimanche à Orly, une chanson de Gilbert Bécaud.. C'était un clin d'oeil ! Tant pis. De toute façon ce sont les 100 ans de l'aéroport du Bourget, pas d'Orly.

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    Barbès n'a pas grand chose à voir avec l'aviation en général, mais nous avons parmi nos lecteurs-rédacteurs un passionné d'objets volants et c'est dans cet esprit que nous publions la présente invitation aux 100 ans de l'aéroport du Bourget. 

  • Sauvons le Musée des Moulages de l'hôpital Saint-Louis !

    Regardez cette jolie petite vidéo ! Son message est clair : il faut sauver le musée des moulages de l'hôpital Saint-Louis !

     

    Mais qu'est-ce que le musée des moulages ?

    "Le Musée des Moulages de l’hôpital Saint-Louis contient la plus importante collection de cires dermatologiques au monde et il est le seul musée hospitalier parisien visible aujourd’hui dans son état originel. Il constitue un témoignage exceptionnel pour l’histoire de la dermatologie et des maladies vénériennes." nous dit le site des hôpitaux universitaires Saint-Louis, Lariboisière et Fernand-Widal. Ses activités sont décrites sur la page dédiée au musée sur le site de l'hôpital Saint-Louis.

    Certes, dessins et moulages de ces maladies dermatologiques ne sont pas toujours très agréables à regarder comme un reportage d'Allodocteurs diffusé sur France5.fr le montre. Néanmoins, dessins et moulages ont contribué, à coup sûr, à faire progresser et transmettre les connaissances pour faire de l'hôpital Saint-Louis un des meilleurs établissements pour cette spécialité, si ce n'est le meilleur en France.

    Mais le toit du musée des moulages fuit ! C'est un appel à l'aide qui est envoyé et donc une demande de don. Le montant des travaux est estimé à 600 000 €.

    Le sujet a fait l'objet d'un voeu présenté par l'association Histoire et Vie du 10e devant le conseil d'arrondissement en octobre 2012. La mairie du 10e, tout en reconnaissant la qualité de ce musée et son caractère patrimonial, a botté en touche disant que le projet de rénovation dépendait d'abord de l'AP-HP comme l'indique le compte-rendu du conseil. Dommage !

    Alors, pour toute question et don éventuel, vous pouvez écrire à l’adresse suivante : musee.moulages@sls.aphp.fr Téléphone : 01 42 49 99 15.

    Merci pour eux !

  • De Charles-Rollin à Jacques-Decour

    Dans le cadre de la journée nationale de la Résistance, l’association « Sauvons le patrimoine du lycée Jacques-Decour ! » a organisé le mardi 27 mai un hommage à Jacques Decour afin de célébrer le 70e anniversaire du changement de nom de cet établissement.

    Situé au numéro 12 de l’avenue Trudaine, l’actuel lycée tient son nom de Daniel Decourdemanche dit Jacques Decour, homme de lettres et Résistant.

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    Photo parue dans le journal Le Franc Tireur le 8 septembre 1944

    La Libération de Paris n’a pas commencé en ce mercredi 23 août 1944 qu’un groupe de Résistants animé par un professeur du lycée Rollin, son nom d'alors, déploie une banderole sur la façade du bâtiment afin de le rebaptiser lycée Decourdemanche. Cette appellation est confirmée quelques jours plus tard, le 1er septembre, par le ministre de l’Education mais le lycée prendra officiellement le nom de Jacques Decour avec l’arrêté du 12 octobre 1945 publié au Journal Officiel. C’est là l’unique exemple de changement de nom d’un lycée en France à la Libération.

    Mais qui était Jacques Decour ? Quels étaient ses engagements ?

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