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Action Barbès - Page 258

  • Exposition dans le lycée Jacques-Decour du 10 au 13

    Le collectif des arts 9e et 18e présente les artistes du quartier

    Le collectif des riverains des boulevards de Clichy et Rochechouart renouvelle son action en faveur de l'art et des artistes de notre quartier en organisant une exposition des oeuvres des peintres, des sculpteurs des aquarellistes, des photographes qui demeurent entre 9e et 18e. L'exposition a lieu dans l'enceinte du lycée Jacques-Decour et l'entrée est libre.
    Les horaires :
    vendredi 10 juin de 18h à 21 h
    samedi 11 juin de 10 h à 20 h
    dimanche 12 juin de 10 h à 20 h
    lundi 13 juin de 10 h à 19 h

    C'est une magnifique occasion (il faudra sinon attendre les journées du patrimoine en septembre) de découvrir également la cour d'honneur et les arcades.  Etablissement  austère de l'extérieur, Jacques-Decour séduit par son charme coloré à l'intérieur, grâce aux parterres de fleurs et aux mosaïques. L'occasion d'un peu de nostalgie pour les anciens élèves peut-être ?

  • le double sens sur les Grands Boulevards vu du 9e

    ce soir à la mairie du 9e, Salle du Conseil, à 19 heures


    Une réunion publique de concertation concernant la mise à double sens des Grands Boulevards (depuis le carrefour Richelieu-Drouot jusqu'à la place de la République) se tiendra mercredi 8 juin à 19h à la Mairie du 9e. Vous avez des questions ? N'hésitez pas à venir vous exprimer.
    Mme Véron, adjointe au Maire du 9e, en charge de la Voirie, de l'Urbanisme et de l'Habitat, Mme Huard, chef du Service des Aménagements et des Grands Projets de la Ville de Paris, ainsi que Mme Céline Richet-Martin, de l'Agence de Conduite d'Opérations, seront présentes.

    Suite de la réunion du 30 mars, dans le 10e.

  • Propreté : la suite du CICA 10e

    Les blogueurs aussi ont des week ends prolongés qui perturbent leur communication…

    Ainsi l’article sur la propreté dans le 10e nous a échappé sans que nous ayons confié aux flux cybernétiques tout le fond de notre pensée et de votre information, éventuellement.

    Avant d’abandonner Paris pour des contrées moins polluées, nous évoquions jeudi matin les concentrations de mégots que nous avons tous vues devant les terrasses fermées de café, interdites au fumeurs depuis janvier 2008, mais aussi devant les immeubles de bureaux, que le personnel délaisse quelques instants pour une pause cigarette. Une des premières mesures de la Ville, a rappelé François Dagnaud, a été de renoncer à tout droit de voirie pour l’installation de cendriers privés sur le trottoir. En effet, la Ville perçoit une taxe pour tout mobilier implanté sur l’espace public, et cette implantation est soumise à autorisation préalable, quand les choses sont faites dans le respect du règlement…. La gratuité pour ces cendriers était une incitation réelle, mais elle n’a pas été suivie par un réel engouement, ni de la part des gérants de bars et de restaurants, ni même des responsables d’entreprises ou de leur comité d’entreprise, qui auraient pu prendre le relais.

    Il n’est qu’à observer au bout de combien de mois l’antenne de la préfecture de police située au 6 rue du Delta a enfin disposé un cendrier au seuil de ses bureaux. N’est ce pas pourtant ce type d’institution qui doit montrer le bon exemple ?

    paris,propreté,tabac,mégots,caniveaux,cigarettes, pisseurs, urinesLa DPE a également cartographié le 10e avec ce qu’on pourrait appeler les points noirs repérés, de façon à les observer sur le temps et sans doute à les traiter. Parmi ceux-ci les concentrations de mégots que nous venons d’évoquer, les lieux de dépôts sauvages récurrents, les rues ou tronçons de rue à chiens, les recoins à épanchements d’urine, à fientes de pigeons, etc.

    La coopération entre plusieurs services de la Ville a sans doute permis l’émergence de solutions plus ciblées : l’aménagement de l’espace public de façon à perturber les mauvaises habitudes. Par des ajouts de stationnement deux roues ou l’implantation de bacs à plantes, on peut peut-être dissuader les dépôts sauvages ou les « pisseurs »… On va le tenter en tout cas. L’avenir le dira.

    paris,9e,propreté,dpe,lavage-du-trottoir,collecteMais François Dagnaud a également mentionné les comportements inacceptables de certaines entreprises de rénovation qui se débarrassent à bon compte de leurs gravats ou de sanitaires usagés au pied des immeubles, très tôt le matin, ou même en fin de journée, en n’emportant pas la cuvette de WC cassée ou le receveur de douche, pourtant facturés au client sous l’intitulé désuet « enlèvement des gravois ». Comment les « coincer » en flagrant délit de pollution environnementale ? La DPE a négocié avec ses inspecteurs (la CAPP) des horaires de travail et de présence sur les lieux plus en phase avec la réalité du terrain. Cela suffira-t-il ?

    La verbalisation ne fait pas tout, mais c’est elle, néanmoins, qui a contribué à remettre dans le droit chemin nombre de propriétaires de chien qui ne respectaient pas les règles sanitaires urbaines. Il y a quelques années, l’amende qui les pénalisait quand un inspecteur les prenait en flagrant délit de fuite… s’élevait à 183 euros. Plutôt dissuasif. Mais bientôt, la Préfecture de police a rappelé que le code pénal limitait la sanction encourue pour déjection animale sur la voie publique à une amende de 2e catégorie dont le montant est… 35 euros. Pas sûr qu’à ce tarif, les crottes de chien ne soient pas restées encore plus longtemps sur nos trottoirs en grand nombre. Toujours dans le cadre de la prévention/répression, les OCNA (opération concertée de nettoyage approfondi) vont faire place à des opérations "civilité de proximité", plus courtes, deux fois trois jours, selon le même mode opératoire, d’abord information auprès du citoyen, particulier ou commerçant, puis verbalisation des infractions. Des courriers du maire seront envoyés en nombre pour rappeler les règles, puis des contacts entre les agents et les syndics et gardiens d’immeuble devraient sensibiliser la société au coût non négligeable que représentent les services de la propreté dans une ville comme Paris, à savoir un demi milliard d’euros par an !

    Pour relativiser la problématique, nous vous conseillons la lecture des échanges entre François Dagnaud et l'association Vivre le Marais ! (sur leur blog) qui fait grosso modo les mêmes reproches avec quelques variantes. On se sent moins seuls.

  • Qu'avons-nous appris au CICA Propreté du 10e ?

     

    Bien sûr, nous étions mardi soir dans la salle des mariages de la mairie du 10e, où se tenait le CICA, conseil d'initiative et de consultation d'arrondissement. Le CICA est l'équivalent d'un conseil d'arrondissement, dans lequel siègent tous les élus de l'arrondissement, venus entendre les associations sur un thème choisi par le bureau du CICA, élu à cet effet. Le thème choisi était donc la Propreté, dont on sait par ailleurs que le maire, Rémi Féraud, y attache beaucoup d'importance, puisqu'il a pris à sa charge cette délégation en plus de ses missions tradionnelles.

    Le Directeur de la propreté et de l'eau, Didier Dely, et l'adjoint au maire de Paris, chargé de la Propreté, François Dagnaud, étaient présents. Présent aussi Jean-Paul Bidaud, le chef de la section locale de la DPE pour le 9e et le 10e,  qui est parallèlement le coordonnateur de l'espace public du 9e. Nous connaissons particulièrement bien, les bureaux et locaux, situés 75 rue du faubourg Poissonnière, de l'époque  où les membres des conseils de quartier étaient réquisitionnés - sur la base du volontariat quand même - pour élaborer des relevés de malpropreté dans des rues tirées au sort, et cela à des heures matinales... Certains des lecteurs s'en souviendront !

    Dans la salle, beaucoup de représentants de copropriétés, de simples citoyens, des habitants, mais peu d'associatifs finalement, car la consigne avait été donnée au travers des conseils de quartier d'inviter tous les habitués de leurs réunions publiques. Saluons le coup de pouce démocratique et l'invitation à une plus large participation civique.

    "nettoyer mieux et moins salir"

    Je ne sais pas pour quelles raisons j'entends "travailler plus pour gagner plus" dans cette formule de François Dagnaud que nous partageons au demeurant. Peut-être parce que miser sur la communication, - le poids des mots, à défaut du choc des images - n'est pas aussi efficace que le pense l'adjoint au maire de Paris, comme d'autres au sommet de l'Etat l'ont pensé. Comme l'a fait remarquer Elisabeth Carteron, présidente d'Action Barbès, juste après l'introduction de François Dagnaud, une majorité des salisseurs ne sont pas les payeurs, et ne le seront jamais, car les moyens dont dispose la DPE en terme de contrôles, de respect des règles sanitaires, ne sont pas à la hauteur de la tâche, et ne le seront pas à l'avenir. La vraie question est : comment faire changer les comportements ?

    Il nous a toutefois semblé qu'on s'orientait vers des actions plus ciblées, moins globales. On s'adressera davantage aux individus qu'aux masses anonymes. C'est du moins ce que nous avons compris. Par ailleurs, il est apparu que la réflexion des services les conduit à repenser certains aménagements de voiries (je serai tentée de penser que l'observation transversale sur l'espace public n'y est pas étrangère...). En effet, le pisseur classique ne s'exhibe pas, il choisit un recoin, même sous l'effet d'un état éthylique avancé, il sait reconnaître un recoin, malheureusemenet souvent aussi un angle de portail. L'action de la DPE serait donc de repérer les recoins propices, puis de les transformer par l'ajout de bacs de plantation, ou de stationnements pour cycles....

    Autre exemple, les concentrations de mégots qui ont fleuri après l'interdiction de fumer dans les lieux clos. Restaurants, cafés, bars, mais aussi les bureaux, les surfaces commerciales...

  • Accueil mitigé réservé aux bâches publicitaires sur les façades d'immeuble

    Au bon temps du Grenelle II de l’environnement, quelle était donc l’intention des inspirateurs du décret qui vise à étendre l’autorisation de la publicité sur les bâches de chantier de rénovation des immeubles d’habitations en copropriété ?

    Créer une incitation forte en direction des copropriétaires en faveur de la rénovation énergétique en leur procurant une source de revenus jusque là non envisagée (la location mensuelle d’un bon emplacement peut rapporter plusieurs dizaines de milliers d’euros) ?

    Mais néanmoins

    Limiter l’impact de la pollution visuelle en n’autorisant l’affichage publicitaire que sur une surface de 12 m2 ? (plutôt que 50 % de la surface totale comme sur les monuments)

    Et permettre aux pouvoirs publics de garder un regard sur le marché en soumettant les installations à autorisation préalable ?

    On peut déjà noter des réactions négatives des deux côtés :

    Les anti-pub protestent contre cette ouverture à la publicité sur les façades, après une autorisation assez semblable pour les monuments historiques (en février ce décret avait fait l'objet d'un sondage dans Le Figaro qui laissait apparaître que 6 lecteurs sur 10 y étaient plutôt défavorables). Sans parler des zones à publicité renforcée toujours en place à Paris, comme sur la place Pigalle ou près des gares, des périphériques, aux entrées de Paris… qui ne sont pas du meilleur effet et qui déplaisent.

    dior_conciergerie.jpgLe 17 mai, le Conseil de Paris a d'ailleurs voté un voeu pour réduire la taille des surfaces publicitaires sur les bâches de chantier des monuments parisiens (pour l'instant elles ne doivent pas excéder 50% de la surface totale de la bâche). La Ville souhaite ramener la proportion à 16% et orienter les annonceurs vers des idées originales, sinon esthétiques. Une meilleure intégration dans l'environnement... Le vrai débat aura lieu au moment de la discussion sur le nouveau réglement de la publiclité en juin.

    Pour autant le décret prévu pour la mi-juillet ne satisfait pas non plus les professionnels de l’immobilier. Ils arguent que la surface autorisée n’est qu’un confetti (un timbre poste, auraient-ils dit) et qu’elle ne peut intéresser les publicitaires confrontés au coût élevé de la confection de la bâche et de l’impression publicitaire sur celle-ci.

    Alors ? S’agit-il d’une cote mal taillée ? On a cédé aux pressions, mais pas totalement. D’ailleurs, est-ce bien équitable d’offrir à travers la publicité des moyens financiers à certaines copropriétés plutôt qu’à d’autres ? Il semble acquis que les bons emplacements (fréquence de passage, perspective intéressante, retrait sur boulevard, place) seront estimés à des tarifs de location supérieurs à d’autres moins bien situés, et qu’il est tout aussi important de rénover, voire d’améliorer le bilan énergétique de ceux-ci comme de ceux-là. La majorité des façades n'intéressera pas du tout les annonceurs et les copropriétaires se débrouilleront avec leur facture.

    Côté publicité, c’est aussi une façon de siphonner les budgets publicitaires de certains secteurs d’activité, qui comprennent encore des entreprises florissantes et dont les dépenses publicitaires vont à la presse, aux médias en général, qui en ont bien besoin. Nous pensons aux entreprises de luxe et de cosmétique, à l’horlogerie, aux industries automobiles, aux banques et compagnies d’assurance, aux technologies de pointe, que l’on voit un peu partout s’étaler sur les murs dans les capitales étrangères qui ont cédé à cette demande. On devrait échapper aux  alcooliers qui sont soumis à des restrictions particulières en France.

     paris,rénovation,publicité,bâche,urbanisme,isolation,financement-de-travaux,pollution-visuelle

    Les bâtiments annexes de la SNCF, gare du Nord, à peine reconnaissables en juin 2009.

     le sujet dans la presse : Le cercle des Echos du 4 mars 2011 ; L'Expansion du 13 mai 2011, Le Moniteur du 17 mai 2011 ; rue89 du 28/05/2011

     

  • Le Plan local d'urbanisme à nouveau sur scène à Paris

    Avez-vous vu des feuilles A3 platifiées accrochées au matériel urbain, balottées par le vent, jaunies sous les rayons du soleil printanier ?

    C'est l'information obligatoire relative à la l'enquête publique sur les modifications du Plan local d'urbanisme. Le PLU ? C'est ça. Les plus motivés se souviendront des sets de crayons de couleurs et des cartes, mis à disposition dans certains conseils de quartier, ou dans les mairies, pour réfléchir tous ensemble et lancer les grandes lignes d'une rénovation urbaine. Ici un trottoir plus large, ici une placette pourrait accueillir des arbres, là les immeubles ne devront pas être trop hauts, et cette vieille construction ne mérite-t-elle pas d'être protégée pour illustrer si bien les quartiers populaires de la fin du 19e siècle ?

    Ce projet de modification du PLU est soumis à une enquête publique qui aura lieu dans les 20 mairies d’arrondissement de Paris, du lundi 16 mai au vendredi 17 juin 2011 inclus.

    Cette modification du PLU n'a toutefois rien à voir avec la précédente, en 2006, d'envergure celle-là. Il s'agit plutôt d'une mise à jour.

    Après l’enquête publique, le Plan local d’urbanisme de Paris, éventuellement modifié, sera approuvé par délibération du Conseil de Paris.

    Le principe :

    Le Plan Local d'Urbanisme est en vigueur depuis le 1er septembre 2006. Il s'agit d'un document évolutif, qui doit s'adapter aux modifications des textes législatifs et réglementaires ainsi qu'aux transformations de la ville et aux nouveaux besoins des habitants. Une première modification générale du PLU, approuvée en septembre 2009, visait à favoriser la production de logements, notamment sociaux, et à favoriser l’application du Plan Climat.

    le contexte précis et le cas de deux articles annulés :

    La délibération d’approbation du PLU de Paris de juin 2006 a fait l’objet de recours contentieux, qui ont abouti, dans un premier temps, à l’annulation par le Tribunal administratif de Paris en appel des règlements de deux zones du PLU – la zone naturelle et forestière N et la zone urbaine verte UV. Suite au pourvoi de la Ville en cassation, le Conseil d’Etat a, dans son arrêt du 18 juin 2010, rétabli ces deux règlements, à l’exception de leurs articles 6 et 7, qui demeurent donc annulés.

    les autres propositions ou adaptations :

    Outre ces deux articles 6 et 7 des zones N et UV, qui réglementent l’implantation des constructions, le projet de modification propose :
    - l’adaptation - amélioration ou actualisation - de certaines autres dispositions du règlement du PLU,
    - des adaptations visant à prendre en compte les études et la concertation menées dans certains secteurs d’aménagement,
    - l’intégration en zone urbaine verte UV de jardins publics récemment réalisés,
    - des mesures en faveur de la protection de l’enseignement supérieur.
    - l'actualisation et la mise à jour des documents.

    Toute modification étant soumise à enquête préalable, les documents sont consultables dans les mairies à des dates et horaires précis. En voici la liste pour nos arrondissements :

    • mercredi 1er juin 2011 de 9h00 à 12h00, en mairie du 9e

    • mercredi 1er juin 2011 de 14h00 à 17h00, en mairie du 10e

    • lundi 6 juin 2011 de 9h00 à 12h00. en mairie du 18e

  • C.I.C.A. propreté dans le 10e

    Le prochain CICA du 10e arrondissement aura lieu ce soir, en salle des mariages, de 18h30 à 21h00, Mairie du 10e.

    Un CICA, ou en bon français Conseil d'Initiative et de Consultation d'Arrondissement, qu'est-ce ?

    Le CICA, sa structure et son rôle sont définis par l'article 16 de la loi PML (Paris, Marseille, Lyon) du 31 décembre 1982. Il réunit les représentants des associations. Il est indépendant de la municipalité. Sa finalité est de permettre aux associations de l'arrondissement de participer à la vie municipale.

    Dans le 10e, il a même son espace propre sur la toile avec son site.

    Le prochain CICA aura pour sujet LA PROPRETE.

    En présence de :dagnaud-copie.jpg

    - François Dagnaud, Adjoint au Maire de Paris, chargé de l'organisation et du fonctionnement du Conseil de Paris, de la propreté et du traitement des déchets

    - Didier Dely, Directeur de la Direction de la Propreté et de l'Eau (DPE)

    - Jean-Paul Bidaud, Chef de la Division (DPE)

    Jean-Paul Bidaud est également le coordonnateur de l'espace public dans le 9e.

     

  • Ca s'est passé près de chez nous

    Carte scolaire, mixité sociale, angoisse des parents, nombreux a priori, tout était là pour illustrer la situation conflictuelle qui a opposé la mairie du 18e aux parents d'élèves de l'école maternelle de la rue André del Sarte (18e, à l'est du boulevard Barbès).

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    Les arbres de la cour de l'école rue Richomme, vus de la rue Erckmann-Chatrian.

    Nous vous proposons de lire et surtout d'écouter les témoignages des parents d'élèves de cette bataille moderne autour de la scolarité dès le cours préparatoire. Bien sûr chacun veut le mieux possible pour ses propres enfants. Reste à définir précisément ce qui est le mieux...

    C'est sur le site de dixhuitinfo.com. Merci à eux pour ce très bon reportage.

  • Dans la Goutte d'Or, un immeuble qui réfléchit la lumière

    paris, urbanisme, immeuble, rue de chartres, goutte-d-or, rénovation-urbaine, façade-métalliqueUn petit air de Franck Gehry... pas totalement, mais les feuilles de métal qui réfléchissent la lumière conduisent à penser au célèbre architecte qui a construit notamment le musée Gugenheim de Bilbao et à Hannovre, une tour légèrement vrillée, qui brille, elle aussi, sous les rayons du soleil.

    Et le Weisman Art Museum, à Minneapolis... voir ci-dessous

    800px-Weisman_Art_Museum.jpg

     

    Peut-être aurons-nous une légère différence dans la qualité des matériaux mis en oeuvre. Mais c'était bien d'essayer.

    Nous n'avons pas encore trouvé d'informations précises sur cette construction, qui ne figurait pas dans le palmarès de la très belle exposition, visible dans le hall d'accueil de la mairie du 18e, jusqu'a ce soir : La métamorphose urbaine. Le chantier n'est pas tout à fait terminé, nous aurons l'occasion d'y revenir.

    Une autre opportunité s'offre à vous : découvrir cette métamorphose urbaine in situ, à 10 heures, avec Régis Labourdette, au cours d'une promenade à travers l'Est du 18e arrondissement. (durée trois heures de 10h à 13h)

    Au départ de la mairie du 18e, la promenade explorera les problématiques de la lutte contre l'insalubrité et du renouveau architectural à travers les quartiers est du 18e arrondissement (Amiraux, Goutte d'or, Chapelle), particulièrement marqués par les transformations de ces dix dernières années.

    Promenade gratuite
    participation dans la limite des places disponibles.
    Durée : 3 heures

    INSCRIPTIONS : > Samedi 28 mai, de 10h à 13h

  • Pour les jeunes... tous au parc de la Turlure

    JEUNES EN SCENE DANS LE 18e


    Samedi 28 mai 2011
    De 15h À 19h
    Square Marcel Bleustein-Blanchet dit parc de la Turlure
    Derrière le Sacré-Coeur à Montmartre.
    Accès par le funiculaire de Montmartre (Place Suzanne Valadon)


    Layone%20-%20Les%20ecrits%20restent%20Pochette%20CD.jpgLa deuxième édition de cet événement parrainé par le rappeur LAYONE, révélateur de talents 100% made in 18, est une scène ouverte dédiée aux jeunes, mixant cultures urbaine et classique.
    Rap, hip hop, rnb (R&B au choix) et rock auront la part belle côté musique, mais pas seulement puisque le Conservatoire du 18e jouera sur scène la pièce musicale composée pour l’occasion. Côté danse, c'est l'éclectisme qui l'emporte avec un coupé décalé, des danses du monde ou encore du Krump et du hip-hop. Et tout ceci orchestré par une invitée d'honneur la chanteuse de rnb Lu'Divine.
    Tous les ingrédients sont donc réunis pour une belle après-midi musicale, festive et solidaire avec et pour les jeunes de tous les quartiers du 18e.
    Le maire du 18e, Daniel Vaillant, et son adjointe chargée des Âges de la vie (petite enfance, jeunesse, famille), Violaine Trajan, ouvriront la représentation pour encourager les participants qui se préparent depuis plusieurs mois.

  • Ce soir fête des voisins

    Dans une grande majorité des pays, la Fête des Voisins se déroule chaque dernier vendredi du mois de mai.  C'est donc ce soir, 27 mai, pour beaucoup de ceux qui souhaitent fêter l'événement en restant dans le rang. Nous connaissons aussi des immeubles qui disposent d'une grande cour et dont les habitants se consultent pour rechercher la date qui convient au plus grand nombre.

    Le mécanisme est simple : les habitants d'un même immeuble ou d'un même quartier s'invitent autour d'un buffet entre voisins. C'est l'occasion aussi de goûter les spécialités parfois venues d'ailleurs.

    Afin de mobiliser le plus grand nombre d'habitants, les mairies proposent leur aide ou un suport de communication (la mairie du 9e proposait cette année, par exemple, un kit de communication, composé d'affiches, de cartes d'invitation, de T-shirts et de ballons). Il appartient ensuite à chaque citoyen d'être acteur et d'organiser sa propre fête.

    40-60FRANCOssdate.jpg

    Un petit tour sur le site d'immeubles en fête s'impose pour en savoir plus.

  • les zones de stationnement résidentiel autour du Carrefour Barbès

    Pour rebondir sur l'article du blog intitulé "le stationnement en surface va bientôt augmenter" de mercredi dernier, nous vous proposons aujourd'hui le plan des voies qui bénéficient du tarif résidentiel à 0,65 euros la journée, pour l'instant, dans notre quartier.

    voies-stationnement-résidentiel-carrefour-barbès, 10e, 18e, 9e, carte,

    Les voies en rouge sont celles où le stationnement est dit rotatif, payable par tranche horaire avec un maximum de 2 heures.

    Celles en jaune sont les rues à stationnement mixte où, en apposant votre carte de résident de façon lisible derrière votre pare-brise, vous pouvez bénéficier du tarif résidentiel.

    Chacun des bénéficiaires d'une carte de résident a bien sûr reçu ce plan en même temps que la carte, mais il n'est pas toujours resté dans la boîte à gants de la voiture, n'est-ce-pas ?

    Pour plus de détails sur les problèmes de stationnement, adressez-vous à

    Direction de la Voirie et des Déplacements,
    Service des Déplacements
    Section du stationnement sur Voie publique
    Cartes de stationnement
    15, boulevard Carnot
    75583 Paris Cedex 12

    site internet : stationnement.paris.fr

    Profitez de votre carte de stationnement en vertu de la délibération du 19 novembre 1979 (résidents) et du 11 juillet 2006 (artisants et commerçants) et quant au zonage, de l'arrêté municipal n°2005-060 du 31 mars 2005.