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paris - Page 132

  • Stalingrad, toujours le crack

    Parallèlement à la fermeture prévue des jardins d'Eole à partir du 18 mars, la préfecture de police publiait récemment un long article sur le crack, et en corollaire sur la récente création d'une zone de sécurité prioritaire dans le 19e. 

    Voici plus bas des extraits de cette publication. Si l'on admet que les addictions ont toujours existé, que la toxicomanie est un mal ordinaire, comme l'alcoolisme ou la tabagie, il serait temps de traiter les nuisances qui lui sont liées comme des nuisances ordinaires aussi. On autorise bien les alcooliques anonymes à se réunir, on organise la vente d'alcool et de tabac en la taxant au passage pour le plus grand bien des finances de l'état. Quelle différence avec les drogues ? Tous les usagers de ces substances dangereuses en sortent - quand ils en sortent - dans un état de santé inquiétant. Mais la méconnaissance des addictions (processus, sortie) par le plus grand nombre associée aux tabous qui les entourent, favorise les craintes et les angoisses. Mais les fumeurs dont les poumons sont nappés de goudron ne sont-ils pas eux aussi dans un état de santé inquiétant ? Les alcooliques ne sont-ils pas des malades dont la santé est également très précaire ? Le nombre des décès par cancer des poumons n'est-il pas un sujet préoccupant, et ne représente-il pas une charge lourde pour les caisses maladie de nos pays ? 

    Même si nous reproduisons les écrits de la Préfecture de police, nous ne sommes pas convaincus par l'action de la police en matière de drogues. Depuis des décennies, la législation est répressive plus que préventive sur ce fléau et elle a montré son incapacité à en réduire la portée. Alors à quand une autre vision et d'autres moyens pour limiter les ravages de tous ces produits qui fonctionnent par addiction du consommateur ? 

    Extrait du Pprama n° 257 du 27 février 2012

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    • Le crack : de quoi s’agit-il ?

    Dérivé de la cocaïne, aussi appelé cocaïne base ou free base, mélangé à du bicarbonate de soude et/ou à de l’ammoniaque, le crack se présente sous la forme de petits cailloux. Chauffés pour être consommés - par inhalation de vapeurs -, ils émettent à cette occasion des craquements qui ont donné son nom à cette drogue.

    • Ses effets et corollaires

    Son action est aussi rapide - 5 à 10 secondes - que brève, 5 à 15 minutes. La sensation de fulgurance et sa fugacité conduisent à répéter les consommations de façon rapprochée et compulsive. Les effets : rapide dépendance, état dépressif, hallucinations, comportement violent, paranoïaque, suicidaire et lésions pulmonaires. 77% des consommateurs de crack y associant de l’alcool, ce cocktail détonnant augmente encore le risque de violences mais induit également troubles et atteintes à la tranquillité et à la salubrité publiques – cris, vociférations, épanchement d’urine…

    • Le 19e arrondissement, un quartier particulièrement touché, une solution : la ZSP

    Ce tableau noir, c’est celui que connaît une partie du 19e arrondissement de Paris - la place de la bataille de Stalingrad, le bassin de la Villette, le jardin Eole, la cité Reverdy - et auquel les riverains - commerçants et habitants - sont confrontés quotidiennement. Aux nuisances importantes évoquées s’ajoutent la dépossession d’une partie des espaces - publics et privés (halls d’immeubles, parkings) - où consommateurs et trafiquants se regroupent et stagnent, ainsi qu’un fort sentiment d’insécurité dont sont également victimes touristes, passants, promeneurs.

    La vente et la consommation de crack constituent l’une des deux problématiques  (la seconde concerne les vols avec violences) ayant conduit à la mise en place d’une nouvelle zone de sécurité prioritaire (ZSP) dite « Stalingrad – Orgues de Flandre » dans le 19e arrondissement, le 13 février dernier. Il s’agit grâce à une coordination renforcée et suivie entre police, justice et collectivités territoriales de renforcer la sécurisation de ces territoires et de permettre aux habitants de se réapproprier leur quartier et d’user librement de l’espace public.

    • Le dispositif police de la ZSP* « Stalingrad - Orgues de Flandre » contre le crack

    Reprendre possession de l’espace public et empêcher par la suite les toxicomanes et les dealers de le réinvestir à leur seul profit, sont les missions qui incombent à la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), aux CRS et à la direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC). Ces services assurent une présence jour et nuit sur les points de fixation du trafic et mènent des opérations quotidiennes d’éviction. Parallèlement est accompli un travail de fond de démantelement des  réseaux par les directions de la police judiciaire et du renseignement, en charge des investigations et de la recherche d’informations.

    * La ZSP, zone de sécurité prioritaire est la seconde zone de cette sorte sur Paris après la création de la ZSP Barbès Chateau Rouge. 
  • Fermeture prochaine des Jardins d'Eole

    Les usages délictueux... c'est bien cela. La Mairie du 18e et la Mairie de Paris ont compris que les jardins publics sont des lieux ouverts qui offrent un coin de verdure et de loisirs aux citadins, mais parallèlement, ils offrent aussi un terrain de jeux à des citoyens beaucoup moins recommandables. Selon les quartiers, ils sont plus ou moins susceptibles de concentrer les trafics. Ici, en l'occurence, les habitants s'en sont plaints assez rapidement. Mais cinq ans après leur ouverture, les jardins d'Eole sont simplement devenus infréquentables. 

    Le Parisien résume assez bien la situation dans son article du 7 décembre dernier :

    Ce devait être un poumon vert dans l’environnement dense et minéral de la porte de la Chapelle. Les jardins d’Eole, vaste parc paysager de 4,5 ha planté sur d’anciennes friches ferroviaires rue d’Aubervilliers, à la frange des XVIIIe et XIXe arrondissements, étaient très attendus par les riverains. Cinq années ont passé, et les désillusions ont cédé la place à la colère : désormais, ceux qui fréquentent avec la plus grande assiduité les jardins d’Eole sont des toxicomanes, fumeurs de crack pour la plupart, qui ont élu domicile à l’abri des haies de bambous et des recoins discrets. La plupart ont été chassés par les opérations de rénovation urbaine de la ZAC Pajol, du quartier Philippe-de-Girard et de la place Stalingrad, où la rotonde est maintenant occupée par un restaurant.

    Les habitants, eux, ont renoncé au fil des années à se promener dans le parc. Une situation devenue si critique que l’association les Jardins d’Eole a lancé un cri d’alarme aux pouvoirs publics, déroulant le long écheveau des doléances de tout un quartier : « L’installation d’une scène de deal et de toxicomanies avec tous les troubles qui y sont associés doit être prise en compte », souligne l’association.

    La fermeture a donc été décidée pour 15 jours. Ce n'est pas très long. C'est une façon de marquer un changement. La rénovation se fait au printemps pour se donner les meilleures chances de rouvrir un jardin avec des pelouses et des coins végétalisés convaincants.  Mais où vont se retrouver les toxicomanes et les dealers qui occupaient les lieux ?  

    Sans doute la DPP (Direction de la prévention et de la protection) sur injonction de l'Hôtel de ville saura-t-elle définir les aménagements qui favorisent les trafics et la consommation de drogues (recoin, bosquets, haies). Au mieux, elle préconisera la grande pelouse, façon golf, où l'on voit tout le monde et de partout... mais à terme, ce n'est pas ce que l'on recherche. Encore une fois, une salle de consommation serait plus adaptée et éviterait des scènes de prise de drogue, voire d'injection, à ciel ouvert dans un environnement dédié aux jeux de enfants. 

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  • Au son du Chant des Partisans

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    Ci-dessus le faire-part lu dans Le Monde du 7 mars 2013.

    Retrouvez ci-dessous le sourire capté sur les murs de notre quartier en janvier 2012 :

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  • Une astuce pour ne pas se ruiner avec les numéros surtaxés

    Il existe de nombreux numéros de téléphone surtaxés qui sont mis en avant par les institutionnels, les sites commerciaux, les opérateurs, etc. et qui semblent incontournables à première vue.

    Vous voulez par exemple modifier votre abonnement à Canal + : le numéro 08 92 30 30 10 est taxé 0,34€  la minute en plus du prix de la communication, alors que vous pouvez joindre le même service au 01 71 35 35 35. Pourquoi s'en priver !

    Tous les numéros en 0892, 0820, etc. sont surtaxés. Les banques, les compagnies d'assurance arrondissent leurs chiffres d'affaires grâce à l'ignorance de leurs clients. Pourtant, chacun de ces numéros a son équivalent sans surtaxe. Et même gratuit, si vous disposez d'une box...

    Comment connaître tous ces numéros ? 

    C'est simple, allez voir le site www.nonsurtaxe.com : leur base de données s'enrichit des apports des visiteurs.

    Le site propose même un indice de satisfaction selon que le numéro de remplacement a bien fonctionné pour vous ou non. L'internet inter-actif s'améliore au fil des années ! J'ai testé pour vous le service client d'Orange 3970, la liste de leurs numéros gratuits offre des alternatives intéressantes, voyez-vous même : ici.

  • La Propreté de Paris sur vos écrans

    Un film de vingt secondes doit être diffusé à partir d'aujourd'hui ( 6 mars ) dans 123 salles de cinéma de la capitale, pour compléter la nouvelle campagne d'incitation à des comportements plus civiques en matière de propreté urbaine. C'est aussi une autre façon de toucher les habitants. 

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    Le coût de la nouvelle campagne de communication lancée le 20 février par la mairie de Paris sur la propreté s’élève à 55000 €. Cette fois-ci, la Ville fait appel au civisme des Parisiens pour qu’ils ne jettent plus leurs papiers par terre ou ramassent les déjections canines comme de bons maîtres respectueux de l'environnement.

    « Le message est simple : respecter l’espace public, c’est respecter les agents qui y travaillent tous les jours. Une ville propre, c’est une ville qui n’est pas salie », indique-t-on à la mairie. On a été habitué à ce slogan par François Dagnaud qui a quitté ses fonctions d'adjoint à la propreté pour la mairie du 19e, récemment. Selon lui, notre quartier est sale parce que nous le salissons plus que d'autres. Et que fait-il de la fréquentation ? N'est-il pas aussi envisageable de considérer que plus les piétons sont nombreux, plus les commerces sont nombreux, plus les débits de sandwichs, de boissons et autres fast food sont nombreux et plus les trottoirs se couvrent de papiers gras, de mégots, de canettes, de verres en carton, etc... ?? 


    Propreté: « Nous pouvons faire le maximum, mais... par mairiedeparis

  • Jérôme Savary est mort

    Le metteur en scène Jérôme Savary est mort

    Fondateur du "Grand Magic Circus", directeur du Théâtre national de Chaillot puis de l'Opéra-Comique, Jérôme Savary est mort lundi 4 mars, a annoncé mardi sa famille. Agé de 70 ans, il souffrait d'un cancer. (AFP)

    images?q=tbn:ANd9GcSQxKo7Dx1irM2DvSv2Z1r9U8t9ccNOVaG1wrtRvnDfDpvAcnYPLe blog ne se charge pas habituellement de la rubrique néchronologique, mais permettez pour une fois que nous reprenions cette dépêche AFP qui vient de tomber. En hommage à Jérôme Savary qui n'a pas eu que des partisans au cours de sa carrière, mais qui représente toutefois pour toute une génération des spectacles haut en couleurs, dynamiques, polémiques parfois, de qualité, innovants... "Personnellement" (on s'autorise tout maintenant dans ce blog) j'ai beaucoup aimé son enthousiasme, son énergie tonitruante, ses excès. 

  • La Halle Saint-Pierre expose la revue HEY

    dscn1020.jpgUne petite vidéo de présentation sur l'expo de notre musée de proximité, la Halle Saint-Pierre. J'espère que vous connaissez tous la Halle Saint-Pierre, c'est un lieu original, caché au milieu des magasins de tissus, Dreyfus ou Déballage du marché Saint-Pierre de son vrai nom, Reine, Petite Berthe,  Les coupons de saint-Pierre,  Moline, et bien d'autres...

     

    L'exposition Hey est très originale, elle ne plaira pas à tout le monde. C'est justement pour cela qu'il faut aller y faire un tour ! 

    Vous avez jusqu’au 23 août 2013.

    www.hallesaintpierre.org 

     


    L'exposition «Hey !» à la Halle Saint-Pierre par mairiedeparis

  • Le dépôt de plainte en ligne

    La préfecture de police a mis en place sur son site internet la pré-plainte 

    paris,police,préfecture,commissariat,plainteLe dépôt de plainte termine son évolution, la pré-plainte en ligne (PPEL), expérimentée depuis mars 2012 dans douze commissariats des Hauts-de-Seine et celui du 15e arrondissement de Paris, s'est étendu à partir du 4 février aux 1er, 2e, 3e, 4e, 9e, 16e et 17e arrondissements et au département du Val-de-Marne. Le 4 mars, enfin, il sera généralisé à l’ensemble de la capitale et de son agglomération.

    Pour les seules atteintes aux biens (vol, dégradation, etc.) commises par un auteur inconnu, la PPEL permet à la victime d’effectuer une déclaration en ligne sur le site  www.preplainte-en-ligne.gouv.fr.
    Contactée sous 24h, celle-ci obtient un rendez-vous dans le service de police de son choix pour finaliser son dépôt de plainte.

     

    Nous souhaitons toutefois que vous n'ayez pas besoin de ce service trop souvent !

     



  • Encore un commerce qui ferme

    Que vous soyez amateur de patisseries orientales ou non, vous déplorerez avec nous la fermeture de ce commerce situé rue du faubourg Poissonnière, au 189. 

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    Que pensez-vous qui remplacera les patisseries au miel, sentant bon le sud ? Nous parions pour des robes de cérémonie.... Et vous ?

     

  • Les SCMR, plus d'info

    Dans les commentaires récents écrits à propos d'un de nos articles sur les salles de consommation (le 18 février), un lecteur nous a adressé un lien vers le site Calaméo qui mérite d'être repris. 

    La brochure qui y est présentée s'adresse au grand public, mais plus particulièrement aux personnes confrontées, dans leur activité professionnelle, à des difficultés occasionnées par certains consommateurs de drogues.

    A notre avis, elle peut également venir en aide aux personnes qui font les mêmes rencontres que les professionnels, dans leur quartier, simplement parce que dans ce quartier, les usagers de drogues sont nombreux. Cliquez sur le lien ci-dessous pour en savoir plus. 

    Qui s'y frotte, ne s'y pique pas forcément

    Certains de nos lecteurs vont penser que nous faisons trop de place à ce thème dans notre blog. Trop de place, non. Mais une vraie place, oui. Et oui, nous avons décidé de traiter le sujet souvent. Au risque de déplaire. Nous assumons. Nous estimons que le problème a été très longtemps minimisé, au détriment des riverains, d'un côté, que l'on a laissés seuls s'arranger avec les conséquences de la consommation de drogues à ciel ouvert, et de l'autre côté, au détriment des usagers de drogues qui sont des personnes à la dérive, jeunes ou vieux, et dans notre quartier, particulièrement précarisés. Notre société ne pourra pas éradiquer le problème de l'addiction aux drogues, pas plus qu'une autre société qui choisirait d'être plus répressive, mais elle ne doit plus l'ignorer. Nous soutenons l'expérimentation d'une salle de consommation à moindre risque et oeuvrons pour que les habitants du quartier comprennent et acceptent qu'elle puisse figurer le début d'une solution.

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    la rue de Maubeuge dans sa partie située entre la gare du Nord et l'hôpital Lariboisière

    La semaine dernière, nous avons rencontré la coordinatrice de la future salle de consommation, Céline Debeaulieu. Elle appartient à l'association Gaïa qui a construit le projet depuis l'été dernier et n'attendait que le décret gouvernemental pour se lancer dans l'expérimentation. Le maire du 10e, Rémi Féraud a plusieurs fois déclaré qu'il était favorable à l'ouverture d'un tel équipement dans son arrondissement, avec l'assentiment du maire de Paris. Reste toutefois à trouver le lieu le plus adapté : proche des utilisateurs, les usagers de drogues, le moins gênant possible pour les riverains. La salle ne sera donc pas située au pied d'un immeuble du quartier. Les pourparlers vont bon en train entre la mairie et les institutionnels qui possèdent des locaux ou des emprises entre la gare du nord et l'hôpital Lariboisière. Nous attendons la suite. Notre interlocutrice a promis de nous avertir. Elle semblait optimiste.

    Nous regrettons cependant que la mairie ne multiplie pas les réunions autour de cette ouverture prochaine. Pour ne pas effrayer les habitants, ne pas inquiéter ceux-ci ou ceux-là, plus ou moins proches de tel site ou de tel autre pressenti... aucune information n'est donnée. Quel résultat peut-on en attendre ? Un mécontentement quasiment certain. Si la concertation commence au moment où le lieu aura été trouvé, il ne s'agira plus d'une concertation mais d'une information. Une fois de plus, les habitants auront l'impression d'être mis devant le fait accompli. 

  • L'élection du maire de Paris au scrutin indirect

    Le Parisien du 25 février expliquait très simplement le changement intervenu récemment dans le nombre des conseillers de Paris dans quelques arrondissements de la capitale, dont le 10e.

    Vous êtes de gauche et vous pensez avoir élu Bertrand Delanoë en mars 2001 et en mars 2008 à nouveau ? Faux! A Paris, le maire est désigné par le suffrage universel indirect. Ce n’est donc pas vous qui l’avez choisi comme premier magistrat, mais les 163 élus qui siègent au Conseil de Paris. C’est d’ailleurs grâce à ce mode de scrutin que Bertrand Delanoë a pu remporter les élections en 2001. La droite avait été majoritaire en nombre de voix dans toute la capitale, mais la gauche avait remporté de gros arrondissements lors de ces élections. Le nombre d’élus de gauche siégeant au Conseil de Paris a donc été plus important que le nombre d’élus de droite. Et ces élus ont naturellement désigné Bertrand Delanoë maire de Paris.

     
     
     LPI

    Ainsi le 10e arrondissement gagnera-t-il un conseiller municipal supplémentaire : 6 au lieu de 5 jusque là.
     
     
  • Dernière minute : ce soir à 18heures centre Clignancourt

    Il est vrai que nous nous y prenons un peu tard, mais l'annonce en vaut la peine. 

    Il s'agit d'un spectacle de qualité qui mérite toute votre attention. 

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    Hélène Berr a 21 ans lorsqu'elle commence à écrire son journal. L'année 1942 et les lois antijuives de Vichy vont faire lentement basculer sa vie. Déportée à Bergen-Belsen, elle n'en reviendra pas.

    Adaptée du journal d'Hélène Berre, Pierre Tré-Hardy propose une pièce intitulée "Ceci est mon journal", qu'interprète Guila Clara Kessous, artiste de l'UNESCO pour la Paix. Avec Mina Hillman, Salomon Belasiak, Michèle Temine et Christian Macairet. 

    Le spectacle est donné au Centre Clignancourt, Amphithéâtre Hélène Berr, 2 rue Francis de Croisset, dans le 18e arrondissement (tout près de la Porte de Clignancourt). 

    La nièce d'Hélène Berr, Mariette Job, répondra aux questions du public à l'issue de la représentation. 

    ENTREE LIBRE -- Il est conseillé de réserver au 01 40 46 33 72 ou auprès du service culture de l'Université Paris-Sorbonne agenda-culturel@paris-sorbonne.fr

    C'est ce soir à 18 heures. Et pour ne pas vous perdre (cliquez sur le + du plan pour zoomer) :



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