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Paris - Page 148

  • Installation du récupérateur de seringues sur l’emprise SNCF rue de Maubeuge

    Comme certains d’entre vous ont pu le remarquer, l’emprise SNCF située au niveau du 110 rue de Maubeuge est régulièrement fréquentée par des consommateurs de drogues. Aussi pour améliorer la paris,10e,drogue,seringues,récupérateur,gare-du-nordsalubrité de cet endroit et permettre aux consommateurs d’adopter un comportement plus attentif, il a été décidé en accord avec la SNCF, Vinci Park et la Mairie du Xème d’y installer un récupérateur de seringues et du petit matériel lié à l’injection.

    Ce récupérateur, qui est une boîte en inox a été installé vendredi 27 juillet par l’association SAFE qui sera en charge de son entretien. L’association SAFE a déjà la gestion des distributeurs de kits d’injection de la rue de Maubeuge et du boulevard de La Chapelle, tout proche lui aussi.

    Nous resterons très vigilants quant à son utilisation, pour qu’il soit considéré comme un outil apportant une amélioration de la situation pour tous.

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    Information transmise par La Coordination Toxicomanies. (Crédits Photos SNCF)

  • On observera une pause dans les travaux à Paris en 2013

    Dans l'article du Parisien, paru le 14 août, sous le titre Pédale douce sur les travaux en 2013, les habitants du 9e auront reconnu la place Saint-Georges malgré les palissades et les travaux voulus par la mairie du 9e lors de la réunion municipale censée choisir dans une liste des chantiers possibles dans l'arrondissement.  

    Réduction des budgets pour raisons d'économie ou réduction de la gêne pour les habitants et les usagers de Paris, les deux arguments vont dans le même sens. On est tenté d'en ajouter un autre : la proximité des élections municipales en 2014. Comme chacun sait, quand on veut être élu - ou réélu - on caresse l'électeur dans le sens du poil ! La dernière année avant lesdites élections est toute tournée vers le mieux vivre de l'électeur. Et les malins le savent. Attention aux demandes tous azimuts !

    Nous avons connu le même phénomène en 2006-2007. Souvenez-vous du Paris bouleversé par les  réaménagements des grands axes comme les boulevards de Clichy et Rochechouart, du Magenta, du boulevard Barbès, et combien d'autres dans les arrondissements où la mairie trouvait des soutiens forts, lors de la première mandature de Bertrand Delanoë. On incriminait alors Denis Baupin, l'adjoint Vert chargé des transports et de l'espace public. On l'accusait de vouloir chasser l'automobile - et l'automobiliste - hors les murs. En ce mois d'août où la circulation est plus calme, on pourrait sans doute croire qu'il a en partie réussi. Cette illusion sera vite démentie à la rentrée. 

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    La seconde mandature socialiste sera marquée par la construction du tramway, dont on prévoit l'arrivée porte de La Chapelle à la fin de l'année. Malgré les difficultés de circulation qu'ils auront engendrées aux abords des portes de Paris, de Vincennes à Saint-Denis, on ne peut pas dire que les travaux aient été ressentis comme un filtre au passage des nombreux, toujours trop nombreux véhicules automobiles qui viennent de la zone suburbaine de la capitale. Certains continuent à évoquer le péage urbain qui a fait des miracles dans la capitale londonienne et dont le maire de Paris ne veut pas entendre parler pour des raisons évidentes de discriminations des habitants des proches couronnes de Paris qui ne trouveraient pas d'alternative à la voiture pour se rendre sur leur lieu de travail. D'autres estiment qu'on carbonise nos poumons à petit feu... notamment les médecins dans les services de pneumologie en période de pics de pollution.

    On risque de traîner ces options pendant un certain temps encore. Sauf si l'un des prochains candidats à la mairie de Paris opte pour l'instauration d'un péage urbain et... qu'il est élu. On saura précisément ce que souhaitent les Parisiens : tenir compte de ceux qui travaillent à Paris sans y résider ou rester entre eux. Rien n'est simple, et même ce raccourci ne tient pas compte de certaines situations complexes. 

    Un article de rue89, sous la plume de Yannick Bourquin, en juin 2010, passait en revue bien des hypothèses pour aider la réflexion sur le sujet. Depuis 2009-2010, on a un peu laissé le péage en plan.

    Nos recherches nous ont conduits aussi vers
    - un article de l'Express en mai 2009, commentant un rapport du Conseil économique et social de la région Ile-de-France qui concluait à la nécessité de faire payer les automobilistes d'ici à 2020, avec plusieurs propositions à la clé;  
    - un article du JDD en septembre 2009 à la suite des propos d'un conseiller de Paris UMP
    - un article du Figaro en février 2010, lors des élections régionales, avec les prises de position de la ministre de l'écologie de l'époque, Chantal Jouanno, se déclarant favorable au péage urbain. 

    images?q=tbn:ANd9GcRCo_AZgvFLSUDTc7SZzd92-SHyaedoRTmoD6uTgUdXNhixyvJpOn en trouverait d'autres... C'est un sujet qui revient régulièrement, crée la polémique et fait vendre du papier. Un marronnier de plus. En attendant, les automobilistes seront à la rentrée dans les bouchons et les Parisiens - comme les autres - baigneront dans la pollution et les gaz d'échappement.

    Nous reviendrons bientôt sur ce sujet nous aussi, car le choix que fait la mairie maintenant n'est pas anodin : elle abandonne les aspects de santé publique d'une part, en ne combattant pas avec plus d'ardeur la pollution, automobile notamment, et d'autre part, tire un trait sur les projets longuement débattus et préparés par les conseils de quartier en matière d'aménagements locaux et de proximité. 

  • Consommer autrement

    paris,credoc,consommation,développement-durable,commerce,recyclageUn rapport intéressant du CREDOC vient d'être publié et une synthèse de celui-ci mise en ligne. Il s'attache à dénombrer et à analyser les différentes formes de seconde vie des objets, tous nos objets quotidiens, du vêtement à l'ordinateur en passant par l'incontournable téléphone portable. Connaissant le taux rapide d'obsolescence de certains objets et le manque de solidité à l'épreuve de leur utilisation de certains autres, quelles sont nos réactions de citoyens du 21e siècle ? Elles sont très contrastées selon notre âge, notre appartenance à une couche sociale, autrement dit notre niveau d'aisance, ou encore notre lieu de résidence, citadin ou rural. D'autres caractéristiques sont prises en compte par les sociologues, telles que les implications dans des partis, des syndicats, ou des courants de pensées.

    Leurs conclusions tendent vers un mode de consommation qui se modifie durablement. 

    Découvrez la synthèse par un simple clic : elle mérite réflexion.

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  • 15 août, un jour férié ordinaire, pour combien de temps encore ?

    15-août,fermeture-exceptionnelle,férié,chômé,Jour férié ordinaire, par rapport au 1er mai qui est un jour férié chômé. C'est une différence au niveau des obligations de travail, du paiement des heures si elles sont travaillées et du respect des conventions collectives... et enfin, il faut considérer le département quand lequel on travaille car l'Assomption est un jour férié à part entière en Alsace (Bas Rhin et Haut Rhin) et en Moselle, où le code du travail accorde aux salariés un jour de repos. 

    Cette petite mise au point terminée, revenons à notre interrogation. Nous avions lu rapidement, avant de partir en vacances, que des fêtes religieuses entérinées par la République pourraient être remises en question, pour satisfaire les confessions autres que catholiques. Il s'agissait de la Pentecôte, de l'Ascension et justement de l'Assomption, plus connue sous le nom de 15 août. 

    L'idée de transformer trois jours fériés, traditionnellement accordés à tous les salariés, catholiques ou non, bien sûr, en trois jours de congés à poser librement émane d'une réunion des directeurs des ressources humaines, qui s'est tenue en juin dernier à Paris. Il s'agirait de permettre aux salariés d'autres confessions d'obtenir des jours de congés pour célébrer leurs propres fêtes. Un pas de plus vers le respect de la diversité. Le Figaro relatait la nouvelle et précisait la réaction du porte parole de la conférence des évêques de France, en ces termes : «les catholiques ne se sentent nullement propriétaires d'un images?q=tbn:ANd9GcSO0hvJLiegtk4I3HG8BtZQqUN5KPUcBFtTj12MVrh7mfVWkmaDcalendrier». «La République est laïque. C'est elle qui, en fonction du droit du travail, a posé les jours fériés. La signification religieuse, nous y sommes attachés, mais le respect de la diversité, c'est certainement une des sources de paix de la société". Nous ne saurions mieux dire. 

    Et maintenant ? Qui fait quoi ? Qui en discute ? Qui décide ? Pourvu que l'annonce en soit faite dans de meilleures conditions que celles qui avaient entouré en leur temps l'application de la journée de solidarité... (rondement menée par Jean-Pierre Raffarin.)

  • Autolib' ou pas Autolib' ? Des négociations sont en cours avec Europcar

    Fin juin, on a cru un moment que la Ville de Paris allait être contrainte de débaptiser sa voiture électrique fétiche. C'est en tout cas ce que disait la presse au vu de la décision de la Cour d'appel de Paris qui donnait raison à la société de location de voitures Europcar. Cette société dénonçait en effet la concurrence déloyale - à ses yeux - et le nom adopté comme enseigne trop proche de ses "autoliberté" en piste depuis 2001. La Ville de Paris disposait alors d"un mois pour trouver un autre nom à ses petits bolides - toutes proportions gardées.

    Comme nous étions attentifs à l'évolution des voitures électriques parisiennes, nous avons laissé passer le temps, les trente jours de sursit alloués, tout en gardant un oeil sur l'information. Rien. Pas de remous, pas de concours pour trouver une accroche alléchante, un sigle exitant la curiosité... Rien. Même le pourvoi en cassation promis par Bertrand Delanoé, qui bien sûr n'accepte pas la décision de la cour d'appel, n'a pas été déposé. Que se passe-t-il donc ? 

    Après quelques recherches il semble que la société Europcar n'ait pas encore notifié à la Ville de Paris, officiellement, la décision de la cour d'appel en sa faveur, ce qui signifie en clair, que le délai n'a pas commencé à courir.

    Contrefaçon et concurrence déloyale, qui étaient les arguments d'Europcar n'ont sans doute pas convainvu tous les juges puisque le jugement de la cour d'appel de Paris était à l'opposé d'un précédent jugement émis, lui, par le tribunal de grande instance en 2011. Benoît Hasse, dans le Parisien du 2 août, nous laissait entendre que des négociations étaient en cours entre l'Hôtel de ville et la société de location. Attendons.

    Les petites voitures continuent donc à être livrées par le groupe Bolloré : elles sont désormais 1740 dans 600 stations à Paris et dans 46 villes limitrophes. 

    Avez-vous vu les 24 heures de Vélib' sur les Champs Elysées le 25 juin dernier grâce à l'album public mis en ligne par la Ville : c'est ici.

  • Devinette : connaissez-vous bien les clochetons du quartier ?

    Jouons un peu... Il faut avoir l'oeil et le bon. Vous êtes passé sans doute de nombreuses fois devant ce petit clocher, que l'on découvre en perspective dans l'enfilade d'une rue assez dégagée. C'est à cinq minutes du carrefour Barbès, à pied. Petit clocher, vite dit, je ne sais pas bien s'il s'agit d'un toit de clocher. C'est peut-être plutôt le toit en dôme d'une des chapelles du déambulatoire de l'église... On est là derrière le choeur. Dit-on chapelle rayonnante ? Vous le préciserez si vous êtes expert !

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    Le ciel, le jour de la photo, était de la couleur des toits de cette église, des gris d'ardoise, des gris d'étain et de zinc. Un très bel effet sur place !

    Ce n'est pas bien difficile. Toutefois, à cinq minutes de Barbès se trouvent plusieurs bâtiments religieux. 

  • Nouveau jardin solidaire dans le 18e

    Une communication sympathique de la Coordination Toxicomanies nous parvient, alors que ce petit jardin nous avait échappé (nous avouons !)

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    Nous sommes heureux de vous annoncer que depuis mars 2012 s’est ouvert un jardin solidaire sur le territoire de la Goutte d’or :

    Le jardin Noëlle Savignat, au 24 rue Cavé. Il est ouvert les mardis et jeudis de 14h30 à 16h30.

    Le jardin solidaire porté par l’association Aurore-EGO en collaboration avec la Coordination Toxicomanies, offre un lieu de rencontre entre différents publics qui cohabitent sur le quartier de la Goutte d’Or au milieu d’une enclave de verdure.

    Le principe est simple, il est ouvert à tous, on peut y venir jardiner, lire, discuter, jouer, proposer un atelier ou ne rien faire du tout.

    Vous pouvez consulter son actualité sur le blog : jardinego.blogspot.fr  ou pour plus d’informations nous contacter au 01 53 28 77 89/08 89 ou par mail : rosier.johanne@coordtox.org

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    paris,barbès,goutte-d-or,jardin-solidaireCet emplacement (ci-contre), le 24 rue Cavé, était celui d'un petit immeuble d'un seul étage en mauvais état. Sa destruction a fait l'objet d'un mécontentement profond de certains riverains de la rue Cavé qui s'exprime dans un blog, comme à propos d'autres destructions d'habitats dits insalubres. Nous comprenons parfois l'insatisfaction de certains de voir disparaître la trace d'un quartier populaire où subsistaient encore de rares petites bâtisses. Toutefois, l'urgence de loger des citoyens demandeurs d'un logement social ou non doit être considérée. 

    (Merci à Google qui ne renouvelle pas très rapidement ses images..)

  • Barbès-Rochechouart sous les coups

    Vous avez été plusieurs à nous adresser un lien vers l'article du Parisien qui relatait les échaufourrés du jeudi 2 août devant la station de métro Barbès-Rochechouart. 

    Pour ceux qui n'auraient pas suivi, de quoi s'agit-il ? D'une banale interpellation vers 20 heures de deux individus suspectés d'avoir volé un mobile dans le métro, qui a dégénéré en affrontement entre les forces de l'ordre appelées en renfort et les groupes de vendeurs à la sauvette, "établis sur le terrain" et d'autres individus "si affinités"... Une précédente affaire similaire avait tourné au drame et un policier avait reçu plusieurs coups de couteau avant d'être transféré à l'hôpital. 

    Les policiers de la DSPAP (Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne) étaient-ils conscients que leur tentative d'interpellation allait se dérouler en milieu hostile ? Pas sûr. On n'approchait de l'heure de rupture du jeûne du ramadan, et plus qu'à tout heure, les abords de la station étaient noirs de monde. Les policiers du quartier, rompus aux conditions particulières du maintien de l'ordre dans le quartier, ne s'opposent pas frontalement à des activités, même illicites, quand ils sont en effectif réduit. C'est même ce qu'on leur reproche parfois ici, car la trop grande tolérance face aux incivilités – sans aller jusqu'aux délits – crée un climat de zone de non droit, au moins de laisser-faire.

    En revanche, l'action de la brigade locale affectée aux abords de la station de métro les jours de marché a réussi très correctement à maintenir le libre accès aux sorties et entrées de la station, de même que l'accès au marché. Bien sûr, les marchands non-autorisés et biffins attendent la fin des horaires de service de la brigade pour s'installer. On observe depuis le début de l'été une large activité de vente d'articles variés, à même le sol, relativement peu de marchandises périssables (qui nous avaient inquiétées pour les risques sanitaires que couraient les acheteurs) sous le viaduc après le passage de la propreté de Paris en fin de marché, et parfois jusqu'à tard le soir. 

    Depuis ces événements, nous avons lu dans la presse qui s'en est largement fait l'écho, une déclaration de Manuel Valls, minsitre de l'intérieur, que quinze zones de sécurité, dont le 18e arrondissement de Paris, allaient faire l'objet d'un renforcement des personnels de police et de mesures appropriées. La citation qui revient en boucle dans les journaux est celle-ci : L'idée, c'est de mettre le paquet là où il faut, pour ce qu'il faut, avec souplesse, adaptation. 

    On ne pouvait pas dire mieux ! Maintenant il reste à le faire !

    BFM TV

  • On lève le pied...

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    Ici on appelle cela des entrées maritimes, un genre de brume qui vient de la mer, en attendant que la tramontane souffle un peu pour évacuer tout cela.

    Qu'elle ne souffle pas trop, toutefois, car la nature est très sèche en Catalogne et le moindre mégot peut mettre le feu aux herbes, comme on l'a vu très récemment à la Junquera avec les dégâts, les risques pour les personnes et la terre de désolation qui en témoigne ensuite. Du côté français quelques jours auparavant, non loin de Prades, un incendie avait pris et menacé le vieux prieuré de Serrabone.

    Le niveau des réserves d'eau est bas, des lachés ont eu lieu bien plus tôt que l'année passée. Lors de cet incendie dans la région de Prades, les canadairs n'ont pas pu se ravitailler sur la réserve de Vinça. La présence de la montagne ne permet plus une bonne gestion de l'alimentation en eau. Des observateurs soulignent que les nombreux aménagements routiers, de voirie, et l'urbanisation en général, modifient les chemins de l'eau. Quand il pleut, les eaux ne trouvent plus la voie de la réserve naturelle, ni des nappes souterraines, elles vont directement à la mer. Les fossés sauvages disparaissent, les puits sont taris. Ce sont les municipalités qui tirent la sonnette d'alarme : les demandes de permis de forage pour des puits chez les particuliers ont augmenté ces dernières années, car les puits existants, souvent, sont vides...

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  • Le boulevard Saint-Martin dans les deux sens

    J'ai tenté pour vous ma première expérience de circulation cycliste sur le tronçon République - boulevard de Sébastopol. Voici ce que cela donne :

    paris,république,johann-Strauss,piste-cyclable,vélo,travauxDe la place de La République à la place Johann Strauss, il faut emprunter le couloir de bus, impraticable lors de mon passage. Il était encombré par les véhicules de livraison, de déménagement, par des autocars de tourisme. 

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    Ensuite, c'est plus calme : l'itinéraire "recommandé" avec fléchage au sol, pour l'instant, passe par la rue René Boulanger devenue une aire piétonne. Quand on est assis à la terrasse d'un des nombreux cafés du coin, on voit bien quelques voitures s'aventurer dans le sens ouest-est, mais on leur fera crédit en pensant que les conducteurs sont des riverains... 

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    La piste arrive ensuite au niveau de la porte Saint-Martin et une fois traversée la rue du faubourg Saint-Martin, elle conduit jusqu'aux boulevards de Sébastopol et de Strabourg, métro Strasbourg-Saint-Denis.

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    Me voila repartie dans l'autre sens (ouest-est et pour ceux pour qui les points cardinaux restent flous, disons Opéra-République). Très peu de véhicules passent par là, sans doute par méconnaissance de cette nouvelle possibilité. La piste cyclable non protégée (au grand dam des associations de cyclistes) est donc rassurante. Des véhicules non autorisés sont garés, mais on admettra qu'en ces temps de travaux, la tolérance peut être de mise. Il faudra voir par la suite.   

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    Après avoir traversé la chaussée, on reprend la rue René-Boulanger dans l'autre sens, devant le théâtre de la Renaissance. C'est là à l'angle qu'il est bon de déguster une bière toute fraîche en fin d'après midi. Mais, ce jour-là, il était trop tôt... et je n'avais pas le temps pour un apéritif.

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    Un circuit très court. Il est donc peu raisonnable d'avoir un avis tranché. Attendons la fin des travaux qui battent leur plein sur le boulevard Saint-Denis pour se faire une idée.  

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    Pour en savoir plus, la lettre d'info de la ville.

  • Un article de la Préfecture de police...

    paris,police,vol,or,agression,arrachéUn phénomène de vols à l'arraché de bijoux en or, surtout des colliers, s'est développé ces derniers mois en région parisienne. Des femmes seules, souvent âgées, sont agressées sur la voie publique en plein jour pour leur chaîne de cou, par un ou deux individus. Le nord-est de la capitale et le département de la Seine-Saint-Denis sont les secteurs les plus touchés.

    Afin de lutter contre cette nouvelle délinquance d’opportunité, la préfecture de police multiplie les plans de surveillance et les actions de prévention : 
    • diffusion régulière d’appels généraux afin de sensibiliser les patrouilles, et, en cas de flagrant délit, de toutes informations utiles pour permettre l’interpellation du ou des auteurs ;
    • cartographie de secteurs visés remis à jour quotidiennement de manière à occuper le terrain de façon optimale mais aussi de procéder à des rapprochements ;
    • et, à partir du 1er août, distribution de flyers par les patrouilleurs afin de sensibiliser le public à ce type de délinquance.

    Parallèlement, la PP renforce les contrôles administratifs des bijouteries et établissements d'achat et vente d'or.

    Au 15 juillet, il a déjà été procédé à 180 interpellations, elles se poursuivent.

    De vraies filières de reconditionnement : un atelier découvert hier à Montreuil... On se doutait bien que cette activité allait se structurer.

  • La République en 360° sous la canicule

    Les travaux vont bon train et comme la Ville l'avait annoncé (notre article du 11 juillet), il est désormais impossible de circuler sur la place du côté Est. Nous avons fait le tour de la place inachevée en partant du boulevard de Magenta.

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    On commence à imaginer l'espace ainsi libéré de tous véhicules et rendu aux piétons et aux circulations douces.

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    Côté sud, une station Vélib est quasiment opérationnelle. On a aussi pensé aux stationnements deux roues motorisées. 

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    La circulation ne semble pas plus dense et est (tout du moins à l'heure des prises de vues soit 11H) assez fluide. Nous n'avons pas tout à fait oublié non plus que nous étions à la fin du mois de juillet...

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    Pour les vélos, il faudra attendre encore un peu avant de rouler en toute sécurité.

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