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Culture - Page 70

  • Les ateliers d'artistes du quartier ouvrent leurs portes

    Dès maintenant vous pouvez toquer à la porte des ateliers qui participent à l'événement, devenu traditionnel au cours de ces dernières années D'Anvers aux Abbesses !

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      70 ateliers accueilleront les amateurs d'art pendant ces trois jours exceptionnels, les 18, 19 et 20 novembre. Plus d'une centaine d'artistes seront présents pour bavarder, expliquer, communiquer avec le public, avec les habitants du quartier qui tout au long de l'année passent devant les ateliers, parfois sans soupçonner toute la créativité qui s'y cache.

    Ne ratez pas cette aubaine.

    Une affiche-plan est remise gratuitement dans chaque atelier, qui vous permettra d'élaborer votre itinéraire. Une visite s'impose au 12 rue Hippolyte Lebas, où sont exposés les Emiles. Voir le détail du concours des Emiles sur le site de l'association : www.anversauxabbesses.fr

    Découvrez le parcours culturel concocté autour des adresses des ateliers ouverts aux amateurs : en cliquant ici. Plus d'une vingtaine de lieux y sont présentés.

    Si parmi les beaux arts, vous avez toutefois des préférences, l'association a aussi pensé à vous, en créant cette année des  parcours par discipline : une autre façon de découvrir les ateliers (plans à télécharger et à imprimer, cliquez sur les liens ci-dessous).

     

    Informations pratiques
    Portes Ouvertes « d'Anvers aux Abbesses »
    le vendredi 18 novembre de 18h à 21h
    le samedi 19 et le dimanche 20 novembre de 11h à 20h
    Entrée libre
    Informations au 01 40 23 02 92

    Nos mairies du 9e et du 18e relaient fidèlement les informations essentielles sur la manifestation. Mais le mieux n'est-il pas de pousser la porte des artistes qui affichent leur disponibilité ?

  • Ce soir à l'IMA : débat et projection du film "le silence du fleuve"

    Dans le cadre des Jeudis de l'Institut du Monde Arabe  et à l’occasion de la parution de la bande dessinée Octobre Noir (éditions Adlibris), l’IMA organise une soirée constituée d’un débat puis de la projection du film de Mehdi Lallaoui : Le Silence du fleuve

    salle du haut conseil - 18h30

    Institut du Monde Arabe

    img_nl_jeudima_oct61_0.jpgOCTOBRE 61 POUR MÉMOIRE

    Au cours des mois précédant la manifestation du 17 octobre 1961, 22 policiers sont tombés en France métropolitaine sous les balles des commandos du FLN (Front de Libération Nationale). A la demande des syndicats de police, un couvre-feu concernant les travailleurs algériens est alors instauré par le préfet de police de Paris Maurice Papon.
    Pour protester contre ce couvre-feu discriminatoire, la Fédération de France du FLN appelle les Algériens de la région parisienne à manifester pacifiquement, avec femmes et enfants, le 17 octobre, à 20h30, sur les Champs-Élysées.
    Le général de Gaulle, président de la République, donne carte blanche à Maurice Papon pour interdire et disperser la manifestation perçue comme une pression sur les négociateurs français et indépendantistes algériens qui traitent, à Evian, du futur statut de l’Algérie. Les forces de l'ordre affrontent les manifestants et en arrêtent de nombreux qu’elles embarquent en différents lieux … On ne sait toujours pas aujourd’hui le nombre des morts. On compte entre 100 et 200 disparus et 2300 blessés suite à cette manifestation.

    Avec : Didier Daeninck, écrivain ; Mako (Lionel Makowski), illustrateur de bandes dessinées ; Benjamin Stora, historien et universitaire ; Mehdi Lallaoui, réalisateur et écrivain ; Samia Messaoudi, militante associative et fondatrice de l’association « Au Nom de la Mémoire » ; Jean Daniel, écrivain et journaliste ; Aïssa Dérrouaz, responsable des éditions AdLibris ; M’hamed Kaki, responsable associatif.

    Voir également sur le site de Mediapart, en clair, le film et en association avec Au nom de la mémoire, des textes d'écrivains réunis dans le livre 17 octobre, 17 écrivains se souviennent.

  • On a failli oublier Brassens à la mairie du 9e

    Brassens recto.JPGL’année 2011 marque les 30 ans de la mort de Georges Brassens. L’association le Grand Pan – Intégrale Brassens et la Mairie du 9e arrondissement lui consacrent une semaine culturelle du 22 au 30 octobre. Concerts et expositions en salle Rossini, mairie du 9e, 6 rue Drout, Paris 9e, entrée libre.

     Vous pouvez vous informer plus en détails sur integralebrassens.com

     

    Samedi prochain le 29 octobre aura lieu la soirée spéciale "La Camarde".
    19h30


    En attendant, êtes-vous prêts à partager avec nous les petites perles de l'INA ?

     

     

  • Sempé croque Paris

    C'est le nom de la nouvelle exposition à laquelle nous invite l'Hôtel de Ville du 21 octobre 2011 jusqu'au 11 février 2012, dans la salle Saint-Jean, tous les jours sauf les dimanches et fêtes de 10h à 19h.

    Entrée gratuite.

    Ecoutez Sempé...  ou ci-dessous si la vidéo veut bien s'ouvrir....


    Visitez l'expo Sempé à l'Hôtel de Ville par mairiedeparis
    Rencontre avec Sempé par mairiedeparis 

    Avec une petite revue de presse, qui salue la bonne idée de cette expo :

    le NouvelObs de jeudi dernier : "En voyageant à travers plus de 320 dessins originaux, le visiteur découvre aussi ses multiples collaborations avec la presse. Et les magnifiques Unes au New Yorker, journal prestigieux et impertinent avec qui il collabore encore aujourd'hui, depuis 1978."

    Le Monde préfère écrire sur la sortie du livre ENFANCES de Sempé, accompagné d'un entretien avec Marc Lecarpentier. (Denoël, coédition Martine Gossieaux, 272 p., 42 €.) "Ca commence avec des baffes et des torgnoles... Ou plutôt non, ça commence par le commencement. Avec un bébé. Un beau bébé même, selon les critères de ces années-là. "Un bibendum blanchâtre et adipeux", "un gosse bien gros, alourdi par du lait trop riche". C'est ainsi que se décrit Jean-Jacques Sempé. Il vit à Bordeaux. Nous sommes dans les années 1930."

     Le Parisien ne manque de signaler lui aussi l'expo de l'Hôtel de Ville.

    A vous d'aller voir.

    A voir aussi "ceux qui dessinent Paris" sur le site de la Ville.

  • Paris et ses hôtels particuliers

    expo hotel particulier.JPGLe projet de réhabilitation du Louxor a permis à Action Barbès de s’intéresser de plus près aux questions liées au patrimoine. C’est dans cette optique que nous vous recommandons vivement d’aller visiter l’’exposition L’hôtel particulier, une ambition parisienne qui se tient depuis le 5 octobre et jusqu’au 19 février 2012 à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine au Trocadéro.

    Beaucoup d’hôtels particuliers ont été détruits au cours des siècles, mais Paris en garde encore pas mal d’exemples. On peut même dire que ceux-ci ont structuré la ville. Du Marais et de la place des Vosges au quartier de la Chaussée d’Antin, à deux pas du carrefour Barbès, en passant par le faubourg Saint-Germain, la ville de Paris reste profondément marquée par ces demeures qui reflètent un art de vivre, certes réservé  à quelques très rares privilégiés, mais témoins d’une civilisation en plein épanouissement.

    Disons le tout net, l’exposition est remarquable ! Elle est en gros organisée en trois étapes qui nous font comprendre l’évolution de l’architecture des hôtels particuliers, leur place dans la ville et la floraison d’arts connexes liés à ce développement.

    La première étape est celle de l’évolution de la structure de l’hôtel particulier. De la Renaissance où l’organisation du bâtiment reste encore très simple autour de la chambre qui sert à la fois de lieu de réception, de repas et de repos jusqu’au salon du XVIIIème siècle, lieu de réception, pièce centrale de l’édifice, là où s’expriment l’art de vivre, la sociabilité, en passant par la pièce d’apparat du Grand Siècle, celui de Louis XIV, l’exposition nous explique, nous montre, cette évolution qui est assimilable à celle de la civilisation. Pour ce faire, et de manière très pédagogique, une suite typique a été reconstituée, formée d’un vestibule, d’une antichambre, d’un salon, d’un cabinet bibliothèque plus intime, puis d’une galerie, permettant de comprendre comment on passe de la cour au jardin, du vestibule pour l’accueil au salon pour la réception, dans un ordre social très structuré.

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    Hôtel de Thellusson par Jean Baptiste Lallment (1716-1803) (source WIkipédiA)

    La seconde étape nous montre quatre hôtels particuliers représentatifs de leur époque. Le plus ancien, celui de Cluny au Quartier latin, construit pour l’abbé de Cluny lors de ses séjours à Paris. Ensuite l’hôtel Lambert, joyau du XVIIème siècle à la pointe orientale de l’île Saint-Louis, œuvre de Le Vau. Puis l’hôtel de Thélluson, si typique du XVIIIème siècle et enfin  le Palais Rose construit au tout début du XXème siècle. Quatre représentants de leur époque dont, hélas, seuls l’hôtel de Cluny et l’hôtel Lambert subsistent aujourd’hui.

    Enfin, la troisième étape nous montre le développement de l’art de la décoration (peintures murales, mobilier) et des jardins.

    Autour du quartier Barbès, peu d’hôtels particuliers encore en place. Notons la maison de Thiers, place Saint-Georges, d’un intérêt en vérité limité, la mairie du 9ème, l’hôtel d’Augny, l'hôtel Wendel, mais surtout l’hôtel  Bourrienne au 58 rue d’Hauteville, véritable bijou du début du XIXème siècle avec sa décoration Directoire. Le visiter, c’est se remettre dans l’ambiance des fêtes de cette époque postrévolutionnaire, celle des Merveilleuses, de Mme Tallien, de Mme de Beauharnais, qui y vivaient des amours intenses et agitées.

    Donc en un mot comme en cent, allez visiter l’exposition L’hôtel particulier, une ambition parisienne.

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    Salon hôtel Bourrienne (source)

  • L'orgue de cinéma, souvenir du Louxor

    document?id=15150&id_attribute=111En collaboration avec Histoire et Vies du 10e et l'AVROC (Association pour la valorisation et le rayonnement de l'orgue Christie), Les Amis du Louxor vous proposent, le 18 octobre à 19 heures à la Mairie du 10e, une conférence avec images et musique sur « L'orgue de cinéma, du Louxor au Gaumont-Palace », par Julien Girard et Michel Chazot.

    Véritable orchestre à lui tout seul, avec de nombreuses possibilités de bruitage, l'orgue était l'instrument-roi qui accompagnait les films au temps du cinéma muet.
    Cette rencontre sera également l'occasion de voir un court-métrage de 1972 rarement projeté, Un quart d'heure d'entracte, présenté par son auteur Alain Villain : on y voit le plus grand des organistes du Gaumont Palace, Tommy Desserre, toucher pour la dernière fois cet orgue mythique avant son démontage.

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    Conférence proposée le 18 octobre 2011 à 19h
    Mairie du 10e
    72 rue du Faubourg Saint-Martin

     

    L'orgue Christie, celui du Gaumont Palace, avait des concurrents, entre autres l'orgue Wurlitzer, dans les mêmes années, bénéficiant du talent d'un des premiers organistes à se faire un nom internationalement, Jesse Crawford. Ci-dessous le Chicago Theater en 1924 et Jesse Crawford à la console. On voit à l'arrière Orlando Marsch, l'inventeur d'un système expérimental d'enregistrement.

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    paris,10e,orgue,Wurlitzer,Chicago-Theatre,Crawford

    Vous voulez entendre Old Virginia Moon, enregistrement Autograph de 1924 par Marsch ? Cliquez.


    podcastparis,10e,orgue,histoire-et-vie-du-10e,histoire,conférence

     

    Retrouvez d'autres mélodies jouées par Jesse Crawford, toutes aussi anciennes, sur le site d'un Australien pour le moins passionné, Ian McIver.

  • Louxor : intox désintox

    paris,culture,patrimoine,louxor,cinémaLa nouvelle formule du quotidien Libération contient régulièrement une rubrique « Intox-Désintox ». Elle permet de relativiser certains propos d’hommes politiques qui souvent font un usage très abusif de certaines informations. Cette rubrique a un réel succès et Libération en a fait un blog.

    C’est avec cette approche que nous avons lu avec attention l’article quel traitement pour les décors peints du Louxor ? publié par l’association Les Amis du Louxor.

    François Loyer, historien d’art et d’architecture renommé, défenseur dès la première heure de la sauvegarde du Louxor dans son état d’origine, a bien voulu faire cette lecture critique avec nous. C'est aussi une occasion (et une leçon !) pour bien comprendre ce qu'est un défenseur du patrimoine.

    Plusieurs présupposés faits par Claire Bergeaud dans cette interview sont tout à fait critiquables, nous dit François Loyer.

    Lire la suite

  • A ne pas manquer : les Stein et leur collection au Grand Palais

    Loin de Barbès, certes, mais est-ce bien une raison pour passer sous silence cette exceptionnelle exposition ? Il va falloir se battre une fois de plus pour entrer dans le musée à un horaire où il n'est pas pris d'assaut par les touristes, les cars de jeunes retraités, venus tout exprès.... Quelle joie que la peinture captive tant de personnes ! Mais quel dommage qu'il faille partager cette passion avec tant de monde...

    Du 5 octobre 2011 au 16 janvier 2012, musée du Grand Palais



    Découvrez "Matisse, Cézanne, Picasso... l'aventure des Stein" au Grand Palais sur Culturebox !

  • des vidéos..... interactives pour un dimanche gris

    Ce dimanche s'annonce beaucoup moins ensoleillé que ces derniers jours. Pourquoi dans ces conditions ne pas jeter un coup d'oeil sur ce site ? 

    Je ne sais pas vous… mais moi, j’aime les courts métrages, les vidéos un peu dérangées, pour ne pas dire déjantées. Si vous partagez ce goût, je vais vous tendre une perche, un lien plutôt, vers un site qui en propose une certaine quantité, en toute hétérogénéité, et offre de surcroît l’interactivité. Vous pourrez suggérer des mots qui définissent un thème après que le logiciel a reconnu ce dont il s’agit… à tâtons. Vous visionnez une courte vidéo, une minute tout au plus. Puis des chiffres sont proposés, assez hétéroclites également. Un exemple ? La valeur du marché de la pizza surgelée (en millions… en millions de quoi, on ne nous le dit pas. Disons de dollars.) Et là, on comprend que la France n’est pas les States. Si en France le chiffre annoncé est de 107 millions de “?”, aux USA, il est de 6 480 millions de “?”. On aurait aimé avoir une idée des sources. Pas grave.

    Laissez-vous guider au gré des mots et des suggestions que génére le site. C'est LÀ.

    paris, gaité-lyrique,code-barre

    Code barre : un voyage interactif bizarre, au gré des mots d'objet de la vie quotidienne qui vous viennent à l'esprit. Il sera repris à la Gaïté Lyrique, espace des cultures numériques parisien. --> La Gaîté lyrique, 3 bis, rue Papin, Paris-3e. Mo Réaumur-Sébastopol. Du mardi au samedi de 14 h à 20 h et le dimanche de 14 h à 18 h. Jusqu'au 10 novembre. Entrée libre.

    Ce que dit Le Monde pour vous donner une idée plus précise de la chose....

    Le principe de ce webdocumentaire est de faire de l'internaute un acteur, plus qu'un simple spectateur. En lisant le code-barres d'un objet avec votre smartphone (après avoir téléchargé l'application « Code-barre » sur iTunes Store) ou avec webcam connectée au site Internet Codebarre.tv, vous déclenchez un film d'une minute en lien avec l'objet en question. En soixante secondes, clés, Post-it, machine à laver, chaussure, préservatif, cafetière, pince à épiler, cigarette, voiture, biscuit, rouge à lèvres... tout y passe. Des vidéos d'artistes à partager, que les internautes peuvent enrichir, soit en postant sur un blog dédié un texte et une photo de leur totem, soit en scannant de nouveaux objets qui iront enrichir la base de données du projet Code barre. Une manière inédite d'accéder à des créations multimédias grâce aux technologies modernes.

    Quand on préfère la simplicité, les vidéos sont très accessibles sur l'écran d'un ordinateur, il n'est pas vraiment nécessaire de charger une application sur iTunes.

  • NUIT BLANCHE 2011

     

    NUIT BLANCHE 2011

     Samedi 1er octobre (soirée et nuit)

    La Nuit Blanche parisienne passe cette année par le 9e arrondissement. En effet, Alexia Fabre et Franck Lamy (Musée MAC/VAL), directeurs artistiques de cette 10e édition, ont sélectionné deux secteurs pour le parcours officiel : le premier au centre de Paris, le deuxième plus au nord, cheminant des Batignolles à la Place d’Anvers en passant par Montmartre et la Nouvelle Athènes. Dans le 9e, les lycées Edgar-Quinet et Jacques-Decour, l’école ESMOD, l’Hôtel Amour et l’International Visual Theatre accueillent des œuvres du parcours officiel.

    D’autres lieux ont évidemment souhaité s’associer à cette grande fête de l’art contemporain à Paris, et ouvrent leurs portes au public en accueillant des œuvres. Nous avons répertorié les projets suivants dans les environs, facilement accessibles en se promenant :

    Secteur Trinité, un peu loin...

    Galerie VU' (58, rue Saint-Lazare, Hôtel Paul Delaroche) :   

                              « Travel plans » de Jeffrey Silverthorne (exposition photographique)

    ESMOD * (12, rue de la Rochefoucauld), près du musée Gustave Moreau :  

                              « Cut Papers # » de Sachiko Abé, (performance)

     

    Secteur Martyrs-Trudaine 9e, on se rapproche...

    Hôtel Amour * (8, rue de Navarin) :

                              « Flower bed » de Tsuneko Taniuichi (performance et projection vidéo)

    Gymnase Paul Gauguin (35, rue Milton) :                  

                              « Life on loop » de Jungwan Ba et Oan Kim (projection vidéo)

    Lycée Jacques Decour,  (12, avenue Trudaine) :   

                              « Black cloud » de Carlos Amorales (installation)


    64 - Carlos Amorales - Black Cloud, 2007 par mairiedeparis

    Et dans le théâtre du lycée Jean-Decour

                               « Black Rain », une installation vidéo de Semiconductor

     

    Lycée Edgar Quinet (63, rue des Martyrs), de 19h à 7h : 

                               « Dance (all night) » de Melanie Manchot (performance participative)

    Cité Malesherbes, en haut de la rue des Martyrs, de 20h à 4h

                               « Tempography » de Anthony Bannwart (projection vidéo)

     

    Secteur Pigalle-Blanche 9e  :

    International Visual Theatre * (7, cité Chaptal) :   

                               « The Landscape is changing » de Mircea Cantor (projection vidéo)

    Musée de la vie romantique (16, rue Chaptal), de 18h à 23h

                               « Paris – Proche et lointain » de Patrick Faigenbaum (exposition photographique)

    Maison des associations du 9e (54, rue Pigalle), de 19h à 7h 

                               « Montebello – Megachromia à Paris » de Arthème Galerie (exposition photographique)

    TEP Duperré (22, rue Duperré) :      

                               « Still life » de Jean-François Bouchard (projection vidéo)     

    Sur le terre-plein du métro Anvers 9e-18e 

                               « La concentration des services », installation de 19h à 7h

     

    Dans le 18e

    Place des Abbesses 18e :

    Sur la place des Abbesses, de 19h à 1h45

                               « Un trou dans la ville » de la Compagnie Dérézo

    Le bateau-lavoir 18e :

    8, rue Garreau, de 19h à 1h

                               « L'atelier du Bateau-Lavoir » réalisation d'une peinture en direct par François Boisrond

    Galerie W Eric Landau 18e :

    44, rue Lepic, de 19h à 7h

                               « Paris s'éveille » ou  « le réveil de la ville », de Jean-Christophe Choblet, Thierry Payet, Valérie Thomas, projection

    Rue Léon 18e :

    Dans la cour de l'Institut des cultures d'Islam, de 19h à 2h ; 19, rue Léon:

                               « Fire Flies, Fransesca » de Frédéric Nauczyciel

    Place de la Chapelle 18e :

    28-30  boulevard de la Chapelle,angle rue Philippe de Girard

                               « Le cercle vicieux Paris », installation de Jola Kudela Aka Yola

    ............ Et maintenant A VOUS DE CHERCHER ........

    Montmartre Anvers - Batignolles-Pigalle, La Nouvelle Athènes/Saint-Georges

  • Circul'Livre au marché Saint-Quentin

    Deux dates à retenir pour Circul'Livre au marché de Saint-Quentin. Depuis quelques années déjà, le stand de Circul'Livre se tient tous les premiers dimanches du mois dans le marché de Saint-Quentin :

    le prochain tombe le 2 octobre, entre 11h et 13h,
    non loin de l'entrée rue de Chabrol.

    En plus de la permanence mensuelle de votre Circul'Livre, vous pourrez retrouver les animateurs au cours de la fête de Circul'Livre organisée sur tout Paris : une déambulation aura lieu entre les stands du marché, ponctuée de lectures sur le thème de la cuisine. Quasiment un passage obligé quand on s'installe dans un marché alimentaire...

    CIRCUL'LIVRE en FËTE
    c'est samedi 1er octobre
    de 10h30 à 12h30

     

    paris,10e,circul'livre,marché-saint-quentin,fête

  • La programmation des cinéastes

    32eafc049a2e7436645b64947322d22e.jpgL’ACID est une asso­cia­tion de cinéas­tes qui depuis 18 ans sou­tient la dif­fu­sion en salles de films indé­pen­dants et œuvre à la ren­contre entre ces films, leurs auteurs et le public. C'est une des opérations qui va chercher le public pour lui faire découvrir des films vers lesquels il n'irait peut-être pas spontanément. Un exemple qui pourrait inspirer le prochain exploitant du Louxor (voir article ici même, hier, présentant l'appel à candidatures de la ville de Paris).

    Le cinéma des cinéastes, rue de Clichy, 18e, participe à ces rencontres entre public et auteurs les 24 et 25 septembre.

    Toutes les projections seront suivies de rencontres avec les cinéastes, comédiens, compositeurs, scénaristes…

    Samedi 24 septembre

    13h30 : Palazzo Delle Aquile de Stefano Savona, Alessia Porto, Ester Sparatore
    16h : Les Vieux chats de Sebastián Silva et Pedro Peirano
    18h : Goodnight Nobody de Jacqueline Zünd
    20h : Bovines d’Emmanuel Gras
    21h30 : Rives d’Armel Hostiou + Concert de Fantazio

    Dimanche 25 septembre

    11h : Courts métrages : Dancing Odéon de Kathy Sebbah, Pandore de Virgil Vernier et les films des Talents Cannes Adami
    13h30 : Black Blood de Miaoyan Zhang
    16h : Noces Ephémères de Reza Serkanian
    18h : Le Grand’Tour de Jérôme le Maire, Vincent Solheid et Benjamine De Cloedt.
    20h30 : Rue des cités de Carine May et Hakim Zouhani (vu par Libé en juin)

    La force du tra­vail de l’ACID repose sur son idée fon­da­trice : le sou­tien par des cinéas­tes de films d’autres cinéas­tes, fran­çais ou étrangers. Chaque année, l’ACID orga­nise plus de 250 débats, concerts et lec­tu­res de scé­na­rios dans des salles en France, des fes­ti­vals et des lieux par­te­nai­res à l’étranger, offrant ainsi la pos­si­bi­lité aux spec­ta­teurs de ren­contrer les cinéas­tes et les équipes des films sou­te­nus. On imagine que le Louxor pourra accueillir de telles manifestations, et nous nous en réjouissons à l'avance. 

    Pourquoi mettre en avant la programmation d'une salle, située près de la place Clichy, ici sur le blog de Barbès ? Pour plusieurs raisons. Il s'agit d'une salle de 3 écrans, en circuit indépendant, classée Art et essai, située dans un environnement sociologique pas très éloigné du nôtre, bénéficiant toutefois de la proximité du Wepler avec ses nombreux écrans... Cela fait bien sûr une grosse différence. On jette un regard à l'affiche des voisins... Pourtant, à bien y réfléchir, on retrouve une partie des caractristiques du futur Louxor. De là à penser que le point d'équilibre économique de cette salle peut servir d'exemple, il n'y a qu'un pas. Donc, nous observons.