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Culture - Page 74

  • 7 rue Ravignan habitait Max Jacob...

    67e anniversaire de la mort de Max Jacob

    À l'occasion du 67e anniversaire de la mort du poète Max Jacob, une cérémonie commémorative se déroulera le vendredi 4 mars 2011, à 19h, rue Ravignan, à l'initiative des artistes de la Fraternité Max Jacob. Le Maire du 18e arrondissement, Daniel Vaillant, participera à l'événement, devant la demeure où le poéte résida de 1907 à 1911.

    Max Jacob est mort le 5 mars 1944 au camp de Drancy, en banlieue parisienne.

    Une projection du film « Les tranches de vie de Max Jacob », ainsi que des lectures de poèmes par Florient Azoulay auront lieu lors de cette cérémonie de commémoration.

     


    Cérémonie commémorative, demain vendredi 4 mars 2011, À 19h, en bas de la rue Ravignan.

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    L'immeuble du 7 rue Ravignan, vu par une artiste américaine qui a élu domicile à Montmartre.

    Visitez le site de Mary Blake.

  • LOUXOR : La bâche est arrivée !

    Non, vous n'avez pas pu ne pas la remarquer !

    La bâche est arrivée ! Montée dans la semaine sur l'échafaudage qui cache la belle façade du Louxor, à l'angle des boulevards de Magenta et de La Chapelle.

    Michel Gomez, Délégué général de la Mision cinéma de la Ville de Paris l'avait annoncé le 25 janvier dernier, lors du Conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul, entièrement consacré au projet de la Ville pour le Louxor.

     

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    La Mairie avait promis de ne pas laisser la publicité envahir cet espace. Parole tenue. Saluons l'effort.

    Toujours dans le cadre des engagements de la Mairie, ACTION BARBES sera reçue ce soir même par Michel Gomez, à la Mission cinéma, pour échanger propositions et informations. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés ici même de l'essentiel de cette rencontre.

  • A quoi donc sert la Commission du Vieux Paris ?

    blason_paris.gifCréée en 1897, la vénérable institution qu’est la Commission du Vieux Paris (CVP) traverse, à l’occasion de l’extension du stade de tennis Roland Garros à la porte d’Auteuil, une grave crise, symptomatique de la politique suivie par le maire de Paris.

    Bref rappel : la CVP « conseille en matière de protection et de mise en valeur du patrimoine parisien » le maire de Paris qui la préside de droit. Elle est dirigée par un Secrétaire Général et l’adjoint au maire en charge du patrimoine en assure la présidence effective. La Commission est composée de 55 membres, dont 13 Conseillers de Paris et 39 experts qualifiés nommés par le maire. Ses avis sont consultatifs et elle se réunit 1 fois par mois. Elle est aujourd’hui abritée dans un très bel  hôtel particulier 9, rue Cadet dans le 9ème. Vous trouverez beaucoup d’informations à son sujet sur le site de la Mairie de Paris, même si on peut regretter que tout ne soit pas parfaitement à jour, notamment en ce qui concerne les comptes-rendus d’activité.

    Le projet d’extension du stade Roland Garros défendu par la Ville de Paris implique, pour agrandir sa superficie, d’empiéter sur les serres d’Auteuil et de démolir les actuelles serres chaudes pour laisser place à un nouveau court de tennis de 5 000 places. 5 hectares de terrain seront pris sur l’ensemble des serres d’Auteuil pour faire passer Roland Garros de 8.5 à 13.5 ha.

     

    SERRES_D_AUTEUIL20102.jpg

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    Outre que ce projet est très contestable d’un point de vue environnemental – la collection de plantes rares détenues dans les serres d’Auteuil va s’en trouver très affectée – il l’est aussi d’un point de vue juridique – «les sites classés de Paris, ne peuvent être considérés comme des réserves foncières pouvant accueillir les équipements sportifs nécessaires à la ville ou à l'Etat" dit le rapport Gestion des sites classés du bois de Boulogne et du bois de Vincennes 2009 -  il l’est aussi d’un point de vue patrimonial.  Si la CVP est une vénérable institution, les serres d’Auteuil ne le sont pas moins. Créées en 1898, donc en même temps que la CVP, son architecture et son jardin botanique sont remarquables.  Pour leur part, les serres chaudes qui seront détruites si le projet vient à se réaliser datent de 1905 rénovées en 1978.

    Soucieux de préserver le patrimoine parisien et informés par la presse du projet d’extension de Roland Garros, certains membres de la CVP ont voulu se saisir du problème le 24 janvier en mettant, en séance, le sujet à l’ordre du jour. Refus catégorique de la Ville sous un prétexte spécieux : pas inscrit à l’ordre du jour. Certains membres-experts ont manifesté leur mécontentement auprès du maire par le biais d’une lettre ouverte.

    Alors, à quoi sert encore la Commission du Vieux Paris ? Serait-elle gênante pour les projets urbanistiques du maire de Paris ?  Dans notre quartier Barbès même, nous avons un très bon exemple du mépris dans lequel la Ville tient la Commission. Saisie du projet de réhabilitation du Louxor, la Commission a émis en son temps un avis défavorable au projet d’un établissement de 3 salles qui impliquait nécessairement la destruction de la salle existante datant de 1921. Le maire de Paris est passé outre. Aujourd’hui, on voit bien le résultat. La salle est détruite, les décors seront enfouis dans l’isolement phonique. En 2013, c’est une copie du Louxor originel qui ouvrira ses portes. Jolie preuve du souci de préservation du patrimoine !

  • La controverse du Louxor

    image001.jpgLa controverse de Valladolid est fameuse et a fait l'objet d'un film remarquable avec pour principaux acteurs Jean Carmet et Jean-Pierre Marielle. Mais le projet de rénovation du Louxor n'en est pas moins une vraie controverse sur laquelle l'Institut de Sciences Politiques de Paris, le célèbre et très réputé Sciences Po, par le biais de quelques étudiants de 4ème année, s'est penché.

    L'idée est de cartographier la controverse, c'est à dire de repérer ses acteurs et de les placer sur une carte afin de mieux comprendre les interactions et les rapports de force existants.

    Dans ce contexte, Action Barbès a été repérée et considérée comme un acteur majeur de cette controverse par les étudiants, opposante qu'elle a toujours été au projet de rénovation tel qu'il a été conçu par la Ville de Paris et son bras armé, la Mission Cinéma de la Ville de Paris.

    Sollicités pour participer à ce travail de réflexion, c'est avec plaisir que nous avons répondu à l'appel des étudiants de Sciences Po et que nous avons défendu notre position, à savoir que le projet actuel ne respecte pas le patrimoine, qu'il est inadapté au quartier Barbès et qu'il a été lancé sans la moindre concertation.

    Bien sûr, nous vous tiendrons informés des suites de ce travail. Il faut déjà noter qu'un travail similaire a été réalisé à propos de la tour Triangle, projet situé à la porte de Versailles, travail qui ne manque pas d'intérêt. On peut aussi se féliciter qu'un tel processus existe. Au delà des avis divergents qui peuvent exister et s'exprimer, il est absolument nécessaire qu'une réflexion se fasse. C'est là, nous pensons, la réalité d'une Démocratie vivante.

  • Institut des cultures d'Islam, rue Léon : des vraies questions

    Paris mon paradis d'Eléonore Yaméogo, mardi 15 février à 19h30

    Documentaire suivi d'un débat. Réalisation Eléonore Yaméogo.

     Projection suivie d’un débat.

    Avec Eléonore Yamviewmultimediadocument?multimediadocument-id=96490&role=1éogo, la réalisatrice.

     "Les Africains entretiennent le rêve, le mythe d’un eldorado. D’une immigration synonyme de réussite et de bonheur. Je suis Africaine. J’ai grandi dans ce mythe. Je veux désormais comprendre et montrer les mécanismes d’un phénomène qui entretient les illusions et les désillusions."

     

    L'Association des femmes dynamiques de la diaspora propose des spécialités africaines dans le salon de thé à l'issue de la projection.

    Sur réservation :

    0153099984//reservation@institut-cultures-islam.org

    Institut des Cultures d'Islam
    19-23 rue Léon
    75018 Paris
    01 53 09 99 84

    Ouvert du mardi au samedi de 15h à 20h

    Directrice
    Véronique Rieffel

  • Insolite : l'Ecosse à Monmartre

    A partir de 10 heures, sur l'esplanade du Sacré Coeur

    Défilé des Pipes bands, des Bagads

    et confréries folkloriques

    arrivée sur la place des Abbesses vers 12h30

     

    22-Dalhousie2.jpg

     

    Retraite aux flambeaux à partir de 18 heures

    du Pont Cauliancourt

    vers la place Charles-Dullin (théâtre de l'Atelier)

     

  • Ce soir le Choeur François Vercken chante salle Rossini

    fdlm3.jpgUne de nos adhérentes, choriste dans le Choeur François Vercken, nous rappelle qu'il se produit ce soir dans la grande salle Rossini de la mairie du 9e, à 20h30.

    Au programme des chants russes, des negros spirituals, de la musique française, allemande...

    L'entrée est libre, et le concert est toujours suivi d'un moment de convivialité autour de quelques boissons.

    Voir l'affiche.

     

    CONCERT

    Choeur François Vercken

    a capella (40 choristes) sous la direction d' Hélène Courtois

    Vendredi 4 février, salle Rossini, 20 h 30

    Mairie du 9e, 6 rue Drouot, métro : Grands Boulevards. Bus : 85.

     

     

  • Louxor : le retour des mosaïques en façade

    Nous avons à peine eu le temps de découvrir les palissades du chantier du Louxor, à l'angle des boulevards de Magenta et de La Chapelle, recouvertes d'une fresque aux couleurs des mosaïques d'origine....

    P1020596 palissades mosaiques web.JPG

    ... que de grandes lettres noires taguées à la bombe les cachaient en partie.

    Nous déplorons ces dégradations. Oh, combien ! On nous dit sur place que le film représentant les mosaïques est anti-tag et qu'il peut être nettoyé facilement. C'est loin d'être une consolation, car les tagues entre deux nettoyages maculeront la façade et des affichages sauvages ne manqueront pas de suivre.

    La crainte se projette aussi sur l'avenir : que faire pour que, plus tard, les vraies mosaïques ne subissent pas le même sort, car nous connaissons bien le taux de nuisance potentiel du quartier, affiches et tagues alternant sur toutes les surfaces accessibles. Les nettoyages ne sont qu'une solution de pis aller, dont on sait qu'elle est efficace dans l'instant, mais fugace... Et coûteuse de toutes façons.

    Nous réitérons notre souhait que les actuels responsables du projet architectural de rénovation prennent pleinement conscience de l'ampleur de la tâche et de la réalité des faits. Nous pouvons faire un parallèle avec la rénovation à grand frais de la station de métro Barbès Rochechouart. Nous avons encore en mémoire la ferme opposition de notre association face à la RATP, dont les responsables du chantier d'alors nous expliquaient que le recoin entre un certain pilier de la station et l'entrée, le distributeur et les tourniquets, en création, face au Louxor, ne posait aucun problème. Chacun sait que personne ne dégrade un lieu propre et bien entretenu ! La suite a montré le contraire et nous avons mis presque dix années à faire réparer l'erreur. Voir notre article sur la grille posée par la RATP fin décembre (article du 2 janvier).

    P1020592 palissades côté Chapelle web.JPGLa Mission Cinéma de la Ville de Paris sera l'invitée du prochain conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul le 25 janvier. Les habitants auront la possibilité de poser toutes les questions utiles à son délégué général, Michel Gomez, tant sur le projet culturel du Louxor, que sur les dispositions de protection des façades... Nous sommes nombreux à nous souvenir des   couches superposées d'affiches de toutes sortes tapissant l'ensemble du bâtiment, à hauteur d'homme. Personne ne souhaite revenir à ce décor !

    Nous vous rappellerons ce rendez-vous.

  • Circul Livre au square d'Anvers près du marché

    Les abords du square d'Anvers accueillent depuis quelques mois les bénévoles de Circul'livres. Le froid ne les arrête pas : ils seront présents vendredi à l'heure du marché, qui se tient le long du square. Ne les ratez pas, ils vous attendent place d'Anvers, près de la sortie du parking, côté restaurant d'Anvers, les livres sont en prêt gratuit sans autre formalité. L'engagement n'est que moral : vous rapportez le livre dans un stand de Circul'livre ou vous le laissez dans un endroit public qui favorisera sa lecture par une autre personne. On ne peut faire ni plus simple, ni moins contraignant.

    Les prochains rendez-vous près de chez vous :

    • dans le 9e, aujourd'hui 7 janvier, à partir de 17h30-19h, avenue Trudaine-square d'Anvers.
    • dans le 10e, dimanche 9 janvier, à l'entrée du marché Saint Quentin à 11h-13h (88 bd de Magenta).
    • dans le 18e, certes un peu plus loin, 4 rue du Poteau, où le marché bat son plein aussi. 11h-13h.

    Toutes les informations relatives à circul'livres se trouvent sur leur site.

    Regardez le reportage récent fait par une équipe d'étudiants de la Sorbonne.


    Le bon plan : circul'livre
    envoyé par telesorbonne. - Cours, soirées et beaucoup d'autres vidéos de la vie étudiante.

  • FRACTALES et l'ART

    C'était le titre des livres de maths en premières et en terminales de nos enfants, non ?

    Ici c'est le nom d'une exposition qui a lieu au centre d'animation Valeyre, 24 rue de Rochechouart, du 4 au 18 janvier. Vous pourrez y voir les oeuvres de DJM, un artiste qui utilise la puissance de calcul de l'ordinateur, les mathématiques, les fonctions fractales, pour créer des images. Pour faire image immédiatement, pensez à certains fonds d'écran sur Mac, qui projettent des fulgurances de couleurs entre les bords de votre fenêtre restée en stand by. Vous voyez ? Chez Microsoft Windows, il y a eu aussi des choses comme cela (pour ne pas faire de jaloux..)

    Les résultats sont innombrables, variés, magiques... et c'est là qu'on voit le talent de l'artiste. C'est l'art fractal.

    Nous ne résistons pas : voici un lien vers une page du web contenant des images fabuleuses et des explications qui ne le sont pas moins, notamment "quelques remarques concernant la nature des mathématiques" par Jean-françois Colonna.

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    Ne croirait-on pas une sorte de méduse des abysses insondables ? Image de Jean François Colonna.

  • Bouffes du Nord : le tournant

     Un peu de recul, un peu d'histoire

    Le théâtre des Bouffes du Nord construit par l’architecte Louis-Marie Emile Leménil* sort de terre en 1876, à l’angle de la rue du Faubourg Saint-Denis et du boulevard de La Chapelle. Son propriétaire, Monsieur Chéret, compte bien y proposer du café concert. Le caf’conc’ attire les spectateurs à l’époque. On est là dans un quartier en pleine expansion. Après le rattachement des communes de la proche couronne (ici pour le 18e) et les constructions normalisées selon les critères de Monsieur le Baron, un lieu de divertissement sera le bienvenu.

    Mais, bizarrement, le succès n’est pas au rendez-vous. Le spectacle d’inauguration fait un flop et notre directeur lâche l’affaire. Comble de malchance, les nombreux directeurs qui se succèderont n’arriveront pas à faire démarrer le théâtre. La guigne les poursuit pendant une dizaine d’années.

    Pourquoi ? On peut supposer que la localisation du théâtre y est pour quelque chose. Un peu trop éloigné du cœur de la ville pour y faire venir les spectateurs parisiens type et les amateurs de café concert : on est tout près de la zone... mal desservie, mal famée. Excentré et situé dans un quartier franchement populaire où la fréquentation assidue et disciplinée du théâtre n’est pas acquise.La renommée tarde à venir.

    PHOTOS --- Yvette Guilbert 41D5DNGT9DL._SS500_.jpgSans oublier la concurrence que Montmartre exerce, là où les lieux de spectacles et de plaisir sont nombreux. Yvette Guilbert, dans ses mémoires, décrit l’ambiance qui régnait à l’époque et quels étaient les objectifs de beaucoup de directeurs de salles : faire rapidement de l’argent et pour cela trouver l’artiste qui les y aiderait. L’aspiration créatrice est venue plus tard, le respect de l’artiste aussi, explique-t-elle.  

    Le théâtre des Bouffes du Nord a donc une longue histoire derrière lui, des hauts et des bas, et aussi une longue fermeture entre 1952 et 1974. On peut la lire sur son site. Il revit réellement à partir de 1974, quand Peter Brook, après une rénovation inventive, décide d'en faire un lieu à part. Ce qu'il est.

    " C'est souvent beau, un vieux théâtre, mais toute mise en scène y reste confinée dans des espaces d'autrefois. Un théâtre tout neuf peut être dynamique et pourtant rester froid et sans âme. Aux Bouffes du Nord, on est frappé par la noblesse des proportions, mais en même temps, cette qualité est cassée par l'apparence rude du lieu. Ces deux aspects font un tout. Si l'on restaurait parfaitement le théâtre, alors la beauté de l'architecture perdrait en quelque sorte de sa force et deviendrait un inconvénient. "

    Peter Brook, 1974

    Des difficultés financières à prévoir dès 2011

    Dans un article précédent en octobre, nous évoquions le départ de Peter Brook et le changement de direction, également les craintes des deux nouveaux directeurs face aux rumeurs de suppression des subventions dont le théâtre bénéficiait. Mais le ministère a rectifié : Le 1,3 million d'euros, c'était pour Brook, pas pour les Bouffes du Nord, qui est un théâtre privé, et qui n'y a pas droit. C’est très clair, on fait des économies. Il va falloir se débrouiller avec les 400 000 euros que l’État concédera au théâtre et les 300 000 euros attribués plus spécifiquement au Centre de recherche et de création théâtrale.

    Théâtre privé aux tarifs publics dans un quartier populaire où les théâtres ne sont pas légion : cela méritait peut-être une petite entorse aux traditions.

    Lire l’article de Michel Guerrin paru dans Le Monde du 29 novembre dernier sur le sujet.

     

    * Né le 24/12/1832 à Paris, Louis-Marie Emile Leménil a construit dans les années 1970-1880 une centaine d'immeubles dans la plaine Monceau (Françoise Boudon, Revue de l'Art, 1988, la "maison à loyer" de la ville haussmannienne, p.64).

  • 18e : des rencontres artistiques à la Goutte d'Or

    Entre une bonne bouteille, des accessoires de mode et des tableaux, il doit y avoir place pour un peu de convivialité. C'est ce qui fait la différence à la Goutte d'Or, malgré tous les problémes.

    Ce week end, et on espère que la température le permettra, faites un tour dans le quartier à la recherche de ces lieux où des artistes vous attendent...vente Fanny Kachintzeff.JPG

    • Oliv Steen –Gravures-
    • Fanny Kachintzeff  -Bijoux, vêtements, accessoires de mode- à la « la cave de Don Doudine » 38, rue Myrha

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    • Bruno Pascal -Objets lumineux-
    • Valérie Buffetaud –Peinture-

    tous deux au 11, rue Richomme

    •  Echomusée au 21, rue Cavé

    SAMEDI 4 et DIMANCHE 5 DECEMBRE 2010

    De 14h à 19 h