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Dans le 9ème - Page 37

  • Où en est Vélib’ ?

    Sur le blog « Vélib’ & Moi », la mairie de Paris publie au son du clairon les résultats 2013 de l’exploitation de Velib’. Plus de 35 millions de trajets en 2013, soit une augmentation de 40% par rapport à 2010 ! Ces chiffres impressionnants cachent quand même une réalité moins satisfaisante et que les usagers ressentent bien depuis quelques mois.

    Personne ne conteste que Vélib’ soit une bonne idée et aussi un réel succès, non seulement auprès des Parisiens mais également auprès des touristes.

    Néanmoins, les chiffres globaux mirobolants annoncés triomphalement par la Mairie de Paris sont à pondérer par ce que chacun de nous, utilisateur de Vélib’, peut constater chaque jour.

    Plan stations Velib autour de Barbes.JPG

    Plan des stations Vélib' autour de Barbès

    Le problème n°1 est la disponibilité des vélos. Disons-le tout net, aux alentours de Barbès, les stations sont le plus clair du temps vides. Du carrefour Martyrs Rochechouart au carrefour Barbès même, en passant par le haut du square d’Anvers, côté 9e, les vélos sont aux abonnés absents. Idem dans le 18e où la butte reste un obstacle quasi insurmontable pour les cyclistes, rue de Clignancourt inclus (grande station devant le Carrefour). Enfin, dans le 10e, aux alentours de Lariboisière ou face au 39, boulevard de La Chapelle, la situation n’est pas meilleure. Les raisons de ce vide restent assez mystérieuses. La régularisation du trafic par JCDecaux est sûrement en cause, la « ré-alimentation » des stations ne se faisant pas en temps réel, ce que pourtant le système de gestion devrait permettre de faire. Y aurait-il pénurie de Vélib’ ? Suivant le quotidien Le Monde, 10 000 Vélib’ sur les 28 000 mis en circulation auraient disparu. La rumeur dit que nombre de ceux-ci seraient partis en Roumanie et en Bulgarie. Allez savoir. La mairie de Paris a démenti ce chiffre de 10 000 et confirmé que 18 000 vélos étaient en circulation, quantité qu’elle estime optimale pour le service. A se demander alors pourquoi 28 000 ont été mis en service en 2007/2008 ? Quoiqu'il en soit, il semble bien que le chiffre de 9000 vélos disparus soit le plus proche de la réalité, pour un coût de 1 million d'€ suivant le magazine Challenges.

    Le problème n°2 est l’état du vélo lui-même lorsqu’il est disponible. Sous ses allures de costaud, il est clair que Vélib’ est fragile et donc pas adapté aux mauvais traitements que bon nombre d’usagers lui font subir : changement de vitesse défaillant, chaîne qui saute, selle bloquée, éclairage hors service, freins aléatoires, …. bref, trouver un Vélib’ en bon état de marche n'est pas toujours facile. Sans parler des difficultés à retirer ou remettre le Vélib' de/dans sa borne ! Émettons l’hypothèse que si au départ Vélib’ était plus solide et donc certes plus cher, nous aurions eu des vélos de meilleure qualité et la ville de Paris des frais de réparation, voire de remplacement, moins importants.

    Tout cela ne doit pas nous décourager de l’utiliser. Ce mode de transport alternatif est à la fois très bon pour la santé et très bon pour l’environnement. Mais n’avons-nous pas le droit de dire à notre ami Vélib’ ce qui ne va pas ?

     

    velo.jpg


  • Pigalle, une nouvelle donne ?

     

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    Bar branché à SoPi !

    Pigalle est à quelques encablures de Barbès et l’interaction entre les deux quartiers via le boulevard de Rochechouart est certaine. La Cigale, le Trianon, l’Elysée Montmartre ne font-ils pas le lien ? Regardons le quartier de Pigalle tel qu’il se présente aujourd’hui.

    Voilà quelques semaines que des articles publiés pour certains dans des journaux prestigieux nous parlent de ce que serait le nouveau visage de Pigalle côté 9e arrondissement : SoPi soit South Pigalle.

    Cela commence le 8 Novembre dernier avec un article paru dans la Sunday Review du très sérieux mais aussi très conservateur The New York Times qui, en présentant les changements intervenus dans le quartier, introduit l’idée que les branchés, les "hispsters", les bobos, tueraient l’esprit du lieu.  Ce qui n’a pas manqué de faire réagir Les Inrocks dans un article acide cinq jours plus tard, critique reprise, mais de façon moins brutale, par le magazine Glamour - Enfin, c'est le JDD.fr qui fait le point le 26 novembre avec un article intitulé "Pigalle, le nouveau Marais ?"

    Plus près de nous, le mensuel Georges & Lorette nous a présenté le nouvel aspect de Pigalle dans son numéro 1 d’octobre 2013 sous le titre « South Pigalle, le temple de la nuit » et a également évoqué le sujet dans son numéro 3 de décembre 2013 avec le récent élu maire de la nuit, Clément Léon R.

    Que nous disent ces journaux sur le « nouveau » Pigalle ? Que les bars dits « à hôtesses » ont quasiment tous disparu et ont été remplacés par des endroits plus « fréquentables », branchés, en clair que la prostitution qui y sévissait s’en est allée, faisant perdre, pour certains, son cachet à Pigalle.

    Sans revenir trop en arrière, l’évolution du quartier pour devenir ce qu’il est aujourd’hui a commencé il y a une vingtaine d’années.

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  • Le passage du gué de Dunkerque

    2013-11-10_13-04-55_87.jpgLa réduction de chaussée au niveau du passage pour piétons situé rue de Dunkerque au croisement avec la rue de Rochechouart est tout à fait bienvenu. Pendant longtemps nous avons dit ici ou là que ce passage était très fréquenté par les familles du fait de la présence d'écoles à proximité et qu'il était dangereux. En effet, quand les automobilistes voient le feu passer au vert rue de Rochechouart, ils sont nombreux à tourner à droite dans la rue de Dunkerque sans bien faire attention aux piétons qui ont un feu vert pratiquement dans la même phase. De fait, plus la traversée est étroite pour les piétons, plus elle est sûre. 

    Tout serait parfait avec cette nouvelle oreille d'ours — c'est le nom de cet élargissement de trottoir qui fait la transition entre le passage des piétons et l'espace dédié aux stationnements — si le passage sur la chaussée ne se transformait pas en gué chaque fois que la Propreté de Paris ouvre les vannes d'eau, sur la rue de Rochechouart légèrement en amont. La déclivité de la rue, la surélévation de la plate forme et les trottoirs abaissés au droit du passage piétons, tout cela fait qu'il faut des bottes pour traverser la rue de Dunkerque à cet endroit.

    C'est un peu ennuyeux. L'ensemble des contraintes et règles auxquelles la Voirie doit se soumettre sont-elles d'ordre à empêcher la réalisation de tout aménagement correct ? Nous avons d'autres exemples en stock, mais nous ne voulons pas accabler les ingénieurs de la voirie. 

  • Ordures ménagères : une collecte en deux temps

    Nos adhérents sont très observateurs et leurs questions parfois nous mettent dans l'embarras. Voici un cas précis qui a demandé l'aide des services de la Propreté de Paris, en la personne du responsable de la division des 9e et 10e arrondissements, et de la personne chargée de la communication de cette même division, qui tous deux font preuve à notre égard de beaucoup de patience et de compréhension. 

    En octobre, nous sommes interpellés sur le fait que les bennes passent deux fois le soir dans le faubourg Poissonnière à des heures distinctes, multipliant les nuisances sonores liées au ramassage des conteneurs. Cela nous parait tellement peu vraisemblable que nous doutons. Mais il fait beau encore en octobre, les fenêtres restent ouvertes tard le soir, et le doute ne tient pas. On nous confirme de plusieurs sources.

    Nous nous tournons donc vers la DPE  qui donne l'explication sans tarder :

    paris,faubourg-poissonnière,dpe,propreté,ordures-ménagèresCe qui justifie qu’une collecte puisse se faire en bilatéral (côté pair et impair de la rue en même temps) est la largeur libre de la chaussée avec prise en compte du stationnement s’il existe.
    Cette largeur est en moyenne de 4,80 mètres pour la rue du Faubourg Poissonnière.  La procédure PG-06 stipule que la largeur laissée libre par la benne ne doit pas excéder 1,50 m, soit 0,75m de chaque côté du véhicule évitant le passage d’un 2 roues.
    Nos bennes ont une largeur de 2,50 m, il reste donc un passage libre de 2,30 m ce qui impose une collecte séparée pour les 2 trottoirs.
     
    Ce vendredi-là, suite à une panne de la benne qui collecte le haut de la rue du Faubourg Poissonnière côté 10e arrondissement, ce trottoir n’a été collecté que vers 22h49.
    En temps normal, la benne passe aux alentours de 20h45, ce qui fait que l’écart constaté entre les deux arrondissements n’excède pas le quart d’heure.

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  • Du nouveau au 39 avenue Trudaine

    paris,logements-sociauxL'immeuble de l'ancienne école Advancia appartenant à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris (CCI) a été vendu en 2008 au promoteur immobilier Nacarat. Celui-ci a en projet la réalisation de logements qui feront l’objet d’une vente en état futur d’achèvement (VEFA), en clair, sur plan.

    Le bâtiment, dont l’entrée principale se trouve au 39 avenue Trudaine, couvre une assez grande surface délimitée par l’avenue elle-même et les rues Bochart de Saron et Condorcet.

    Dès que la CCI a manifesté son désir de vendre cette parcelle, la Ville de Paris s’est montrée intéressée mais aucun accord n’a pu intervenir, le montant exigé par la CCI étant trop important. C’est donc le promoteur Nacarat qui a conclu la vente après un appel d’offres lancé par la CCI.

     

    paris,logements-sociaux


    La parcelle elle-même fait l’objet d’une attention particulière du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la Ville de Paris comme l'indique le plan ci-dessus et la fiche qui l'accompagne. Le PLU impose trois contraintes précises :

    • Le respect du patrimoine par le biais de la Protection Ville de Paris,
    • La réalisation d’une crèche,
    • La construction de 25% de logements sociaux.

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  • D'Anvers aux Abbesses, saison 2013

    D’Anvers aux Abbesses

    Portes ouvertes des ateliers d’artistes

     

    logo_PortesOuvertes.jpgPour la 18e  année consécutive, l'Association d'Anvers aux Abbesses organise ses Portes Ouvertes du 15 au 17 novembre 2013. Cette année,  115 artistes ouvriront les portes de 71 ateliers offrant un panorama sur la création artistique de ce quartier. 

     

    A l’occasion de ces Portes Ouvertes, ces artistes (peintres, sculpteurs, céramistes, mosaïstes, brodeurs, photographes, plasticiens, sculpteurs papiers) présenteront leur travail

    le vendredi 15 novembre de 18h à 21h,

    le samedi 16 et dimanche 17 novembre de 11h à 20h.

     

     

    Adresses et plan en pièce jointe.

    Pour plus d’informations : 33, avenue Trudaine – Paris 9e / 06 10 52 15 39 / www.anversauxabbesses.fr

     

     

    Coup d'oeil sur l'atelier de Ziya Aydin, 169 rue du faubourg Poissonnière. 9e.

     01 42 40 14 60 – 06 76 66 02 08

    lucziya_aydin25.jpg

  • La presse locale

    Contrairement à ce qui se passe en régions, Paris souffre d'un clair déficit en matière de presse locale. Certes Le Parisien, excellent journal, nous donne quelques infos spécifiques à Paris chaque jour mais la ville est bien trop grande pour que chaque arrondissement soit traité dans le détail.

    Il faut donc saluer l'arrivée d'un nouveau mensuel appelé "Georges & Lorette" et dont le sous-titre explique à lui seul l'objectif : le magazine indépendant du 9e arrondissement. A l'heure du web, reconnaissons que le pari de l'imprimé est courageux.

     

    Georges et Lorette.JPG


    Georges & Lorette est un magazine mensuel au format hybride 20x24.5 cm, au papier glacé agréable et dont le prix est 3.90€. Son numéro 2 vient de sortir. Il est diffusé dans tous les bons kiosques et marchands de journaux du 9e arrondissement.

    Son ours ne nous apprend pas grand chose sur ce magazine si ce n'est qu'il est basé rue Condorcet et qu'il est codirigé par Rémy Calland et Nil Meral.

    La présentation est assez complète sur leur page Facebook tout comme sur le site web. Comme il se doit, Georges & Lorette peut être suivi sur Twitter : @GL9lemag.

    Tout comme son format, le contenu de Georges & Lorette est hybride. Ne pas voir dans ce terme quelque chose de péjoratif, plutôt l'idée que s'y côtoient des articles fort sérieux comme les 8 pages consacrées aux Roms et SDF dans le quartier des grands magasins dans le n°2 ou encore l'article rappelant la tragédie de l'hôtel Paris Opéra et des articles franchement "fashion bobo" comme le "South Pigalle, le temple de la nuit" du n°1. Il y a de la culture, un peu de politique, pas mal de photos souvent réussies, des adresses en tout genre, ....

    Georges & Lorette trouvera t-il son lectorat à l'heure de la fameuse presse numérique ? Nous lui souhaitons.

     

  • Le programme des concerts de Notre Dame de Lorette

    Mardis Musicaux

    Notre-Dame-de-Lorette

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    A l’église Notre-Dame-de-Lorette chaque mardi de 13h15 à 13h45, en dehors des vacances scolaires, un ou une organiste interprète le programme de son choix. Cette pause musicale est ouverte à tous. Une présentation permet de restituer les œuvres et les compositeurs dans leur contexte historique et religieux.


    Mardi 12 novembre 2013

    Marie-José Robert, orgue ; Murielle Chevalier, chant.

    Musiques baroques des XVIIe et XVIIIe siècles.

    Œuvres de Jean-François Dandrieu, Dietrich Buxtehude, Giulio Caccini, Domenico Zipoli.

     

    Mardi 19 novembre 2013

    Alexandre Lobanov, Murielle Chevalier, chant.

    Oeuvres de Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier, Magnificat; César Franck,extraits de l'Organiste.

     

    Mardi 26 novembre 2013

    Valentine Perrain, violoncelle.

    Johann-Sebastian Bach, Deuxième Suite pour Violoncelle Solo.

     

    Mardi 3 décembre 2013

    Béatrice Boyer, orgue.

    Œuvres de Louis Couperin, Claude Balbastre, Théodore Dubois, Domenico Zipoli,

    Marcel Dupré, Josef von Rheinberger,J. Montber.

     

    Mardi 10 décembre 2013

    Pierre-Yves Le Strat, orgue.

    Œuvres de Louis Vierne, Dietrich Buxtehude, Valéry Aubertin.

     

    Mardi 17 décembre 2013

    Mathilde et Marie Solin, orgue.

    
Noëls populaires.

  • Coup de gueule contre les taxis parisiens !

    paris,taxisLes taxis parisiens se plaignent depuis quelques semaines de la concurrence qu’ils jugent « déloyale » des Voitures Jaunes et autres voitures avec chauffeur. Ne l’ont-ils pas cherché ?

    On peut aisément passer en revue les séquences quand on a besoin d’un taxi à Paris.

    Trouver un taxi libre à Paris relève souvent de la gageure. Placez vous boulevard de Rochechouart ou de La Chapelle et vous m’en direz des nouvelles. Et quand il pleut, c’est carrément mission impossible. Enfin, notons que les stations sont la plupart du temps vides. Si vous le commandez par téléphone, il arrive avec déjà 7 ou 8 € au compteur.

    Quand par chance un taxi libre passe, vous lui faites signe. Il arrive qu’il ne s’arrête pas. Quand il s’arrête, le chauffeur baisse la vitre avant droite et vous demande où vous allez. Une fois sur trois, il repart sans un mot d’explication ni d’excuse, votre course ne l’intéresse pas.

    Enfin, vous voilà installé(e) dans la voiture et là plusieurs cas de figures sont possibles :

    • le chauffeur a fumé une cigarette lors d’une pause et bien qu’il ait ouvert sa fenêtre, ça pue le tabac dans la voiture ;
    • le chauffeur écoute les commentaires d’un match de football ;
    • le chauffeur écoute une radio débile – notons que dans ce cas et celui qui précède le son est toujours pour sourd ou mal entendant ;
    • le chauffeur est au téléphone avec des écouteurs dans les oreilles, il parle mais pas à vous ;
    • le chauffeur envoie des sms à sa petite-amie – dans ce cas et le précédent, vous avez la trouille de l’accident ;
    •  ….

    Mais le chauffeur sait-il où il va ? Très peu de chauffeurs aujourd’hui connaissent Paris. La très grande majorité des voitures sont équipées d’un système de guidage mais si ce système vous emmène dans un embouteillage, le chauffeur ne sait pas comment s’en sortir.

    Vous voilà à destination. Vous payez mais évidemment le chauffeur n’a pas de monnaie. Si vous sortez un billet de 50€ pour une course de 12, il s’immobilise et vous laisse vous débrouiller pour trouver des petites coupures.

    Les taxis parisiens sont horriblement chers. Remonter de l’avenue de l’Opéra jusqu’au Louxor par exemple, si la circulation est bonne, prend environ 7 à 8 minutes (avenue de l’Opéra, rue La Fayette, boulevard de Magenta). Comme il y a un prix minimum de la course – 6.60€ - et que le chauffeur n’a pas de monnaie, vous lui laissez royalement un pourboire de 40c pour arrondir la course à 7€. Mais 7€ pour 8 minutes cela fait 52,5€ de l’heure. Pas mal non ? Quelle profession gagne ça ?

    Quant au bonjour et à l’au revoir, ils passent par pertes et profits.


    Lire aussi : Véhicules avec chauffeur, le gouvernement cède face aux taxis

  • Tous au théâtre dans le 9e

     

    ACTE 9.jpgDu 3 au 17 octobre,

    la Mairie du 9e crée ACTE 9
    en partenariat avec des établissements publics, des associations et des théâtres du 9e : 15 jours d’évènements gratuits où l’expression théâtrale sous toutes ses formes sera accessible à tous !


    Des théâtres du 9e ont accepté d’être partenaires de cet évènement exceptionnel.  Certains proposeront des places à tarif préférentiel (contremarques à retirer à la mairie du 9e).

     

    Tous au théâtre !

     

    Cliquez sur le rideau pour découvrir le programme !

  • Chanter Paris

    La ville n'en finit pas d'avoir des amoureux par centaines de milliers et c'est là justice après tout. N'ayons pas peur de dire que Paris est la plus belle ville du monde et ce ne sont pas les statistiques du tourisme qui démentent cette affirmation : plus de 25 millions chaque année nous dit le site de la mairie de Paris.

    Beaucoup de poètes ont chanté Paris. Bruant, Fragson, plus près de nous Trenet, Barbara et bien d'autres.

    Ce que nous aimerions, c'est connaitre votre goût : quelle est pour vous la plus belle chanson parlant de Paris ? Vous pouvez nous répondre en plaçant un lien dans les commentaires à ce billet. Le premier qui aura mentionné la chanson la plus citée dans les réponses gagnera une adhésion gratuite d'un an à l'association Action Barbès. Et ça c'est un vrai cadeau !

    En attendant, on va griller la politesse à quelques uns en vous recommandant d'écouter la magnifique chanson de Charles Trenet "Revoir Paris"