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histoire - Page 4

  • PARIMAGINE : une page se tourne...

    La maison d'édition Parimagine, connue aussi sous le nom de "La Photothèque des Jeunes Parisiens", cesse prochainement son activité.

    Fondée et dirigée par Jean-Louis Célati, cette maison éditait des livres sur Paris, grâce à la passion de son responsable et des quelques salariés et bénévoles. Cet éditeur est aussi connu pour son fonds photographique remarquable sur Paris, riche de 20 000 documents, cartes postales et photos de presse sur les rues du vieux Paris et celles de certaines communes de la région Ile-de-France.

    editions,livres,vieux-paris,cartes-postales,photos,patrimoine,histoire,ruesCette page se tourne. Aussi cette maison vous invite-t-elle donc à pousser sa porte, au fond d'une petite cour dans le 2e arrondissement, dans le quartier du Sentier.

    En effet, l'éditeur solde l'ensemble de ses publications à près de 60 %. Les ouvrages disponibles à la vente sont répertoriés sur cette page de leur site.

    Vous pourrez aussi feuilleter les très nombreux classeurs comprenant les 8 000 photos de rues, classées par arrondissement, et les quelques centaines de photos de presse, et vous offrir des tirages de ces photos, dans le format de votre choix, à partir de 5 € par tirage (prix en fonction de la taille du tirage).

    Les photos disponibles pour les tirages sont également consultables en ligne.

     

    La Ville devrait, en principe, acquérir ce très important patrimoine photographique, après la cessation d'activité de cet éditeur. 

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    Alors n'hésitez pas, rendez-leur visite et offrez-vous quelques unes de leurs publications ou photos.

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    Cette maison est située au:

    9 rue de Mulhouse dans le 2e

    Code d'accès de l'immeuble: A1248, puis au fond de la cour

    Métro: Sentier (ligne 3) ou Bonne Nouvelle (lignes 9 et 8)

    Horaires: 10h à 13h - 14h à 18h

     

    Le mieux est de téléphoner pour confirmer, au 01.45.08.11.97.

  • À la mémoire des victimes de l'Holocauste

    Aujourd'hui, lundi, ce 27 janvier 2014 est, comme tous les ans, la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste.

    Cette date a été décidée par l'Assemblée Générale des Nations Unies, dans sa résolution intitulée "Mémoire de l'Holocauste" et adoptée le 1er novembre 2005. Rappelons que le 27 janvier 1945, le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau fut libéré par l'Armée Rouge. Cette date du 27 janvier est désormais importante et nous permet de penser à cette tragédie sans pareil, qui ne pourra jamais être effacée. Ce souvenir de la Shoah nous permet aussi de rendre aux victimes l'hommage qu'elles méritent, d'évoquer ces hommes, ces femmes et ces enfants innocents et de penser à leur calvaire. Cet Holocauste s'éloigne dans le temps. Nous devons donc continuer de penser aux persécutions, aux sévices et aux exterminations perpétrés par la barbarie nazie dont des millions de Juifs et de membres d'autres minorités ont été les victimes. Ce souvenir est un garde-fou pour l'avenir de l'Humanité et la dignité humaine.

    76 000 Juifs présents en France, dont plus de 11 400 enfants juifs, furent victimes de la Shoah et déportés de France; plus de 4 000 d'entre eux furent arrêtés à Paris par les policiers et les gendarmes français lors de la rafle du Vel d'Hiv, le 16 juillet 1942. D'autres rafles suivirent, et ce jusqu'en juillet 1944. Au total, 6 100 enfants parisiens ont été arrêtés dans Paris, avec leurs familles, et assassinés à Auschwitz parce qu'ils étaient juifs.

    Pour ceux et celles qui souhaiteraient approfondir ce douloureux sujet, ils peuvent consulter la publication "Les 11 400 enfants Juifs déportés de France", téléchargeable sur le site de la Ville de Paris, et fruit d'un important travail de mémoire effectué par l'association "Les fils et filles des déportés juifs de France" de Serge et Beate Klarsfeld. 

    Le 10e arrondissement paya un lourd tribut avec plus de 700 enfants arrêtés, dont 75 tout-petits qui n'eurent pas le temps de grandir pour fréquenter l'école (pour le 9e et le 18e, respectivement près de 150 et 700 enfants furent déportés). L'exposition organisée par l'Association Pour la Mémoire des Enfants Juifs Déportés du 10e (AMEJD), encore visible dans le hall de la Mairie du 10e, montre les visages de ces enfants du 10e, victimes de la Shoah, et rappelle le cas échéant le nom de leur école (e.g. Aqueduc, Louis Blanc, Chabrol etc.).   

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    Dans ce contexte, les Élus du 10e ont commencé hier, dimanche 26 janvier, à rendre hommage à ces enfants déportés du 10e et honorer leur mémoire.

    La première cérémonie se déroula à 10 heures devant la plaque commémorative du bâtiment situé au 9 rue Guy Patin, qui fut un foyer d'écoliers juifs de l'Union Générale des Israélites de France. Nous avions déjà évoqué en détail ce lieu, l'année dernière lors de la Commémoration du 70e anniversaire de la rafle du 10 février 1943 au cours de laquelle 11 enfants y furent arrêtés. Depuis l'année dernière, la plaque commémorative a été déplacée pour être apposée sur le mur extérieur donnant sur la rue, et y être plus visible.

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    Les Élus du 10e se rendirent ensuite, pour une deuxième cérémonie à 11 heures, au jardin Villemin. Une stèle y est présente, dans l'entrée principale du jardin, et rappelle la déportation des enfants du 10e, et notamment celle des 75 tout-petits enfants, trop jeunes pour être scolarisés. Ce fut un recueillement vraiment chargé d'émotion, lors de la lecture de leurs noms par deux militantes de l'AMEJD.   

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    Accompagné d'Eric Algrain (Adjoint du 10e en charge de la démocratie locale, de la vie associative et des personnes en situation de handicap) et d'Alain Lhostis (Élu du 10e en charge de la Politique de la Ville et Conseiller de Paris), le Maire du 10e, Rémi Féraud, a alors déposé une gerbe.   

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    (sur la photo, au premier plan et de droite à gauche, les Élus Rémi Féraud, Eric Algrain et Alain Lhostis)

     

    Dans le 10e, la célébration de cette Journée internationale à la mémoire des victimes de l'Holocauste est aussi dédiée aux jeunes générations, avec des visites et des témoignages de survivants dans les écoles, afin de partager ce devoir de mémoire avec les enfants et les jeunes du 10e.

    L'Holocauste fait partie de notre mémoire nationale et européenne: gardons à l'esprit le souvenir de ces moments effroyables et douloureux de notre Histoire...

  • De nouveaux noms de femmes dans le paysage du 10e

    Autrefois, les rues de Paris étaient désignées d'après leurs caractéristiques (églises ou monuments, comme la rue Saint-Denis, les métiers exercés, comme la rue des Boulangers, leurs populations, comme la rue des Lombards). Puis plus tard, à partir du 17e siècle, dès Sully mais surtout sous Louis XIV, le pouvoir décida du nom des rues de Paris, notamment pour rendre un hommage public à certains personnages. Ce furent, au gré de l'Histoire, les souverains, les héros et grands hommes du passé, les notables, les militaires, les érudits, les compositeurs. A Paris, depuis 1985, l'attribution des noms est examinée par une commission spécifique: la Commission de Dénomination des Voies, Places, Espaces Verts et Equipements Publics Municipaux, qui émet un avis sur un projet de dénomination, voté en conseil d'arrondissement. Le Conseil de Paris confirme alors cette nouvelle dénomination. 

    Le Journal du Dimanche du 7 mars 2013 nous apprenait que l'historienne Malka Marcovich, dans son livre "Parisiennes; de Marie Stuart à Simone de Beauvoir, ces femmes qui ont inspiré les rues de Paris", estimait à moins de 5 % en 2010 le nombre de voies et places parisiennes (∼ 200 sur 6 000) portant un nom de femme, même si ce nombre devait progresser de plus d'un quart d'ici 2013...

    Aussi la Ville de Paris, sous l'impulsion de son maire Bertrand Delanoë, a-t-elle souhaité récemment développer la parité (et également la diversité) dans les nouvelles propositions de dénomination des espaces publics parisiens en 2013. A ce titre, les arrondissements sur lesquels notre association Action Barbès est engagée ne sont pas en reste, comme le 10e où de nouveaux noms de femmes sont apparus dans son espace public.

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  • Le bélinographe... le grand-père de votre smart phone

    Comme cadeau de Noël, peut-être aurez-vous envie de vous offrir un téléphone plus récent, plus performant, le choix est vaste à des prix variables. Mais savez-vous à quoi ressemblaient les premières transmissions d'images ? Les MMS de l'ancien temps... Regardez : 

    Il s'agit d'une courte vidéo de 1951 découverte sur le site de l'INA. Merci l'INA ! (http://www.ina.fr/video/AFE85004007)

  • Exposition à l'hôpital Lariboisière

    La Société Historique du 10ème, Histoire & Vies du 10e (HV10), propose une exposition déjà présentée à l'hôpital Saint-Louis "Une traversée historique du 10ème". Cette fois, elle se rapproche de notre quartier et s'installe dans l'hôpital Lariboisière.

     

    L'exposition sera visible du 21 au 31 octobre de 9h à 20h, Galerie Bleue, dans l'hôpital, 2 rue Ambroise Paré. L'entrée est libre et si vous ne souhaitez pas déambuler seul, sachez qu'André Krol, secrétaire général d'HV10, fera des visites commentées les mercredi 23 et mardi 29 octobre à 13h. RDV devant la médiathèque (sans inscription).    

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  • Retour sur la nouvelle place de la République

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    Si on en juge par le nombre de personnes présentes dimanche après midi sur la nouvelle place de la République inaugurée le matin même par les autorités parisiennes, c’est un succès !

    Décidé en 2008 par le Conseil de Paris, le réaménagement aura pris 5 ans pour se réaliser dont 18 mois de travaux et aura coûté la bagatelle de 24 millions d’€.

    Une longue promenade sur la place en ce dimanche ensoleillé nous a permis de bien regarder les choses et de vous donner nos impressions.

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    La presse, notamment Le Parisien et Libération, a beaucoup insisté sur l’espace récupéré sur les voitures par les piétons, relayant en cela la communication toujours très au point de la Ville de Paris.

    Si l’argument n’est pas faux, c’est aussi limiter l’approche de ce réaménagement car donner de l’espace aux piétons est certes nécessaire mais sûrement pas suffisant, encore faut-il occuper cet espace. La restructuration de la place comporte des aménagements qui vont sans aucun doute attirer du monde, notamment les enfants : miroir d’eau / brumisateur aux jeux sans fin, fontaine autour de la statue de la République où les enfants peuvent barboter et surtout jeux divers puisque la Ville  a créé ce qu’elle appelle « L’R des jeux,  espace de loisirs pour petits et grands » nous dit la publicité. Un kiosque sera ouvert et on pourra y emprunter des jeux et ce presque tous les jours de la semaine en été – voir les informations ici. Si on y ajoute l’ouverture prochaine d’un café avec une grande terrasse, nul doute que l’espace récupéré sur les voitures sera occupé, ce dont personne ne se plaindra.

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    Jeux d'enfants sur le miroir d'eau


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  • 1er Mai 1891: la fusillade de Fourmies

    Bref retour historique grâce au site de l'histoire par l'image ici.

    Non, le 1er mai n'est pas qu'une histoire de muguet...

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    Fourmies. Mai 1891. Cantonnement militaire. Grand-Place.
    Louis PERRON

    Le 1er mai 1891, pour la deuxième fois, les organisations ouvrières du monde entier se préparent à agir par différents moyens dont la grève pour l'obtention de la journée de 8 heures, conformément aux directives de l'Internationale ouvrière. En France, le contexte est plus répressif qu'il ne l'était l’année précédente. A Fourmies, petite ville textile du Nord proche de la frontière belge tout juste sortie d'une longue grève, le patronat a menacé de licenciement les ouvriers qui arrêteraient le travail et obtenu du préfet qu'il mobilise un important dispositif de maintien de l'ordre. En l'absence de forces spécialisées, c'est alors, en France, à l'armée qu'incombe cette mission. Deux compagnies d'infanterie ont été mobilisées. En fin de journée, les soldats tirent sur quelques centaines de manifestants qui tentent d'obtenir la libération de grévistes interpellés dans la matinée et emprisonnés dans la mairie. Les affrontements se soldent par neuf morts, dont quatre jeunes femmes et un enfant. Ces morts, promus martyrs, vont devenir un symbole de la République répressive et de classe. « Car à Fourmies, c'est sur une gamine que le lebel fit son premier essai… » (Montéhus).

    Auteure : Danielle TARTAKOWSKY

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    Fourmies est resté très présent dans l'histoire des mouvements ouvriers mais aussi dans l'histoire du maintien de l'ordre par l'autorité publique. Au point de retrouver son évocation dans des ouvrages plus d'un siècle plus tard. Ci-dessous, d'Odette Hardy-Hémery, L'envers d'une fusillade, Fourmies, 1er mai 1891; Un patron face à la grève. Ed. L'Harmattan, 1996.

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  • En souvenir du 17 octobre 1961, d'une violence à l'autre

    On lisait dans l'agenda du maire de Paris le 17 octobre dernier : 
    11h15 • Dépôt de gerbe à l’occasion de la commémoration du 17 octobre 1961
    Angle du Pont Saint-Michel et du quai du Marché Neuf (4e)

    On se souvient aussi en lisant l'article de wikipedia, ou mieux, l'interview de l'historien Gilles Manceron, auteur de La Triple Occultation d'un massacre (publié avec Le 17 octobre des Algériens, de Maurice et Paulette Péju, éd. La Découverte), publié par Soren Seelow dans le Monde du 17 octobre 2011. La Goutte d'Or se souviendra aussi dans une visite guidée samedi 20 à midi, suivie d'une rencontre avec Leïla Sebbar, écrivaine et journaliste : voir le détail sur le site de l'Institut des cultures d'Islam.

    Un dernier témoignage celui de Jean-François Kahn : 1 minute et demie.

    Cette année, malgré la célébration du 50e anniversaire de la République algérienne, ou peut-être à cause..., le souvenir de cet événement douloureux est resté discret, jusqu'à ce que le président de la république l'évoque et reconnaisse sa réalité.

    Les médias, en revanche, ne se lassent pas d'observer et de commenter le phénomène terroriste. Il fait vendre. Toutefois de plus en plus, et sous l'impulsion du gouvernement actuel et de son ministre de l'interieur*, ils font preuve de précautions de langage pour bien distinguer le terrorisme islamiste radical de l'immense majorité des compatriotes mulsulmans. 

    La séparation de l'Eglise et de l'Etat, au début du 20e siècle, ne s'est pas faite sans heurts. On pourrait espérer, un siècle plus tard, que la séparation entre les cultes et les affaires de l'Etat se passe plus paisiblement. Chacun restant libre dans sa sphère privée... Mais les hommes tirent-ils un profit quelconque des leçons de l'Histoire ? Rien n'est moins sûr.

    La pensée extrême peut paraître séduisante à qui se sent mal dans sa vie, en marge, apatride sur les terres où il vit. Or cette pensée extrême qui promet non pas "des lendemains qui chantent" ici-bàs, mais les mirages d'une félicité totale, a bien des atouts.  (Et l'avantage de ne pas avoir de service de réclamation en cas de tromperie sur les effets promis.) Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, qui était sur France Inter mercredi matin n'échappe pas à des questions sur l'assassinat d'un avocat perpétré en Corse la veille.  Il livre son analyse. Et poursuit sur le thème d'un autre terrorisme, celui des cellules islamistes radicales.


    Manuel Valls, ministre de l'intérieur par franceinter

    * Manuel Valls, le 17 octobre, dans l'émission du matin de Patrick Cohen sur France Inter - 8h45 - 

  • Pierre Mendès France : 30 ans déjà

     

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    C'était le 18 octobre 1982.

    Pierre Mendés-France laissait la République à François Mitterrand. C'était le retour d'une gauche différente de celle qu'il avait connue avec le Front Populaire et Léon Blum en 1936 et tout aussi éloignée du Président Coty qui l'avait nommé Président du Conseil en juin 1954, le forçant à abandonner Louviers (Eure), sa circonscription normande. Autre temps, autre République en effet : c'était encore les 3e et 4e Républiques !

    Pas de retour historique complet ici. Les sites consacrés à l'histoire sont assez nombreux, faciles à trouver grâce aux moteurs de recherche, sans même évoquer wikipedia qui nous aide beaucoup quand la mémoire défaille...

    Plutôt un souvenir.

    J'ai revu cet été (en streaming sur mon ordinateur) Le chagrin et la pitié (pour la liste des interviewés dans le document), de Marcel Ophüls, à qui France Inter consacrait un créneau quotidien de souvenirs. Le réalisateur de 84 ans nous a fait passer de bons moments. Dans son film documentaire de quatre heures, sorti en salle en 1971, puis programmé à la télévision en 1981, il étudie le cas de Clermont-Ferrand pendant l'occupation, de 1941 à 1944. La majorité des interviewés sont des inconnus, mais c'est la figure de Pierre Mendès France, relatant ses déboires avec le gouvernement de Vichy, son évasion de la prison de Clermont-Ferrand qui m'était restée en mémoire de la première projection. Je l'ai retrouvé avec autant de plaisir. Son humour, son humanisme.

    Essayez de revoir cet épisode peu glorieux de notre histoire : il contient des passages étonnants, quand on les entend plusieurs décennies plus tard. 


    Le Chagrin et la pitié, de Marcel Ophuls... par Telerama_BA

  • Dernière opportunité avant démontage....

    HV10-BNP.pngLes adhérents d’Histoire et Vie du 10e et sympathisants sont invités à aller voir 

    mercredi 26 septembre à partir de 18h30 

    l'exposition qui s'est tenue à l'agence BNP Gare du Nord, 10 boulevard de Denain, et à échanger autour d'un cocktail. En effet, l'expo qui montrait les photos du quartier tirées de l'ouvrage de HV10 Mémoire des rues du 10e quitte les lieux et sera démontée à l'issue de ce dernier jour d'ouverture au public.

    HV10 demande à ce que vous signaliez  votre présence et le nombre de personnes vous accompagnant à cette adresse 

    hv10@club-internet.fr

    et recommande de se munir de cette invitation pour rentrer dans l’agence.

     

     


  • Des lieux proches en ces journées européennes du patrimoine

    Dans le 9e, nous vous signalons les portes ouvertes suivantes que nous a fait parvenir l'association 9e Histoire :

    Hôtel de Wendel/Ecole élémentaire

    Visites samedi 15 et dimanche 16 de 10h à 18h.

    10, rue de Clichy 75009 Paris

     

    Galeries Lafayette Haussmann

    Visites guidées, samedi 15 de 10h à 19h.

    40, Boulevard Haussmann 75009

     

    International Visual Theater

    Visite guidées du théâtre samedi 15 et dimanche 16 de 14h à 17h

    7, Cité Chaptal 75009

     

    Musée de la Vie Romantique

    Visites samedi 15 à 10h30, 14h30 et 16h30 et dimanche 16 à 11h, 14h30 et 16h30.

    Visites du quartier de « la Nouvelle Athènes », samedi 15 à 11h, 14h et 16h.

    16, rue Chaptal –75009 Paris

     

    Société Générale – Agence Centrale

    Visites guidées samedi 15 et dimanche 16 de 10h à 18h

    29, boulevard Haussmann 75009

     

    Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD)

    Visite samedi 15 (12h à 18h)et dimanche 16 (10h -18h)

    Animations Musicales à partir de 14h30

    5, rue Ballu 75009 Paris 

     

    Le plus proche de notre carrefour Barbès : la Cité Napoleon, à ne pas manquer...

    Visite samedi 15 de 14 h à 18 h

    58, rue de Rochechouart 75009 Paris

     

    Immeuble Bergere BNP Parisbas, Ancien Siege du Comptoir National d’Escompte

    dimanche 16 de 10h à 17h

    14, rue Bergère 75009 Paris

     

    Dans le 10e, c'est l'association Histoire & Vie du 10e qui nous transmet l'information :

    LE PROGRAMME D’HV10 (Programme détaillé sur le site d’HV1O ici, et sur celui du Ministère de la Culture ici

    1.    Samedi 15 septembre à 10h : « Le Théâtre du Gymnase » par Pascal Payen-Appenzeller, Le "Nouveau Gymnase" ou les cachettes et les secrets de l’un des deux plus anciens théâtres de Paris, voir aussi ICI

    RDV : Théâtre du Gymnase, 38 bd Bonne-Nouvelle, 75010 Paris.

    2.     Samedi 15 septembre à 14h30 et à 16h : « La mairie du 10e » par Jeannine Christophe, voir aussi ici

     RDV : Mairie du 10e, 72 rue du Fbg-St-Martin, 75010 Paris

    3.    Dimanche 16 septembre à 11h : « Sur la route des théâtres du Boulevard du Crime : le théâtre Déjazet » par Jean Bouquin, directeur du Théâtre, Benoît Pastisson et Dominique Delord, voir aussici 

    RDV :Théâtre Déjazet, 41 bd du Temple 75003 Paris

     4.    Dimanche 16 septembre à 15h : Circuit « À la recherche des théâtres perdus » par Dominique Delord, voir aussi ici

    RDV : Place Johann-Strauss, 75010 Paris

  • visite guidée à la Goutte d'or le 21

    Les mobilisations populaires à la Goutte d’Or

    Téléchargez les images - 4

    Samedi 21 juillet - 10h30 

    Fil rouge de #Libertés ! , les visites de la Goutte d’Or réinscrivent un patrimoine universel : celui des luttes et des soulèvements populaires, dans ce quartier symbolique. 

    Partez à la découverte de l’histoire des luttes ouvrières, la Commune de Paris, la Guerre d’Algérie, la lutte des sans-papiers... chacun de ces événements a eu un écho à la Goutte d’Or, quartier toujours agité, toujours empreint de libertés ! 
    Visites guidées par le conférencier Jacky Libaud de Balades aux Jardins.

    #8€/5€ (réduit) reservation obligatoire

    Voir le site