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commerce - Page 5

  • Attribution probable et contestée d’un local angle Myrha/Affre

    La mairie du 18e dispose d’une commission baptisée « Pieds d’immeubles ». Elle se réunit régulièrement et délibère sur les attributions des locaux vacants, ou à livrer dans les mois à venir dans l’arrondissement, par un bailleur social. (Faut-il préciser que la Ville n'a aucune influence sur le type de commerce que peut accepter une copropriété ou un bailleur privé ? Liberté du commerce oblige... )

    Nous recevons tout aussi régulièrement le compte rendu des délibérations et des débats au sein de cette instance. La dernière réunion a eu lieu le 26 juin et a examiné la liste des locaux actuellement vides et ceux qui seront livrés prochainement.

    A propos, qui siège dans cette commission ? D'après nos sources, on y retrouve les représentants de

    • la Mairie du 18e
    • des services de la Ville de Paris (DDCT, DDEEES, DU)
    • l’ensemble des bailleurs sociaux
    • la Chambre du Commerce et de l’Industrie de Paris
    • la Chambre des Métiers et de l’Artisanat
    • des conseils de quartier
    • des associations de commerçants

    En plus des activités de cette commission, la Goutte d'Or bénéficie d'un cadre structuré en faveur de la revitalisation du commerce depuis janvier 2016 (présentation en présence de Olivia Polski à la mairie du 18e).

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  • Commerce et étalage : est-ce bien raisonnable ?

    Il est admis que la circulation des piétons est difficile sur les trottoirs du boulevard Barbès, au point que les cyclistes ont des  craintes à emprunter les pistes cyclables, situées sur les trottoirs, sauf à l'approche du carrefour. Mais conscients de cette fréquentation intense et des foules importantes qui circulent sur le boulevard Barbès, les pouvoirs publics — mairie et préfecture — ne devraient-ils pas attacher un soin particulier à réduire, voire interdire totalement les étalages qui empiètent sur l'espace public ? 

    C'était un engagement de l'ancien maire du 18e et sa mise en oeuvre réelle lors de la rénovation du boulevard. Pourquoi a-t-on laissé les étalages revenir ? Pourquoi a-t-on laissé faire les mauvaises habitudes ? 

    Voici deux photos récentes qui témoignent de ces faits regrettables.

    - la boutique Toto qui a fermé il y a quelques mois :

    boulevard-barbés

     

    - le même coin de rue : 

    boulevard-barbés

    Nous posons la question aux responsables de la voirie et de l'espace public : quels sont les ressorts de la politique de la ville qui expliquent cette tolérance vis-à-vis du commerce dans notre quartier ? Pourquoi les piétons et les familles — nous avons souvent des commentaires émanant des familles du quartier qui se plaignent des difficultés à circuler à pied, particulièrement avec des jeunes enfants — ne jouissent-ils pas d'une meilleure écoute ? Ce commerce a pourtant été verbalisé deux fois par la brigade des incivilités.

    Nous avons pris un exemple dans le 18e, mais le boulevard Magenta n'est pas en reste, et nous ne comptons plus nos interventions pour réduire la largeur des étalages, simplement, car jamais nous n'avons obtenu que les autorisations soient remises en cause, y compris lors de la rénovation de ce boulevard en 2007.... Et nous vous ferons grâce pour cette fois des ventes à la sauvette qui n'arrangent rien!

  • Locaux commerciaux mal-en-point : une situation qui s’éternise

    Il y a quelques années, le haut de la rue de Rochechouart a accueilli des arbres, tout jeunes, au nombre de quatre, sur le côté des numéros impairs, après l’élargissement du trottoir. L’opération avait eu lieu en deux temps : la rue de Rochechouart avait déjà bénéficié d’un aménagement de chaussée, appelé requalification, jusqu’au niveau de la rue Thimonnier, face au magasin Carrefour. Il convenait de réaliser la partie non encore aménagée et de se conformer aux conseils des Architectes des Bâtiments de France (ABF) qui prônent un certain respect des perspectives, et surtout veillent à que rien ne nuise à la beauté des monuments historiques ou classés quand on s’en approche. C’est ce que l’on appelle les espaces protégés. Ici, a priori, rien de tel à l’horizon, sauf peut-être le Sacré-Coeur au débouché de la rue. 

    rue de rochechouart

    Ci-dessus la largeur initiale de la rue, avec deux côtés en stationnement et deux voies de circulation.

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  • Une drogue...rie qui fait grise mine

    L’image d’un quartier, c’est un tout, fait de qualité du bâti, de présentation de l’offre commerciale, de fréquentation, d’offres de loisirs, spectacles, de sécurité personnelle, etc.  Une réputation, c’est autre chose, c’est l’histoire du quartier qui la définit. Chez nous, à Barbès, nous avons souvent à souffrir d’une mauvaise réputation et d’une mauvaise image. Nous cumulons en somme. L’image nous pouvons nous atteler à la modifier, c’est en cours. Ne nous accuse-t-on pas fréquemment de vouloir "gentrifier" le quartier simplement parce que, tous, nous le souhaitons plus propre, mieux entretenu, plus respecté par les passants. La réputation, elle, est ce qu’elle est, et avec le temps, elle n’appartiendra plus qu’à l’histoire. L’histoire de la Goutte d’Or est riche, et pour vous en donner la preuve, nous vous conseillons de parcourir le blog d’un habitant de la Goutte d’Or, également membre du bureau d’Action Barbès (un peu de pub’ entre nous !), il est plein d’anecdotes et d’informations, qui vous feront aimer ce quartier, y compris avec ses défauts. C'est le blog de 28 rue Affre.

    Sollicités par les acteurs locaux, élus et autorités préfectorales, nous nous penchons sur le paysage urbain avec encore plus d’acuité qu’habituellement. Nous avons écrit récemment sur un décrochage d’enseigne trop voyante placette Caplat-Charbonnière. D’autres commerces sont dans notre collimateur. Mais passons sous le viaduc et gagnons le faubourg Poissonnière. 

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  • Marché de Barbès : de nouveaux sacs

     
    L’esprit bio… dégradable souffle sur le marché de Barbès en ce début d’année 2017 ! 
     
    Nous avons eu la surprise de voir des sacs — ou des poches selon la région d’origine du client — dans une matière légère, douce aux doigts, comme un coton longues fibres lavé avec « Mirlaine » (mille excuses pour la pub gratuite !), un sac nouveau qui correspond aux caractéristiques de la norme ISO 16620-2* en vigueur depuis le 1er janvier 2017.
     
    Les marchands du marché du boulevard de La Chapelle seraient-ils en train de rentrer dans le rang, de respecter la règlementation à la lettre ? Tout doux, tout doux.... ils ne sont que sept ou huit à avoir pris le pas, mais rien ne nous dit que les autres ne vont pas suivre. A nous de les encourager et, pour nos achats, de privilégier les marchands les plus respectueux de l'environnement. Longtemps on a reproché aux stands de produits frais de ne pas être équipés de frigorifiques et finalement, petit à petit, ils y sont venus.

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