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Culture - Page 64

  • Barbara, 15 ans déjà ...

    Barbara.jpg

    Barbara est morte il y a tout juste 15 ans ! La presse en a parlé, notamment avec cette réédition intéressante du numéro spécial de Télérama.

    On peut évidemment écouter Barbara, tous les moteurs de recherche vous donneront de bons résultats.

    Mais le meilleur, c'est probablement l'Institut National de l'Audiovisuel qui nous le donne. Une interview où "la femme qui chante" se dévoile, enfin se dévoile un peu !

  • les ateliers d'artiste qui ouvrent leurs portes

    abbesses.png

    Pour connaître la liste des ateliers d'artiste et leur localisation, cliquez

    ici 

  • De l'art africain dans la Goutte d'Or

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    L'échomusée se situe au bout de l'allée qui traverse le square Léon.
    Vous ne pouvez pas le rater, la façade est toute jaune, à droite en quittant le square. 

    Image.jpg

    ECHOMUSEE
    21, rue Cavé /// 75018 – Paris
    01 42 23 56 56 
    echomusee@yahoo.fr

  • Bientôt les portes ouvertes D'Anvers aux Abbesses


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    Bientôt les portes ouvertes des ateliers d'artistes de notre quartier (au sens large...), pourquoi ne pas le noter dans votre agenda et réserver ce weekend-là, les 17 et 18 novembre, à les rencontrer.

     

     

     

     

    Suivez le guide :

    Ci-dessous l'atelier de Joëlle Courtois (10 rue Germain Pilon 75018 Paris) et celui de Josiane Chevalier  (11 passage Lathuille, 75018 Paris )

    D'anvers aux Abbesses

    D'anvers aux Abbesses

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ci-dessous l'atelier d'Anne de Seynes (13 rue André Antoine, 75018 Paris) , puis celui de Patrick Pinon (187 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris).

    (La suite  sur www.anversauxabbesses.fr )

    D'anvers aux Abbesses

    d'anvers aux Abbesses

     

     

    et surtout sur place, dans tous les ateliers que les artistes ouvrent volontiers pour vous accueillir... Ne ratez pas ces quelques instants de dépaysement.

  • Le lycée Jules Ferry fêtera son centenaire dans un an

     

    Ferry1869.JPGJules Ferry : dans la mémoire des Français, son nom est lié à l'école publique. Nos écoles élémentaires parisiennes en briques et moellons, les collèges mais pas tous, des lycées pour ceux qui ont plus de 100 ans aussi.... sont les témoins de l'effort unique réalisé par une génération d'hommes politiques qui investissait dans l'éducation, l'instruction publique à l'époque. Le lycée qui porte son nom, place de Clichy dans le 9e, en même temps qu'il fêtera son centenaire, célèbrera le nom du grand homme. 

    Dans l'esprit des républicains des années 1880, la consolidation du régime politique né en 1875 passe par l'instruction publique. En laïcisant l'école, ils veulent affranchir les consciences de l'emprise de l'Eglise et fortifier la patrie en formant les citoyens, toutes classes confondues, sur les mêmes bancs. Cette réorganisation de l'enseignement exige une réforme en deux temps.

    Tout d'abord, pour libérer l'enseignement de l'influence des religieux, le gouvernement crée des écoles normales, dans chaque département, pour assurer la formation d'instituteurs laïcs destinés à remplacer le personnel congréganiste (loi du 9 août 1879 sur l'établissement des écoles normales primaires).

    Cette première phase passée, les républicains poursuivent la mise en place d'une école laïque mais, pour diviser les résistances, ils fractionnent la réforme en deux temps. Ils commencent par prononcer la gratuité de l'école publique (loi du 16 juin 1881 établissant la gratuité absolue de l'enseignement primaire dans les écoles publiques) et exigent que les instituteurs obtiennent un brevet de capacité pour pouvoir enseigner dans les écoles élémentaires (loi du 16 juin 1881 relative aux titres de capacité de l'enseignement primaire). Ils affirment ensuite l'obligation, pour les enfants des deux sexes, de fréquenter l'école de 6 à 13 ans (loi du 28 mars 1882 sur l'enseignement primaire obligatoire). (Extraits du site du Sénat sur Jules Ferry)

    Lycée_Jules_Ferry_Paris_9em_2.jpgIl semble que ce soit les filles et les enfants des campagnes qui tirent le plus grand profit de l'obligation scolaire, celles et ceux que les parents occupaient aux tâches domestiques et envoyaient aux champs plus volontiers qu'à l'école.

    Pour parcourir en détails la carrière et la vie de Jules Ferry, voir ici sur le site du Sénat.

    Biblio : GUILHAUME (Philippe), Jules Ferry, Albin Michel, Paris, 1992.

    Mais revenons à l'établissement.

    Le lycée Jules-Ferry célèbrera son centième anniversaire en octobre 2013. Un comité pour le centenaire a été constitué dans l' établissement pour préparer les célébrations qui auront lieu à cette occasion. 

    Dans ce cadre, plusieurs évènements seront organisés. Les expositions sur l'architecture, l'histoire des institutions et des enseignements et sur la vie quotidienne y tiendront une grande place.

    Habitant le quartier, vous ou un de vos proches a peut être été élève au lycée Jules-Ferry. C'est à ce titre que nous nous adressons à vous.

    Pour enrichir les expositions, le Comité pour le centenaire fait appel à vous.

    Tout objet - blouses, photos de classe, documents administratifs - serait du plus grand intérêt pour les organisateurs.

    Votre prêt, qui s'étendra jusqu'en septembre 2014, sera évidemment sécurisé. Un bordereau  en attestera.

    Les témoignages oraux ou écrits seraient aussi appréciés. 

    Vous pouvez remettre ces objets à 

    Françoise Limousin, 3 rue Etienne Jodelle - 75018 Paris

    01 42 94 07 75 (ligne téléphonique de déCLIC 17/18)


    Nous vous remercions de l'attention que vous voudrez bien porter à cette recherche. 

  • Cinéma d'animation... un pionnier qui a vécu au 58, rue Rodier

    Emile Reynaud, pionnier de l’image animée, revient sur le devant de la scène dans le cadre de la 11e Fête du cinéma d’animation 

    120 ans après la première projection publique d’Emile Reynaud au musée Grévin, l’Association Française du Cinéma d’Animation (AFCA, dont le siège est aussi rue Rodier, sur l'autre trottoir, au 53) propose une exposition sur ce pionnier du cinéma d’animation, ayant vécu et travaillé dans le 9e arrondissement. Il aurait aimé que ces contemporains lui fassent la fête, lui, qui avait un train d'avance...

    Avec la Cinémathèque française, partez à la découverte de l'incroyable découverte d'Emile Reynaud et des premiers spectacles d'images animées : c'est ici.

    Du 19 au 31 octobre – Salons Aguado (Mairie du 9e)

    Vernissage le vendredi 19 octobre à partir de 18h dans les salons Aguado,
    suivi d’une projection salle Rossini à 19h.

    arlequin pierrot.png

    Avant d'aller voir l'expo de la mairie du 9e, il faut (re)découvrir "Pauvre Pierrot" (*), par Emile Reynaud, datant de 1892. Ce sont  4'33" de pantomine lumineuse, assez loin des Disney et autres Pixar, qui malheureusement n'ont pas valu à leur auteur suffisamment de reconnaissance pour l'empêcher de détruire toute son oeuvre, tous ses cartons, par dépit ou désespoir, à l'exception de quelques rescapés comme Pierrot, et de finir sa vie assez misérablement à l'hospice d'Ivry. 

    Encore un conseil pour les amateurs de dessins animés, offre-vous un détour par  le site des Amis d'Emile Reynaud, qui comme tout site piloté par des amateurs inconditionnels d'un sujet - et quel sujet ! - suit au plus près l'actualité et se révèle incontournable... Nous y avons pris beaucoup de plaisir comme sur le zoom de la cinémathèque.

    Bonne visite. 

    (*) sur le site de la Cinémathique, zoom, dans Visite libre, liste de gauche, autour du théâtre optique : Pauvre Pierrot et Autour d'un cabine, de 1894... un moment charmant de ravissement.

  • Portes d'Or : 3ème édition dès vendredi prochain, notez bien !

    Une ballade artistique haute en couleur : Portes ouvertes d’ateliers d’artistes de la Goutte d’Or – 3ème édition

    12/13/14 octobre 2012

    Vernissages : vendredi 12 à 18h30

    Visites : samedi 13 et dimanche 14 de 11h à 20h 

    Pour accéder à tous les détails, cliquez sur le site de PORTES D'OR

     

    AFFICHE-PO-2012web-723x1024.jpg

  • Des musées sur votre écran

    Connaissez-vous cette offre de Google ? Des visites en fauteuil.... 

    Vous avez la flemme de sortir, il pleut, le confort de votre canapé vous retient.... alors choisissez le musée ou le château que vous souhaitez visiter en cliquant sur l'onglet COLLECTIONS

    chantilly,Simonetta-VespucciNous avons choisi les trésors que recèle le Chateau de Chantilly. Rien de plus simple, cliquons sur CHATEAU DE CHANTILLY.

    Les oeuvres sont présentées une à une ou en diaporama, de nombreuses possibilités sont offertes qui vous permettront de les explorer en détail, un effet un zoom assez exceptionnel est à disposition, on peut les partager, etc... 

    ci-contre : Portrait de femme dit de Simonetta Vespucci, 1490, de Piero di Cosimo

    Sans compter que vous pouvez également vous entraîner à relire un peu d'anglais en ouvrant la rubrique DETAILS où les textes sont restés dans cette langue :

    "The Château de Chantilly is the product of numerous modifications carried out over the centuries by major architects working for illustrious owners. Several generations of princes made the Domain a bastion of aristocracy that was relatively independent of the monarchy, and therefore somewhat protected......"

    Si vous préférez revisiter des salles de musées français ou étrangers, repérez le nom du musée dans la liste, puis choisissez le petit personnage (Museum view) qui se promenera au gré des mouvements de votre souris.

    Le Museum of Modern Art à New York vous attend ici. Ou en direct... 

    Tout cela ne remplace par une visite sur les lieux, bien évidemment, mais pour une première approche ou une recherche, c'est quand même bien pratique.

  • Un article qui plaide pour la création d'un lieu convivial à Barbès

    Encore récemment nous évoquions l'offre nouvelle d'écrans de cinéma dans le Nord-Est parisien, imminente comme l'Etoile-Lilas (voir l'article du Parisien du 26 septembre 2012) et encore un peu lointaine, mais néanmoins confirmée, porte d'Aubervilliers, à la Cité des Sciences et de l'Industrie ou dans la zone Claude Bernard avec le multiplexe UGC (voir notre article du 17 septembre 2012).

    La lecture du Parisien est recommandée aux responsables de la mairie du 18e qui militent avec nous pour la réouverture d'une belle brasserie à Barbès. Elle devrait les conforter en effet dans leurs efforts à convaincre les propriétaires des parcelles actuellement à l'abandon. On peut lire dans la description du futur cinéma que le cabinet d'architectes Hardel et Le Bihan a prévu « sur le parvis, au rez-de-chaussée, deux restaurants – une brasserie et un japonnais » Et encore « La terrasse, couverte et chauffée l'hiver, protégée l'été, accueillera une autre restaurant, géré directement par l'Etoile. »

    C'est le bon sens même ! Que ce soit les jeunes ou les moins jeunes qui fréquentent les salles de cinéma, ils ont souvent envie de prolonger la soirée en mangeant un morceau ou en buvant un verre au lieu de se quitter sur le parvis, sèchement. Or, pour l'instant à Barbès..... nous ne voyons pas bien le lieu qui réponde à cette envie.

    Pour le reste, ces nouvelles salles disposeront de toutes les avancées technologiques qui ont fourni des arguments aux promoteurs du projet Louxor, à savoir :  « Toutes les salles sont équipées d’installations technologiques dernier cri » (ce qui était le nec plus ultra de la modernité il y a 5 ou 6 ans est devenu la norme), « et adaptées aux personnes mal-entendantes », « l'une des salles permettra aussi l'organisation de concerts et de spectacles vivants. »

    N'était-ce pas ce que mettait en avant la Mission Cinéma lors des présentations du projet et dans sa newsletter, en ligne ici

    Extrait de la Newsletter d'avril 2012:Le Louxor accessible à toutes les personnes handicapées

    Conformément à la législation, le Louxor sera entièrement accessible aux personnes en situation de handicaps : personnes à mobilité réduite (PMR) mais aussi sourds et malentendants et mal-voyants.

    En effet, jusqu'à présent deux types de handicaps ne trouvaient pas de réponse appropriée dans les salles de cinéma :

    - Les sourds et malentendants qui ne peuvent voir que des films sous-titrés. Or le sous-titrage des films en 35mm suppose l'installation d'un projecteur ad hoc. Le producteur doit aussi avoir réalisé les sous-titrages en amont. Avec l'équipement numérique, il n'est plus nécessaire de disposer de matériels spécifiques, l'exploitant pourra ainsi proposer des films sous-titrés.

    - Les mal voyants. Pour être accessibles, les films doivent être "audio-décrits" (bande son qui « raconte » ce qui se passe à l'image), et la salle de cinéma doit être équipée de boucles magnétiques ou infrarouges diffusant la bande son vers des casques. Avec le numérique, le recours à l'audio-description devient beaucoup plus simple à condition toutefois que les producteurs la réalisent en amont.

    La révolution numérique permettra désormais aux personnes en situation de handicap d'aller au cinéma plus régulièrement.

    Nous concluons que pour faire la différence et faire venir les spectateurs à Barbès, il faut trouver autre chose... Comme par exemple un café chaleureux et convivial qui éclaire agréablement la « zone » et fasse oublier son image de carrefour de tous les trafics ! 

    Observation : l'expo photo sur les palissades du chantier-Louxor a été changée tout récemment. A rgarder de près. Ce sont les ouvriers qui "s'affichent" !! Nous sommes impatients de voir leur travail.... 

  • Affichage, ce n’est que de l’affichage : la politique culturelle de Bertrand Delanoë

     ---- Tribune libre ---- 

    Cet article nous a été envoyé par un adhérent d’Action Barbès. Pour être sévère, son propos ne manque néanmoins pas d’une certaine justesse, aussi avons-nous décidé de le publier. Les propos qui y sont tenus n’engagent que leur auteur.

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    En ce mardi 2 octobre, certes en l'absence de Bertrand Delanoë, maire de Paris, représenté par Bruno Julliard, nouvel adjoint au maire à la Culture mais en présence de Jacques Bravo et Daniel Vaillant, respectivement maire des 9e et 18e arrondissements et de nombreuses personnes des familles du cirque ( Gruss, Bouglione, ...) et .... de l'inoxydable Michou, 81 ans aux prunes et figure de Montmartre, a été dévoilée une plaque au 63, boulevard de Rochechouart en souvenir du cirque Médrano qui a trôné là pendant un siècle (1873-1973).

     

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    Le charme des gens du cirque


    Quoi de mieux que le très bon guide Trudaine Rochechouart dans tous ses éclats auquel l’association Action Barbès n’est pas étrangère pour présenter rapidement ce lieu :

    •   63 boulevard de Rochechouart

    « Sur un terrain vague, Fernando Bert y dresse en 1873 un premier chapiteau en toile : le cirque Fernando. Un an après, une construction en dur le remplace. Pendant près de 30 ans s’y produisit Boum Boum Medrano, clown et dompteur. Les Fratellini lui succèdent , mais le cirque reste aux Medrano jusqu’en 1963.

    La famille Bouglione le reprend sous le nom de cirque Montmartre et décide de sa démolition en 1969, malgré les nombreuses protestations du quartier, prenant ainsi de court les Monuments historiques. »

    On trouvera aussi sur le site Montmartre secret un article résumant la vie de ce cirque disparu - 

    Comment ne pas faire le lien entre cet acte certes sympathique mais d’affichage avec la politique culturelle que mène l’actuelle municipalité ?

    Dans un article virulent paru le 30 mai dernier sur Médiapart, Valérie de Saint Do fait une assez bonne analyse de la situation. Sévère mais juste. 

    Plus méchant encore est l’article paru sur le site Rue89 en mars, lors de la campagne présidentielle afin d’alerter François Hollande sur les erreurs commises par Bertrand Delanoë en matière culturelle.

    On pourrait me reprocher d’utiliser des sources partisanes de droite qui s’opposent de façon systématique à la gauche, mais ces deux sources – Médiapart et Rue89 – sont bien, à ma connaissance, des médias classés plutôt à gauche.

    Si nous regardons cette question à travers quelques sujets qui ont toujours préoccupé Action Barbès, quel est le résultat ?

    Dévoiler une plaque en souvenir d’un lieu disparu est un acte de mémoire et on ne peut qu’en féliciter la Ville de Paris. Mais la mémoire, est-ce dévoiler des plaques à l’endroit des lieux qui n’existent plus ou est-ce, pour des sites ayant une valeur patrimoniale, essayer de les sauvegarder ? Malheureusement, les projets menés par la Ville sont plutôt destructeurs. Certes assez loin de Barbès, le projet d’extension du stade de tennis Roland Garros au détriment des serres d’Auteuil est emblématique. Le projet de la tour Triangle porte de Versailles va dénaturer le ciel parisien encore assez homogène malgré quelques tours disgracieuses. Plus près de nous, la destruction du Louxor – car il ne faut pas se cacher la réalité, l’intérieur du Louxor datant de 1920 a été détruit – en est un autre symbole.

    A la Goutte d’Or, l’arrêt des subventions de la Ville au Lavoir Moderne a définitivement tué une structure culturelle dans ce quartier populaire - http://www.rueleon.net/. La longue – trop longue  fermeture de la bibliothèque Goutte d’Or bien signalée sur ce blog est un autre signe que, pour une médiathèque Marguerite Yourcenar tape-à-l’œil dans le 15e, les bibliothèques de Paris souffrent.

    Que restera t-il des Nuits blanches dans 20 ans ? Que sera devenu le 104 et son gouffre financier à 8 millions d’€ de subvention annuelle ? Idem pour la Gaité lyrique ? Quant au pari culturel du Louxor, bien des questions se posent encore.  

  • Du street-art par un beau dimanche ensoleillé


    paris,maubeuge,street-art,palisades,fresques,turbo design,french-kissIl y a peu nous avons rendu hommage au travail des peintres décorateurs qui ont réalisé la fresque rue de Maubeuge (voir notre article du 28 juillet) et donné des couleurs à cet espace technique sans grand charme. Ici, à l'angle du faubourg Saint-Martin et du boulevard de Magenta, face au marché de Saint-Quentin, nous avons été agréablement surpris par la réalisation d'une grande oeuvre murale de street-art, directement sur les palissades en bois qui cachent le rez-de-chaussée et le 1er étage de l'immeuble qui abritait encore récemment le grand magasin de Hi-fi Illel. Les riverains et les passants, amusés et étonnés, ont assisté en direct à la naissance de la fresque.

    Cet immeuble accueillera bientôt un des plus grands magasins de l'enseigne de l'opticien Alain Afflelou, d'après un communiqué de presse paru en septembre : 420 m2 sur trois niveaux pour la fin de l'année. Pour protéger cet espace en cours de réaménagement, des grandes palissades en bois entourent actuellement le pied de ce bloc haussmannien.  
     
    paris,maubeuge,street-art,palisades,fresques,turbo design,french-kissAu début de l'après-midi de ce dernier beau dimanche de septembre, plusieurs artistes peintres et graffiteurs, armés de rouleaux et de peintures aérosol ont investi les lieux. Plus d'affiches, sauvages ou institutionnelles, mais de grandes fesques, colorées, surréalistes, étonnantes, du street-art en live...
     
    Pendant plus de 6 heures, ce collectif de peintres décorateurs taggeurs - comment faut-il les appeler sinon des artistes ? - , signant ses réalisations "TRBDSGN" (pour TurboDesign) et "French Kiss", a travaillé et peint sur les trois grands pans en bois.
     
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    paris,maubeuge,street-art,palisades,fresques,turbo design,french-kissIls sont par ailleurs, totalement conscients du caractère éphémère de leurs réalisations, car ces oeuvres sont condamnées à brève échéance, sans doute recouvertes par de l'affichage sauvage. Tout espace vide en ville attire comme un aimant les colleurs d'affiches et... l'expression libre, qui entre alors en concurrence. 
    Belle initiative, démonstration de talents, spectacle vivant, dans un lieu de grand passage entre les deux gares du Nord et de l'Est !

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  • Mon voisin est écrivain

    « Mon voisin est écrivain »

    salon-mon-voisin-est-ecrivain-avec-b-gatignol-v-l211-h301-rm.jpgLe salon des auteurs du 10e arrondissement

    Samedi 29 septembre de 10h à 20h au Pari's des Faubourgs, 12 rue Léon Schwarzenberg

    Organisé par l’association l’Ile Lettrée, le salon des auteurs du 10e réunira sur une journée des auteurs jeunesses, des romanciers, des illustrateurs, des essayistes et bien d’autres.

    Ce projet mettra en valeur les œuvres de ces auteurs tout autant que leur quartier.

    Développée en partenariat avec la Librairie l’Ouvre-Boite, la Litote en tête et Aux Livres, etc., des dédicaces, lectures, débats, projections ponctueront cette journée. Celle-ci se terminera en musique lors d’un concert qui accompagnera le pot de clôture.

    Avec la présence de : Thérèse Bisch, Marc-Antoine Boidin, Thierry Cazals, Hubert De Maximy, Marie Desplechin, Jean-philippe Domecq, Jeremy Dres, Fabien Fernandez, Nanon Gardin, Bertrand Gatignol (affiche ci-contre, chez Dargaud), Anne Gorouben, Thierry Illouz, Philippe Jaenada, Hugues Jallon, Edwige Lassus, David Lelait-Helo, Daniel Maximin, Maya Mihindou, Gep, Claire Ubac, Fabrice Virgili, Marc Volfinger, Catherine Zambon.