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18e - Page 10

  • Le jazz à l'honneur pour la 6e édition de l'Université Populaire de la Musique

    Pour cette 6e édition de l'Université Populaire de la Musique, c'est le jazz qui est mis est à l'honneur !

    Cette nouvelle édition de l'Université Populaire de la Musique se réinvente pour s'adapter aux conditions sanitaires actuelles en vous proposant des rendez-vous en ligne. Podcast et vidéo seront mis en ligne du 2 au 16 mars sur une page dédiée sur le site de la Mairie du 18e (cliquer ici), accompagnés de multiples supports pour plonger au cœur de la thématique du jazz avec les artistes.

    La programmation :

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  • Culture confinée : "Trois, deux un... Live !" aux Trois Baudets

    Les restrictions sont toujours de mise, et si vous ne pouvez pas venir à eux, Les Trois Baudets viendront à vous ! Soutenir les artistes c’est soutenir la filière du spectacle toute entière, et même sans public, la salle des Trois Baudets reste ouverte aux artistes. 

    Les Trois Baudets se plient de nouveau en quatre pour accueillir des artistes qui ont à leur disposition équipe et équipement de la salle pour répéter dans les meilleures conditions.

    À la clé, des sets de 30 minutes diffusés gratuitement les samedis à 19 h sur Facebook et Youtube pour permettre au public d’avoir un aperçu du travail effectué. Alors à vos agendas pour ne rater aucun de ces sets proposés !

     

    Trois, deux un... Live !

     

    unnamed (4).jpgSAMEDI 06 MARS - 19 h
    CORA LYNN et ALEX MAZZOLENI
    Morceaux originaux et reprises rock 50’s s'entremêlent. Leur rock’n’roll aux influences blues, jazz et country fait du bien ! Il fait écho à ces héros du passé tout en se conjuguant au présent.

    EVENT

     

     

     

     


    unnamed (5).jpgSAMEDI 13 MARS - 19 h
    HAYLEN
    Diva au timbre envoutant, Haylen livre une musique langoureuse, savant mélange de soul et de rock’n’roll, teintée de blues et ne laisse personne indifférent.

    EVENT

     

     

     

     


    unnamed (6).jpgSAMEDI 20 MARS - 19 h
    NIKOLA
    Dans sa poésie, Nikola met en lumière la beauté et la violence du quotidien. Il chante, parle et crie sur ses compositions. Un style cru qui prend aux tripes. C’est sincère, parfois dur, mais ça fait du bien.

    EVENT

     

     

     


    unnamed.jpgSAMEDI 27 MARS - 19 h
    BAKEL
    Bakel revendique aussi bien des influences pop-folk que chanson française. Un grand écart qu'elle assume avec aplomb. Singulière collection de confessions, sa musique est une mise à nu habitée de pulsion universaliste.  

    EVENT

  • Documentaire : "Petites phrases, grandes conséquences", retour sur "le bruit et l'odeur"

    La chaine de télévision LCP a diffusé récemment deux documentaires réalisés par Tomas Raguet : Petites phrases, grandes conséquences. Le réalisateur revient à travers ces deux volets sur quatre phrases politiques emblématiques prononcées par quatre présidents de la République : Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron. De nombreux témoignages viennent étoffer ces deux films.

    C'est la première partie qui nous intéresse particulièrement ici. En effet, Thomas Raguet, le réalisateur, a retenu "le bruit et l'odeur" concernant le président Chirac. Petite phrase, mais phrase choc prononcée lors d'un meeting à Orléans le, 19 juin 1991. On l'oublie souvent, mais cette sentence prétend alors décrire une situation vue à la Goutte d'Or.

    "Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte d'or où je me promenais avec Alain Juppé la semaine dernière, il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur !"

    Pour revenir sur cette phrase, plusieurs personnes témoignent, mais c'est principalement à travers le vécu et le parcours de Mams Yaffa que le documentaire aborde le sujet. Le réalisateur a judicieusement mis en balance le discours tenu par Jacques Chirac - un discours défendu par Michèle Alliot-Marie dans le documentaire -, face au témoignage de Mams Yaffa, qui en 1991 était un enfant "issu de l'immigration" vivant à la Goutte d'Or, et qui, aujourd'hui, trente ans plus tard, est devenu un élu du conseil d'arrondissement du 18e (il est adjoint au Maire du 18e chargé des sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques). Il y a comme un petit air de revanche républicaine à travers cette mise en miroir.

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    Mams Yaffa

    Vous pouvez regarder ces deux documentaires de 52 minutes sur la chaine  Youtube de LCP , ou directement ici :

     

    Petites phrases, grandes conséquences. 1ère partie : La droite en dérapage contrôlé

     

    Petites phrases, grandes conséquences. 2nd partie : La gauche contre le peuple

  • Promenade urbaine : les "toilettes en bois" vont être enlevées

    Le 19 février dernier, en compagnie d'autres associations et collectifs d'habitants, nous avons parcouru la Promenade urbaine avec les adjoints à la propreté du 10e et du 18e arrondissement, Léa Vasa et Fred Badina-Serpette, ainsi qu'un représentant de la direction de la propreté de la Ville.

    Un grand nombre de sujets ont été discutés, retenons deux points importants abordés lors de cette marche.

    D'abord côté marché Lariboisière (aka "marché de Barbès"), si le nettoiement de l'après marché par la "fonctionnelle" ne pose aucune question, il est toujours parfaitement réalisé, se pose la question du nettoiement du "marché de la misère" qui se tient en parallèle du marché alimentaire. Aujourd'hui, si tout va bien, c'est le lendemain matin que le terre-plein-central du boulevard et les rues adjacentes où le marché de la biffe s'installe (en ce moment la rue Guy Patin) sont nettoyés cette fois par les agents de la propreté des 10e et/ou 18e arrondissements. Nous avons plaidé pour un nettoiement systématique les soirs de jours de marché (mercredi et samedi) de l'espace de marché, mais également des rues qui voient parfois se former le marché informelle (rues Guy Patin, pont de Jessaint...). Espérons avoir été entendus.

    promenade-urbaine,boulevard-de-la-chapelle,10e,18e

    Boulevard de la Chapelle, après le "marché de la misère"

    Autres sujet d'importance sur la Promenade urbaine : la présence des "toilettes en bois" dont l'expérimentation ici est un échec patent. Léa Vasa et Fred Badina-Serpette nous ont annoncé que ces édicules de bois allaient bientôt être retirés du boulevard.
    promenade-urbaine,boulevard-de-la-chapelle,10e,18e
    En attendant de trouver des solutions pérennes, des urinoirs de type "goutte" (ces urinoirs gris qu'on trouve le long du canal Saint-Martin) vont être déployés tout au long de la promenade urbaine. Avec d'autres habitants nous avons insisté pour que ces urinoirs soient nettoyés quotidiennement, sept jours sur sept. Nous avons demandé également qu'une signalétique adaptée puisse indiquer les emplacements des toilettes le long du boulevard, cela ne règlera pas tout, mais en matière de propreté, nous savons que les réponses sont toujours multiples et qu'il faut agir de concert sur plusieurs fronts : prévention et nettoiement.

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    Autre lieu et autre dispositif qu'on aimerait voir partir et remplacé par une solution plus acceptable : "l'uritrottoir" au pied de l'église Saint-Vincent de Paul dans le 10e

     

     

  • Devinette confinée : la concierge fait des impairs

    Saurez-vous localiser cette singularité ? C’est une mutualisation de la fonction de conciergerie. Et pourquoi pas ? 

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    Certes, la rue n’est pas très longue, mais malgré tout elle compte une dizaine d’immeubles de cinq étages. Si une même personne doit cumuler le nettoyage de plusieurs cages d’escalier, la tâche de ce gardien-là est bien lourde. Cependant il existe maintenant une partition de l’activité des gardiens, et la partie nettoyage peut être confiée (doit-on dire externalisée ici ?) à une entreprise extérieure, tout comme la sortie des ordures ménagères.  Par exemple Commeneuf-Nettoyage, ou Ara-Nettoyage, et bien d’autres, le nombre de ces entreprises a explosé proportionnellement à la diminution de celui des concierges. Changement d’époque. Une économie pour les copropriétés ? Peut-être. Mais qui réceptionne les nombreux paquets d’Amazon, de Cdiscount, etc. ? Cette tendance explique aussi, parallèlement, la présence des conteneurs verts sur les trottoirs plus longue que de raison, quand la collecte a du retard. Une incitation à une fouille désordonnée de certains biffins. Conclusion, la suppression du gardien ou de la gardienne n’a pas que des aspects positifs. 

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    Bon, un indice ? La rue porte le nom d’un peintre belge du 19e s. qui était propriétaire du terrain sur lequel elle a été tracée et construite. Cela vous aide ? 

  • Le 360 rouvre … dans votre salon !

    Ça y est ! Le célèbre lieu de concerts du 18e, le 360 Paris Music Factory rouvrira… dans votre salon, du 15 au 28 février prochains.

    Eh oui ! faute d’avoir le droit d’accueillir du public, le 360 a maintenu les concerts du Festival Au Fil des Voix, prévus du 25 janvier au 12 février. Seuls les artistes - évidemment - les techniciens et quelques programmateurs et journalistes (dont Action Barbès !) étaient admis.

    "En leur offrant une scène, en nous réinventant, nous soulignons l’importance de la création et de l’expression artistique, mais aussi du lien entre les artistes et le public" dit Saïd Assadi, l’inventeur-directeur du lieu.

    Les sept rangées de sièges étaient empilées, disparues (c’est automatique) et donc, la salle livrée aux caméras et aux éclairages. Les quinze techniciens s’en sont donné à cœur joie, six cadreurs, le son  "spécial 360" , quatre-vingt quatre musiciens… et les réalisateurs, là haut dans la régie

    Et là, on va vous rendre jaloux, il nous a été donné d’assister en live aux quatorze concerts, une première partie à 15 h, dé-câblage, re-câblage du plateau (et ce n’est pas rien !), et une autre à 17 h 30. Tous les artistes se donnaient comme à Bercy, ou au New Morning, ou… au 360 version "sans virus".

    Nous, notre seul boulot, c’était de nous en mettre plein les yeux et les oreilles… et d’applaudir comme des damnés entre chaque morceau. Les applaus’ en boite, pas le genre de la Maison 360. Hélas, le sympathique bar et le délicieux world restaurant du 360 étaient fermés. Mais ne faisons pas les fines bouches, quel privilège et quel bonheur d'assister à des spectacles !

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    Des artistes qui méritent un public, rendez vous en ligne pour leur offrir !

    Oui, content pour vous, ça nous fait bien plaisir, mais nous, les lecteurs ? Vous, vous allez être très gâtés aussi : chaque soir à 19 h, ces concerts vous sont offerts, (oui, gratos) du 15 au 28 février, sur la chaîne YouTube du 360 Paris Music Factory. 

    Avant, vous aurez sorti le projecteur vidéo, ou au moins l’écran 4K HD, 1,40 m de diagonale, connecté le Gros Son, prévenu les voisins (ben oui, si Saïd, le patron du 360, vous offre tout cela, ce n’est pas pour regarder les concerts sur l'écran de votre montre !). Préparez les boissons fraîches ou le mezcal, c’est selon (ça, nous, on n’avait pas !), et à 19h, applaus', les artistes entrent dans votre salon.

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    Alors, précipitez vous sur le site du 360, là, maintenant, regardez la liste des quatorze concerts, des interviews des artistes, des extraits, et faites votre programme pour les quinze jours. Le plus simple est d’installer le frigo, bien garni, près du canapé dans le salon. Ça vous évitera de vous lever toutes les cinq minutes.

    Et aussi, surtout, on souhaite revenir très vite au 360, pour plein d’autres beaux concerts, en direct live pour de vrai avec les artistes … avec bar et/ou restau avant et après le show !

  • Travaux en suspens pour la flèche de l'église Saint-Bernard

    La flèche de l'église Saint-Bernard de La Chapelle connait d'inquiétants problèmes de stabilité depuis quelques temps, et elle s'est vue recouvrir d'un échafaudage durant l'été 2019. Cette même année, un projet du budget participatif a obtenu le suffrage des habitant, permettant de financer les travaux de la flèche et ensuite l'éclairage du monument à hauteur de 1 300 000 euros. Action Barbès est un des porteurs de ce projet, nous sommes donc très attentifs à sa mise en œuvre, c'est pourquoi nous avons sollicité Karen Taïeb, adjointe à la Maire de Paris chargée des questions de patrimoine, pour connaitre les avancées du projet.

    Nous faisons ici le point sur ce dossier.

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    Détail de la flèche

    La flèche de l'église néo-gothique nécessite donc une opération de restauration. La Ville de Paris avait mis un en place un échafaudage pour sécuriser la zone en premier lieu, puis en vue de réaliser les études et les travaux lorsque cette restauration avait été lauréate du budget participatif.

    Dans un premier temps, l’opération de restauration de cette flèche avait été évaluée pour un montant de 1 000 000 euros, financé donc par le budget participatif (300 000 euros sont consacrés à l'éclairage).

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    Automne 2020, la flèche est perdue dans une montagne d'acier

    Mais, lorsque des études plus poussées ont  été menées il s’est avéré que l’état sanitaire de la flèche nécessitait davantage de travaux par rapport à ceux évalués à l’occasion du budget participatif. L’architecte estime le montant de cette restauration à 2 200 000 €. Il faut donc programmer un nouveau calendrier d'intervention, les services de la Ville y travaillent actuellement.

    Dans l'attente, des travaux de mise en sécurité de la flèche ont été réalisés, comme la dépose de la croix sommitale et d’éléments de charpente, et la protection de plaques de plomb abîmées pour assurer l'étanchéité. La flèche ne tombera pas en attendant sa rénovation.

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    Dépose de la croix, décembre 2020

    Par ailleurs, l’échafaudage qui avait été loué par la Ville en 2019 a été déposé, afin de ne pas engendrer de surcoût pour la Ville entre ces deux interventions. La flèche se retrouve donc à nue, attendant patiemment de retrouver de sa superbe.

    Les travaux d’éclairage seront, logiquement, réalisés à l’issue des travaux de restauration. Reste à connaitre le calendrier de tous ces travaux, nous ne manquerons pas de vous en faire part quand nous en aurons connaissance.

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    Le pied de la flèche amputée d'un contrefort, janvier 2021

    Petit bonus historique

    L'état actuel de la flèche n'est pas dû à un défaut d'entretien mais plutôt de conception. En effet, ce n'est pas la première fois que cette église rencontre des soucis avec sa flèche. Dès sa construction (de 1858 à 1863), on découvrit rapidement que la cloche accrochée au pied de la flèche était trop lourde et faisait vaciller la flèche en sonnant. On déposa alors la cloche en urgence et on y installa un plus petit carillon. la cloche d'origine existe toujours, elle a trouvé sa place à l'église Saint-Augustin (8e).

    En 1877, on s'aperçoit que la flèche penche dangereusement. Sur le rapport de Viollet-Le-Duc, la Ville finance alors sa restauration pour une somme de 7 715 francs, soit l'équivalent d'un peu plus de 15 000 euros actuels.

    Au tout début du XXe siècle, la flèche s'est mise à pencher à nouveau. On provisionna cette fois la somme de 10 630 francs (25500 euros) pour le redressement. On établit là aussi un échafaudage géant, alors en bois, pour les travaux. Quelques photos gardent souvenir de cette impressionnante construction éphémère, comme cette carte postale de la rue Jean-François Lépine (ci-dessous). Le chantier se déroula en 1902 et 1903 et fût assombri par la mort d'un architecte-vérificateur qui a chuté de l'échafaudage. Gageons que les normes de sécurité actuelles garantissent de meilleures conditions de travail pour les ouvriers d'aujourd'hui.

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  • La bibliothèque de la Goutte d'Or élargit ses horaires d'ouverture

    Après une réouverture ratée et une seconde très réduite, la bibliothèque de la Goutte d'Or élargit ses horaires d'accueil à partir d'aujourd'hui, la situation sécuritaire le permettant à présent. Vous pourrez donc allez à la bibliothèque tous les après-midi du mardi au samedi.

    La situation dans les rues environnantes s’est sensiblement améliorée sur ce secteur, grâce à une présence policière exceptionnelle sur la place formée par le croisement des rues de Chartres, de la Charbonnière, Fleury et Boris Vian, et sur laquelle s'ouvre la bibliothèque. On espère le même investissement policier pour les secteurs proches, celui de Barbès en particulier, car mécaniquement la présence policière concentrée en un point donné provoque des reports aux alentours.

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    Horaires d'ouverture :

    À partir du mardi 9 février
    Du mardi au samedi de 14 h 30 à 17 h 30

  • Devinette confinée : le rideau des clowns

    Deuxième épisode de notre petit jeu de "devinettes confinées" sur le passé récent de nos quartiers.

    Qui se souvient de ce rideau de fer si joliment illustré ?rideau jonglerie 1.JPG

    C’était une grande boutique de matériel de cirque, de jonglerie, de loisirs et de jeux pour les enfants, avec une vitrine d’une bonne vingtaine de mètres. On y trouvait des diabolos, des balles, des massues, des ballons, des échasses, du maquillages, des yoyos, des bilboquets et des kendamas, des trottinettes, des équipements de magiciens, etc, etc… une grotte d’Alibaba.

    Où était-ce donc ?

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  • Une belle plume au Pied à Terre

    Mais pourquoi faisaient-ils la queue, sous leur parapluie, attendant d'entrer dans la nouvelle et sympathique librairie de Château Rouge, "Le Pied à Terre" ? "Ah, je les remercie de leur patience, la météo n'était pas avec nous", dit Lucie, l'un des trois piliers de la nouvelle librairie.

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    L'évènement a eu lieu samedi 30 janvier dernier, et ces patients lecteurs attendaient de rencontrer la stupéfaction éditoriale du moment, Hervé Le Tellier, auteur de "L'Anomalie", Prix Goncourt, livre phénomène déjà tiré - et vendu - à 820 073 exemplaires. Et chacun voulait le sien, bien sûr, et l'auteur dédicaçait à tour de stylo, avec une extrême gentillesse.

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    Le tout dans le plus grand calme, covid oblige ! Cette grande librairie, malgré sa superficie était limitée à …12 personne à la fois ! Avec évidemment hydrogel et masque. Alors pour la bousculade, "et moi "et moi ! " avec son livre qu'on passe sous le bras de l'auteur pour ne pas rater "son" autographe, et les "j'en profite pour farfouiller dans la librairie", vous repasserez.

    Non, tout cela était d'un calme et pour ainsi dire germanopratin, à 40 mètres du métro Château Rouge.

    Deux questions subsistent.
    - Comment Lucie, Thibaud et Julien, les boss, ont-ils convaincu Hervé Le Tellier de venir signer dans cette encore trop peu connue librairie, mais dont la réputation s'étend ? Sûrement pas pour vendre ce samedi ces 73 exemplaires de plus !

    - Pouvez vous encore acheter L'Anomalie au "Pied à Terre" ? Mais oui, les patrons vous ont gardé quelques exemplaires … mais Hervé Le Tellier est reparti samedi à 17 h, comme prévu.

    Ah ! Faut se tenir au courant ! Inscrivez vous sur la "lettre d'info" du Pied à Terre pour savoir quand est le prochain évènement …

     

    Librairie Le pied à terre
    9 rue Custine, Paris 18e
    Tel: 01 44 85 20 68
  • Jeu : devinette confinée

    Privés de sorties, privés de terrasses et d’apéro entre amis, nous sommes un peu sombres. Peu à peu, une lassitude nous gagne. Pour notre blog aussi, c’est la disette. Pas de réunions où se retrouver entre adhérents, ou entre citoyens autour d’un thème qui nous anime, qui nous fait débattre…et nous chamailler. Seules quelques consultations en ligne viennent réveiller notre conscience citoyenne, et nous ne manquons pas de vous en avertir quand votre participation est possible, et parfois même attendue. Telle cette sollicitation de la mairie du 18e sur le thème de la restauration scolaire du jeudi 4 février. 

    Et entre temps… ? Pour ne pas perdre le contact avec vous, nous avons créé la rubrique de la "culture confinée" : présentations en ligne d’expositions de peinture, captures de pièces de théâtre, concerts enregistrés en vidéo, etc…. Inspirés par un ami blogueur du 12e arrondissement, nous essayons maintenant une série de devinette : retrouver l’adresse d'une boutique disparue, comme aujourd’hui, ou localiser une curiosité architecturale. Nos archives photographiques sont très riches et y plonger fait ressortir des souvenirs associatifs, que les plus anciens de l’asso sauront peut-être apprécier. 

    Bien sûr, nous sommes toujours à l’écoute des remarques que vous pourrez faire, vos observations sont les bienvenues. Et dans la mesure de notre savoir et de nos connaissances, nous nous engageons à répondre à vos sollicitations. 

    Devinette n° 1 : Le monde des reptiles 

    Nous avons beaucoup d’archives dans l’association, et notamment de nombreuses vues du quartier, des quartiers quand on considère les trois arrondissements autour du carrefour Barbès.

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    Celle-ci date de 2004, et présente un singulier commerce…. la vente de serpents, de toutes sortes. C’était un grand magasin, assez profond pour comporter de grandes boites vitrées, chauffées pour certaines, avec des reptiles plus ou moins impressionnants, à l’allure endormie, souvent.

    Le magasin en question était installé dans notre quartier au 43... Mais de quelle rue ? Vous souvenez-vous ?

     

  • Réunion en ligne : "Quel avenir pour la restauration scolaire dans le 18e ?"

    La Mairie du 18e arrondissement et la Caisse des École du 18e organisent une réunion publique en ligne pour la présentation de la première étape de l'audit visant à transformer la restauration scolaire dans l'arrondissement. Dans le cadre de cette démarche, des groupes de travail seront notamment constitués pour étudier les différents aspects de cette évolution. 

    La réunion s'intitule "Quel avenir pour la restauration scolaire dans le 18e ?", voilà une épineuse question à Paris, et plus particulièrement dans le 18e arrondissement où cette question déchire l'arrondissement depuis quelques années.

    Cette réunion se déroulera le jeudi 4 février à 18 h en ligne sur Zoom. L'inscription est obligatoire (cliquer ici pour accéder au formulaire d'inscription. Le lien de la réunion vous sera envoyé après avoir rempli le formulaire).

    Pour plus d’information sur la restauration scolaire dans l'arrondissement, voir la Caisse des écoles du 18e 
    Mairie du 18e arrondissement,  rez-de-chaussée, Salle du Drapeau
    1, Place Jules Joffrin

    Tél : 01 46 06 03 06     Courriel : cde18@cde18.org

    Bureaux ouverts du lundi au vendredi de 8h30 à 17h et le jeudi, nocturne jusqu'à 19h30 (en temps "normal")

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