Prévenus la veille d'une réunion sur l'aménagement du carrefour Paré-Maubeuge, nous avons pu tout de même participer à la réflexion. Il faut reconnaitre que revoir cet espace n'est pas surperflu. Il a connu par exemple la période des plots en plastique, rapidement écrasés comme c'est le cas juste de l'autre côté de la rue Paré sur le boulevard de Magenta. Et désormais, il sert souvent de lieu de stationnement.
Environnement - Page 10
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Carrefour Paré-Maubeuge: quel aménagement ?
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Square Jessaint: ouverture le 18 avril
Nous l'annoncions dans notre article du 23 mars, le square Jessaint ouvrira ses portes le 18 avril pour les habitants et les associations du quartier pour jardiner. Emmaüs Solidarité proposera ateliers, échanges et festivités les mardis et samedis après-midi. Une première étape, nous l'espérons car il n'y a plus d'espace de jeux pour les enfants autour de la place de la Chapelle puisque le square Louise de Marillac est de nouveau fermé. Ajoutons que le square Alain Bashung est parfois occupé d'une façon peu éducative pour des enfants....
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Les antennes de téléphonie continuent à déranger
Notre association ne porte pas le sujet des antennes de téléphonie en priorité et vous, lecteurs habitués de ce blog, vous le comprenez car le nombre des problèmes à Barbès mérite qu'on se concentre sur certains et qu'on n'embrasse pas trop — car qui trop embrasse mal étreint !
Toutefois, nous avons reçu une demande de quelques voisins du boulevard Barbès qui aimeraient que notre blog relaie leur lutte et leur protestation. Voyons donc de quoi il s'agit.
C'est un projet de Free sur l'immeuble du 46 boulevard Barbès, soit très près de la rue Dejean, sur la place du Château Rouge. Ci-dessous un extrait du cadastre qui montre la parcelle.
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D'une réflexion à l'autre sur le thème de la promenade urbaine...
Nous avons reçu une réflexion à propos de la Promenade Urbaine, certes négative, mais surtout qui rend morose son auteur. Celle-ci :
Je me dis que je dois souvent passer pour un râleur, critique et négatif. Mais en général ce qui m'effare c'est le fait que les décideurs actuels soient dans la négation des réalités, ce qui génère des effets catastrophiques absolument prévisibles (par exemple le projet actuel de promenade urbaine, qui risque de s'avérer pire que rien).Morose au point de regretter le projet même de promenade urbaine, au point de n’y voir que des risques de dysfonctionnements dans le futur. Il imagine des dégradations liées à des occupations non souhaitées, importantes, mal gérées, dans des conditions de propreté et d’hygiène incompréhensibles, indignes…. N’ajoutez rien ! On a tous compris. Au moins, tous ceux qui comme nous, comme lui, ont vécu toutes ces dernières années ou vivent encore dans le périmètre entre Barbès et Stalingrad. -
Heureux comme un pied d'arbre boulevard Barbès !
Nous ne voulons pas faire croire aux services de la Voirie du 18e que nous n'avons pas vu les pieds d'arbres du boulevard Barbès... vous aussi vous les avez certainement remarqués ? Non ? Si c'est le cas, ce sera à cause de la trop grande affluence qui sévit sur les trottoirs du boulevard au moment où vous passez.
Toutefois notre oeil d'observateur averti les a remarqués dès le premier jour. Et "l'oeil" de notre téléphone l'a même mis en mémoire illico presto pour vous en donner une illustration ici.
Il s'agit d'un mélange de sable et d'un liant qui laisse ce comblement perméable aux eaux de pluie. Merci pour les arbres. Et merci à la section territoriale de voirie du 18e qui a déclenché l'opération. Le cheminement piéton, c'est à dire de la foule qui emprunte quotidiennement la station de métro, à défaut d'utiliser la station Château-rouge en travaux, et celui des habitants qui rentrent chez eux, s'en trouve largement facilité : plus de flaque, plus de trous, et moins de "cochonneries" qui restent coincées dans l'eau stagnante.
Comme nous sommes sensibles à l'environnement des trois arrondissements autour du carrefour Barbès — et un peu râleurs aussi — nous allons poser la question qui est sur toutes les lèvres au sud du viaduc, à savoir :
Et sur le Magenta, c'est pour quand ?
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Nouveau Lariboisière: un projet réjouissant pour le quartier
Nous attendions avec impatience de découvrir le projet du nouveau Lariboisière. Ce fut chose faite jeudi 24 mars avec une présentation à l'hôpital devant une petite centaine d'invités et en présence de Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP, Eve Parier, directrice du groupe Lariboisière-St Louis, Bénédicte Isabey, directrice de l'hôpital Lariboisière, Bernard Desmoulin, Architecte associé, le Professeur Rémi Nizard, directeur du pôle médical et le maire du 10e, Rémi Féraud.
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L'opération Barbès Respire se poursuit
Nous en sommes déjà à la 3e réunion avec le chef de district, Jacques Rigon, et les associations du quartier Barbès-Chapelle, réunion qui a commencé comme à chaque fois par un bilan chiffré des actions menées. (voir notre précédent article du 14 mars).
Quelques chiffres
• Eviction de vendeurs à la sauvette : un peu plus de 16000
• Procès verbaux simplifiés de saisie - destruction : 972 pour 10 tonnes de marchandises
• Total des arrestations : 764 dont 46 concernant la vente illicite de cigarettes
• PV pour stationnement illicite et infraction à la circulation: 3100
• Enlèvements de voitures ou camions: 85 (essentiellement les jours de marché). Pour ce faire, des grues sont utilisées.
A noter que des procès verbaux ont enfin été dressés le dimanche 19 mars pour des véhicules en stationnement sous le viaduc du métro, ce que nous demandons depuis des années!
Enfin, un réseau de ventes de cigarettes a pu être démantelé avec une saisie de 356 paquets et 12000€ en numéraire. Une belle opération dont se félicite la préfecture et suivie d'arrestations et de mises en détention.
Rappelons que ces chiffres se cumulent depuis le 23 janvier (pour comparer avec les chiffres précédents, voir notre article du 14 mars ).
On ne peut donc pas dire qu'il ne se passe rien à Barbès et à La Chapelle. Nous croisons souvent des équipages à pied ou en vélo dans tout le secteur concerné. Des opérations ont lieu régulièrement. Pour autant, les retours de nos adhérents et des lecteurs du blog sont encore mitigés. Mais on part de tellement loin...
Des ajustements en cours
Pour éviter l'installation des sauvettes les jours de marché en fin de matinée, une brigade est désormais présente à 13h au lieu des 14h30 pour prendre le relai de l'équipe du matin. Lors d'une réunion récente à la préfecture, il a été demandé à la RATP de veiller à ce que des vendeurs ne s'installent pas à l'intérieur de la station. La suppression des peignes et le changement des grilles qui entourent la station ont bien été confirmés pour avril.
Vous avez peut-être remarqué la disparition des croix de Saint-André entre le kiosque à journaux et la chaussée côté 18e. Il s'agit là de ne plus permettre aux vendeurs de toute sorte de les utiliser comme sièges devant la sortie à peignes. On réfléchit aussi au mobilier urbain. D'autres lieux pourraient subir le même sort notamment à La Chapelle.
Placette Charbonnière, là aussi, il s'agit de déranger les trafics et notamment le marché aux voleurs quotidien de la fin d'après-midi. Une brigade est généralement sur place (sauf urgence) tous les jours pour occuper l'espace.
Continuons notre balade vers l'est avec le pont "aux pigeons" juste au-dessus du square Jessaint. C'est parfois une zone de repli pour les sauvettes et une réflexion est donc en cours à la mairie du 18e pour une occupation de cet espace très dégradé. Puis place de la Chapelle et haut de la rue Marx Dormoy, une brigade, comme pour la placette Charbonnière, est désormais présente entre 18h et 20h30. Là aussi, il s'agit d'assurer une présence, de circuler aux abords de la place et d'aller à la rencontre des commerçants. "On veut faire respirer les habitants " a martelé Jacques Rigon.
La forte occupation par des groupes d'hommes du square Louise de Marillac a abouti à sa fermeture, une fois de plus. Les enfants du quartier ne sont pas gâtés en ce moment avec le square Jessaint qui n'a pas encore réouvert ses portes. Encore un peu plus loin, des habitants se plaignent d'une nouvelle occupation de migrants rue Pajol. On peut légitimement se poser la question de leur non prise en charge dans le dispositif de la porte de la Chapelle.
Nous avons aussi évoqué l'état des lieux autour de la salle de consommation pour usagers de drogue et une situation qui semble s'être dégradée d'après des riverains. Ce n'est pas notable d'après notre interlocuteur. Nous vous en dirons un peu plus dans notre article à venir sur la réunion du Comité de voisinage qui s'est tenue le 21 mars.
Notre prochain rendez-vous prendra probablement la forme d'une marche exploratoire, une bonne idée.
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Square Jessaint: vers une réouverture progressive
Commençons par un bref historique même si les habitants du quartier savent que le square est fermé depuis bien trop longtemps. Une réunion avait eu lieu en avril 2016 afin d'expliquer le devenir de cet espace malmené (pour plus de détails voir notre article du 20 avril) dont on nous annonçait alors la réouverture 6 mois plus tard. Bon, à Paris, on sait que les délais annoncés ne sont pas toujours respectés. Il aura fallu une année complète pour revoir les portes s'ouvrir.
Nous avons rencontré Christelle Housseini qui travaille au sein d' Emmaüs-Solidarité et qui assurera à partir du début du mois prochain une présence à raison de 2 demi-journées par semaine.
Le projet
Il s'agit d'un accord entre la mairie et Emmaüs Solidarité. On est sur deux axes principaux: le jardin et le bois. Il sagit de faire travailler des Sans domicile fixe en insertion dans le cadre du dispositif Premières heures 3h/3 jours, soit 9 heures par semaine, payés via une association, mais par la Mairie. Ainsi, ces personnes qui reprennent pied petit à petit dans la vie sociale apprennent les principes du jardinage, à créer des bacs à base de palettes de récupération (prises par exemple sur le marché juste un peu plus loin, ou données par des entreprises avec lesquelles Emmaüs est en relation). Actuellement, on prépare de nouveaux bacs plus hauts que les précédents.
Dans un premier temps, seules des associations du quartier (Graines de jardin, Vergers urbains...) pourront prétendre utiliser les lieux; un planning sera organisé. On s'oriente donc davantage vers un jardin partagé que vers un jardin public. Pour autant, les habitants pourront aussi venir à la condition de s'inscrire auprès d'Emmaüs-Solidarité, inscription gratuite mais indispensable pour des raisons d'assurance (à partir de fin avril). Il n'y aura pas d'espace jeux pour les enfants mais ceux-ci pourront venir s'initier au jardinage, une saine occupation ! Le but est que le square soit toujours occupé pour éviter, comme par le passé, des occupations non souhaitées.
Christelle Housseini assurera une permanence le mardi de 14h à 18h pour ceux qui souhaitent la rencontrer et en savoir plus. Vous pouvez également la contacter par mail : chousseini@emmaus.asso.fr
La convention avec la Ville d'une durée d'un an arrive bientôt à échéance mais devrait être reconduite sans problème.
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Et si le vélo était un acteur économique à Paris ?
L'association Paris en Selle, que nous vous avons déjà présentée, organise une table ronde intitulée No Bike No Business : le vélo, atout pour l'économie locale ? Cela se passe le 23 mars à 19h dans les locaux de la prestigieuse Ecole Normale Supérieure de la rue Ulm.
Le thème est grosso modo "Est-ce que le vélo/la voiture contribue au dynamisme des quartiers ?". La question vaut d'être posée surtout si l'on se réfère à l'ambitieux plan vélo lancé par la Mairie de Paris et qui prévoit 15% des déplacements en vélo à Paris en 2020 (voir notre article du 17 février dernier sur les ratés de ce plan vélo). Et aussi aux réticences souvent exprimées par les commerçants lors du lancement des projets de réduction de la circulation automobile sur certaines artères, voire dans le cadre des projets de piétonnisation. Nos quartiers autour de Barbès n'échappent pas à cette question, que ce soit pour le projet de promenade urbaine Barbès-Stalingrad ou pour celui de la piétionnisation d'une partie de la rue des Martyrs, par exemple.
Vous trouverez sur la page Facebook "No bike, no business" de l'événement toutes les informations nécessaires ainsi que que sur la page de la manifestation sur le site Que faire à Paris "Table ronde : no bike, no business".
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Square Cavaillé-Coll : un début de réflexion pour son réaménagement
Trouver un aménagement adapté pour le Square Cavaillé-Coll n'est pas une mince affaire. Voilà des années qu'on y réfléchit, qu'on a déjà tenté diverses installations mais rien n'y fait. Quasiment à chaque conseil d'école, les parents d'élèves de l'école élémentaire Belzunce évoquent les problèmes d'occupation non souhaitée et de malpropreté.
Il faut reconnaitre que l'espace est assez contraint.Une réunion s'est tenue début mars à la mairie du 10e avec la direction des espaces verts, les élus concernés (Sylvain Raifaud et Stéphane Bribard, Gaïa, Emmaüs solidarité , Aux Captifs la Libération, l'AJAM, le directeur de l'école Belzunce, des parents d’élèves et de la crèche rue Bossuet sans oublier des représentants du conseil de quartier Lariboisière.)
Rappelons que ce square a subi une dératisation récente (4 depuis fin 2015) comme bien d'autres espaces verts à Paris. On y collecte également des seringues usagées.
La suite
Les aires de jeux d'enfants rénovés en 2011 resteront en place.
Les deux aires basses et le chemin pourraient être aménagés avec jardins partagés, jeux et appareil de fitness.
Un des espaces à aménagerA l'image des 119 jardins partagés et 8 jardins solidaires, les élus invitent à réfléchir sur la façon d'organiser les aires basses pour qu'elles deviennent Jardin partagé/solidaire/pédagogique ouvert à tous avec une présence régulière d'animateurs au moins 1 ou 2 fois par semaine. Pour cela, il faudrait créer une association et signer la charte (Paris Main verte / Agence écologie urbaine). Et pourquoi pas organiser un événement marquant par saison avec le quartier pour dynamiser ce lieu qui en a bien besoin.
Un rendez-vous sur place pour une marche exploratoire aura lieu le 30 mars à 18h pour faire le point des propositions. -
Circulation gare du Nord : nouvelle expérimentation
Voilà plus d'un mois que la circulation aux abords de la gare du Nord a été modifiée, à titre expérimental pour le moment. Nous avions suivi de près les changements mis en place en septembre 2015 (voir notre article du 7 septembre de cette même année). Rapidement, des riverains de la rue de Compiègne impactée par les modifications avaient alerté le maire de l'arrondissement (voir notre article du 11 avril 2016).
Concerts de klaxons, non respect du stationnement obligatoire en sous-sol (dépose gratuite de 20 minutes), déchargement des clients de VTC et taxis n'importe où etc..., il fallait revoir la copie. L'adjoint à la maire de Paris Christophe Nadjovski, interpellé fréquemment sur Twitter, a donc repris les négociations avec la SNCF et la préfecture de police. La partie piétonne, située entre la rue de Compiègne et la rue Saint Quentin, a été alors réouverte à la circulation avec possibilité de stationnement de 10 minutes comme l'indique ce panneau.
On notera l'interdiction de stationner et le panneau 10 min. Peut-être pas très clair pour l'automobiliste et la porte ouverte à une certaine mauvaise foi ? Ce qui est certain, c'est qu'après observation sur place, la limitation dans le temps n'est pas respectée. On s'en serait douté !
Cette zone entre la rue de Compiègne et la rue Saint-Quentin est donc repassée en zone 20 avec priorité aux piétons. Là encore, le message passe mal auprès des automobilistes qui ne font pas vraiment attention.
On constate aussi que les VTC continuent à stationner rue de Compiègne, que les clients descendent souvent n'importe où. Mais que faire contre de tels agissements ? La vidéo-verbalisation n'est de toute évidence pas dissuasive.
Une adhérente de cette rue nous a fait part du manque de signalétique claire pour indiquer aux automobilistes qu'ils peuvent tourner à droite et à gauche et qu'il y a une dépose minute à droite. Les klaxons sont moins fréquents mais n'ont pas complètement disparu. C'est malheureusement le lot de nombreuses rues encombrées. A quand une campagne de la Ville pour rappeler l'interdiction de klaxonner bien présente dans le code de la route ?
Et quid d'une large réflexion sur les abords de la gare ?
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Le point sur la propreté dans le 18e
La "Commission propreté" s'est tenue à la mairie du 18e le 21 février dernier. Cette réunion, entre « spécialistes » (pas publique donc) fait régulièrement le point sur les problèmes de propreté, sur les efforts faits et les résultats atteints. Toutes ces choses ne correspondant pas toujours malheureusement.
Dans cette commission, présidée par Gilles Ménède, adjoint au Maire chargé de la propreté, en présence de Boccar Diallo du cabinet du Maire et de la responsable de la division territoriale de la Direction de la propreté et de l’environnement (DPE) Mélanie Jeannot, les représentants des conseils de quartier se réunissent ainsi pour rapporter les caractéristiques de leur quartier, signaler les points noirs, entendre ce qui a été fait, peut être fait…
Au programme des opérations de sensibilisation et de nettoiement accru — on avait cru comprendre il y a de cela quelques semaines, qu’on ne déploierait plus autant d’énergie sur ces actions… — sur des secteurs ciblés en 2017, dont une entre la Goutte d’Or et la place de la Chapelle, à la mi-avril. On devrait retrouver dans le périmètre traité les rues des Gardes, Myrha, Polonceau, Jessaint et même une partie de la rue Marx-Dormoy. Nous avons demandé d’y inclure le pourtour du square Jessaint et la rue de Tombouctou. Et d’avoir une rallonge pour les squares Léon, Saint-Bernard et Bashung, qui doivent bénéficier d’un traitement amélioré à cause de la présence des enfants. La demande n’est pas encore validée, mais Gilles Ménède s’est engagé à faire son possible pour associer les « jardins et espaces verts » à l’opération. Ce sera une première pour une telle opération, donc attendons la confirmation.
Certains sont désormais très dubitatifs sur l’efficacité des actions de sensibilisation. On y perdrait du temps, de l’énergie et des moyens tant humains que financiers. Il faut pourtant bien montrer ce qu’il faut faire, verbaliser quand cela est nécessaire, et continuer dans le sens de l’éducation vers un respect de l’environnement. Sinon, on fait quoi ?
Nous avons aussi entendu parlé des bornes « Trilib ». Kesako? (voir article du Monde du 7 décembre 2016). Cinq d’entre elles sont implantées dans la Goutte d’Or. Il faut bien avouer que les premiers résultats sont mitigés. Le premier bilan de collecte est encourageant toutefois, même si la box destinée à collecter les cartons sert un peu de poubelle. Le carton ou les cartonnages sont-ils des concepts si difficiles à appréhender ? Nous posons la question. Sans doute, certains emplacements pourront être modifiés. On n’est un peu moins dans la catastrophe des tout débuts, ce qui prouvent que les habitants apprennent… et que le ramassage suit : il est effectué 4 fois par semaine (4 passages de camion à chaque fois, un par élément (verre, carton...), alors oui ça se remplit vite et beaucoup d'indélicats posent des encombrants ou des ordures ménagères autour, mais les trilib ne font que concentrer ces dépôts qui se faisaient ailleurs, ils n'en sont pas la cause. De plus, la mairie ne fait pas d’angélisme, elle constate que ce n'est pas parfait et qu'il faut effectuer des changements significatifs. Rappelons que cette opération est expérimentale est qu'elle est vouée à être perfectionner.Bornes Trilib rue Saint-Luc
Bornes Trilib rue Doudeauville
Des nouvelles colonnes de collecte du verre en vue : trois dans la Goutte d’Or. Une sur la placette Polonceau qui devrait être aménagée bientôt dans le cadre des budgets participatifs de 2016; cela ne nous a pas paru une bonne idée, la mairie était elle-même réservée sur cet emplacement, et nous avons suggéré qu’on la mette plutôt sur l’espace libre de la rue de Polonceau là où elle longe le square Léon. Cela devrait se faire si les conditions techniques sont remplies à cet endroit. Nous suivrons l’avancée de cette demande. Une deuxième est prévue à l’angle des rues des Poissonniers et Poulet, et la dernière au croisement des rues de Chartres et de la Charbonnière.
Avant la fin de la réunion, nous avons demandé que le conteneur pour la collecte de vêtements et textiles qui est placé contre la grille de l’église Saint-Bernard, soit déplacé tout en restant à proximité, afin de respecter ce monument historique. Il semble que la chose soit réalisable.Lien permanent Catégories : Dans le 18ème, Démocratie locale, Environnement, Propreté 4 commentaires