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Dans le 10ème - Page 60

  • Le Street Art gagne du terrain dans le nord du 10e

    "Art Liberté - du Mur de Berlin au Street Art" voilà ce que proposera très bientôt la Gare de l'Est pour plusieurs semaines d'exposition.

    La rue d'Alsace est aussi concernée, la preuve en photos avec des artistes en plein travail.

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    N'hésitez pas à jeter un œil également en descendant l'escalier de la rue d'Alsace.

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    Le Street Art, que nous défendons dans le cadre de la Promenade Urbaine de Barbès à Stalingrad, arrive doucement dans le nord de l'arrondissement. Encore un effort pour arriver jusqu'au boulevard de la Chapelle !

     

  • Restructuration de Lariboisière : les opposants s'activent

    Il est évident que la restructuration de l'hôpital Lariboisière dans le cadre du projet Paris Nord Est de l'AP-HP aura un impact important sur le quartier autour du carrefour Barbès et bien  au-delà. C'est pour cela que nous nous y intéressons de près. Après avoir rencontré la direction de l'hôpital en décembre 2014 (voir notre article) qui nous a présenté les modifications au projet initialement prévu, paris,lariboisière,santé,hôpital,hôpital-lariboisièredes voix se sont élevées contre celui-ci, notamment du côté des élus communistes du 10e arrondissement mais aussi du syndicat CGT. Soucieux de vous fournir une information aussi complète que possible, nous avons donc rencontré les trois élus communistes du 10e, à savoir Didier Le Reste, Dante Bassino et Dominique Tourte. Voici leurs réponses à nos interrogations.

    Comment regardez-vous le projet « hôpital Paris Nord » de l'APHP dans son ensemble ?

    Didier Le Reste (DLR) - Avec les élus communistes du 10earrondissement, nous ne sommes pas hostiles par principe au projet d’hôpital Nord, si celui-ci était créé pour répondre aux besoins de santé des populations de Seine-Saint-Denis sans vider les hôpitaux du Nord parisien. Il ne s’agit pas de déshabiller Paul pour habiller Jacques ! Par ailleurs, il faut faire attention au gigantisme. De nombreux services qui sont des services de proximité n’ont aucun intérêt, autre que financier, à être regroupés dans des grands pôles.

    N'est ce pas à l'échelle de la métropole du Grand Paris que ce projet devrait être envisagé ?

    DLR - Les besoins de santé peuvent et doivent effectivement être envisagés à grande échelle, celle du grand Paris, .....

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  • Le canal Saint-Martin, gueule d'atmosphère ouvrière

    Histoire & Vies du 10e a programmé une visite, animée par Alain Rustenholz :


    Le canal Saint-Martin, gueule d'atmosphère ouvrière

    Samedi 11 avril 2015, de 14h à 16h45

    (Rendez-vous : 14h, devant la Rotonde de La Villette, 6-8 place de la Bataille de Stalingrad) Visite gratuite.



    Le canal Saint-Martin, destiné à couper une boucle de la Seine entre le quai Henri IV à Paris et la ville de Saint-Denis, nait dans la spéculation foncière comme le montre si bien Balzac dans César Birotteau. Il fait bientôt de ses berges le faubourg industriel du 19e siècle.

    Puis ce même canal, qui a concentré les ouvriers, leur fournit, quand ils s’insurgent, « une ligne de défense formidable » : en juin 1848, « il fallut du canon pour emporter les barricades élevées sur les deux rives à l’entrée du faubourg du Temple », se souviendra La Bédollière ; les troupes de Lamoricière n’y parviendront qu’au bout de cinq jours. Dès 1859, le Second Empire fera donc couvrir un bout du canal, de la rue Rampon à la Bastille, de sorte que sa cavalerie ne puisse plus y être stoppée.

    Alain Rustenholz vient de publier De la banlieue rouge au Grand Paris (éd. La Fabrique) qui forme un diptyque avec Paris ouvrier.

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  • Conseils de quartier : peut-on les revitaliser ?

    Les conseils de quartiers (CQs) ont été généralisés dans les 122 quartiers de la capitale lors de la première mandature de Bertrand Delanoë (2001-2008). Ils ont connu alors un certain succès et la participation des Parisiens y était satisfaisante, semble t-il. Chacun reconnait paris,conseil de quartier,démocratie locale,mobilisationaujourd'hui que ces CQs se sont essoufflés et que de moins en moins de gens y assistent. Ce constat a été partagé par tous les candidats aux municipales de 2014 et a fait l'objet d'une attention particulière lors de la campagne électorale. Certains engagements ont été pris notamment par l'actuelle maire de Paris, Anne Hidalgo, sur le sujet dans le cadre plus général du fonctionnement de la Démocratie locale à Paris (lire Ca devrait bouger côté conseils de quartier).

    Notre association Action Barbès s'est toujours intéressée aux CQs et s'y est investie dans les quartiers jouxtant le carrefour Barbès, voire au-delà. Dans bien des cas, nous sommes présents dans les équipes d'animation comme aujourd'hui pour les CQs Anvers Montholon (9e), Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul (10e) et Montmartre (18e) et nous assistons aussi régulièrement aux CQs La Chapelle Marx Dormoy, Goutte d'or Château Rouge (18e) et Louis Blanc Aqueduc (10e). Dans le cadre des renouvellements des équipes d'animation actuellement en cours dans les 10e et 18e, nous avons posé notre candidature dans certains quartiers.

    Sans vouloir généraliser notre expérience, il nous faut constater un certain nombre de faits.

    D'abord la réelle baisse de mobilisation des habitants pour assister/participer à ces conseils aujourd'hui. Seuls les sujets un peu sensibles comme la propreté, la sécurité ou bien des aménagements importants de voirie arrivent encore à intéresser mais guère plus. Il y a bien sûr des différences, cette baisse de fréquentation est moins marquée dans le 18e qui est un arrondissement très peuplé.

    La relative faiblesse des équipes d'animation qui sont en général toujours constituées des mêmes personnes, en petit nombre. Certaines sont motivées mais certaines sont  peu actives et rendent le travail de ces équipes difficile et quelques fois laborieux.

    L'hétérogénéité des chartes de fonctionnement des CQs et leur complexité rendent le fonctionnement de cette Démocratie participative très lourd et parfois incompréhensible (lire Des conseils de quartier sauce locale).

    Le rôle joué par les élus référents reste ambigu. Disons que dans bien des cas, les CQs fonctionnent dans une autonomie surveillée. La politique n'est jamais très loin ce qui a sans doute tendance à faire hésiter nombre de gens à participer.

    La mairie de Paris n'ignore pas ces problèmes et a lancé plusieurs actions afin d'essayer d'y trouver une solution. A l'initiative de Pauline Véron, adjointe à la maire de Paris chargée en autres de la Démocratie locale, un voeu a été voté au conseil de Paris. Il y est mentionné, parmi d'autres mesures, que la charte de participation des Parisiens aux conseils de quartier serait révisée et qu'un outil numérique serait mis en place pour faciliter la circulation d'informations.

    Nous avons interrogé Pauline Véron sur ces mesures et sa réponse sera intéressante à lire.

    A suivre.

     

  • Le tiercé gagnant des meilleures caméras sur feu rouge : Paris, médaille Or, Argent et Bronze

    Le premier radar installé sur feu rouge date de la fin de l'année 2012. C'était sur le boulevard de la Chapelle peu avant la rue Philippe de Girard. Ce choix très judicieux ne s'est pas démenti. Il est toujours là et ne mollit pas.

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    Boulevard de La Chapelle côté 10e

    Déjà quelques mois après sa mise en fonctionnement il était le plus performant sur les onze radars de Paris. C'est ce qu'écrivait le journaliste du Parisien en mai 2013. (voir l'article).

    Extrait :

    « Celui du boulevard de la Chapelle (le premier à avoir été mis en service, dès décembre 2012, mais aussi le plus « productif » des onze boîtiers) se déclenchait en moyenne 100 fois par jour en janvier dernier. Son activité quotidienne a désormais franchi la barre des 150 flashs. »

    Récemment les chiffres du palmarès de l'année 2014 sont tombés : Paris rafle toutes les médailles et singulièrement, notre quartier du 10e est bien placé.... Le piéton n'a qu'à bien se tenir. On remarquera pourtant que le nombre de déclenchements par jour a un peu chuté, passant de 150, en mai 2013, à « seulement » 70 en moyenne pendant l'année 2014. Sommes-nous sur la bonne voie ?

    Tableau fourni par la Préfecture de Police de Paris

    Reste à savoir si le montant de l'amende est vraiment dissuasif (135 €) au vu du nombre d'infractions qui continuent à être commises après deux ans de l'entrée en service de ce dispositif ?

    Source : voir ICI

     

  • Habits de cérémonie, habits de princesse

    Nous avons souvent râlé contre la mono-activité. Rassurez-vous, on continuera à le faire ! Que ce soit celle des salons de massage qui se sont implantés un peu partout dans le 9e ou que ce soit celle des habits de cérémonie dans le 10e, essentiellement boulevard de Magenta.

    Néanmoins, nous avons découvert sur le site de RUE89 un article bien fait qui certes date de novembre 2014 mais parle de ces boutiques pour robes et costumes de mariage. Et nous avons voulu le partager avec vous.

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    Cliquer sur l'image pour accéder à l'article

     

  • La réflexion sur la propreté dans le 10e continue

    Pour faire suite à de précédentes réunions où il a été question notamment d'améliorer la communication dans l'arrondissement, Elise Fajgeles, élue chargée de la propreté dans le 10e, invite les habitants à une réunion publique de concertation sur le plan de propreté 2015. Affiches et fascicules pour illustrer les bons gestes avec la liste des sanisettes, des colonnes à verre, un rappel sur le numéro pour les encombrants sont en cours de finalisation par le groupe d'habitants qui s'est porté volontaire pour y travailler.

    Au menu entre autres, urine, mégots, encombrants, déjections canines, nourrissage des pigeons, déchets sur trottoir, ordures ménagères dans les corbeilles de rue, crachats, tags. Face aux trop nombreuses incivilités, un sujet sensible, pas simple et usant... La propreté est un sujet récurrent dans la conversation des Parisiens. Elle a été au centre de la campagne électorale des municipales en 2014 et reste dans les sujets mobilisateurs pour les conseils de quartier par exemple. Il est vrai que celui qui a la chance de voyager un peu dans les capitales européennes s'aperçoit rapidement que Paris est sale. Trouver des solutions n'est pas évident. Les agents de la propreté font correctement leur travail. On n'est pas au bout du chemin.

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    Pour les courageux, ce sera le jeudi 2 avril à 19h

    salle des fêtes de la mairie du 10e rue du Faubourg Saint Martin

     

  • Cars à Paris : une histoire sans fin ?

    Finalement, la question de la présence des cars de tourisme à Paris, c'est un peu comme le serpent de mer, ça n'en finit pas !

    Objet d'une attention particulière pendant la campagne électorale de 2014, la présence des autocars de tourisme ne cesse de polluer la vie des Parisiens, au sens strict du terme.

    Mais regardez ces deux reportages, l'un de 1985, l'autre de 1997. Avons-nous progressé depuis ? Guère en vérité. Ce que nous montrent aussi ces deux vidéos, c'est l'absurdité de certains arguments, toujours les mêmes, du genre vous allez tuer le commerce, ou alors vous allez gêner la venue des touristes. On voit ce qu'il faut en penser aujourd'hui avec le recul.

    1985

    1997

     

    Souhaitons que les choses aillent plus vite et que des décisions disons "radicales" soient prises en la matière. Car quelque chose ne va pas. Comme pour les vidéos ci-dessus, prenons Montmartre, endroit incontournable du tourisme parisien. Beaucoup de touristes viennent en cars et cela représente donc beaucoup de cars. Pour les garer, quatre malheureuses places devant le lycée Jacques Decour boulevard de Rochechouart dans le 9e et quatre autres boulevard de Clichy devant .... Le Moulin Rouge dans le 18e (cela ne s'invente pas!). Chacun peut le constater de visu mais c'est officiel dans le livret du stationnement des cars comme l'indiquent les cartes ci-dessous. Vous trouverez cet intéressant document en cliquant ICI. Et notez bien que ces emplacements sont clairement mentionnés pour la "dépose/reprise"; il y a des opérations qui durent .... 

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    Que fait la mairie de Paris ? Deux adjoints d'Anne Hidalgo sont en principe chargés de la question : Jean François Martins pour son volet Tourisme et Christophe Najdovski pour le volet Transport. Force est de constater que les choses vont extrêmement lentement devant une question assez brûlante comme l'épisode de pollution que nous venons de connaître. Notons au passage l'étrange silence de ces adjoints sur le sujet des cars de tourisme pendant ces jours pénibles de pollution intense.

    Il faut commencer par avoir moins de cars dans Paris, en limiter l'entrée en leur offrant des aires de stationnement reliées à des modes de transports doux. D'autres villes en Europe ont fait cela. La création de zone à trafic limité comme le prévoit le plan vélo de la mairie du 9e aux alentours des Grands Magasins boulevard Haussmann peut apparaitre comme une solution mais elle ne fait que repousser le problème ailleurs. On nous dit que les lobbies autocaristes sont puissants et très actifs? Cela nous ramène à 1985 et 1997. Allez mairie de Paris, un peu de courage !

     

  • Et non, amis Parisiens, vous ne votez pas !

    Vous n'avez pas voté dimanche 22 mars et vous ne voterez pas plus le 29. Voilà la réalité. Pourquoi ? Vous avez, petits veinards, déjà voté pour élire vos conseillers départementaux, c'est comme cela que se nomment désormais les anciens conseillers généraux, il y a un an, lors des élections municipales. Car sans vous en rendre compte, Paris étant à la fois ville et département, vos conseillers de Paris sont également vos conseillers départementaux. Les détails juridiques sont expliqués sur le site paris.fr Pourquoi les Parisiens ne votent pas ? Allez, consolons-nous, les Lyonnais sont dans le même cas que nous.

    Et puisque nous parlons Démocratie et engagement citoyen, nous vous communiquons une petite étude réalisée conjointement par l'Assemblée Nationale et la fondation Jean Jaurès à propos de l'engagement citoyen et l'appartenance républicaine. Cette étude fait évidemment suite aux événements tragiques de janvier et aux manifestations qui ont suivi.

    Chacun pourra regarder les tableaux et en tirer ses propres conclusions, le document est très clair.

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    Cliquez sur l'image pour télécharger l'étude - fichier PDF

    A l'heure où beaucoup de quartiers entourant Barbès sont confrontés à de nombreux problèmes et font l'objet de traitements spécifiques (politique de la Ville, Zone de Sécurité Prioritaire, revitalisation du commerce, ...), à l'heure où deux arrondissements (10e et 18e) sont en train de former de nouvelles équipes d'animation pour leurs conseils de quartier, à l'heure où donc l'engagement citoyen et l'appartenance à la République sont des enjeux essentiels, il n'est pas inintéressant d'avoir une idée de ce que pensent les Français sur le sujet.

     

  • Quartier Louis Blanc Aqueduc : édition 2015 du carnaval

    Cette année encore, un carnaval, soutenu par le conseil de quartier, aura lieu dans le quartier Louis-Blanc, donc à deux pas de Barbès.

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    Le rendez-vous est donné à l'angle des rues Louis-Blanc/Aqueduc

    le samedi 28 mars dès 10h

    Pour les habitants qui le souhaitent, la fête continuera par un repas de quartier devant l'espace Château-Landon dans la rue du même nom. Il faut évidemment apporter sa contribution salée ou sucrée, comme on veut.

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  • Promenade matinale un jour historique de circulation alternée

    Une adhérente nous écrit.

    Le but était de profiter du soleil ! Comme les vieux, qui sortent la chaise devant la porte, à l'abri du vent, moi je sors mon appareil photo et je fais un tour là où mes pas me portent.
    Je voulais voir les nouveaux comblements au pied des arbres du Magenta, dont on m'avait parlé récemment. Quel fiasco cette histoire de pieds d'arbres ! Il y en a de toutes les formes, des creux, des cimentés, d'autres en butte, et parfois comme ceux-ci, certains disposent d'un cercle autour du pied et d'un comblement assez propre à base d'un matériau composite qui laisserait, aux dires des "sachants", passer les eaux de pluie. Le plus clair du temps ce sont les eaux de lavage de la boutique la plus proche qui parviennent au pied de l'arbre. Ça demande d'être résistant, une carrière d'arbre d'alignement à Paris !

    Placette Paré-Patin : la colonne à verre enterrée semble avoir définitivement laisser sa place à une bonne vieille bonbonne verte. Pas esthétique mais efficace. Saura-t-on jamais pourquoi celle-ci et celle implantée en haut du faubourg Poissonnière ont été rétrogradées ? Les passants sont-ils là trop obtus pour comprendre qu'on n'y met pas n'importe quoi ? Comme un paquet de cigarettes vide.... (Croyez-en un témoin oculaire). Néanmoins, interrogée sur cette anomalie en haut de la rue du Faubourg Poissonnière, la marie du 9e évoque la piste d'un défaut de fabrication de ces colonnes qui les rend inutilisables.

    La circulation est tranquille à cette heure de la matinée. Alternée ou pas, il y a peu de voitures, mais toujours autant de camionnettes et de camions de livraison, et bien sûr des cars de tourisme, puisque l'interdiction ne les concerne pas.

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    Rue de Maubeuge (côté nord entre Paré et Chapelle) : les deux distributeurs de seringues stériles sont propres, nickel chrome. Pas le moindre tag. Au retour, nous assisterons au passage de SAFE venu recharger les automates. Il reste 4 boites de seringues dans l'un quand la porte s'entrouvre devant nous. On a frôlé la rupture de stock en fin de week-end.

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    Ah, nous arrivons aux fameux travaux du carrefour de Tombouctou : après deux années de blocs béton sur les deux tiers de la place, disons de l'espace, car il ne s'agit pas d'une place, on rejoue un autre scénario. Il faut permettre aux automobilistes de tourner à gauche vers Barbès, s'ils veulent, par exemple, rejoindre leur parking Vinci au 112 boulevard de la Chapelle. Jusque là il leur fallait tourner sur la place de la Chapelle. A certaines heures, c'est galère comme disent les jeunes. Et nul besoin d'ajouter quelques voitures de plus à l'embouteillage déjà existant.

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    Sur le pont Saint-Ange, les autocars de touristes sont alignés côté 18e comme d'habitude. Le seul avantage du printemps est que la température n'exige pas le fonctionnement de la climatisation. Les moteurs sont donc à l'arrêt. Pas pour longtemps.

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    Et enfin, voici la place de la Chapelle, vide... Il y aurait donc bien un effet de la circulation alternée ?

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  • Pic de pollution : le problème n'est pas nouveau

    Ce petit reportage d'Antenne 2 (oui Antenne 2) date de ..... 1994