En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Du 20 avril au 18 mai Vernissage le samedi 20 avril de 15h à 20h Galerie AREA - 50, rue d’Hauteville 75010 PARIS Fond de cour, 2ème étage à gauche.
Le cinéma le Louxor retrouve les splendeurs de ses origines. Ils auront été six à lui redonner ses couleurs. La peinture d'origine, abîmée par les négligences du temps, s'était écaillée et les dessins avaient disparu sous les recouvrements successifs.
C'est Jean de Seynes qui a dirigé l'équipe chargée de restituer les décors égyptiens du cinéma, autour de lui : Martin McNulty, Sinead Lu, Tom Ho, Maïtena Barret et Anouk Jevtic. Ce n'est sans doute pas un hasard qu'intervenant ici comme des artisans, ils soient tous artistes, chacun développant un travail s'inscrivant dans le champ de l'art contemporain.
N'était-il pas alors judicieux, puisque l'on va apprécier la facette artisane et technique de leur travail de révéler leurs facettes créatives et artistiques ? Peinture, installation et dessin seront exposés à la galerie AREA afin de faire le pont entre la pratique décorative et la création personnelle de ces artistes.
Les Six du Louxor, une exposition collective avec Jean de Seynes, Martin McNulty, Sinead Lu, Tom Ho, Maïtena Barret et Anouk Jevtic. Informations au 01 45 23 31 52
Nous nous associons à l'hommage rendu aux artistes-artisans décorateurs qui ont travaillé à la mise en couleur de la salle principale du Louxor. Comme le précise cette information extraite du site de la mairie, les décors primitifs avaient disparu sous les différentes décorations qui ont suivi la décénie "égyptomaniaque" des années 1920, en passant par les deux dernières discothèques d'un autre style... Ils sont enfouis maintenant sous l'isolation phonique et personne n'ira plus les regarder quelque soit l'état dans lequel ils étaient, quand on les a redécouverts.
Tous les artistes et artisans ont donné le meilleur d'eux-mêmes jusqu'au dernier moment, comme en témoigne cette photo prise dimanche 15 avril, à quelques jours de l'ouverture, sous les rayons d'un soleil couchant.
La foule se pressait jeudi matin devant le Louxor, le soleil était enfin au rendez vous. Beaucoup de passants et habitants tentaient de convaincre les services d'accueil de les laisser entrer mais il fallait montrer patte blanche. D'autant que s'étaient invités des manifestants d'un mouvement des mal logés : beaucoup de bruit mais pas de heurts.
Installés dans les fauteuils de la grande salle Youssef Chahine, nous attendions les officiels (élus des 3 arrondissements) et le maire de Paris.
Emmanuel Papillon avait annoncé lors du dernier conseil de quartier Lariboisière Saint Vincent de Paul (n/article du 4 avril) sa volonté de faire des associations de quartier qui avaient oeuvré à cette réouverture des « invitées d'honneur » : Action Barbès, Les Amis du Louxor et Paris-Louxor. C'est ainsi que nous avions pu proposer des invitations à nos adhérents.
Ils ont été plusieurs à nous en faire la remarque à leur sortie: « Mais où sont passées les associations dans le discours de Bertrand Delanoë ? » Rien sur la mobilisation des habitants dès 2001 pour le rachat du Louxor, rien sur la très belle exposition proposée à la mairie du 10e par les Amis du Louxor, rien sur celle organisée par Paris-Louxor qui ouvrira ses portes le 25 avril à la mairie du 18e. Rien non plus sur l'accompagnement du projet culturel par les conseils de quartier.
Les citoyens ne sont pourtant pas pour rien dans cette réouverture. On aurait apprécié que ce soit dit !
Quel dommage de ne pas avoir profité de ce moment pour parler de démocratie locale...
L'éclairage au plafond de la grande salle Youssef Chahine
_/_/ Voir ou revoir l'article et la vidéo de France 3 Ile-de-France sur celien. ou ci-dessous la vidéo.
On a noté pour vous le tweet de notre conseiller municipal du 10e, Stéphane Bribard : il vous invite au kiosque de la place Bonsergent (10e) à 18 heures aujourd'hui en compagnie de Rémi Féraud, de Stéphane Guillon, et de Nicolas Demorand. Tout cela dans le cadre de PARIS AIME SES KIOSQUES bien sûr.
Le Figaro plagiait récemment un vieux slogan bien connu en titrant "Touche pas à mon kiosque !" (Le Figaro du 8 avril 2103). Puis hier, Le Parisien a repris le sujet dans plusieurs articles alors que nous nous penchions sur le cas des kiosquiers et de la presse papier. Dans le quartier, au cours de la dernière décennie, nous avons vu disparaitre les points presse également. Souvenez-vous de la marchande de journaux au 167 rue du Faubourg Poissonnière, Madame di Stefano, et un peu plus bas sur le trottoir du 10e, d'une boutique plus vaste, disparue elle-aussi, ou encore rue de Rochechouart, au 78, un point presse remplacé par une onglerie. Notre liste n'est sans doute pas exhaustive. La création d'un petit kiosque à l'angle Magenta Maubeuge a été un effort louable mais pas significatif au vu de la tendance.
Le kiosque à l'angle de la rue de Chabrol et le Bd de Magenta (Photo Fred)
Lors du dernier conseil de Paris, la municipalité a voté une subvention de 200 000 euros pour venir en aide au 340 kiosquiers parisien qui ont du mal à tenir, avec une activité bousculée en début d'année par les grèves qui ont secoué la messagerie de presse Presstalis. Il s'agit bien sûr d'une aide ponctuelle et exceptionnelle, mais les problèmes de la vente en kiosque ne sont pas tout à fait nouveaux. Les kiosquiers souffrent depuis plusieurs années de la baisse des ventes des supports papier au même titre que les points presse et les marchands de journaux traditionnels. Les gratuits sont passés par là et l'information en ligne a parachevé le travail. Sans négliger le fait que les Français ont toujours moins lu de quotidiens que leurs voisins européens. Les hebdo, ou mensuels, revues de toutes sortes, en revanche, se serrent pour ne pas déborder des présentoirs. Pour faire bonne mesure, la distribution des quotidiens est loin d'être un service régulier: les grèves y sont fréquentes parce que la restructuration prévue est très destructrice d'emplois. La CGT et le syndicat du livre tentent de sauver des postes, est-ce la bonne méthode ? voir autre article du Figaro qui a enquêté sous la plume d'Alexandre Deboute.
Cinq jours pour fêter les kiosques de Paris
Du mercredi 17 au dimanche 21 avril, le parvis de l'Hôtel de ville va accueillir une grande manifestation pour fêter ses kiosques. Au programme, une exposition sur l'histoire des kiosques, de 1857 à nos jours, des portraits de kiosquiers, de grandes unes de journaux et plusieurs conférences quotidiennes animées par les principaux acteurs de la presse quotidienne et magazine. D'autres événements, prévus à partir du 19 dans un kiosque par arrondissement, devraient également surprendre les lecteurs de presse parisiens. Programme complet de la manifestation, dès demain, sur www.pariskiosques2013.fr
Les finances de la Ville ne pourront pas toujours renflouer les caisses vides des kiosquiers, même si leur silhouette est intégrée dans le paysage et manquerait aux charmes de Paris, selon un sondage publié ces derniers jours(Leparisien du 9 avril 2013). Une ouverture peut-être se profile, il est question de les autoriser à vendre des produits exclusifs. Nous avons trouvé d'autres expériences, comme à Compiègne où un ancien kiosque de presse a été détourné de sa vocation et transformé en boutique à biscuits. N'avons-nous pas écrit également sur des petites boutiques de rues, installées au pied du funiculaire de Montmartre, qui ressemblent singulièrement à des kiosques. Si les journaux ne font plus recette, on peut peut-être conserver l'emballage sans le contenu ?
Pour revenir dans le quartier, nous avons appris par la Lettre aux kiosquiers parisiens de janvier 2012 (qui est en ligne) que le kiosque du 2 avenue Trudaine est désormais attribué en gérance fixe à Monsieur Philippe Claudeville. Nous vous encourageons à lui acheter vos journaux, car le kiosque est resté longtemps fermé au point que nous doutions de sa ré-ouverture. (voir notre article en juillet 2010). Au coeur de Barbès, le kiosque devant la station de métro a connu des hauts et des bas, mais semble là pour un moment encore, avec une presse très cosmopolite qui fait sa singularité et un kiosquier que les journalistes apprécient pour sa verve... quand ils enquêtent sur le carrefour.
Toutefois, et comme souvent, certains articles sont réservés aux abonnés, mais vous pourrez les retrouver en vous inscrivant sur le Groupe Paris 10e Infos Medias.
Sur le site de France Inter, le 21 mars, est paru un article, le rappel de l'émission sur le Louxor ressuscité accompagné de bandes audio très intéressantes.
Nous vous les livrons tel quel grâce au lien ci-dessous qui vous y conduit directement. Vous reconnaitrez la voix d'Annie Musitelli des Amis du Louxor.
Elle nous présente deux moments particuliers de l'histoire du Louxor. Pendant l'occupation allemande, différentes mesures (interdiction de projeter des films anglo-saxons, limitation de la durée des séances... ) prises par le régime de Vichy ont des conséquences sur la programmation :
Autre moment important pour l'établissement, les années 60. quand la diffusion de films classiques bascule vers les westerns spaghettis et les péplums :
Et maintenant, c'est à dire dès jeudi, que va-t-on voir sur les écrans :
Le dernier film de Wong Kar-Waï :
THE GRANDMASTER
en version originale
C'est l'histoire du grand maître des arts martiaux Ip Man que le réalisateur hong-kongais raconte en y mettant de grands moyens comme à son habitude. Avec plus d'ambition que pour produire un simple film de kung-fu, il a voulu retracer l'histoire du maître de Bruce Lee, une star qui a rempli les cinémas de nos boulevards avant qu'ils ne ferment. Il a mené l'enquête avec minutie, voyagé en Chine et à Hong Kong, rencontré d'autres grands maîtres du kung-fu. Le tournage a duré trois ans. Encore un détail qui frise le cocorico : le directeur de la photo est français, c'est Philippe Le Sourd.
L'accessibilité que nous défendons souvent dans ce blog porte prioritairement sur la déambulation. Combien de fois n'avons-nous pas critiqué tel chevalet placé au milieu d'une voie piétonne ou les motos garées sur les trottoirs qui sont autant d'obstacles pour les personnes présentant un handicap visuel.
Mais l'accès à l'information est toute aussi importante, c'est pourquoi nous nous réjouissons de cette annonce de la Ville de Paris : l'ensemble de ses sites internet va devenir accessible aux mal-voyants. Il était temps car l'oibligation en est faite à l'échéance 2015...
C'est une entreprise de Roubaix (Nord), spécialisée dans l'accessibilité numérique, Urbilog qui a remporté l'appel d'offre. "Si les images diffusées sur l'écran d'un site ne sont pas assez commentées, cela ne sert à rien pour la personne équipée d'un outil de synthèse vocale." C'est alors le casse-tête assuré et l'impossibilité d'accéder aux informations souhaitées. La tâche est vaste. La petite société nordiste va devoir revisiter toutes les pages de tous les sites, au besoin les reprendre, les modifier, pour que l'information puisse atteindre tout le monde.
_/_/_/ Pour les personnes mal-voyantes, mais pas totalement aveugles, il existe un logiciel spécifique pouvant agrandir toutes les informations qui apparaissent à l'écran suivant les besoins de la personne malvoyante. Le même agrandissement s'applique tant aux textes qu'aux icônes, menus, boîtes de dialogues, etc.
Sur le métier remettons notre ouvrage ! Nous le faisons depuis bientôt 5 ans dans l'association ACTION BARBES, puisque une poignée de personnes du bureau s'intéressait à la question, de près déjà, au moment où nous avons proposé à nos adhérents de focaliser notre assemblée générale de 2010 sur ce problème.
S'intéresser au problème, ce n'était pas seulement lire les rapports des instituts experts mais aussi participer à des réunions d'information grand public ou à des colloques destinés aux professionnels (médecins ou associations du secteur). De quoi se forger une idée précise et des convictions.
Habitants du quartier, nous étions forcément sensibles aux problèmes de seringues abandonnées et d'intrusion dans les halls d'immeuble. Sensibles aussi à la présence des distributeurs de seringues gérés par l'association Safe — au point de demander le déplacement de l'un des deux qui sont dans le quartier, pour la tranquillité des riverains de la rue Guy Patin (Voir nos articles sur le sujet dans nos bulletins d'information dans les archives du blog). Sensibles encore à la grande précarité des toxicomanes que nous croisons entre la gare du Nord et la station Barbès.
Nous acceptons que certains expriment leurs craintes, leurs peurs, et même leur légitime aspiration à vivre dans un quartier sûr. Mais pas qu'ils se cachent derrière des arguments moraux issus d'une autre époque et affirment que puisque la drogue est le mal, exit les toxicomanes, circulez, y a rien à voir ! Et au mieux, chez les plus tolérants, allez vous « shooter » loin de chez moi ! Ca ne marche pas comme cela. La preuve ? Cela fait trente ans que l'état et sa police luttent contre la drogue, les trafics et poursuivent les usagers, or, malgré ces efforts coûteux, il n y a jamais eu autant de consommateurs. Ajoutez y le vieillissement des toxicomanes, la crise économique et les difficultés de certains à survivre, en résumé la précarité, et vous aurez la toxicomanie de rue telle que nous la connaissons autour de la gare du Nord. Elle est fort bien décrite dans ce reportage de France 3 du 24 septembre 2010, visible sur YouTube grâce au lien ci-dessous. Rien n'a vraiment changé depuis lors.
→ la consommation de drogue près de la gare du Nord :
Comme souvent, ce jour-là, France 3 avait diffusé deux reportages : en soirée, ses reporters avaient décrit la situation dans les rues de notre quartier mais lors de l'édition du midi, ils avaient montré la visite d'élus franciliens à Genève, à la salle de consommation gérée par l'association Première Ligne, appelée Quai 9.
(Le reportage commence à la seconde 26... patience et plongeon dans le passé proche !)
Une quinzaine d'élus franciliens ont visité le 17 septembre 2010 le Quai 9 à Genève
Asso Elus santé publique et territoire – présentation de l'association → http://www.espt.asso.fr
Quel est l’endroit le plus pertinent pour installer une salle en ville ? Il faut qu’il soit pleinement accessible et là où le deal et la consommation posent problème aux riverains. Si une salle est ouverte à Paris, il faut que ce soit en plein tissu urbain. Dans un premier temps, les habitants y sont opposés, manifestent, signent des pétitions. Mais une fois la salle ouverte, plus personne ne souhaite la fermer. La première réponse est toujours « non », ensuite « peut-être, mais pas chez moi » et, enfin, une fois que la salle est là et qu’elle a fait ses preuves comme objet urbain et outil social, les citadins reconnaissent son importance.
Nous aurions pu écrire ces quelques lignes tant elles reflètent l'état actuel de la situation et ce que nous pensons. Mais ce n'est pas le cas. C'est un paragraphe tiré du site de Métropolitiques, une revue électronique animée par des enseignants-chercheurs et des praticiens issus de la plupart des disciplines de l’urbain.
Nous avons cherché et trouvé pour vous sur le net, en téléchargement gratuit, la synthèse du séminaire organisé par l'Association nationale des villes pour le développement et la santé publique "Elus, Santé publique & territoires" Tome 2 : JOURNEE DE SYNTHESE. Le document est très complet mais la situation évolue très vite, quand on ne fait rien. Les chiffres seraient sans doute à revoir.
Le système informatique de la Ville de Paris sera indisponible tout le week end
Inutile de vous précipiter dans les bibliothèques municipales parisiennes pour emprunter des documents ce week end. Le service de prêts de livres (mais aussi de CD ou de DVD) sera suspendu dès 13 heures, le samedi 13 avril. L’accès aux postes multimédia sera également hors service
En fait, c’est l’ensemble des applications informatiques de la Ville de Paris qui sera indisponible du samedi 13 au lundi 15 avril au matin. Cela va considérablement perturber tous les services municipaux ouverts le week end et en premier lieu les soixante cinq bibliothèques de prêts très dépendantes des systèmes informatiques
Les bibliothèques, dès le début d'après midi, ne pourront donc plus assurer ni le prêt ni le retour des documents et les postes multimédia seront indisponibles. Evidemment, il sera impossible de s’inscrire (ou se réinscrire) et de réserver des ouvrages ou prendre connaissance des catalogues.
Devant le pâtaquès annoncé, les bibliothèques, dont le samedi est traditionnellement le jour de plus grosse affluence, baisseront finalement le rideau à 13 heures. Il a fallu toutefois une protestation massive des personnels (lire ici) pour arriver à ce résultat car initialement la Mairie de Paris voulait maintenir une ouverture toute la journée.
Pourtant, l’essentiel des usagers ne fréquentent les bibliothèques que pour emporter des documents chez eux, pas pour lire sur place ou assister à une animation. L’impossibilité d’emprunter un samedi après-midi aurait forcément été source de mécontentement.
Avec des usagers qui viennent en masse le samedi, la situation risquait de tourner au pugilat, et une fermeture s’avère la solution la plus sage. D’autant que sur ce coup, la Mairie de Paris s’est fait pour le moins discrète niveau communication. Tellement discrète d’ailleurs que les parisiens pas vraiment au courant risqueront tout de même de se casser le nez sur les rayonnages.
Quant aux trois bibliothèques habituellement ouvertes le dimanche (Yourcenar, Duras, Truffaut) elles seront fermées exceptionnellement le dimanche 14 avril.
Ne reste plus qu’à prier le bon dieu pour que tout redémarre le lundi matin. Bon, pour la majorité des bibliothèques qui ne rouvre que le mardi ça laissera toujours une marge de vingt quatre heures !
A moins que le logiciel des bibliothèques, V.Smart qui, on s'en souvient, a connu de nombreuses pannes (lire ici) ne se remette à bugger ? De quoi pêter un câble (informatique).
Les bibliothèques parisiennes vont-elles pêter un cable ?
Quelle impatience nous prend quand on voit les engins de travaux publics s'affairer dans les derniers aménagements de voirie, les palissades tomber une à une, les dernières mosaïques soigneusement remplacées, là où longtemps les artisans n'ont pu accéder...
Mercredi prochain, c'est l'I-NAU-GU-RA-TION !
Bon, évidemment, certains nous ont fait part déjà de leur exaspération à n'avoir pas été invités à l'inauguration officielle. Ils auraient souffert particulièrement des nuisances liés aux travaux et ne seraient pas récompensés de leur extrême patience... La procédure a été la suivante. Nous avons été sollicités pour fournir une liste d'invités. Nous avions une dizaine de jours pour la fournir avec noms et adresses postales. Il va de soi que nous avons par principe transmis l'offre en priorité à nos adhérents. Les premiers à répondre ont été les premiers servis. Quelques invités supplémentaires ont pu être inclus par cooptation et très vite la liste a été bouclée. Pas de favoritisme. Et l'ouverture pour tout le monde ne se fera pas attendre beaucoup : elle a lieu le 18 avril !
Pour anticiper la découverte, voici quelques photos récentes :
Ce porto folio est accessible aussi par la marge de droite, mais une petite enquête nous a montré que peu de lecteurs s'en sont aperçus.