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Rechercher : réunion sur le projet balcon vert

  • Conseil de quartier Anvers Montholon

    Le Conseil de Quartier Anvers-Montholon tiendra sa prochaine réunion publique :
     
    Le mardi 7 avril à 19h30

    à l’école maternelle 68 rue Rochechouart


    Ordre du jour :
    - Réaménagement du square d’Anvers
    - Retour sur la marche exploratoire du 21 février
    - Choix de mobilier urbain
    - Propositions déposées sur la plateforme du budget participatif
    - Annonce des prochains événements
     
    N’hésitez pas à relayer cette invitation auprès de vos voisins !

    Affiche CQ 7 avril 2015.png

     

     

  • Placette Caplat-Charbonnière: début de végétalisation?

    Lors de la réunion avec le préfet le 18 janvier, on nous avait annoncé que des pots végétalisés de grande dimension seraient installés ce mois-ci sur la placette Caplat-Charbonnière. C'est chose faite depuis lundi. Une façon d'occuper l'espace, vous l'aurez compris. Nous avions fait plusieurs propositions comme un manège pour enfants, hélas l'espace semblait trop étroit et il fallait respecter un passage pour les pompiers, un espace de giration des camions....

    paris,paris 18e,végétalisation,espace public,marché sauvette

    Nota : nous espérons que le revêtement des pots de fleurs est totalement insensible aux tags. Mais le fabricant y aura certainement pensé ! 

     

     

  • Conseil de quartier Lariboisière sur la culture : compte rendu détaillé

    L'équipe d'animation du conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul nous a adressé son compte rendu détaillé de la réunion publique consacrée à la présentation des nouveaux équipements municipaux, nouveaux ou futurs. Il s'agissait bien sûr du Louxor, cinéma art et essai qui ouvrira ses portes au public le 18 avril prochain, et la médiathèque du Carré Saint-Lazare, dont l'ouverture au public aura lieu en 2014.

    Notre article du 26 mars résumait les débats, là, vous en aurez le détail. Cliquez ici pour la version PDF.

  • Un exemple venu des USA ?

    Paris a vu ces dernières années beaucoup d'initiatives se développer sous forme de coopératives. Nous essayons de suivre ce phénomène dans les quartiers qui nous intéressent plus particulièrement. Si ces élans de solidarité quelques fois utopiques semblent être l'apanage des Européens et des Français en particulier, il y a un exemple qui nous vient de Brooklyn, la Park Slope Food Coop. On ne va pas vous le présenter car ce sera l'objet d'une réunion avec projection d'un documentaire qui se tiendra au Louxor le vendredi 4 novembre à l'initiative du magasine Alternatives Economiques.

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    Cliquer sur l'image pour une meilleure lecture

  • J-1 avant notre assemblée générale

    L'assemblée générale est réservée aux adhérents, bien sûr, surtout si un vote devait avoir lieu, mais en général nous acceptons de bon coeur tous les sympathisants et personnes du quartier qui sont intéressées et curieuses de nos activités.

    Pourquoi ne pas venir ce samedi au Louxor pour faire connaissance ? 

    Capture d’écran 2015-12-28 à 18.37.24.jpg

    Nous pourrons même continuer des échanges plus individuels en fin de réunion en traversant le boulevard Magenta et en partageant un verre au café. Qu'en dites-vous ? A samedi ! 

    A noter, nous ne sommes pas tout à fait assez riches pour régaler tout le monde, aussi chacun devra payer ses consommations.  

     

  • Nombreuses interventions lors du conseil de quartier Lariboisière le 27

    paris, gare-de-l-est, 10e

     Le thème de l'errance autour des gares, les deux que possèdent le quartier, gare de l'Est et gare du Nord, a débouché sur de nombreuses interventions autour de la toxicomanie et de l'hébergement des plus démunis, qu'ils soient tombés dans la drogue ou non.

    Nous vous proposons ici un compte rendu que nous espérons fidèle. Ceux qui ont assisté mercredi soir à la réunion sont très gentiment sollicités pour donner leur avis, faire des commentaires, rectifier s'ils pensent que nous n'avons pas rendu l'intégralité des propos. Le blog doit servir à cela aussi.

    Nous avons apprécié les propos d’Alexandra Cordebard, à qui la conclusion de la réunion incombait en tant que première adjointe au maire du 10e. Revenant sur les critiques à mi-voix entendues au cours des débats, quand il s’agissait de savoir qui de la ville ou de l’Etat était responsable de la quiétude de nos quartiers, elle a déclaré qu’en effet, les solutions étaient politiques et qu’elle  s’autorisait à le dire clairement. Les missions d’ordre public et d’aide aux plus démunis sont du ressort de l’Etat, et  la Ville n’a pas les moyens ni juridiques, ni financiers, de pallier toutes les carences. Toutefois, elle a affirmé que la volonté de l’équipe municipale, maintes fois démontrée, était d’éviter la « double peine » aux habitants du 10e, d’un côté, leur éviter les désagréments liés à la présence concentrée de l’errance et de la toxicomanie et de l’autre, faire le maximum pour venir en aide aux personnes tombées dans l’errance et la toxicomanie. Les solutions passent par un travail de fond et si possible coordonné entre les différents acteurs de terrain et les donneurs d’ordre ou bailleurs de fonds. L’idéal serait un mano a mano ville-état… Elle a souligné toutefois que cette collaboration existe entre la mairie du 10e et le commissariat de police du 10e, qui reste très à l’écoute de la problématique, bien qu’il ait subi une perte de 10% de son effectif.
    Pour ce qui est du problème de la toxicomanie,  on ne l’efface pas pour toujours quelles que soient les méthodes choisies ; tous les pays, toutes les villes y sont confrontés, il appartient à l’humanité, il a existé de tout temps, comme l’avait dit Pierre Leyrit un peu plus tôt.

    Environ 60 personnes assistaient au conseil de quartier.

    Les élus présents étaient  A.Cordebard, E. Algrain, S. Meiers Naem et S. Bribard.

    paris, escalier, rue-d-alsace, sncf, 10eEn première partie, un bref retour sur le projet du CQ pour améliorer l’aspect de l’escalier monumental de la rue d’Alsace, le rendre plus agréable aux yeux des riverains et plus sûr lors du passage des usagers de la gare de l’Est. Fanette Brissot a fait le point : on se propose d’alerter les services de la Ville de la nécessité d’un nettoiement plus en profondeur, de l’urgence de travaux de sauvegarde et de sécurisation de cet espace, de l’utilité de l’embellir, de mieux l’éclairer et d’y implanter des panneaux informatifs pour les habitants, les passants, les usagers de la gare et les touristes.

    On a pu constater toutefois au cours de cette approche que les budgets à la mesure de la tâche ne sont pas disponibles.

    paris, 10e, circul'livre, marché-saint-quentinSuit une brève information sur Circul’livre, qui se tient tous les premiers dimanches du mois, et en conséquence aura lieu dans le marché Saint-Quentin, dimanche prochain.

     

     

    Elfie Comin aborde ensuite le thème principal : « Errance autour des gares » et présente les deux responsables, Mme Le Bars de l’association Solidarités actives et le référent de la SNCF, Patrick Jud, qui est chargé de coordonner les différentes actions et les relations entre les acteurs locaux dans le cadre du projet de dimension européenne Hope in stations.

    paris, 10e, gare-de-l-est, autobis, sncf, ratpCe projet se propose

    -  de mener une réflexion sur la gare comme lieu d’attraction de l’errance,

    -  de formuler un discours politique apte à sensibiliser les autorités publiques,

    - de faire un bilan des outils mis en place dans 7 pays européens confrontés à la problématique de l’errance dans et autour des gares. L’idée est d’évaluer l’efficacité des dispositifs existants à l’aide d’enquêtes poussées auprès des personnes en errance, des agents travaillant dans les gares, des travailleurs sociaux et des habitants de la zone, de les apprécier (offres d’hébergement, réponses aux problèmes de santé, de sécurité, accueil d’urgence, main courante pour fixer les demandes, etc.) et de choisir les plus appropriés pour les mettre en place. Trois pays ont accepté de s’associer au projet, ce sont la France, la Belgique et l’Italie. Chacune des entreprises ferroviaires de ces pays a nommé un référent social. D’autres pays, moins avancés mais intéressés, sont l’Allemagne, le Luxembourg, l’Espagne et la Pologne.

    La réflexion commencée en janvier 2010 doit se terminer en décembre 2011.

    En France, c’est Patrick Jud, de la direction du développement durable de la SNCF, en poste depuis un an. Il a une mission de pivot entre les agents de la SNCF, les agents de la propreté de la Ville, les commerçants, les habitants, les associations locales (Itinérances, Aux captifs, la libération , Arc 75), le parking Vinci. L’une des taches va être de créer un lieu unique proche, sans doute situé près de la rue La Fayette, tenu par une association, et apte à accueillir toutes les personnes en grande précarité et les orienter vers la bonne association.

     

    Les questions de la salle :

    -  le dispositif s’adresse-t-il aussi aux toxicomanes ?

    -  une dame s’interroge du retour subit de personnes en grande précarité dans sa rue des Petits hôtels récemment.

    -  Un habitant souligne le décalage entre l’approche des initiateurs du projet et la vision des voisins de la gare. Il s’étonne aussi de l’absence de la police, car souvent les problèmes sont sécuritaires. Il réclame aussi des salles de consommation pour la réduction des risques.

    paris, 10e, gare-du-nord-  Une dame demande comment les lieux d’implantation des distributeurs de seringues sont définis.

    -  Une jeune femme, empruntant quotidiennement la gare du Nord, estime que la SNCF a vidé la gare de ses occupants non désirés, qui sont maintenant aux abords et sont devenus un problème de voisinage.

    -  Elisabeth Carteron souligne qu’il est curieux d’entendre la SNCF s’engager dans des partenariats censés assister les précaires, engager des référents, et par ailleurs réduire les heures d’ouverture des gares et le nombre des agents qui y travaillent.

    -  Un habitant estime que la gare du Nord a une vraie particularité, c’est la présence en nombre des jeunes toxicomanes errants.

    paris, 10e gare-du-nord-  Une habitante de la rue Ambroise Paré la considère dangereuse, elle estime par ailleurs que la police connaît le dealer en chef du quartier, comme le reste des riverains, mais ne l’interpelle pas. Pourquoi ?

    Elfie constate que l’essentiel des questions de ce soir fait remonter les problèmes de toxicomanie.

    - Une habitante demande à ce que l’hôpital s’implique dans les problèmes de drogue, qui peuvent relever du domaine médical.

    -  Une autre habitante souhaite savoir si les associations travaillent en coordination.

    - Rue du 8 mai, l’espace devant le Monop est jugé problématique car occupé par une population parfois agressive.

    -  E. Carteron suggère que les locaux de Fernand Widal soient considérés comme un espace possible pour la création d’un accueil toxicomanie à la suite de la restructuration de l’APHP.

     

    Les réponses des intervenants et acteurs de terrain :

     Patrick Jud reprend la parole pour répondre aux questions ; il précise que la SNCF a aussi des problèmes de toxicomanies dans ses toilettes (injection) par exemple. Qu’elle n’a pas choisi de « sortir » les errants de ses gares, contrairement à d’autres pays (l’Espagne par ex.). Que les actions seront limitées aux abords immédiats. Qu’elle s’implique dans l’aide aux précaires, tente d’offrir des emplois de réinsertion à ceux qui ont envie d’un retour dans la vie sociale.

     Stéphane Bribard est élu du 1Oe, chargé de la jeunesse et de la prévention. Il intervient pour expliquer les efforts de la Ville en la matière : elle a revu récemment la rédaction du Contrat local de sécurité avec mise à jour des thèmes. Les deux problématiques jugées essentielles à relancer en priorité cette année sont la prostitution (Gare du Nord, Belleville, Château d’eau) et la toxicomanie ; l’action politique de la ville est globale : elle finance les associations, les coordonne, les soutient. Mais elle ne peut pas se substituer aux carences de l’Etat totalement.

     Le représentant de la FNARS (Fédération nationale d’accueil et de réinsertion sociale) rend hommage au travail des associations. Il explique que depuis l’abrogation de la loi sur le vagabondage votée en 1994, il est devenu impossible de déplacer une personne qui ne le souhaite pas, y compris pour son bien et sa sécurité. Les réponses à l’urgence sont le 15 en cas de détresse médicale, ou la police en cas de trouble à l’ordre public.

     François Leforestier, de l’antenne 10e de l’association Aux captifs, la libération, travaille en convention avec la SNCF depuis de nombreuses années. Elle vient en aide aux personnes en grande précarité sur trois gares (Nord, Est, Saint-Lazare), est active sur le nord du 9e et sur le 10e. Son local est situé rue de Rocroy. L’asso cherche à recréer du lien social, à rétablir une relation de confiance pour tenter une réinsertion dans la société et quitter la souffrance morale et sociale dans laquelle les personnes sont tombées.

    Quelques chiffres : sur l’année 800 personnes sont rencontrées régulièrement, 1000 personnes ont bénéficié d’un suivi social, dont 150 sont passées par l’accueil de jour de la rue de Rocroy, 400 sont domiciliées par l’asso, qui travaille aussi en partenariat avec Bichat dans le cadre d’un suivi des situations liées à l’alcoolisme.

    Aux captifs, c’est 15 salariés et 40 bénévoles.

    Dominique Bourdin, coordinateur de la mission SDF de l’Hôtel de Ville (en lieu et place d’Olga Trostiansky qui n’a pu se libérer), déclare que la Ville est très sensible aux problèmes du 10e, qui concentre des caractéristiques liées aux gares, de tous temps, arrivée de clandestins de tous les territoires de l’Est, du grand Est, jusqu’à l’Afghanistan, prostitution, errance, toxicomanie…Il souligne que nombre de ces problèmes relèvent de la compétence de l’Etat mais que la Ville ne détourne pas les yeux pour autant. Elle travaille aussi avec le commissariat. La salle murmure… et laisse entendre qu’il botterait en touche… au nom de la Ville. Dominique Bourdin rappelle alors que le retour de nombreuses personnes dormant dans la rue est du à la fermeture des hébergements à la sortie de l’hiver : ce sont 1000 personnes qui se retrouvent à la rue. Et grosso modo une centaine dans les rues du 10e.

     L’Association Itinérances offre de l’accueil de jour ; ce sont 70 personnes par jour pour un budget de 800 euros par jour, qui sont accueillies, à qui on offre un café chaud, la possibilité de se doucher, de laver ses vêtements (machine à laver disponible), une protection... La moyenne d’âge des personnes accueillies est d’à peine 22 ans. L’équipe compte 5 personnes, qui le soir assurent aussi les maraudes.

     Pierre Leyrit de Coordinations toxicomanies, actif dans le 18e, explique l’ampleur du problème. La toxicomanie n’est pas un problème conjoncturel, il est illusoire de penser qu’on peut l’éradiquer avec des mesures classiques. La présence des toxicos sur la Gare du Nord est très ancienne. Avec Marguerite Arène de la Mission de prévention des toxicomanies de l’Hôtel de Ville, il évoque aussi la présence des distributeurs de seringues, dans le cadre de la lutte de réduction des risques de transmission du VIH. Il existe 34 de ces automates sur Paris, qui distribuent 300 000 seringues par an ; et sur le 10e, 100 000. Ils n’attirent pas les toxicos, ils répondent à une demande et fonctionnent 24 h sur 24. Ils répondent également à la demande des toxicomanes qui habitent la banlieue et s’approvisionnent près des gares.

    Il faut bien voir que les problèmes d’errance sont souvent, pas toujours, liés à celui de la toxicomanie, mais surtout au manque d’hébergement. Il n’est pas d’accord avec le choix de la SNCF de ne pas regarder un peu plus loin que les abords de ses gares.

    Encore quelques questions de la salle, comme

    -  pourquoi les arrondissements de droite sont-ils moins touchés par ces problèmes?

    -  pourquoi la loi sur le vagabondage a-t-elle été abrogée en 1994 ?

    -  comment se fait-il que la rue Ambroise Paré soit dans un tel état de malpropreté ? comme plus tôt une autre habitante a relevé l’état déplorable de la rue du 8 mai 45 et de la rue du faubourg Saint-Denis.

    -  Christiane Izel demande le mode d’emploi quand on constate un problème dans une gare. (guichets fermés et pas de personnel pour une prise en charge)

    paris, 10e, police, voiture-de-police-  Une habitante se dit admirative du travail fait par les associations mais demande que les élus insistent pour qu’il y ait davantage de policiers dans le 10e.

    auxquelles malheureusement des réponses précises ne seront pas faites car le temps manque... Ne faudra-t-il pas lors de prochains conseils limiter le nombre des interventions, pour que l'échange ait lieu dans un climat encore plus serein, dans lequel chacun pourra prendre le temps de s'exprimer.

  • ULIPO - Débats citoyens

    Université Libre Populaire, voilà ce que signifie ULIPO. Certains penseront que le titre même fait penser à quelques inititives datant de 1968 ! En fait, ULIPO a été créée par des habitants du neuvième et qui ont senti le besoin de se réunir pour débattre librement sur les thèmes brûlants de notre société et de notre actualité.

     

    Ils organisent tous les deuxièmes mardis du mois une réunion sur des thèmes de société : des experts fournissent les informations nécessaires pour saisir la problématique, les participants réfléchissent en petits groupes pour approfondir le sujet, ils confrontent leurs réflexions avec les avis des experts et mettent en ligne les conclusions.

     

    La prochaine réunion aura lieu au 14 rue de Trévise - Paris 9ème

    le mardi 13 novembre à partir de19h30

     

    sur le thème :

    La nouvelle place des cadres en entreprise

    Intervenant  Jean-Marc Le Gall d'Entreprise et Personnel.

    Entre libre : chacun paie sa consommation.

     

    D'autres réunions sont programmées :

    L'écologie au quotidien en ville : la voie de la décroissance ? Avec le WWF - Mardi 11 décembre 2007

     

    Intégration et identités avec la Ligue de l'Enseignement - Mardi 08 janvier 2008


    Jeunes et société avec Jeune Cordée - Février 2008

     

    ULIPO est ouvert à :

                vos propositions de thèmes,

                vos propositions de partenariat,

                vos suggestions de lieux de rencontre.

     

     

    ULIPO Université libre populaire
    11 rue de Rochechouart - 75009 PARIS
    ulipo9@gmail.com

  • Il y a du nouveau sur la Promenade Urbaine !

    Notre impatience pour obtenir des nouvelles de notre promenade urbaine s’est vue récompensée, la semaine dernière, par une rencontre à l’Hôtel de Ville avec les responsables de ce dossier difficile au cabinet de la Maire de Paris. 
     
    L’information prioritaire, et celle que vous attendiez tous, est l’annonce d’une réunion publique qui aura lieu le 1er juillet, au Louxor. Mise en musique par la Direction de la voirie et des déplacements, cette réunion sera l’occasion d’informer les habitants des avancées du dossier, de présenter les schémas étudiés par les experts de la voirie, après comptage des flux de circulation, après étude des éventuels reports en cas de réduction de voie, après analyse des usages des uns et des autres, piétons, cyclistes, automobilistes, sans oublier les besoins des commerces, des équipements culturels, de l’hôpital Lariboisière, etc… Nous pourrons en débattre tous ensemble au Louxor. 
     
    Nous avons retenu une information essentielle aussi, un de ces principes que nous avions mis en avant dans la réflexion en amont sur les aménagements à réaliser, c’est l’accessibilité pour tous tout au long de la promenade. La Ville nous a certifié que partout, de Barbès à Stalingrad, les piétons, y compris les personnes à mobilité réduire, pourraient cheminer sans entrave. Il est de fait que certains lieux de passage sont jusque-là hasardeux, voire dangereux. Les consignes ont été données de rendre ce parcours en tout point accessible. Nous pensons, entre autres, aux accès de la station Chapelle ou aux abords de la déchetterie. 
     
    Nous rappellerons dans le blog la date de la réunion publique au Louxor afin que personne dans le quartier ne rate ce rendez-vous ! Et plus tard, bien plus tard... nous pourrons toujours nous rencontrer sous le viaduc dans un café coloré comme celui de la photo ci-dessous, non ? 
     

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  • Cidre et galettes au prochain conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent de Paul

    Après celui du maire hier 
    voici un communiqué de l'équipe d'animation 
    du
    Conseil du Quartier Lariboisière Saint-Vincent de Paul 
     
    Madame, Monsieur,
     
    En ce début d'année 2013, toute l'équipe bénévole d'animation de votre Conseil de Quartier Lariboisière Saint Vincent (que vous pouvez évidemment rejoindre) vous adresse ses meilleurs voeux et vous invite à noter la date de notre prochaine réunion publique dans un peu moins de 3 semaines:
     
    Lundi 28 janvier 2013 de 19h à 21h
      
    à l'école élémentaire du 3 rue de Belzunce
     
    Nous apporterons des galettes et les boissons assorties (cidre, jus de fruits), que nous partagerons tous ensemble, et vous convierons à cette occasion à participer à un échange d'idées et à un remue-méninges pour faire part de vos idées pour notre quartier.
     
    Afin de prévoir le nombre adéquat de galettes, nous vous serions très reconnaissants de bien vouloir nous faire un court message en retour par email pour nous indiquer si vous pensez participer à cette prochaine réunion. Nous espérons vous rencontrer à cette prochaine réunion.
     
    Meilleures salutations, et encore,
    Bonne et Joyeuse Année 2013!
     
     
    L'Equipe d'Animation
    du Conseil de Quartier Lariboisière Saint-Vincent de Paul

     
    Merci de signaler votre présence sur eastvincent@listes.cqparis10.org
     
    En ce qui concerne Action Barbès, nous y serons ! Nous vous rappellerons ce conseil quelques jours avant.

  • Salle de consommation en vue

    Réunion publique le 11 juin à 19h à la mairie du 10e

    Après la réunion houleuse du 27 mars à la mairie du 10e à laquelle nous avions participé, nous devrions en savoir un peu plus. Le lieu est désormais connu. Les questions sur l'organisation, la présence et le rôle de la police, la mise en place du comité de suivi...

    A ne pas manquer donc !

    Voici le communiqué de presse de la MAIRIE DE PARIS publié le 30/05/2013
     
    La future salle de consommation à moindre risque sera implantée au 39 boulevard de la Chapelle (10e). Situé sur un terrain appartenant à la SNCF, ce lieu permettra de répondre à la nécessité d’un accueil des usagers de drogue dans ce quartier, avec pour objectif de réduire les risques sanitaires et diminuer les nuisances sur l’espace public.
     
    Choisi en accord avec Rémi Féraud, maire du 10e arrondissement, la Préfecture de Police et la SNCF, ainsi qu'avec l'association Gaïa, qui gérera la salle, cet emplacement, isolé des habitations et des écoles du quartier, respecte les souhaits exprimés par les riverains, tout en répondant aux impératifs de sécurité et de santé publique.
     
    La délibération relative au dépôt du permis de construire pour la future salle de consommation à moindre risque sera examinée à l’occasion du Conseil de Paris, le 8 juillet prochain. Cette expérimentation fera l’objet d’une évaluation rigoureuse tant sur le plan sanitaire que sur celui de la sécurité. Conformément aux engagements de la Ville de Paris, les riverains seront associés au comité de suivi qui évaluera les bénéfices apportés par cette salle en termes de tranquillité publique.
     
    Une réunion publique de concertation aura lieu à la mairie du 10e arrondissement le mardi 11 juin à 19h afin de faire un point d'étape.
     
    Paris.fr
  • A noter la date du conseil de quartier rue de Belzunce

    C'est devenu un rendez-vous régulier et l'équipe du conseil de Quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul sera heureuse de vous accueillir vendredi prochain, le 19 octobre à 19h dans les locaux de l'école de la rue de Belzunce. Le thème de la réunion portera sur la sécurité dans le quartier en présence du commissaire principal du 10e, Gilbert Grinstein. Voici l'ordre du jour complet de la réunion : 

    Actualité

    - quelques mots sur le compte rendu de mandat de B.Delanoë le 12 décembre en mairie du Xème sur le thème "Sécurité et prévention"

    - Fresque rue du Maubeuge (photos sur notre blog... et encore ! )

    - Suivi des Pots de plantes (Rue Patin)

    - Vanoprix > Brasserie

    - Louxor > printemps 2013

    - Réparation escalier Alsace réalisée cet été

    Thème principal, Sécurité et Prévention : et maintenant ?

    Vos questions, vos propositions,

    Venez dialoguer et faites vos propositions,

    avec la participation du Commissaire principal du Xème Gilbert Grinstein et les élus Rémi Féraud si confirmé, Stéphane Bribard, Alexandra Cordebard

    Introduction par le Commissaire (quelques chiffres, ses priorités, à sa convenance)

    Le mot du Maire si présent / compte rendu de la réunion du 10 octobre sur la toxicomanie

    La parole aux habitants

  • Marché Barbès: protestation de commerçants

    Lundi dernier une trentaine de commerçants du marché Barbès a défilé du métro La Chapelle à la mairie du 18e.

    paris,paris 18e,commerce,marché barbès,manifestationUne première pourrait-on dire. Alors pourquoi? (voir article du Parisien du 2 mai )

    paris,paris 18e,commerce,marché barbès,manifestation

    Samedi , on pouvait lire ces revendications placardées sur les camions du marché.

    Nul doute que les choses bougent depuis nos articles récents sur les dysfonctionnements du marché et la réunion du 11 mars avec Olivia Polski, adjointe chargée du commerce à la mairie de Paris - réunion à laquelle nous participions.

    Pour l'historique, voir nos articles des 22 février, 25 février, 4 mars et du 1er avril sur le voeu voté en Conseil de Paris de mars.

    Nous avons toujours exprimé notre soutien au maintien du marché alimentaire de notre quartier. Mais cela fait plusieurs années que nous écrivons et alertons les élus sur d'indispensables améliorations à apporter. Nous pouvons donner raison aux commerçants sur l'état du sous-viaduc avec un sol parfois dangereux, des pieds d'arbres en très mauvais état, sans oublier la saleté près des piliers qui sentent l'urine. Les sauvettes sont importantes tant dans l'allée centrale qu'autour du marché.

    Pour le reste, il s'agit du respect d'une règlementation peut-être peu respectée jusque-là. Les services de la ville agissent et rien de bien anormal. Les camions stationnés à cheval sur la piste cyclable et le trottoir côté 10e bénéficient d'une "tolérance" de la préfecture de police et ne sont pas verbalisés.

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    les livraisons nocturnes interdites continuent (photo nuit du 26 au  27 avril)

    Pour les riverains, les clients et les commerçants, des améliorations sont attendues pour un marché plus agréable et serein. Un sujet qui sera très probablement évoqué lors du prochain Comité de pilotage Barbès début juin et sans doute un peu avant lors de la réunion publique sur la promenade urbaine de Barbès à Stalingrad annoncée pour ce mois de mai.