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Rechercher : salle de consommation

  • Ce soir conseil d'arrondissement dans le 10e

    Mairie du 10e, 18h30, salle des mariages.images?q=tbn:ANd9GcSQE-pVnnkqFiSuD5LFWEgv5ZMA8CNcpj_3C4q_Lf58pDPZcyKM

    L'ordre du jour initial comprend une série de délibérations relatives à des subventions de montants très différents, allant de 700 euros pour une association du 10e d'Anciens Combattants (2011 DAC 117) à 318 141 euros pour la Croix rouge frrançaise et sa crèche collective Gabriel Mun, située dans le 10e (2011 DFPE 257).

     

    Les élus débattront par ailleurs du changement de nom de la rue Jean Moinon : elle devriendra rue Jean et Marie Moinon si la délibération est approuvée (2011 DU 204). images?q=tbn:ANd9GcRl2ngeakAGn_tNVIAV9umWXtLI8QZpvxvuM6nH4Vu5Wd06oPqE8QToutefois, n'étant pas historiens, nous sommes troublés par les prénoms : le site d'Histoire et Vie du 10e nous dit, ou plutôt nous montre sur sa page une plaque commémorative au nom de Jean et Berthe Moinon, déportés politiques, morts pour la France, en 1944, quand l'ordre du jour du Conseil nous annonce Jean et Marie... Une erreur s'est glissée quelque part. On en apprend davantage sur ce couple de résistants grâce au voeu déposé par H&V10 en 2009, mais le mystère sur les prénoms reste entier.

    L'ordre du jour complémentaire comprend lui aussi des débats autour de nombreuses subventions. Voir le détail ici. On remarque au titre de l'aide à la création artistique une subvention de 80 000 euros au Centre de Créations Théâtrales de Peter Brook pour le Théâtre des Bouffes du Nord. En décembre de l'année dernière, nous relations les difficultés financières du Théâtre lors de la passation des clés aux nouveaux directeurs et à la suite des réductions d'aide, car les subventions, celles-ci en l'occurence, vont à la création et non à l'exploitation des Bouffes du Nord, qui reste un théâtre privé.

    Nous rappelons que les conseils d'arrondissement sont publics.

    Les prochains conseils dans le 9e et le 18e auront lieu le 19 septembre.

  • Côté commerce : le GTL du 10e

    Le GTL du 10e, c'est le groupe de travail local, qui réunit régulièrement les élus dont la délégation touche le commerce de l'arrondissement et les acteurs locaux de la démocratie participative. C'est l'occasion pour la Société d'économie mixte d'aménagement de l'Est de Paris (la Semaest) de présenter un bilan de ses activités et de donner une image de la situation du commerce dans le territoire où elle remplit sa mission.

    Pour ce qui nous intéresse dans la réunion de ce soir, les zones observées seront le "quartier des deux gares" et le "quartier Chateau d'Eau Lancry".

    La réunion n'est pas vraiment publique, elle s'adresse aux personnes qui ont suivi les dossiers au fil du temps, et ce sont surtout les conseillers de quartier qui participent. Elle aura lieu ce mercredi à 18 heures, dans la salle des mariages de la mairie du 10e et Action Barbès sera repésentée.

    Concrètement, dans nos rues proches, l'opération Vital Quartier, a permis de racheter une boutique abandonnée au 69 rue de Maubeuge et de l'attribuer plus tard - après une rénovation respectant les normes environnementales de la Ville - à une jeune entrepreneuse, parmi les personnes qui s'étaient portées candidates. Dans notre bulletin d'informations, nous avions fait plusieurs articles sur cette boutique : dans le n°23 en mars 2010, pour annoncer le rachat du local par la Sémaest et dans le n°26 en février 2011, pour faire part de l'ouverture du commerce de Rebecca Gillot, "Une fée dans l'atelier".

  • Louxor : visite du chantier

    Un groupe d'une quinzaine de personnes "casquées et bottées" ont pu se promener dans le chantier du Louxor vendredi 8 juillet. Pour qui avait vu le bâtiment avant les premiers coups de pioche, le lieu avait un aspect désolant. Forcément un gigantesque trou, où on tentait de retrouver les traces du passé.

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    Depuis le toit, on pouvait photographier Montmartre et les vestiges de Vanoprix.

    Que restera-t-il ? L'escalier historique en granito (petites pierres incluses dans du ciment) actuellement protégé par un coffrage en bois, la façade également en granito, et les mosaïques bien sûr dont la question de la protection contre l'affichage sauvage n'a pas été envisagée à ce jour.

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    A ce jour, donc, la visite offre un intérêt limité. Certains ont emporté avec eux un petit morceau de plâtre coloré, abandonné sur les tas de gravas... 

    Pas de comparaison hasardeuse avec le mur de Berlin.

    Disons en conclusion que l'état actuel du chantier, ce qu'on voit du bâtiment, ce qu'on imagine, se marie assez mal avec l'idée de restauration affichée sur la façade, y compris d'une quelconque conservation de peintures d'époque (1920-21), comme le souligne l'article de Clarisse Fabre, publié dans Le Monde du 8 juillet, sous le titre Le nouveau Louxor revient à l'affiche. Elle écrit : trois salles de cinéma, un lieu d'exposition, un café, le tout rénové dans le style des années 1920, en conservant ce qui reste des peintures murales égyptiennes.

    Il serait plus juste de dire que ces peintures seront restituées... En matière de patrimoine, on aime les nuances et les précisions.

  • Habitants du 9e et d'ailleurs, une conférence en vue !

    L'association 9e Histoire nous propose d'assister à une conférence qui ne manque pas d'intérêt :

    Le cénacle artistique de la rue des Martyrs dans les années 1820

    par Marie-Claude Chaudonneret, chercheur honoraire au CNRS

    Dans le Paris romantique,  la rue des Martyrs a souvent été perçue comme un foyer d'opposition politique, un foyer de subversion esthétique. C'est aussi, et surtout, un quartier qui donna naissance, en particulier autour de l'atelier d'Horace Vernet, à une autre sociabilité, à de nouvelles fraternités artistiques. C’est cet exemple de la liberté d’exposer, thème d’actualité, que Marie-Claude Chaudonneret illustrera lors de cette conférence.
                                               

    Date : lundi 9 mars à 18h30

    Lieu : Salle du conseil de la mairie du 9e, 6 rue Drouot.

     

  • Un fronton oublié

    Nous recevons une brève avec une magnifique photo de la part de Nicole Jacques-Lefèvre qui contribue depuis le début au site des Amis du Louxor. Nous avions ici même déjà recommandé la lecture d'un bel article sur les cafés autour du carrefour Barbès.

    Nous aurons très bientôt, au carrefour Barbès, une nouvelle brasserie, à la place du Vano dévasté par l’incendie du 21 juin 2011, là où naguère la brasserie CHARLES puis le café ROUSSEAU avaient proposé leurs salles confortables. Mais Vano incluait aussi le bâtiment de l’ancienne Académie Vachette, sur laquelle je m’étais interrogée dans un petit article sur les anciens cafés de Barbès. Or cette Académie présentait un joli fronton orné, qu’avait préservé Vano, et qu’on peut voir sur cette photo prise le jour de l’incendie.

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    La brasserie attendue est l’heureux résultat d’une « restauration à l’identique » des bâtiments, dans leur originalité. On peut seulement regretter que, si le fronton est reconstitué, il ait perdu cette jolie décoration, alors que l’Élysée Montmartre conservera heureusement toutes les siennes. Mais ne boudons pas néanmoins notre plaisir…

    L'ouverture approche, et les médias se saisissent de l'événement, par exemple l'Obs dans son article du 22 février sous la plume de Katia Pecnik. (voir ici)

     

  • Studio 360°, petit tour d’horizon

    « Studio 360° », c’est le nom du centre culturel qui devrait, d’ici deux ans, conférer un nouveau visage à l’angle des rues Léon et Myrha, aujourd’hui jardin provisoire et terrain de pétanque. À l’occasion de la réunion organisée samedi 14 mars à l’invitation de l’association Cavé Goutte d’Or, un point a été dressé aux Xérographes sur l’avancement de ce premier projet culturel « 100 % privé » du quartier. Outre ses promoteurs, plusieurs acteurs du quartier étaient représentés, notamment la Table ouverte, le 18e du Mois et Action Barbès.

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    Porté par le label et maison de production Accords Croisés, ce projet est à dimensions multiples. Le lieu, en effet, accueillera une salle de répétition en sous-sol, un restaurant au rez-de-chaussée, une salle de spectacle d’une capacité variable de 180 places à 300 places sur trois étages, un petit studio d’enregistrement, des bureaux et des loges destinées à des résidences d’artistes de quelques mois aux étages supérieurs, et enfin, un potager sur le toit (conçu par Topager).

    Y seront hébergés des artistes en résidence, le festival musical Au fil des voix, une association de formation (Quai des voix) et bien sûr, le label Accords croisés. D’où le choix du nom de « 360 degrés », qui désigne à la fois l’ouverture sur le monde – Accords croisés et Au fil des voix font la part belle à la world music – et l’ensemble de la chaîne musicale, depuis la création (en résidence) jusqu’à la diffusion (salle de spectacle).

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    En quête d’un modèle économique

    Comme l’a expliqué Saïd Assadi, le directeur d’Accords croisés, ce projet vise, dans un contexte de réduction des subventions allouées aux acteurs culturels, « à rassembler les petites structures et les artistes émergents pour les aider à se développer, à créer un modèle économique alternatif, qui ne soit ni une grande structure économique du type Zénith, ni un organisme subventionné : une force horizontale, avec des artistes issus de la diversité ». Sur un coût total de près de 4 millions d’euros (3,2 millions pour la construction et 700 000 euros pour les aménagements intérieurs), 800 000 euros ont été apportés en fonds propres par les structures partenaires, le reste devant être emprunté.

    En outre, ce lieu doit faciliter l’activité du label en réduisant les coûts de production. « Pour réaliser un projet, en effet, a expliqué Saïd Assadi, on doit payer le lieu de résidence de l’artiste, la location du studio d’enregistrement etc. Avec Studio 360°, on disposera de toutes les installations sur place. L’idée, c’est donc que le remboursement de l’emprunt soit équivalent aux loyers qu’on paie aujourd’hui pour les bureaux, les studios, locations de salles de spectacle etc. ».

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    En novembre 2013, l’ouverture de Studio 360° était annoncée pour octobre 2015. Mais c’est sur le bouclage financier que le projet a pris du retard. En cause, a indiqué Saïd Assadi, le refus de la majorité municipale actuelle – contrairement à la précédente – de se porter garante de l’emprunt auprès de la Caisse des dépôts et consignations, soit 75 % de l’emprunt total. « Pourtant, on a fait au moins 25 réunions à la mairie depuis l’identification de la parcelle, en 2010 ! » a-t-il regretté. Cela étant, il s’est montré philosophe : cela fait plus de quatre ans, après tout, qu’il travaille à ce projet ! Et si l’appel d’offres n’a pas encore été lancé pour le constructeur, le permis de construire, lui, a déjà été déposé. Avant de lancer les travaux, il ne reste donc plus qu’à trouver un nouveau garant… Quatorze mois de construction sont prévus et la livraison annoncée pour dans deux ans.

    L’architecture, elle, a été dessinée par le studio Engasser. Gaétan Engasser en personne en a assuré la présentation, reconnaissant que concevoir un bâtiment aux fonctions si diverses sur une parcelle si réduite (360 m2) n’avait pas été simple… « Vu le nombre de partenaires, la maîtrise d’ouvrage n’était pas ordinaire, a-t-il expliqué. On a dû organiser des dizaines de réunions, mais du coup, on a réussi à concevoir un projet alternatif et novateur ! » Soucieux de l’inscription dans un ensemble architectural, également : le travail du toit de Studio 360° permet « d’aligner les toitures sur les deux rues » Léon et Myrha.

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    La façade, a expliqué Gaétan Engasser, « sera composée d’une première coque en béton, peinte à la manière des murs pignons parisiens et qui sera certainement l’œuvre d’un artiste, sur le thème de la diversité culturelle, peut-être un jeu d’écritures sur les alphabets ». Quant à la deuxième peau, métallique micro-perforée, elle sera recouverte d’une peinture laquée : « Cette double peau aura un rôle à la fois décoratif et thermique, avec la réduction de l’exposition au Soleil à l’intérieur des locaux, à la manière d’un moucharabieh ».

    Ouverture sur le quartier

    Saïd Assadi a enfin insisté sur son souhait d’ouvrir le lieu sur le quartier. Une ouverture qui s’exprime notamment dans la liberté d’accès au bâtiment et les vitres le long du rez-de-chaussée, qui révéleront le restaurant et pourront s’ouvrir l’été. En outre, de grandes fenêtres sur l’escalier d’honneur desservant tous les étages, au coin de l’immeuble, permettront à la lumière naturelle de pénétrer dans l’édifice et aux passants de profiter de l’architecture intérieure du lieu.

    De nouvelles réunions seront organisées avec les associations du quartier pour tenir informés les habitants de l’avancement du projet. Avec un grand sourire, Saïd Assadi a conclu qu’à terme, Studio 360° deviendrait peut-être une entreprise d’exportation de spectacles et musique du quartier. Des produits culturels made in Goutte d’Or, en quelque sorte !

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  • Le projet du 360 enfin lancé à la Goutte d'or

    Lundi dernier, le projet du 360, dans les cartons depuis plusieurs années, a été lancé officiellement en présence de son directeur et initiateur Saïd Assadi et de nombreux élus de tout bord au centre Barbara (FGO). Un signe qu'il était important de faire part de son soutien à ce futur espace de création de production et de diffusion des grandes voix du monde. Nous en parlions déjà dans un article de novembre 2013. Une réalisation en plein coeur de la Goutte d'or qui devrait voir le jour en 2018.

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    Ce projet privé d'intérêt général est  soutenu par la Ville et par la Région et on ne peut que s'en réjouir. Le lieu accueillera sur 6 niveaux un studio de répétition, un restaurant, une salle de spectacles modulable (entre 150 et 300 personnes), un incubateur d'entreprises culturelles, des bureaux partagés, des résidences pour artistes et un potager sur le toit qui fournira des produits pour le restaurant.

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    Projet de l'agence Gaetan Engasser, le 360 sera très ouvert sur le quartier avec une parcelle vitrée et un hall monumental à l'angle des rues Léon et Myrha. Et il s'inscrira parfaitement dans l'esprit de la requalification du quartier avec le projet des arcades de la rue de la Goutte d'or et du passage Boris Vian (voir notre article du 29 novembre).

    Voir ci-dessous la vidéo de présentation


  • La République vue par les sculpteurs

    Benoit Pastisson, vice-président d’HV10, vous invite jeudi 23 mars à 18h30 à une conférence sur la statue de la République dans la salle du conseil de la mairie du 20e, 6 place Gambetta.  
     
     
     
    DES SCULPTEURS AU SERVICE DE LA RÉPUBLIQUE
     
    La Ville de Paris envisage en 1877 de faire un monument à la gloire de la République. 
    La statue des frères Morice est inaugurée le 14 juillet 1883. C'est un ensemble composé d’une statue colossale représentant la République, de trois statues représentant la liberté, l’égalité et la fraternité,
    d’un lion symbole de la force populaire, d’une urne symbolisant le suffrage universel, et de 12 hauts-reliefs en bronzeCette statue propose un cours d’instruction civique !
    Par ailleurs, Léopold Morice, l’un des deux frères, a réalisé des sculptures pour décorer des tombes, dont une au cimetière du Père Lachaise, dans le 20e arrondissement. 
     
    Entrée gratuite sous réserve des places disponibles.

  • Lancement du budget participatif 2016

    En ce début d'année 2016, les mairies lancent la réflexion sur le budget participatif deuxième édition.

    Dans le 9e, ce sera le mercredi 3 février à 19h avec une réunion plénière des 5 conseils de quartier de l'arrondissement. Cette réunion sera essentiellement consacrée aux projets qui pourraient être déposés par les CQs. L’enveloppe du budget participatif du 9e s’élève cette année à 1 822 809 euros !

    Dans le 10e, ce sera jeudi 14 janvier à 19h salle des fêtes. Il sera possible de poster un projet à partir du 18 janvier et ce jusqu'au 19 février sur le site dédié : https://budgetparticipatif.paris.fr

    Pour les habitants qui n'utilisent pas internet, permanences et ateliers seront proposés en mairie le jeudi 28 janvier, les 4 et 11 février à 17h30 et encore le samedi 30 janvier à 10h. Pour tout savoir, cliquez ici.

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    Dans le 18e, rendez-vous à la même date, le 14 janvier à 19h. Nous espérons avoir le calendrier des réunions du comité de pilotage pour la mise en oeuvre des projets retenus lors de l'édition 2015, notamment notre proposition d'éclairage du viaduc pour un budget annoncé de 200 000 €. 

    Pour mémoire, notre analyse de l'édition 2015 : budget participatif, entre autosatisfaction et réalité

     

  • Petite augmentation des tarifs au Louxor

    paris,barbès,cinéma,louxor,tarifsNous relayons le changement de tarif dont nous informe l'équipe du Louxor. Cette augmentation nous semble mesurée et ne nous empêchera pas de fréquenter les salles de notre cinéma de quartier !

     

    ATTENTION ! NOUS CHANGEONS NOS TARIFS !

     
    Voici les nouveaux tarifs, appliqués dès le dernier mercredi de décembre.
     
    PLEIN : 9.20€
    RÉDUIT : 7.60€
    (étudiants, demandeurs d’emploi, IMAGIN’R, carte famille nombreuse, personnes handicapées, sur présentation d’un justificatif).
    -14ans : 4€
    MATIN (avant 12H) : 5.10€
    CARTE LOUXOR 5 PLACES : 31€
    CARTE LOUXOR 10 PLACES : 51€
    Validité 6 mois à compter de la première utilisation, cartes non nominatives et rechargeables.
    PREMIER ACHAT : +1€ d’acquisition de la carte
     
     
    Cartes Illimitées UGC et LE PASS Acceptées
    Contremarques acceptées : CINÉ-CHÈQUES
                                                      EOSC
                                                      TS30 avec supplément de 1.50 
     
    Le Louxor est partenaire de l’opération ORANGE CINÉDAY
     
     
  • Emile Zola le grand

    paris,emile-zolaNous ne vous parlons pas assez souvent d'Emile Zola ! Pourtant le grand écrivain mérite une attention spéciale. Certes l'année 2014 est marquée par Jean Jaurès mais le combat dreyfusard des deux hommes nous incite à penser à l'un, Zola, quand nous parlons de l'autre, Jaurès. De plus Emile Zola est très présent dans nos quartiers. Nous vous avons déjà parlé de Gervaise dans l'Assommoir  et également d'un excellent livre écrit par Alain Pages, professeur à l'Université Sorbonne nouvelle et directeur des Cahiers naturalistes, Emile Zola, de J'accuse au Panthéon.

    Or voilà qu'il se trouve qu'Alain Pagès vient le mardi 7 octobre à 18h30 donner une conférence Les lieux de la bataille naturaliste. Cela se passe à la mairie du 9e, salle du conseil, 6 rue Drouot et c'est organisé par 9e Histoire.

    Reprenons un court paragraphe d'un de nos articles de début 2013 pour bien comprendre la dimension, l'importance d'Emile Zola ainsi que son actualité : Parlant des Juifs et de l’antisémitisme, Alain Pagès cite dans son livre une phrase de Zola comme nous aimerions en lire une sous la plume d’un de nos intellectuels contemporains ou bien l’entendre à la télévision pour être plus moderne : « Je parle d’eux bien tranquillement, car je ne les aime ni ne les hais. Je n’ai parmi eux aucun ami qui soit près de mon cœur. Ils sont pour moi des hommes, et cela suffit .»

  • L'humour des pollueurs

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    Tout est dit dans le libellé du panneau qu'on pouvait voir cette semaine à l'angle de la rue du Delta et du Faubourg Poissonnière : L'enlèvement des objets encombrants est un service gratuit pour les particuliers. Conclusion : pas pour les professionnels.

    Les travaux dans la salle de bain, et précisément le changement d'un — ou d'une cuvette de WC, un must des dépôts sur les trottoirs ! — sont rarement le fait des particuliers parisiens. En conséquence, l'enlèvement du lavabo déposé ne serait pas fait gratuitement. Le professionnel qui se charge des travaux de remplacement doit enlever les sanitaires usés, cassés, passés de mode... et non pas les déposer au coin de la rue, de préférence assez loin du lieu des travaux pour que le lien entre les deux ne soit pas trop évident. 

    C'est au client qui fait exécuter les travaux que revient l'obligation d'y veiller, de vérifier que son plombier (mais cela pourrait aussi bien être l'installateur de fenêtres !) ne dépose pas ses anciens sanitaires à cent mètres du portail de l'immeuble...  Il serait malvenu que le même client râle contre l'état des rues, encombrées par de vieux sanitaires.... Et pourtant, nous en connaissons.