Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

paris-10e - Page 4

  • Marché Barbès : une situation qui n'est plus tolérable !

    Cf. Article dans Le Parisien : " Le marché de Barbès est devenu « ingérable » "

     

    Rappelez-vous. On s'était un peu fâché début novembre devant l'absence de réponse de la mairie du 18e au sujet de la placette Charbonnière et surtout du marché Barbès. Voir ici notre article du 3 novembre 2015 (et dans les commentaires la réponse du maire Eric Lejoindre). Nous l'avions ensuite rencontré en présence de Rémi Féraud, maire du 10e, pour échanger sur ces problématiques.

    Afaf Gabelotaud, adjointe chargée du commerce dans le 18e, s'était engagée à nous recevoir. Ce fut chose faite le 22 janvier dernier. Au fil de l'entretien, nous avons compris pourquoi ce rendez-vous avait tant tardé. Et le dépit de l'élue face à une gestion déficiente et manifestement opaque était perceptible.

    Retour sur 2015  

    Dans le cadre du projet de Promenade Urbaine (PU), il nous paraissait évident qu'une réflexion devait être menée sur le marché. Pourquoi ? Parce que le marché dysfonctionne et nous le répétons depuis des années dans le blog et à chaque réunion quand l'occasion s'en présente : l'état sanitaire n'est pas satisfaisant ; l'état de l'espace voué au marché n'est pas propre à l'arrivée des marchands, déchets, dépôts variés, odeurs d'urine, etc. ; il n'est pas propre non plus après le marché et le passage des agents de la Propreté de Paris (DPE), palettes et cageots restant sur le sol voire dans les rues adjacentes ; présence de marchés illicites lors du marché, aux abords, autour de la station, dans les rues adjacentes, et après le marché au gré des mouvements de la police ; salissures nombreuses après le départ de ces marchés illicites ; pas de verbalisation des marchands qui ne respectent pas le règlement ; stationnement des camions sur les trottoirs avec dommages aux séparateurs des pistes cyclables ; entrave au cheminement piéton ; livraisons nocturnes non permises ; stationnement anarchique des clients en voiture, en 2e file, non verbalisé ; débords de certains stands ne respectant pas les limites du marché ; etc, etc.... Oui, la liste est longue !

    20160203_004853 - Version 2.jpg
    Promenade sous le viaduc entre les palettes de fruits et légumes autour de minuit

    Jusque là, les réunions d'échange avec l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) et la Direction de la Voirie et des Déplacements (DVD) n'avaient intéressé que le tronçon compris entre la rue de Tombouctou et la station Stalingrad. Le tronçon précédent... compliqué, nous disait-on.

    A notre demande, l'association avait été reçue à la Direction de la Prévention et de la Protection (DPP) à l'hôtel de ville, en présence de deux responsables de la Direction du développement économique, de l'emploi et de l'enseignement supérieur (DDEEES) en juillet de l'année dernière. Nous souhaitions notamment une réduction du nombre de stands pour éviter les camions sur le trottoir le long de l'hôpital, une gestion moins anarchique de l'ensemble, pour faire court. Nous apprenions alors qu'un nouveau cahier des charges venait d'être rédigé dans le cadre d'un appel d'offre pour la désignation de nouveaux délégataires (dont on nous disait en passant qu'ils ne se bousculaient pas pour postuler). On en prenait pour 4 ans, le temps de la délégation ! Autant dire que notre idée d'espace convivial au centre du marché, un aménagement proposé dans le cadre du budget participatif 2015, ne pouvait être mis en place ! Pas même discuté ou analysé...

    On nous confirmait aussi qu'il n'y avait quasiment aucune verbalisation des commerçants malgré les nombreuses infractions à la législation. Sans parler des ventes à la sauvette dans l'allée centrale gérée tant bien que mal par des agents de la DPP (aux dires des clients du marché, plutôt mal que bien). Heureusement, ce jour-là, c'était l'été, il y avait un beau soleil...

    Ces informations n'avaient pas fait l'objet d'un article à l'époque. Nous attendions d'en savoir un peu plus et espérions naïvement que la situation évoluerait dans le bon sens.

    Le point sur la situation actuelle   

    Côté entretien du lieu, nous n'avons pas manqué de signaler les palettes qui trainent régulièrement après le marché, et parfois dans les rues avoisinantes, les bannes en plastique que l'on retrouve adossées à l'un ou l'autre des piliers du métro. Pourtant de la responsabilité du gestionnaire... Ou non ? Ce sont bien ses services qui les mettent en place les veilles de marché et les reprennent ensuite.

    Toutefois, la discussion a surtout porté sur la complexité de fonctionnement de ces marchés et plus particulièrement de celui-ci.

    Le nouveau cahier des charges a été établi peu après les élections municipales. Dans ce cadre, les mairies d'arrondissement sont consultées mais la décision est prise par les services de l'Hôtel de Ville. Pourquoi cette fois une communication si difficile ? Pendant huit mois, le poste de la Direction des marchés n'a pas été pourvu ! Forcément, communiquer devenait mission impossible. On peut déplorer aussi que les services n'optent pas pour davantage de concertation en amont avec notamment les conseils de quartier ou associations, a minima, pour recueillir des informations qui pourraient s'avérer précieuses. Démocratie participative ignorée ? Elle existe pourtant, nous l'avons rencontrée lors de nos réunions avec l'Apur. Alors, est-ce une question de Services ? Oui chez les uns, et non chez les autres ? Ce serait donc plutôt une question de personnes....

    Que fait le nouveau gestionnaire ? — nous apprenons que l'ancien (le groupe Dadoun) a été reconduit... Étonnement. C'est lui qui est chargé de recruter les placiers — ici aussi le même que précédemment est reconduit... Stupéfaction — et sa mission s'étend au choix des commerçants. A ce stade, nous n'avons plus beaucoup d'illusions sur une évolution positive. Le processus est celui-ci : le gestionnaire gère et verse une redevance à la Ville qui ne garde que l'abonnement et le désabonnement des commerçants sans les avoir choisis. En clair, la Ville donne le macaron : elle valide un choix fait par un autre, sans maitriser aucun critère de sélection.

    On comprend bien que les dysfonctionnements résultent d'une mauvaise gestion. Volontaire ou pas. On peut s'interroger.

    20160203_005642_2.jpg
    Des palettes fraîchement déchargées derrière des bannes du marché destinées à couvrir les stands...

     

    Il règne sur ces marchés une forme d'opacité, situation probablement pas unique dans la capitale, et peut-être même ailleurs qu'à Paris. On apprend au cours de la conversation que le placier reçoit un smic comme salaire. Peut-on raisonnablement penser qu'un placier, qui doit être là dès 5h du matin jusqu'au moins 14h30, dans des conditions parfois difficiles, accepte d'être payé au smic ? Pourtant, beaucoup sont là depuis de nombreuses années. Là encore, on s'interroge.

    Des questions légitimes 

    Plus la rencontre se prolonge, plus nous apprenons de détails sur l'organisation du marché, et plus le nombre de questions qui nous viennent à l'esprit s'accroit :

    Pourquoi est-il impossible de verbaliser les commerçants qui n'appliquent pas la législation malgré les signalements du délégataire ?

    Pourquoi est-il impossible de réduire le nombre de stands ?

    Pourquoi certains camions non autorisés — car trop gros tonnage — continuent-ils allègrement à être tolérés ?

    Pourquoi les camions qui stationnent sur le trottoir et la piste cyclable ne font-ils pas l'objet de procès verbaux ?

    Pourquoi des caristes répartissent-ils en toute tranquillité un nombre important de palettes déchargées de camions de plus de 20 tonnes en pleine nuit (23h30 – 1h du matin environ), prenant les bannes des stands pour occulter et protéger la marchandise d'éventuels vols (de leur propre aveu) ?

    Pourquoi la ville a-t-elle laissé la situation se dégrader ainsi à Barbès ???

    20160203_005332.jpg

    Les transpalettes fonctionnent en toute tranquillité.

     

    Chacun se fera son idée. Mais personne ne nous empêchera de penser que le marché est source de pratiques pas très orthodoxes.

    Prochaine étape : une réunion avec Action Barbès, les élus concernés, la DDEEES, la Police et le délégataire annoncée par Afaf Gabelotaud.

    Cependant, comme il apparait que les décisions appartiennent à l'Hôtel de Ville, nous avons demandé un rendez-vous à Olivia Polski à qui nous avions déjà envoyé nos observations l'an dernier. Pas de réponse à ce jour malgré notre relance.

    Le marché Barbès intéresse-t-il l'Hôtel de Ville ? Sera-t-il vraiment possible de voir le projet de promenade urbaine aboutir si le tronçon Barbès-Tombouctou n'est pas sérieusement traité ? Y aurait-il quelque part un blocage qui expliquerait le silence persistant de l’Hôtel de Ville sur le sujet ?
     
  • Conseil Local du Handicap du 10e : Assemblée Générale en mairie

    Nous avions évoqué cette nouvelle instance de la démocratie participative locale dans le 10e, composée d'habitants et de représentants associatifs et institutionnels concernés par les problématiques liées au hadicap dans le 10e : le Conseil Local du Handicap (CLH), agissant comme instance consultative extra-municipal et constitué autour de plusieurs commissions dont accessibilité, culture/sports/loisirs, santé mentale etc. Voir nos articles du 12 novembre 2014 et du 9 février 2015.

    Ce CLH tiendra son assemblée générale :

    ce prochain jeudi 18 février à 18h

    en salle des mariages de la mairie du 10e

    Lors de cette prochaine assemblée générale, les thèmes abordés seront notamment le budget participatif, les commissions, la mise en place d'une permanence et la préparation de la 8e édition du "Mois Extra Ordinaire" (M.E.O. : festival de rendez-vous artistiques, sportifs et culturels dédiés au handicap, à la fin du 1er semestre 2016). 

    Vous pouvez vous inscrire à cette assemblée générale auprès de manelli.grisoni@paris.fr, tel : 01 53 72 10 32.

    paris,paris-10e,conseil-local-du-handicap,assemblée-générale

       

  • L'épicerie fine de la rue de Maubeuge : Les Miscellanées de M. Jash

    Séverine et Jimmy ont inauguré leur boutique au 96 rue de Maubeuge le 20 janvier dernier. Peut-être avez-vous croisé cette information dans quelque bulletin municipal ? En effet, là aussi, il s'agit d'une opération pilotée par la Semaest — dont nous parlons régulièrement ici — qui après rachat des locaux, les rénove et une fois fin prêts et aux dernières normes en vigueur, les propose aux candidats commerçants, tout en les accompagnant dans leur projet au besoin.

    paris,maubeuge,café,épicerie-fine,vernissage,agriculture-raisonnée,photographie,exposition-photos,paris-10e,les-miscellanées-de-m.-jash

    Le nom même de la boutique pique la curiosité : Les Miscellanées de M. Jash. Nous ne dirons pas qui est Mister Jash, allez voir vous-même, demandez éventuellement... Voici une piste seulement, les miscellanées sont un genre littéraire, une technique de fragments, une mosaïque littéraire, perdues de vue par les auteurs depuis la fin du 19e s. puis remises au goût du jour par Ben Schott, un écrivain britannique, en 2006. De là à l'épicerie fine, il n'y a qu'un pas. Sautons-le.

    paris,maubeuge,café,épicerie-fine,vernissage,agriculture-raisonnée,photographie,exposition-photos,paris-10e,les-miscellanées-de-m.-jash

    Le concept que veut développer ce jeune couple d'habitants du quartier est à la fois novateur et sympathique : vendre des produits de qualité, originaux, recherchés, à leur juste prix, en entretenant des rapports de partenariat sur la durée avec leurs fournisseurs. On n'est pas « bio », mais plutôt dans une agriculture raisonnée, voire de proximité quand on le peut. Qui dit produits de qualité, sélectionnés parmi les meilleurs dit aussi un certain niveau de prix. Pour réduire le risque de l'addition rébarbative un peu lourde, les patrons s'attachent à proposer de petites portions : on goûte et si on aime, on revient.

    Sachez que cette philosophie les conduit à organiser tous les jeudis de 18h à 20h une dégustation de produits fermiers. C'est une formule qui a commencé doucement mais, le bouche-à-oreille aidant, les jeudis des Miscellanées prennent de l'ampleur, à la grande satisfaction de Séverine et Jimmy.

    Séverine ne nie pas que la localisation de son commerce, sur une rue très passante, une voie qui conduit directement à la Gare du Nord, apporte une bonne visibilité. Encore faut-il que les curieux qui s'attardent pour admirer les produits en vitrine poussent la porte... D'où la nécessité et l'envie d'accompagner la vente d'une ambiance conviviale.

    On touche là peut-être aux qualités du premier métier de Séverine. Elle a été précédemment une organisatrice d'événements dans l'hôtellerie. La convivialité  et l'encadrement des loisirs et des séminaires professionnels, elle connaît. Dans cet esprit, elle a aménagé la boutique de telle façon que des alcôves puissent accueillir des accrochages ou permettent d'écouter des lectures. Ce n'est pas vaste, mais c'est une intimité cosy. Ainsi le jeune couple permet à de jeunes photographes de voir exposer leurs œuvres, et même prend en charge au niveau financier le tirage des photos dans un format digne des meilleures expositions. Les vernissages sont l'occasion de soirée entre amis, à discuter sur les banquettes autour d'un verre et d'un morceau de fromage.... fermier, comme il se doit !

    paris,maubeuge,café,épicerie-fine,vernissage,agriculture-raisonnée,photographie,exposition-photos,paris-10e,les-miscellanées-de-m.-jash

    La cerise sur le gâteau ? Un coin jeu ou même changement de couches pour les jeunes enfants et les très jeunes.

    Leur site et la page FaceBook vous tiendront informer des dates des prochains rendez-vous : https://www.facebook.com/monsieurjash/

    N'hésitez pas à pousser la porte, même si pour la première fois c'est juste pour boire un café. L'accueil est chaleureux, vous ne serez pas déçu. Et vous reviendrez.

    Les Miscellanées de M. Jash
    96 rue de Maubeuge
    Paris 10e
    06 99 88 34 03

    Ouvert tous les jours :

    . du lundi au mercredi : de 9h à 21h

    . de jeudi au samedi : de 9h à 22h

    . le dimanche : de 10h à 18h

    Attention : ce sont les nouveaux horaires selon cette information sur leur page Facebook

     

  • Salle de conso : le débat est-il encore possible ?

    Mardi 9 février en fin d'après midi s'est tenue la première réunion que notre association a organisée avec GAIA, opérateur de la salle d'injection supervisée qui sera installée rue Ambroise Paré.

    L'idée était d'inviter par petits groupes d'immeubles les riverains pour un échange simple et pour cette première réunion, seuls les immeubles de la rue Ambroise Paré avaient été conviés. C'était sans compter sur le rapport de force que veulent absolument établir les opposants au projet qui se sont donc invités en nombre à cette réunion. Autant dire que la très grande majorité d'entre eux n'habitaient probablement pas la rue concernée même si des habitants des rues voisines étaient là.

    Un semblant de débat a néanmoins eu lieu, même si les échanges ont été plutôt tendus. Que faut-il en retenir ? On peut répertorier les demandes des opposants au projet en deux catégories : les questions qui n'auront jamais de réponse et celles qui demandent une réelle attention des pouvoirs publics.

    Les questions qui n'auront jamais de réponse

    Le choix de l'implantation de la salle de consommation à moindre risque (SCMR) aurait du faire l'objet d'une concertation préalable disent les opposants. Mais quel genre de concertation au juste ? Ce type d'équipement, tout comme, pour prendre un exemple qui n'a rien à voir avec notre sujet, les éoliennes, fait partie de ceux qui font l'objet du classique syndrome NIMBY. Que ce soit ici ou là, le rejet des riverains est systématique. Par ailleurs, s'agissant d'un équipement d'intérêt général, la prépondérance des habitants dans le choix du site n'a rien d'évident.

    L'autre question qui n'aura jamais de réponse, c'est le refus entêté de la plupart des riverains de considérer les études scientifiques menées sur le sujet par les meilleurs organismes internationaux dont en France l'INSERM comme fiables et d'y préférer leurs propres affirmations qui en général ne reposent sur rien ou alors sur une expérience toute personnelle que l'on généralise sans vergogne.

    Enfin, et c'est là sans doute le plus ennuyeux, avant même d'avoir ouvert ses portes, la SCMR est vue comme un facteur supplémentaire de la dégradation des conditions de vie du quartier. Il est indéniable que sur certains points à commencer par la présence d’usagers de drogues, la situation ne s’est pas améliorée ces dernières années mais voir a priori dans l'installation de la salle d'injection supervisée un élément forcément négatif pour le quartier, c'est faire preuve d'une certaine malhonnêteté.

    Les questions qui méritent une réelle attention

    Les conditions dans lesquelles la SCMR va être implantée rue Ambroise Paré doivent faire l'objet d'une attention spéciale.

    D'abord en ce qui concerne la sécurité des riverains. Les craintes de ceux-ci à ce sujet sont tout ce qu'il y a de plus légitimes même si par les temps que nous vivons le syndrome sécuritaire est parfois un peu exagéré. La réponse est dans les mains du commissaire du 10e mais aussi et surtout dans celles de la Préfecture de police de Paris. Cette réponse devra être claire et précise, notamment, mais pas seulement, pour ce qui concerne les effectifs alloués, les horaires de surveillance du périmètre "spécial" créé autour de la salle. Des réunions de travail préalables à l'ouverture de la salle entre la Préfecture de police et les représentants des riverains sont sûrement nécessaires, en présence bien sûr d'élus.

    Ensuite, il faudra être vigilant sur le déroulement de cette expérimentation. Il a été dit à juste titre au cours de la réunion que les riverains n'ont rien demandé et surtout pas à participer à ce genre d'expérience qui, de fait, leur est imposée. C'est une manière de voir les choses particulière mais qui ne doit pas être négligée. Au-delà de l'enquête commandée à l'INSERM - organisme d'ailleurs présent dans la salle - sur l'acceptabilité de la SCMR par les riverains mais dont les rapports ne seront publiés qu'assez tard après l'ouverture de la salle - on nous parle de 18 mois - il parait indispensable que les méthodes d'évaluation de l'efficacité à court terme de l'équipement d'une part, que les critères qui permettront de piloter le projet et de prendre les mesures correctives nécessaires en cours d'avancement du projet d'autre part, le soient dans la plus grande clarté possible et évidemment préalablement à l'ouverture de la salle. Il est à cet égard assez étonnant que bon nombre d'opposants au projet ignorent la mise en place du comité de pilotage.

    Même si légèrement houleuse, la réunion a quand même permis des échanges entre les participants. La prochaine réunion organisée pour une partie des habitants de la rue Guy Patin se tiendra mardi.

     

  • Concert de l'OHCF : on prend les mêmes et on recommence... à l'église Saint-Vincent de Paul

    Nous avons annoncé le concert de l'Orchestre d'Harmonie du Chemin de Fer du Nord ("OHCF") dans la salle des fêtes de la Mairie du 10e fin janvier pour l'ouverture de sa saison musicale (voir notre article du 28 janvier).

    paris,paris-10e,concert,harmonie-du-chemin-de-fer-du-nord,église-saint-vincent-de-paul

    Si vous avez raté ce moment musical, vous pourrez retrouver l'éclectisme de son programme lors du prochain concert :

    dimanche 14 février à 15h

    en l'église Saint-Vincent de Paul (5 rue de Belzunce, Paris 10e)

    paris,paris-10e,concert,harmonie-du-chemin-de-fer-du-nord,église-saint-vincent-de-paul

    L'occasion de retrouver un répertoire varié, de Vivaldi aux musiques de film, et d'écouter cet orchestre habile et virtuose, trois trompettistes solistes : Pierre Badel, Ignacio Ferrera Mena et Raphaël Horbach (deux élèves de Pierre Badel) et un accordéoniste : Marion Buisset. 

    Retrouvez ce nouveau concert sur sa page évènement Facebook !

    paris,paris-10e,concert,harmonie-du-chemin-de-fer-du-nord,église-saint-vincent-de-paul

    oOo 

    Le programme de ce prochain concert :

    1. The Great Locomotive Chase - Robert W. Smith

    2. Concerto pour 2 Trompettes - Antonio Vivaldi

    3. Out of Africa - John Barry

    4. Klesmer Classics - Johan de Meij

    5. Contrast - Hans Kolditz

    6. Rushes - James Cower

    7. Rock Encounter - Jay Chattaway

    8. Le retour du grand blond - Vladimir Cosma

    9. Buglers' Holidays - Leroy Anderson

    paris,paris-10e,concert,harmonie-du-chemin-de-fer-du-nord,église-saint-vincent-de-paul

    Une occasion pour (re-)découvrir l'intérieur basalical et la nef de cette église, construite dans la 1ère moitié du 19e siècle et inscrite Monument Historique. 

     

  • Devenir de Lariboisière et Widal : où en est-on ?

    C'était la deuxième fois que les conseils de quartier Louis-Blanc Aqueduc et Lariboisière Saint-Vincent de Paul organisaient une plénière dans les locaux de l'auberge de jeunesse le Belushi's, rue de Dunkerque. En novembre 2014, on avait parlé sécurité et prévention avec la présence de nombreux habitants (lire notre article du 18 novembre 2014). Cette fois encore, la salle en sous-sol était bondée, environ 150 personnes.

    Invités pour l'occasion, des élus bien sûr, mais également Eve Parier, directrice du pôle hospitalier Saint-Louis-Lariboisière-Widal, François Nicolas, directeur de Lariboisière et Rémy Nizard, chef du service de Chirurgie orthopédique et représentant des médecins du groupe hospitalier.

    Nous avions déjà expliqué le projet dans notre article du 8 décembre 2014.

     

    Alors quoi de neuf ?

    Lire la suite

  • Tous les détails sur les travaux de la rue Saint-Laurent (10e)

    Dans notre article du 26 janvier dernier, nous vous annoncions les travaux d'une portion de la rue Saint-Laurent située aux abords de la Gare de l'Est, et que nous avions découverts fortuitement, sans que les riverains ou le Conseil de Quartier Saint-Denis Paradis concernés n'aient été, semble-t-il, préalablement informés ou consultés.

    paris,paris-10e,gare-de-l-est,aménagement-abords-gare-de-l-est,rue-saint-laurent,elise-fajgeles,travaux

    Localisation des travaux (cliquez sur la carte pour l'agrandir)

     

    L'élue adjointe au maire du 10e, chargée de l'espace public, Elise Fajgeles, nous a apporté des informations complémentaires, additionnelles aux éléments contenus dans la notice affichée dans le quartier, sur la nature de ces travaux.

    paris,paris-10e,gare-de-l-est,aménagement-abords-gare-de-l-est,rue-saint-laurent,elise-fajgeles,travaux

    "La chaussée actuelle de la rue Saint-Laurent a une largeur de 6,70 m stationnement compris, et 3,10 m hors stationnement, sauf au niveau de la traversée piétonne côté bd de Magenta, où la chaussée a une largeur de 3,50 m. Cette voie connaît des problèmes récurrents de propreté, en dépit des efforts constants de la division de la Propreté. L’aménagement projeté supprime la file de stationnement actuelle côté pair, sur le tronçon de la rue Saint-Laurent compris entre le boulevard de Strasbourg et le boulevard Magenta.
     
    Le trottoir ainsi élargi, qui passe d’une largeur d’1,70 m à 3,50 m, aura un fil d’eau continu. La future bouche de lavage créée au 22 rue Saint-Laurent permettra un nettoyage plus efficace de la rue. Le trottoir côté impair reste inchangé.
     
    Le calibrage actuel de la voie (3,10 m hors stationnement) est incompatible avec un double-sens cyclable. Pour pouvoir autoriser celui-ci, il a été décidé de remplacer le stationnement actuel côté impair (largeur 1,80 m) par du stationnement moto longitudinal, entrecoupé de zones de stationnement vélos, sur une largeur d’1,20 m. La chaussée future aura ainsi une largeur de 3,70 m hors stationnement, ce qui nous permet de matérialiser un double-sens cyclable à l’aide de 5 logos vélos au sol, accompagnés d’autant de flèches, côté impair le long du stationnement 2 roues.
     
    Il existe une place de stationnement GIG-GIC côté impair [NDLR : Grand Invalide de Guerre - Grand Invalide Civil, i.e. réservées aux personnes en situation de handicap]. Celle-ci ne peut être maintenue, elle est donc déplacée au 20 rue Saint-Laurent (en face), sur lincoln [NDLR : stationnement en long utilisant une découpe du trottoir par une série d'encoches], sans incidence sur le fil d’eau, et aura une dimension de 2 m x 7 m. Le trottoir pair aura ponctuellement une largeur d’1,50 m au droit de celle-ci.
     
    Enfin, un long plateau surélevé est créé à l’entrée de la voie, côté boulevard de Strasbourg."

    paris,paris-10e,gare-de-l-est,aménagement-abords-gare-de-l-est,rue-saint-laurent,elise-fajgeles,travaux

     
    Nous pourrons admirer début avril 2016 le résultat de ces travaux de rénovation, et ne manquerons donc pas de vous rendre compte de ces améliorations. Avec des photos, à n'en pas douter ! 
     
     
  • Salle de conso : s'informer, débattre !

    On nous a souvent reprocher dans les commentaires faisant suite à certains articles publiés ici à propos de la salle de consommation à moindre risque (SCMR) d'être arrogants et de prendre les gens pour des idiots. C'est le mot "pédagogie", il est vrai souvent employé par nous, qui ne passe pas. Mais telle n'était pas notre intention, bien loin de nous l'idée de prendre les lecteurs de ce blog pour des imbéciles. Nous croyons en la force du savoir, la seule qui permet d'approcher un sujet avec Raison. C'est pourquoi, tout au long de ces derniers mois, nous nous sommes efforcés de diffuser beaucoup d'informations à propos de ces SCMR.

    Maintenant que le projet va être mis concrètement sur les rails, il nous semble important d'approfondir le dialogue entre certains acteurs du projet, à savoir ceux qui vont gérer cette salle d'une part, les riverains de celle-ci d'autre part. Les réunions formelles organisées par les institutionnels comme la mairie du 10e par exemple ont des limites très claires : elles ne permettent pas un vrai dialogue et tombent souvent dans des excès de langage inutiles. Elles sont aussi bien souvent utilisées pour une instrumentalisation politicienne du sujet, ce qui n'est pas là non plus très utile.

    L'association GAIA qui va gérer la salle d'injection supervisée et Action Barbès se connaissent maintenant depuis un certain temps. Des relations de confiance se sont installées entre nous, aussi avons-nous décidé de lancer un projet commun à destination des riverains. L'idée est de proposer aux habitants riverains de la SCMR de se réunir par petits groupes facilitant ainsi les échanges. Le but est de mieux connaitre GAIA, son expérience, les objectifs de la SCMR et de présenter concrètement le projet d'installation de la salle rue Ambroise-Paré autour d'un plan. Bien sûr d'autres sujets pourront être abordés à commencer par les craintes exprimées par certains.

    Nous allons constituer six groupes d'immeubles. Les deux premiers sont : 

    . Groupe n° 1 : les habitants des immeubles des 9, 11, 13 et 13bis de la rue Ambroise Paré.

    . Groupe n° 2 : les habitants des immeubles des 154, 156 et 158 du boulevard Magenta qui donnent sur la rue Guy Patin.

    La réunion du groupe n°1 est prévue pour le mardi 9 février et celle du groupe n°2 pour le mardi 16 février. Ces réunions sont prévues pour durer 1h30. Le lieu sera communiqué aux riverains par affiches dans les halls d'immeubles concernés et flyers dans les boites aux lettres. Les dates pour les autres groupes ne sont pas encore fixées mais nous vous tiendrons au courant bien évidemment. Toutes les réunions auront la même structure.

    Le mieux est d'échanger. Chacun doit pouvoir exprimer son point de vue sereinement. Tel est notre but.

    paris,scmr,prévention,réduction-des-risques,salle-de-consommation,salle-de-conso,paris-10e

     

  • Un regard sur les squares en réfection

    En hiver la nature se met en sommeil. A Paris les squares aussi. Le drame est qu'ils sont les seuls espaces verts, quand ils sont verts ! qui proposent un cadre protégé à nos chers petits. Or cet hiver, plusieurs squares sont fermés en même temps. 

    Dans le 9e, le square d'Anvers situé aux abords du boulevard de Rochechouart est en partie fermé seulement. Nous vous avons présenté le projet dans notre article du 16 avril dernier. A noter que nous en sommes à la deuxième rénovation en 10 ans puisque la précédente datait de 2006 comme l'indique notre article du 3 juillet de cette même année.

    paris,10e,18e,squares,jessaint,anvers,deve

    paris,10e,18e,squares,jessaint,anvers,deve

     

    ... Et dans le 18e, le square de Jessaint, situé place de la Chapelle.

    paris,10e,18e,squares,jessaint,anvers,deve

    paris,10e,18e,squares,jessaint,anvers,deve

    Le square de Jessaint a été fermé de longs mois à plusieurs reprises (voir nos articles ici ou ) en raison des rongeurs, disons des rats plus simplement, qui pullulaient et petit à petit se montraient même en plein jour un peu partout. Au point que le square soit totalement abandonné par les familles. Dans notre article du 27 octobre de l'an passé, nous expliquions le principe de lutte adoptée contre ces nuisibles. Maintenant rien n'y parait. Tout est recouvert. Il semble que des pelouses en dalles, comme la moquette (i), ou en rouleaux, soient en cours de reprise. Le temps clément de cet hiver se prête bien à ces plantations. Les arbres ont été préservés et leurs troncs protégés pendant les travaux. Il n'est plus qu'à attendre des incrustations florales, qui ne manqueront pas de venir. 

    Nous vous avertirons à l'occasion de la réouverture.

     

  • Propreté : une intervention efficace de la police au service de l'espace public

    Nous avons déjà à plusieurs reprises évoqué la situation de l'espace public devant le 6 rue du 8 mai 1945 à Paris 10e : une placette sur le trottoir à l'angle de la rue du 8 mai 1945 et de la rue d'Alsace, à proximité immédiate de la Gare de l'Est, et donc stratégiquement localisée sur la zone très fréquentée par les passants entre les 2 gares du 10e.

    Initialement les déchets et détritus divers s'accumulaient sur la terrasse privative de l'ancien établissement "L'Ecu de France", n'appartenant pas au domaine public par définition. Aussi les agents municipaux de la propreté de la Ville de Paris n'étaient-ils pas théoriquement en capacité d'intervenir sur cet espace privatif (lire nos articles du 31 octobre 2015 et du 11 novembre 2015).

    Suite à nos articles et sur injonction de la Direction de l'Urbanisme de la Ville de Paris, la terrasse a finalement été déposée au cours de la première quinzaine de décembre, permettant ainsi aux services municipaux de la propreté de pouvoir à nouveau entretenir et nettoyer cet espace rendu au domaine public.

    Constatant pourtant la nouvelle accumulation de détritus sur cet espace, nous avons interrogé nos interlocuteurs à la Direction de la Propreté, qui nous ont avoué leurs difficultés multiples à pouvoir nettoyer le trottoir à cet endroit, du fait notamment de véhicules stationnant à même le trottoir.       

    paris,paris-10e,espace-public,stationnement,verbalisation,police,julien-miniconi

    Aussi, le 20 janvier dernier, avons-nous interpellé le Commissaire Central du 10e, Julien Miniconi, afin qu'il fasse intervenir ses équipes, et notamment les Agents de Surveillance de Paris ("ASP") chargés de faire respecter les règles en matière de stationnement.    

    paris,paris-10e,espace-public,stationnement,verbalisation,police,julien-miniconi

    Le jour même, nous recevions un message du Commissaire indiquant que, suite à notre message, les effectifs de l'UPA (Unité de Police Administrative) s'étaient rendus sur place et précisant également :

    "L'entreprise [...] qui effectue des travaux à l'intérieur du bâtiment a été sanctionnée par la rédaction d'un avis de contravention lié à la constatation de l'occcupation illicite de la voie publique, celle-ci ayant entreposée sur le trottoir un "BIG BAG" rempli de sable. En ce qui concerne le stationnement du véhicule sur le trottoir, je vais donner des instructions fermes aux ASP."

    paris,paris-10e,espace-public,stationnement,verbalisation,police,julien-miniconi

    Depuis cette intervention efficace, l'espace public à l'angle de la rue d'Alsace et de la rue du 8 mai 1945 (coté gauche du parvis de la Gare de l'Est), a retrouvé une certaine sérénité en matière de propreté et d'entretien générale. L'entreprise qui y effectue les travaux au RDC, semble désormais respecter l'interdiction de stationner sur les trottoirs. Et nos interlocuteurs à la Direction de la Propreté de Paris ont admis que cette intervention de la Police "représente [pour eux] une grande aide".  

    paris,paris-10e,espace-public,stationnement,verbalisation,police,julien-miniconi

    Photo prise le 25 janvier 2016, quelques jours après l'intervention des équipes de police du 10e...

     oOo

    Pourtant, cette anecdote et notre intermédiation nous amènent à réfléchir sur les éventuelles lacunes en matière de communication entre les services de la Ville et ceux de la Police.

    Gageons que la future brigade spécialisée contre les incivilités (encore récemment appelée "brigade verte") permettra une meilleure fluidité dans le traitement des points noirs dans l'espace public parisien : comme l'indiquaient DirectMatin et le JDD lundi, ce sujet sera débattu dans le cadre du plan de propreté au Conseil de Paris des 15-17 février prochains.

     

     

  • Réaménagement du square Alban Satragne : lancement de la concertation

    Situé à proximité de la Gare de l'Est, en prolongement de la nouvelle médiathèque Françoise Sagan à l'emplacement de l'ancien Clos Saint-Lazare (composé de l'hôpital et de la prison du même nom), le square Alban-Satragne est promis depuis de nombreuses années à un réaménagement, qui tarde depuis trop longtemps...

    paris,paris-10e,square-alban-satragne,espaces-verts,réaménagement,concertation,rémi-féraud

    paris,paris-10e,square-alban-satragne,espaces-verts,concertationAu fil de ces dernières années, le square Alban-Satragne est devenu pour les riverains et habitants du 10e un objet de crispation.

    Pour certains, les abords de ce square sont devenus les lieux de nuisances diverses, illustrées par exemple dans cet article (ci-contre) du Parisien daté du 6 novembre 2014 (à retrouver ici pour la version en ligne), suite à une attaque à l'explosif des distributeurs de billets de La Poste Magenta.

    Dans ce contexte de vols répétés et de nuisances liées à la précarité de certaines populations qui s'y retrouvaient, les efforts des équipes du nouveau Commissaire Central du 10e, Julien Miniconi, ont permis à cet espace aux abords du square Alban-Satragne de retrouver une sérénité, certes relative, en 2015, en comparaison avec les années précédentes.

    Par ailleurs, de manière plus anecdotique, le square a récemment été confronté à des problèmes importants de rongeurs (lire nos articles du 1er novembre 2015 et du 28 novembre 2015).

     

    Lors d'une réunion publique le 10 mars 2014 dans le cadre des dernières élections municipales, le candidat-maire Rémi Féraud avait indiqué que le réaménagement du square Alban-Satragne serait la 3e et dernière phase du vaste réaménagement de l'ensemble, comprenant les nouveaux équipements : la crèche et le centre social "Le Pari's des Faubourgs" (2009), le gymnase Marie Paradis (mai 2013) et la médiathèque Françoise Sagan (mai 2015).

    Concernant le coût de ce réaménagement (comprenant le déplacement de la trémie - entrée du parking souterrain - sur le boulevard Magenta, choisi par le Conseil de Quartier Saint-Denis Paradis du 6 novembre 2008, mais jamais réalisé...), Rémi Féraud l'avait estimé à 20 M€...

    oOo

    Concernant le Conseil de Quartier Saint-Denis Paradis du 6 novembre 2008, consacré à l'aménagement du square Alban-Satragne et aux choix de l'emplacement de l'entrée du parking, vous pouvez télécharger :

    . Le compte-rendu de cette réunion publique.

    . La présentation lors de cette réunion publique. 

    oOo

    paris,paris-10e,square-alban-satragne,espaces-verts,réaménagement,concertation,rémi-féraud

    paris,paris-10e,square-alban-satragne,espaces-verts,réaménagement,concertation,rémi-féraud

    La concertation pour le réaménagement du square Alban-Satragne est donc désormais lancée, avec cette première réunion publique, dans la Salle des Fêtes de la Mairie du 10e :

    Mercredi 3 février à 19h

    paris,paris-10e,square-alban-satragne,espaces-verts,concertation

     

  • Les travaux boulevard de Denain : ils arrivent !

    Dans le cadre des aménagements aux abords de la Gare du Nord, la mairie avait retenu l'idée de réduire l'entrée du boulevard de Denain afin d'inciter les automobilistes à lever le pied. Seuls les taxis sont autorisés à l'emprunter mais ils ne respectent pas tous, loin de là, la zone de rencontre qui rend le piéton prioritaire. De plus, de trop nombreux autres véhicules continuent à s'y engouffrer.

    paris,paris 10e,gare du nord,boulevard de denain,voirie,circulation

    Les travaux, initialement prévus en fin d'année dernière, ont été reportés pour cause de COP 21.

    Les travaux d'assainissement pour les bouches d'égouts doivent commencer lundi prochain jusqu'au 4 mars. On enchainera sur les travaux d'infrastructure (création du trottoir traversant) du 7 mars au 5 avril. Il ne restera plus qu'à observer l'attitude des conducteurs...

    paris,paris 10e,gare du nord,boulevard de denain,voirie,circulation