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Dans le 18ème - Page 50

  • Barbès respire continue avec les CRS et plus de moyens

     
    Notre dernière rencontre avec le commissaire Rigon, chef du 2e district de Paris,  a permis de confirmer une présence plus pérenne de deux sections de CRS dans le quartier, entre Chapelle et Barbès. Même si nous le savons depuis toujours, leur présence n’est que dissuasive. Nous savons que leur mission n’est pas de verbaliser la petite délinquance qui sévit dans nos rues. Les compagnies républicaines de sécurité (CRS) sont dédiées au maintien de l’ordre, l’ordre dans la cité, pas l’ordre sur notre trottoir, cet ordre que mettent à mal tous les vendeurs d’objets hétéroclites et totalement illicites. C’est dommage mais c’est ainsi. De cette fonction découle également le caractère non permanent de leur présence. Expliquons. Si l’Intérieur doit faire face à des manifestations d’importance, ou à des actes qui déstabilisent l’ordre public, on pense à des actes terroristes, mais pas seulement, alors les compagnies peuvent être affectées à d’autres terrains et disparaître pour un moment de notre champ de vision.
     
    Le commissaire a précisé qu’il les positionne à des points sensibles, et que ces "points chauds" peuvent changer chaque jour, de façon à ce que la présence policière ne soit pas prévisible. Il s’agit d’optimiser les moyens vers le plus d’efficacité possible. De même les équipages de policiers reçoivent des missions de contrôle et de surveillance qui varient chaque jour, "pour surprendre" a souligné notre interlocuteur. 
     
    Le "bassin de délinquance", c’est à la fois le terme qu’utilise le commissaire et une réalité territoriale qu’il a fait passer auprès de sa hiérarchie. Il faut mettre un terme aux reports, au jeu du chat et de la souris entre les uns et les autres. Globaliser, traiter un ensemble, simultanément, avec des forces de police conséquentes et stables, sous une même autorité. Plus de zone de sécurité prioritaire (ZSP), plus de brigade spéciale de territoire (BST), oeuvrant chacune dans son coin, désormais on coordonne, on harmonise et on fait en sorte d’être le plus possible sur le terrain, et de préférence, là où les délinquants ne s’y attendent pas. On apprend par ailleurs que la BST du 10e sera renforcée, passant de 25 à 40 agents, d’ici à la fin de l’année. 
     

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    La coordination devra aussi se faire avec les services de la Ville de Paris qui ont une mission de sécurité, la direction de la protection, de la sécurité et de la prévention (DPSP), mais aussi avec la police des réseaux ferrés (train, gare et métro), sans oublier d’autres services qui participent, à leur façon, du bon ordre dans l’espace public, par exemple, la direction de l’attractivité et de l’emploi (DAE), qui gère le bon fonctionnement des marchés parisiens. (Suivez mon regard vers le boulevard de la Chapelle deux jours par semaine… ). Par ailleurs, le procureur a accepté le renforcement du volet judiciaire, et validé la création d’un groupe local de traitement de la délinquance (GLTD) sur Chapelle, qui ne manquera pas de fusionner avec le GLTD voisin déjà existant.  
     
    Mais, très vite, devant le tableau que lui décrivent les associations qu’il rencontre régulièrement, le commissaire insiste sur la composante Temps de sa mission, le travail dans le temps. Il faut tenir. Il faut résister avec la même pression constante. C’est son crédo. Vu la situation, celle de Chapelle semble encore plus grave et plus intenable qu’au carrefour Barbès — et ce n’est pas peu dire — nous voulons donc le croire, et lui accorder tout le crédit possible. Avons-nous d’ailleurs une alternative ? 
     
     
  • Station Château Rouge : une fresque pour embellir le lieu

    La station Château rouge avait réouvert pendant l'été avec une seconde sortie du côté de la rue Custine et un espace d'accueil largement agrandi (voir notre article du 12 juillet). Il restait à dévoiler la fresque réalisée par l'artiste camerounais Barthélémy Toguo. Le vernissage a eu lieu la semaine dernière en musique.

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    A l'extérieur, la nouvelle sortie est dégagée et agréable à pratiquer.

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    De l'autre côté du boulevard Barbès, la sortie déjà existante est toujours aussi occupée par des vendeurs à la sauvette. Là, rien n'a changé. Mais c'est une autre histoire...

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  • Pourquoi ne pas se rapprocher du numérique

    Parmi toutes les annonces que nous recevons quotidiennement en tant qu'association, nous en relevons certaines que nous relayons. Connaissez-vous le club de la Goutte d'ordinateur, par exemple ? 

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    Située au carrefour des rues Myrha et Léon, à l'angle opposé de la boulangerie Tembely qui ravit tout le quartier avec son pain de qualité, là se trouve l'association La Goutte d'ordinateur, avec des vitrines largement ouvertes sur deux pans de la façade et l'entrée au 7, rue Léon.

    Pour la troisième année consécutive, le club vous propose des activités ludiques et créatives autour du numérique chaque mercredi de 16h30 à 18h30. Les horaires pourraient laisser croire que les activités sont réservées aux jeunes scolarisés, mais non, elles sont ouvertes à tous, inter-générationnelles même. Aussi si vous n'avez pas encore acquis toute la dextérité indispensable au maniement d'un ordi, si vous avez envie de mieux gérer les photos faites l'été dernier, les classer, les retoucher... peut-être trouverez-vous ici les bons interlocuteurs. Mais ce n'est pas tout, vous pourrez profiter de projections de films libres de droits, participer à des sorties culturelles dans le quartier qui recèle des richesses insoupçonnées... 

    La première séance a eu lieu mercredi 18 octobre, celle-ci vous l'avez ratée ! mais les suivantes.... le 25 : comment créer une web radio sur internet (choix des thèmes, écriture des articles, enregistrement de l'émission), ou le 15 novembre : une séance de film dont le titre sera annoncé prochainement... Le programme complet est accessible sur le site du club. 

     

    Informations et renseignements au 01 42 51 03 61

    ou par mail à : gouttedordinateur@sallesaintbruno.org

     
     
  • Barbès un marché comme les autres ?

    Il faut être positif, patient aussi, nous dit la Mairie de Paris car nous travaillons à son amélioration, montrer les bons côtés du marché, et arrêter de le dénigrer sans cesse. (voir notre article du 20). Ok, on va tenter. 

    Malgré la foule qui déambule aussi bien dans l'allée centrale que sur les côtés extérieurs, malgré les vendeurs à la sauvette qui ralentissent le passage des clients entre les étals, et créent des bouchons bruyants, protestations et cris des râleurs qui ne voient pas bien l'intérêt de vendre là des montres de pacotille, ou des slips et chaussettes et encore moins des bouquets de persil ou de coriandre au nez et à la barbe des marchands ayant acquitté leur place.... malgré tout cela, le marché de Barbès est un dépaysement complet. Pourtant, certains habitants du quartier ont lâché l'affaire, ils n'y trouvent plus leur compte, ils disent que la qualité a baissé, que les contacts sont devenus difficiles, la tension est présente, l'agressivité aussi souvent. Tout cela est vrai. Ressenti par tous. Que faire ? 

    On est dans un marché populaire. Les prix sont, comme chez Tati, les plus bas de Paris. Les clients viennent parfois de loin pour y remplir leurs caddies et repartent qui en bus, qui en métro. Prenez la ligne 2 vers 13h à Barbès, et vous serez surpris du nombre de caddies présents dans la rame. Quand on sait acheter, qu'on regarde avec soin ce qui entre dans le sachet, on peut en revenir avec des produits de qualité. On peut même faire des affaires en saisissant les opportunités. Des exemples ? Deux petits conteneurs transparents de 500 gr de pommes de terre, type BF15 ou charlotte, qualité bio, pour un euro. Ou encore le kilo de coquilles saint-jacques à 8,95 €. Vous ne les trouverez pas chez Carrefour ou Auchan. Pour la majorité des produits, les marges sont étroites mais la quantité est là, qui compense. Les commerçants, dans leur ensemble, sont des vieux routards de la vente de produits périssables sur les marchés et connaissent leur affaire. Ils savent acheter à Rungis. Ils savent aussi quel produit ne pourra pas se vendre ici car le prix est trop élevé pour le pouvoir d'achat local. Certes, le quartier s'est renchéri au niveau de l'immobilier, mais assez rares sont les nouveaux propriétaires qui font leurs courses  au marché. 

    Toutefois, nous constatons depuis des mois que des stands de produits non alimentaires remplacent des étals de fruits et légumes, certains jours. C'est dommage, car la Direction de l'attractivité et de l'emploi (DAE, c'est le nom du service de la Ville qui se charge du fonctionnement des marchés en coopération avec les délégataires) avait organisé l’espace, il y a quelques années, de telle sorte que le non-alimentaire s'installe à l'est du marché, sous le viaduc, mais au carrefour des rues de Maubeuge et Tombouctou. Ces marchands, qualifiés de "volants", ne sont pas titulaires d'un emplacement attitré, normalement. Ils acquittent leur droit, au coup par coup, auprès du placier, en fonction des espaces disponibles lors de l'installation du marché à l'aube. D'où parfois, à côté du poissonnier, un  camelot qui vend des parfums avec verve et succès (!) ou un marchand de prêt-à-porter entre deux stands de melons. Or, nous rappelons régulièrement lors de réunions avec élus et services de la ville que ce marché est avant tout un marché alimentaire.

    Cependant, il faudra bien trouver des compromis et donc dialoguer avec les commerçants. C’est le rôle de la ville et du délégataire. Nous pouvons ainsi espérer faire progresser la situation du marché, améliorer son environnement, le rendre plus agréable et y compris améliorer les conditions dans lesquelles les commerçants eux-mêmes travaillent. Certains nous ont dit qu'ils passaient du temps, au petit matin,  à nettoyer leur place avant d'installer les stands parce que, la veille, marché illicite ou distribution alimentaire avait eu lieu sans que les agents de la propreté aient eu le loisir de repasser. On le voit aussi en fin de marché, après le passage de la "fonctionnelle" quand les sauvettes sortent leurs caddies et déballent leurs toiles au sol. Une patrouille de policiers les fait disparaître... mais le sol reste jonché de détritus, cageots et cartons compris. La version moderne du mythe de Sisyphe...

    Encore un point positif sur ce marché hors du commun. On sait qu'à la fin des marchés, ici comme ailleurs, on a toujours croisé des "glaneurs", qui collectent les fruits et légumes laissés pour compte avant le grand balayage. Vu la conjoncture économique, ils sont malheureusement de plus en plus nombreux. Mais, ici le mercredi, vers 13h, c'est l'association des Restos du coeur qui vient avec un camion et prend en charge des cageots entiers de produits frais pour sa cuisine d'Aubervilliers. Un point positif qu'on ne pouvait pas complètement passer sous silence. 

    Avant de terminer le tableau, nous voulons encourager les marchands à trier un peu mieux leurs déchets, et profiter que des conteneurs spéciaux sont mis à leur disposition (ils sont une vingtaine, avec des couvercles bleus), et qu'ils sont collectés par une benne dite BIO avant le grand nettoyage de 15h. Bio, compostage, etc... bon pour l'environnement ! 

    Par ailleurs, les deux compacteurs de Derichebourg, qui ne fonctionnent pas toujours à ce que nous avons entendu, sont un peu dépassés par les quantités de marchandises qui arrivent en même temps que les cartons et les cageots en bois léger. Tout cela est avalé, mais pas toujours compacté, et les rotations du camion qui enlève la benne se font plus fréquentes. S'en suit une interruption de la circulation sur le boulevard de la Chapelle qui crée un embouteillage en amont, des klaxons, etc.... Sisyphe…. et le rocher est très lourd à bouger !

  • Comité de pilotage Barbès restreint : marché, commerces et sécurité au menu

    Le précédent comité de pilotage Barbès (copil) avait eu lieu en février (voir notre article du 16 février). Comme à l'habitude, il était présidé par Philippe Chotard. Mais cette fois, peut-être parce que les points à aborder étaient moins nombreux, c'est Colombe Brossel, adjointe chargée de la prévention et de la sécurité, qui était aux manettes.

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  • Attribution probable et contestée d’un local angle Myrha/Affre

    La mairie du 18e dispose d’une commission baptisée « Pieds d’immeubles ». Elle se réunit régulièrement et délibère sur les attributions des locaux vacants, ou à livrer dans les mois à venir dans l’arrondissement, par un bailleur social. (Faut-il préciser que la Ville n'a aucune influence sur le type de commerce que peut accepter une copropriété ou un bailleur privé ? Liberté du commerce oblige... )

    Nous recevons tout aussi régulièrement le compte rendu des délibérations et des débats au sein de cette instance. La dernière réunion a eu lieu le 26 juin et a examiné la liste des locaux actuellement vides et ceux qui seront livrés prochainement.

    A propos, qui siège dans cette commission ? D'après nos sources, on y retrouve les représentants de

    • la Mairie du 18e
    • des services de la Ville de Paris (DDCT, DDEEES, DU)
    • l’ensemble des bailleurs sociaux
    • la Chambre du Commerce et de l’Industrie de Paris
    • la Chambre des Métiers et de l’Artisanat
    • des conseils de quartier
    • des associations de commerçants

    En plus des activités de cette commission, la Goutte d'Or bénéficie d'un cadre structuré en faveur de la revitalisation du commerce depuis janvier 2016 (présentation en présence de Olivia Polski à la mairie du 18e).

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  • La Sorbonne Clignancourt vous invite à une répétition

    Si vous avez envie de vivre un moment convivial avec des musiciens au sein d'un orchestre, profitez de l'invitation du COSU le samedi 21 octobre de 11h30 à 13h à l'Auditorium du Centre Clignancourt au 2 rue Francis de Croisset (métro Porte de Clignancourt). Vous participerez ainsi à une répétition, une expérience à tenter.

    C'est gratuit mais il fait s'inscrire ici.

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    © Léo Andrés

     

     
  • Retour sur la 2e réunion publique pour la Promenade urbaine

    Pour la seconde réunion publique, la ville avait choisi, après le Louxor en juillet, les Bouffes du Nord ce jeudi 5 octobre. Une marche exploratoire avait eu lieu la semaine précédente, marche à laquelle nous avions participé, pour affiner les propositions de la ville.

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    Sur la scène du théâtre siégeaient les maires des 10e et 18e Rémi Féraud et Eric Lejoindre, Christophe Nadjovski adjoint à la maire de Paris, Cécile Lagache de la Direction de la voirie et des déplacements (DVD) et François Tchékémian de la Direction de l'Attractivité et de l'Emploi (DAE).

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  • L'art graphique et la rue Doudeauville

    Il y a quelques années, nous avions été interpellés par nos amis Les Libraires associés sur l'existence d’un groupe de jeunes graphistes en quête d’un lieu dans la Goutte d'Or pour poser leurs machines, des presses, énormes pour certaines, pour la taille douce ou la lithographie, poser aussi leur art et leur amour du papier et du livre. Malgré nos efforts et l’intérêt que nous leur portions, nous n’avions pas les clés d’un local adéquat, et la mairie du 18e, sollicitée aussi, ne semblait pas en mesure de répondre aux besoins. Pourtant ils ont fini par trouver et ont pu s’installer rue Doudeauville au 33ter, en mai 2015, dans un grand local (quelque 400 m2), en partie en sous-sol, un lieu qui avait hébergé une sorte de brocante sur la dérive. Le Paris Print Club était né. Pour en savoir plus sur ces 22 jeunes graphistes, cliquez donc ici. 
     
    Maintenant les activités de ces amoureux de l'artisanat du livre et de l'image s'étendent. Nous avons reçu une invitation à nous rendre ce jeudi, de 18h à 22h, au vernissage d'une nouvelle exposition dans leur galerie BATT, au 33bis de la même rue Doudeauville  :
    FLATLAND
    Lancement de Quelques miettes à géométrie variable
    de Nicolas Nadé aux éditions Matière
    Expositions de dessins originaux

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    La Galerie P38 et la BATT exposent les planches originales du livre de Nicolas Nadé ainsi que celles des 9 leporello qui forment la collection Matériaux des éditions Matière.

    Avec : Nicolas Nadé / Sammy Stein / Jean-Philippe Bretin / José Parrondo / Alex Besikian / Lomé Lu / Manuel / Alexis Poline / Manuel Bienvenu / Hicham Amrani

    Notez également la signature en présence de Nicolas Nadé à la BATT le dimanche 22 octobre de 14h à 18h
     
    Un lieu très riche à découvrir si vous ne le connaissez pas encore... 
     
  • Une belle exposition chez les Libraires associés

    Une nouvelle fois, les Libraires associés nous invitent à venir découvrir une nouvelle exposition au 3, rue Pierre l'Ermite. Sera présentée une rétrospective du travail d'Henri Galeron avec des dessins originaux. Le vernissage a déjà eu lieu mais l'exposition se prolonge jusqu'au 11 novembre, vous avez donc le temps.

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    Par ailleurs, fin novembre aura lieu la fête du Livre animé, un rendez-vous à ne pas manquer. Auparavant, notre association tiendra son assemblée générale le 9 novembre dans ce très beau lieu prêté par les libraires. Nous les en remercions.
     

  • Pas vu de street art depuis longtemps ?

    Des réunions de concertation ont repris après l'été, organisées par la Ville, dans le cadre du projet de promenade urbaine. Nous sommes déçus pour l'instant de la réticence, voire de l'opposition aux réductions des flux automobiles encore tenace du côté de la mairie de Paris. Notons cependant une avancée sur une possible expérimentation de réduction à une voie de circulation sur l'ensemble du parcours (ou presque. Nous restons vigilants.

    Pour garder espoir, nous nous passons en boucle de jolies fresques, des exemples de street art toujours plus spectaculaire, toujours plus étonnant et original. Pourrons-nous voir un jour dans nos quartiers, et sur cette promenade dont la gestation est plus que pénible, le talent de ces créateurs à l'imaginaire débordant ? 

  • La Nuit blanche s'installe à l'école maternelle de la rue de la Goutte d'Or

    La Nuit blanche s'installe à l'école maternelle de la Goutte d'or, une soirée consacrée à l'estampe, art ancien et populaire que tout un chacun peu pratiquer : élaboration d'une oeuvre collective avec la participation des visiteurs, atelier tatouage éphémère, rencontres avec des artistes, conférences, projections, expositions, le tout en musique... la nuit va être graphique.

    L'école maternelle, 57 rue de la Goutte d'Or, 18e, sera ouverte de 19h à 5h du matin.

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