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Dans le 10ème - Page 114

  • Et si la rue de Maubeuge rejetait le "tout massage" ?

    Une découverte nocturne a déclenché dans notre esprit une pensée singulière. De quoi s’agit-il donc ? Dites… 

    Regardez bien cette vue prise à la nuit tombée au 65 rue de Maubeuge. 

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    Pas d’enseigne, au moins pas d’enseigne visible sur la photo. Pas de néon, pas d’enseigne lumineuse, et sur place pas de nom qui attire notre regard. En revanche que de bonnes choses colorées et de qualité à voir dans la vitrine et sur les nombreuses étagères à l’intérieur de la boutique. Est-ce une sorte de teasing ? Une ouverture anticipée ? Une économie de publicité ? On entre, on goûte, c’est bon. Que diable a-t-on besoin d’un nom de boutique ? Peut-être. Nous demanderons à l’occasion.
     

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    Pourtant les pages jaunes nous renseignent. 65 rue de Maubeuge, c’est le tabac qui fait l’angle avec le faubourg, c’est aussi l’agence de voyage Jancarthier, le coiffeur visagiste Pierre-Yves Lila et pendant longtemps un petit fleuriste de quartier, avant que celui-ci ne devienne entre septembre 2010 et mai 2011, un salon de massage. C’est Google et son street view qui nous renseigne précisément. 
     
    Mais exit le salon de massage. Depuis l’été dernier, des panneaux de contreplaqué cachaient la boutique puis bientôt des travaux d’aménagement. Et sortie récente — quand ? nous n’avons pas été invités à l’inauguration… — d’une boutique bien jolie qui recèle des trésors raffinés. Une visite s’imposera prochainement, notre reportage sur l’épicerie fine du 96 rue de Maubeuge, trottoir opposé donc, ayant intéressé de nombreux habitants du quartier (d'après les retours sur notre page Facebook). 
     
    paris,9e,10e,commerce,boutique,salon-massageAprès avoir accumulé les bureaux d’intérim au début des années 2000, puis les salons de massage depuis une dizaine d’année, la rue de Maubeuge est-elle en train de rejeter ce dernier avatar du commerce urbain ? En effet, remémorons-nous nos annonces dans ce blog : nous avons parlé ici du commerce de débit de vin En Vrac au n°69, du traiteur italien Dascoli au n°83, des Miscellanées de M. Jash au n°96 et maintenant de ce magasin sans nom. De quoi redonner espoir ! Et si la rue de Maubeuge rejetait le « tout massage » ? (Cliquez ici pour accéder à nos articles sur ce sujet des salons de massage.)

     

  • Marché Barbès : une situation qui n'est plus tolérable !

    Cf. Article dans Le Parisien : " Le marché de Barbès est devenu « ingérable » "

     

    Rappelez-vous. On s'était un peu fâché début novembre devant l'absence de réponse de la mairie du 18e au sujet de la placette Charbonnière et surtout du marché Barbès. Voir ici notre article du 3 novembre 2015 (et dans les commentaires la réponse du maire Eric Lejoindre). Nous l'avions ensuite rencontré en présence de Rémi Féraud, maire du 10e, pour échanger sur ces problématiques.

    Afaf Gabelotaud, adjointe chargée du commerce dans le 18e, s'était engagée à nous recevoir. Ce fut chose faite le 22 janvier dernier. Au fil de l'entretien, nous avons compris pourquoi ce rendez-vous avait tant tardé. Et le dépit de l'élue face à une gestion déficiente et manifestement opaque était perceptible.

    Retour sur 2015  

    Dans le cadre du projet de Promenade Urbaine (PU), il nous paraissait évident qu'une réflexion devait être menée sur le marché. Pourquoi ? Parce que le marché dysfonctionne et nous le répétons depuis des années dans le blog et à chaque réunion quand l'occasion s'en présente : l'état sanitaire n'est pas satisfaisant ; l'état de l'espace voué au marché n'est pas propre à l'arrivée des marchands, déchets, dépôts variés, odeurs d'urine, etc. ; il n'est pas propre non plus après le marché et le passage des agents de la Propreté de Paris (DPE), palettes et cageots restant sur le sol voire dans les rues adjacentes ; présence de marchés illicites lors du marché, aux abords, autour de la station, dans les rues adjacentes, et après le marché au gré des mouvements de la police ; salissures nombreuses après le départ de ces marchés illicites ; pas de verbalisation des marchands qui ne respectent pas le règlement ; stationnement des camions sur les trottoirs avec dommages aux séparateurs des pistes cyclables ; entrave au cheminement piéton ; livraisons nocturnes non permises ; stationnement anarchique des clients en voiture, en 2e file, non verbalisé ; débords de certains stands ne respectant pas les limites du marché ; etc, etc.... Oui, la liste est longue !

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    Promenade sous le viaduc entre les palettes de fruits et légumes autour de minuit

    Jusque là, les réunions d'échange avec l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) et la Direction de la Voirie et des Déplacements (DVD) n'avaient intéressé que le tronçon compris entre la rue de Tombouctou et la station Stalingrad. Le tronçon précédent... compliqué, nous disait-on.

    A notre demande, l'association avait été reçue à la Direction de la Prévention et de la Protection (DPP) à l'hôtel de ville, en présence de deux responsables de la Direction du développement économique, de l'emploi et de l'enseignement supérieur (DDEEES) en juillet de l'année dernière. Nous souhaitions notamment une réduction du nombre de stands pour éviter les camions sur le trottoir le long de l'hôpital, une gestion moins anarchique de l'ensemble, pour faire court. Nous apprenions alors qu'un nouveau cahier des charges venait d'être rédigé dans le cadre d'un appel d'offre pour la désignation de nouveaux délégataires (dont on nous disait en passant qu'ils ne se bousculaient pas pour postuler). On en prenait pour 4 ans, le temps de la délégation ! Autant dire que notre idée d'espace convivial au centre du marché, un aménagement proposé dans le cadre du budget participatif 2015, ne pouvait être mis en place ! Pas même discuté ou analysé...

    On nous confirmait aussi qu'il n'y avait quasiment aucune verbalisation des commerçants malgré les nombreuses infractions à la législation. Sans parler des ventes à la sauvette dans l'allée centrale gérée tant bien que mal par des agents de la DPP (aux dires des clients du marché, plutôt mal que bien). Heureusement, ce jour-là, c'était l'été, il y avait un beau soleil...

    Ces informations n'avaient pas fait l'objet d'un article à l'époque. Nous attendions d'en savoir un peu plus et espérions naïvement que la situation évoluerait dans le bon sens.

    Le point sur la situation actuelle   

    Côté entretien du lieu, nous n'avons pas manqué de signaler les palettes qui trainent régulièrement après le marché, et parfois dans les rues avoisinantes, les bannes en plastique que l'on retrouve adossées à l'un ou l'autre des piliers du métro. Pourtant de la responsabilité du gestionnaire... Ou non ? Ce sont bien ses services qui les mettent en place les veilles de marché et les reprennent ensuite.

    Toutefois, la discussion a surtout porté sur la complexité de fonctionnement de ces marchés et plus particulièrement de celui-ci.

    Le nouveau cahier des charges a été établi peu après les élections municipales. Dans ce cadre, les mairies d'arrondissement sont consultées mais la décision est prise par les services de l'Hôtel de Ville. Pourquoi cette fois une communication si difficile ? Pendant huit mois, le poste de la Direction des marchés n'a pas été pourvu ! Forcément, communiquer devenait mission impossible. On peut déplorer aussi que les services n'optent pas pour davantage de concertation en amont avec notamment les conseils de quartier ou associations, a minima, pour recueillir des informations qui pourraient s'avérer précieuses. Démocratie participative ignorée ? Elle existe pourtant, nous l'avons rencontrée lors de nos réunions avec l'Apur. Alors, est-ce une question de Services ? Oui chez les uns, et non chez les autres ? Ce serait donc plutôt une question de personnes....

    Que fait le nouveau gestionnaire ? — nous apprenons que l'ancien (le groupe Dadoun) a été reconduit... Étonnement. C'est lui qui est chargé de recruter les placiers — ici aussi le même que précédemment est reconduit... Stupéfaction — et sa mission s'étend au choix des commerçants. A ce stade, nous n'avons plus beaucoup d'illusions sur une évolution positive. Le processus est celui-ci : le gestionnaire gère et verse une redevance à la Ville qui ne garde que l'abonnement et le désabonnement des commerçants sans les avoir choisis. En clair, la Ville donne le macaron : elle valide un choix fait par un autre, sans maitriser aucun critère de sélection.

    On comprend bien que les dysfonctionnements résultent d'une mauvaise gestion. Volontaire ou pas. On peut s'interroger.

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    Des palettes fraîchement déchargées derrière des bannes du marché destinées à couvrir les stands...

     

    Il règne sur ces marchés une forme d'opacité, situation probablement pas unique dans la capitale, et peut-être même ailleurs qu'à Paris. On apprend au cours de la conversation que le placier reçoit un smic comme salaire. Peut-on raisonnablement penser qu'un placier, qui doit être là dès 5h du matin jusqu'au moins 14h30, dans des conditions parfois difficiles, accepte d'être payé au smic ? Pourtant, beaucoup sont là depuis de nombreuses années. Là encore, on s'interroge.

    Des questions légitimes 

    Plus la rencontre se prolonge, plus nous apprenons de détails sur l'organisation du marché, et plus le nombre de questions qui nous viennent à l'esprit s'accroit :

    Pourquoi est-il impossible de verbaliser les commerçants qui n'appliquent pas la législation malgré les signalements du délégataire ?

    Pourquoi est-il impossible de réduire le nombre de stands ?

    Pourquoi certains camions non autorisés — car trop gros tonnage — continuent-ils allègrement à être tolérés ?

    Pourquoi les camions qui stationnent sur le trottoir et la piste cyclable ne font-ils pas l'objet de procès verbaux ?

    Pourquoi des caristes répartissent-ils en toute tranquillité un nombre important de palettes déchargées de camions de plus de 20 tonnes en pleine nuit (23h30 – 1h du matin environ), prenant les bannes des stands pour occulter et protéger la marchandise d'éventuels vols (de leur propre aveu) ?

    Pourquoi la ville a-t-elle laissé la situation se dégrader ainsi à Barbès ???

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    Les transpalettes fonctionnent en toute tranquillité.

     

    Chacun se fera son idée. Mais personne ne nous empêchera de penser que le marché est source de pratiques pas très orthodoxes.

    Prochaine étape : une réunion avec Action Barbès, les élus concernés, la DDEEES, la Police et le délégataire annoncée par Afaf Gabelotaud.

    Cependant, comme il apparait que les décisions appartiennent à l'Hôtel de Ville, nous avons demandé un rendez-vous à Olivia Polski à qui nous avions déjà envoyé nos observations l'an dernier. Pas de réponse à ce jour malgré notre relance.

    Le marché Barbès intéresse-t-il l'Hôtel de Ville ? Sera-t-il vraiment possible de voir le projet de promenade urbaine aboutir si le tronçon Barbès-Tombouctou n'est pas sérieusement traité ? Y aurait-il quelque part un blocage qui expliquerait le silence persistant de l’Hôtel de Ville sur le sujet ?
     
  • Conseil Local du Handicap du 10e : Assemblée Générale en mairie

    Nous avions évoqué cette nouvelle instance de la démocratie participative locale dans le 10e, composée d'habitants et de représentants associatifs et institutionnels concernés par les problématiques liées au hadicap dans le 10e : le Conseil Local du Handicap (CLH), agissant comme instance consultative extra-municipal et constitué autour de plusieurs commissions dont accessibilité, culture/sports/loisirs, santé mentale etc. Voir nos articles du 12 novembre 2014 et du 9 février 2015.

    Ce CLH tiendra son assemblée générale :

    ce prochain jeudi 18 février à 18h

    en salle des mariages de la mairie du 10e

    Lors de cette prochaine assemblée générale, les thèmes abordés seront notamment le budget participatif, les commissions, la mise en place d'une permanence et la préparation de la 8e édition du "Mois Extra Ordinaire" (M.E.O. : festival de rendez-vous artistiques, sportifs et culturels dédiés au handicap, à la fin du 1er semestre 2016). 

    Vous pouvez vous inscrire à cette assemblée générale auprès de manelli.grisoni@paris.fr, tel : 01 53 72 10 32.

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  • De l'autre côté de la Méditerranée, la culture

    ... avec deux manifestations :

     

    FESTIVAL du 10 au 20 février

    Festival Nio Far (affiche).jpgTroisième édition du FESTIVAL NIO FAR

    Au programme : Danse, musique, cinéma, exposition et littérature

    Pour cette nouvelle édition, coup de projecteur sur le Maghreb en particulier Algérie et Maroc en partenariat

    avec quatre lieux parisiens :

    -          Le musée Dapper – Paris 16e

    -          Le Théâtre de l’étoile du Nord – Paris 18e

    -          Le Cinéma Louxor – Paris 10e

    -          La Médiathèque Françoise Sagan – Paris 10e

     

    Pendant toute la durée du Festival une exposition sera présentée à la médiathèque Françoise Sagan, Paris 10e. Il s’agit de l’exposition « 13 siècles de présence arabo-orientale en France » réalisée par le groupe ACHAC (Pascal Blanchard).

    Cette année le Festival Nio Far rendra un hommage à un grand homme : le réalisateur Réné Vautier, premier réalisateur anti-colonial français censuré pendant 50 ans, disparu il y a tout juste un an, en janvier 2015.

    Au programme

    • Dans - Nadia Beugré
    • Littérature - Leila Sebbar
    • Musique - L'orchestre Symphonique Divertimento
    • Cinéma-débat - Yamina Benguigui, Oriane Brun Moschetti, Leila Morouche et Moïra Chappedelaine Vautier
    • Exposition "13 siècles de présence arabo-orientale en France" par le groupe ACHAC dirigé par Pascal Blanchard

    Pour plus de détails voir sur le site du festival www.festivalniofar.com

     

    EXPOSITION jusqu'au 3 avril

    festival-nio-far,exposition,médiathèque-françoise-sagan,institut-des-cultures-d-islam,louxorExposition photographique "Regards posés. Hammams de la Médina à Tunis"organisée avec l’association L’Mdina Wel Rabtine - Actions citoyennes en Médina.

    Le cycle TunICIe organisé par l’Institut des Cultures d’Islam met à l’honneur la Tunisie pendant un semestre.

    à l'Institut des Cultures d'Islam

    Pour en savoir plus

    Et le programme de l'exposition !

     

  • L'épicerie fine de la rue de Maubeuge : Les Miscellanées de M. Jash

    Séverine et Jimmy ont inauguré leur boutique au 96 rue de Maubeuge le 20 janvier dernier. Peut-être avez-vous croisé cette information dans quelque bulletin municipal ? En effet, là aussi, il s'agit d'une opération pilotée par la Semaest — dont nous parlons régulièrement ici — qui après rachat des locaux, les rénove et une fois fin prêts et aux dernières normes en vigueur, les propose aux candidats commerçants, tout en les accompagnant dans leur projet au besoin.

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    Le nom même de la boutique pique la curiosité : Les Miscellanées de M. Jash. Nous ne dirons pas qui est Mister Jash, allez voir vous-même, demandez éventuellement... Voici une piste seulement, les miscellanées sont un genre littéraire, une technique de fragments, une mosaïque littéraire, perdues de vue par les auteurs depuis la fin du 19e s. puis remises au goût du jour par Ben Schott, un écrivain britannique, en 2006. De là à l'épicerie fine, il n'y a qu'un pas. Sautons-le.

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    Le concept que veut développer ce jeune couple d'habitants du quartier est à la fois novateur et sympathique : vendre des produits de qualité, originaux, recherchés, à leur juste prix, en entretenant des rapports de partenariat sur la durée avec leurs fournisseurs. On n'est pas « bio », mais plutôt dans une agriculture raisonnée, voire de proximité quand on le peut. Qui dit produits de qualité, sélectionnés parmi les meilleurs dit aussi un certain niveau de prix. Pour réduire le risque de l'addition rébarbative un peu lourde, les patrons s'attachent à proposer de petites portions : on goûte et si on aime, on revient.

    Sachez que cette philosophie les conduit à organiser tous les jeudis de 18h à 20h une dégustation de produits fermiers. C'est une formule qui a commencé doucement mais, le bouche-à-oreille aidant, les jeudis des Miscellanées prennent de l'ampleur, à la grande satisfaction de Séverine et Jimmy.

    Séverine ne nie pas que la localisation de son commerce, sur une rue très passante, une voie qui conduit directement à la Gare du Nord, apporte une bonne visibilité. Encore faut-il que les curieux qui s'attardent pour admirer les produits en vitrine poussent la porte... D'où la nécessité et l'envie d'accompagner la vente d'une ambiance conviviale.

    On touche là peut-être aux qualités du premier métier de Séverine. Elle a été précédemment une organisatrice d'événements dans l'hôtellerie. La convivialité  et l'encadrement des loisirs et des séminaires professionnels, elle connaît. Dans cet esprit, elle a aménagé la boutique de telle façon que des alcôves puissent accueillir des accrochages ou permettent d'écouter des lectures. Ce n'est pas vaste, mais c'est une intimité cosy. Ainsi le jeune couple permet à de jeunes photographes de voir exposer leurs œuvres, et même prend en charge au niveau financier le tirage des photos dans un format digne des meilleures expositions. Les vernissages sont l'occasion de soirée entre amis, à discuter sur les banquettes autour d'un verre et d'un morceau de fromage.... fermier, comme il se doit !

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    La cerise sur le gâteau ? Un coin jeu ou même changement de couches pour les jeunes enfants et les très jeunes.

    Leur site et la page FaceBook vous tiendront informer des dates des prochains rendez-vous : https://www.facebook.com/monsieurjash/

    N'hésitez pas à pousser la porte, même si pour la première fois c'est juste pour boire un café. L'accueil est chaleureux, vous ne serez pas déçu. Et vous reviendrez.

    Les Miscellanées de M. Jash
    96 rue de Maubeuge
    Paris 10e
    06 99 88 34 03

    Ouvert tous les jours :

    . du lundi au mercredi : de 9h à 21h

    . de jeudi au samedi : de 9h à 22h

    . le dimanche : de 10h à 18h

    Attention : ce sont les nouveaux horaires selon cette information sur leur page Facebook