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  • Hommage à Jacques Decour

    Le 30 mai prochain aura lieu une nouvelle journée d'hommage à Jacques Decour à l'occasion du 75e anniversaire de sa mort. L'accueil se fera dès 9h30 puis chants, lecture de textes, table ronde occuperont la matinée. Après le buffet, la journée se poursuivra au cimetière de Montmartre à 15h avec là encore des chants et des lectures par des élèves du lycée.

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    Il est préférable de signaler votre présence aux organisateurs. Tous les renseignements sont ici.

  • Stop aux barrières couteuses et inefficaces

     

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    La réparation a eu lieu à la mi-avril.(voir notre article du 14 avril)

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    Quel texte mieux que ces photos pourraient rendre plus compréhensible l’absurdité qui consiste à toujours prendre les mêmes mesures, à faire les mêmes réparations, tout en sachant que c’est peine perdue, qu’elles ne seront pas efficaces ? 
     
    C’est exactement ce qui c’est passé sous le viaduc du métro de la Ligne 2, sur le terre plein qui commence à la sortie de la station Barbès-Rochechouart, côté Guy-Patin. Le principe est que ce terre-plein est réservé deux fois par semaine au marché dit de La Chapelle ou Barbès — et dans sa version Préfecture Marché Lariboisière — et que les autres jours il est interdit au stationnement des automobiles. Pourtant le dimanche ils sont parfois plus d’une vingtaine à y stationner. 

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    Les barrières en état de marche dans la position fermée.

     
    Pour matérialiser l’interdiction, les entrées de chaque côté de cet espace sont fermées par des barrières mobiles en croix de Saint-André. Cet hiver, nous avions signalé que la partie mobile gisait nonchalamment près du distributeur de billet de la station depuis des jours, voire des semaines…. (lien vers l’article). Ce n’était pas la première fois que les barrières, d’un côté ET de l’autre du terre-plein, étaient cassées, déplacées, démontées, hors d’état pour faire simple. Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour se rendre compte que le principe même du cadenas n’est pas bien efficace. Car, en effet, la barrière une fois refermée est maintenue solidairement à la partie dormante par un cadenas. Pas plus. Les réparations sont couteuses, et en général tiennent un mois. Comme cette fois-ci encore. On comprendra ainsi les services de la voirie qui hésitent à lancer l’ordre de réparer. Nous demandons depuis très longtemps que les services imaginent un autre système qui serait à la fois plus efficace et moins couteux pour la bourse du contribuable parisien. 
     

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    Le résultat environ deux semaines pus tard.

    Mais quid des caméras de vidéo-surveillance ? N’en avons-nous pas une qui serait susceptible de balayer le champ entre les deux extrémités du terre-plein et qui serait assez précise pour relever les numéros d’immatriculation ? Y compris des véhicules qui circulent aux heures d’embouteillage du boulevard de La Chapelle, plus souvent dans le sens Est-Ouest. Un panneau indiquant « Ici vous êtes filmés ET verbalisés » serait de nature à limiter l’enthousiasme des délinquants…. Surtout s’ils reçoivent effectivement un PV quelques jours plus tard. Ces choses-là dans une petite communauté circulent assez vite. A défaut d’éviter tous les délits, les citoyens du quartier apprécieraient cette mesure plus rentable que les réparations des barrières à fond perdu. 

     

  • Un autre aspect de la dégradation de l’espace public

    Certes les périodes d’élection sont une calamité pour l’environnement, nous le disions récemment ici même (article du 13 mai) pour la bibliothèque de la Goutte d’or, et un immeuble en construction du bd de La Chapelle, un peu plus loin. Mais à côté des affiches, il y a aussi les tags et les graffiti. Certes, les travaux de la RATP sur son viaduc commenceront cet été, et ce sera l’occasion de rénover — peut-être — ses piliers. Mais, enfin, la Ville n’a-t-elle pas un contrat avec une société spécialisée dans le nettoyage des graffiti ? Où sont les signalements pour que cette société exerce ses talents dans notre quartier ? Qui peut ou doit se manifester pour la faire venir à Barbès ? 

     

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    Du temps où la RATP a rénové sa station Barbès-Rochechouart — je vous parle d’un temps que les mois de vingt ans…. ! en gros au début du 21e siècle — on nous a dit et répété toute l’attention qu’il fallait mettre en oeuvre pour respecter ce patrimoine centenaire, et notamment ce petit édifice, présentant un appareil de briques vernissées et des parois vitrées élégantes. (voir photos ci-dessous). Alors ? On le laisse dans cet état jusqu’à la fin des travaux de la RATP, c’est à dire fin de l’été 2018 ? Ou on envoie le «  dégraffiteur » ?
     

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    Pour être tout à fait honnête, il ne faudrait pas croire que seul notre quartier pâtisse des bombes irrespectueuses d' « artistes »  en manque de surfaces à peindre. Non. Nous avons photographié il y a une semaine environ un petit pavillon mis sous la responsabilité de la Régie par la Ville de Paris (qui a priori en reste propriétaire). C’est à Colonel Fabien, sur le terre-plein du boulevard de La Villette. Voyez vous-même. 
     

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  • Petit tour d'après-marché à Barbès ou comment réduire les déchets

    Nous avons depuis plusieurs années alerté la Ville sur la mauvaise tenue du marché Barbès (voir nos articles ...). et sur la nécessité de réfléchir à sa réduction. Nous pouvons dire que sur le premier point, nous avons obtenu gain de cause. Les élus ont pris conscience des problèmes de non-respect des règles par de nombreux commerçants. Des actions volontaristes ont été menées l'an dernier et il y a du mieux. Par ailleurs, dans le cadre de l'opération Barbès Respire, la Préfecture de police a mis le paquet pour verbaliser les camions stationnés sur le trottoir le long de l'hôpital pendant le marché et ceux qui tardaient à repartir après le marché, sans oublier les contrôles pour empêcher les livraisons la nuit.

    Quant à la nécessité de réduire le nombre de stands, en supprimant notamment les volants et les étals de vêtements, en créant un espace convivial en son centre, dans le cadre de la Promenade Urbaine, aucune avancée n'est à noter. De plus, le déplacement du marché prévu initialement pendant les futurs travaux de réfection du viaduc n'aura pas lieu. C'était pourtant une belle opportunité à saisir que de le déplacer pendant environ un an pour le réduire et le ré-installer dans cette nouvelle configuration. Beaucoup d'élus l'avaient souligné (voir dernier copie) et nous nous en étions réjoui... trop tôt. On peut donc maintenant se poser légitimement la question de la volonté politique d'avancer sur ce point. Mais revenons à nos photos d'un samedi ordinaire.

     

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  • Topor chez les Libraires associés

    Les Libraires associés proposent un nouveau rendez-vous culturel avec une exposition de livres de Roland Topor, artiste aux multiples facettes de la deuxième moitié du 20e siècle. L'exposition est visible jusqu'au 24 juin au 3 rue Pierre l'Ermite dans le 18e.

    Paris, paris 10e, Roland Topor, Bibiliothèque nationale,

    Et pour les amateurs qui souhaitent en découvrir davantage sur cet artiste, une exposition à la Bibliothèque Nationale  (BNF) " Le Monde selon Topor " a lieu jusqu'au 16 juillet.

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