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Prévention & sécurité - Page 58

  • Quand les voeux ne sont pas que pieux !

    Nous vous avons parlé récemment de l'action militante d'un de nos adhérents du 18e à l'encontre des voitures stationnant sur les trottoirs de la Goutte d'or. Cela a commencé par une interpellation des élus lors d'une réunion consacrée à l'urbanisme en avril dernier. Voir la compilation de photos qui illustrent si bien cet envahissement par les automobiles Les voitures aux trottoirs.

    Dans un premier temps, après des échanges de tweets, l'adjoint à la maire de Paris chargé des transports, Christophe Najdovski, s'était engagé à faire implanter des potelets qui protègent le passage des piétons dans la rue Myrha, peut-être une des voies les plus encombrées. Puis le 15 juin, lors du conseil d'arrondissement, le parti Les Républicains a déposé un voeu largement inspiré du combat de notre adhérent.. 

    Voici le texte de ce voeu : 

     

    Séance du Conseil du 18e arrondissement du lundi 15 juin 2015

    Vœu déposé par les élus du Groupe Les Républicains et citoyens indépendants relatif au stationnement des véhicules sur les trottoirs et les passages piétons.

    Vœu à la maire de Paris et au préfet de police 

    Considérant le nombre toujours plus important de véhicules qui stationnent sur les trottoirs et les passages piétons en particulier dans le secteur de la Goutte d’Or Château Rouge ;

    Considérant que ce phénomène génère une gêne certaine pour les piétons, et plus particulièrement pour les personnes âgées, les personnes à mobilité réduite et celles avec des poussettes et de jeunes enfants ;

    Considérant les risques évidents d’accident pour les piétons ;

    Considérant que la maire de Paris et le préfet de police ont la responsabilité d’assurer chacun en ce qui le concerne la sécurité des Parisiennes et des Parisiens, de faire respecter les règles du stationnement, tant en ce qui concerne les places réservées aux livraisons que celles réservées aux automobilistes ;

    Considérant que la répression indispensable des infractions n’est pas suffisante ;

    Considérant que des aménagements urbains sont nécessaires pour empêcher physiquement le stationnement illicite des véhicules sur les trottoirs ;

    Considérant que la concertation avec les riverains, commerçants et associations est indispensable ;

    Les élus du Groupe Les Républicains et citoyens indépendants demandent à la Maire de Paris et au préfet de police :

    - De mener une campagne de sensibilisation dans le 18e arrondissement et plus particulièrement dans le secteur de la Goutte d’Or Château Rouge sur les dangers du stationnement illicite et sur le nécessaire partage du domaine public entre les automobilistes et les piétons.

    - De mener une étude en concertation avec les riverains, commerçants et associatifs pour mutualiser la recherche de solutions les mieux adaptées et les plus efficaces pour empêcher physiquement le stationnement illicite des véhicules en particulier sur les trottoirs.

    - D’accroitre les contrôles pour verbaliser les infractions au code de la route

     

    Sa lecture n'a pas laissé indifférent les autres formations. Le groupe des écologistes EELV du 18e avec lequel une visite de terrain a été organisée fin mai a proposé un amendement : remplacer les potelets par des jardinières notamment sur le parvis de l'église Saint Bernard — on en attendait pas moins des Verts ! — et revoir le sens de circulation de la rue Myrha.

    Sur ce dernier point, si nous voulions tirer la couverture, un peu, nous dirions que notre article du 29 mai dernier sur les itinéraires malins, n'est pas complètement étranger à cette attention soudaine pour la Goutte d'Or.

    Puis vint le Conseil de Paris de fin juin et début juillet.... Le vœu amendé déjà adopté à l'unanimité par le conseil d'arrondissement du 18e y a été adopté également à l'unanimité, avec un commentaire de l'adjoint chargé des transports et de la voirie, Christophe Najdovsky qui avouait que des interpellations sur les réseaux sociaux l'avaient poussé à agir d'emblée pour des travaux urgents rue Myrha... "... J'ai moi-même été saisi sur les réseaux sociaux de cette question depuis plusieurs semaines, et j'ai demandé à la section territoriale de voirie de programmer l'installation de potelets anti-stationnement sauvage dans la rue Myrha..."

    … ou de l'utilité de Twitter !

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    Comme le montre cette photo, la pose des potelets programmée du 29 juin au 10 juillet a commencé et concerne la portion de la rue Myrha entre les rues Stephenson et Léon. Cela est néanmoins insuffisant. Une visite sur le terrain avec un membre du cabinet d'Eric Lejoindre, maire du 18e, a été organisée et il a été question d'inclure la partie de la rue Myrha entre la rue Léon et la rue des Poissonniers. Nous attendons avec impatience de voir si ce sera effectif.

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  • Second comité de suivi de la charte des bars et restaurants au carrefour Clignancourt-Ramey

    La seconde réunion du comité de suivi de la charte "Silence On fête", signée par les bars du quartier Clignancourt-Ramey-Muller s'est tenue le 3 juin 2015 à la mairie du 18e.

    Nous vous avions fait part de la drôle d'ambiance de la première réunion de ce comité le 4 mai 2015, marquée notamment par une absence des autres associations et collectifs et par une mise en cause d'Action Barbès dénuée de fondement. (cf. notre article). Nous nous sommes ainsi longuement interrogés sur notre participation à cette seconde réunion. Finalement, nous avons décidé d'y participer, en observateur, ce que nous avons annoncé d'emblée au début de la réunion, car cette position nous semble correspondre au caractère de la charte qui engage principalement les bars vis-à-vis de la mairie au vu des termes de la médiation.

    Pour cette 2nde réunion, le collectif des riverains des rues Clignancourt-Ramey-Muller, à l'origine de la pétition "Pour un espace public partagé et non annexé", lancée en 2013 en raison de difficultés liées aux activités des bars, était cette fois-ci bien représenté, avec 5 membres. Autour de la table se sont donc retrouvés les représentants des bars signataires de la charte, le gérant du Café du Commerce — non signataire parce que pas de problèmes avec ses voisins —, l'adjoint chargé de la médiation, Mario Gonzalez, et les Pierrots de la nuit. Absence remarquée du commissariat, absence regrettée aussi car les attributions de la Préfecture de police pèsent dans ce dossier (décideur des fermetures administratives).

    Le Collectif des riverains des rues Clignancourt-Ramey-Muller a longuement rappelé les origines de leur action de 2013 (non respect des autorisations de terrasses, nuisances sonores, occupation du trottoir, etc.). En bref, il exigeait le respect des réglementations en vigueur et celui du voisinage. Suite à certains commentaires, le Collectif a rappelé qu'il n'était aucunement opposé à la présence de terrasses mais uniquement aux débordements non contrôlés. Quant à la charte, le Collectif a précisé que les engagements pris par les bars via la charte vont dans le bon sens et que la situation s'est ainsi clairement améliorée. Toutefois, il constate que les clients de certains établissements continuent à boire leur verre debout à l'extérieur, avec occupation du trottoir et nuisances sonores importantes. Ce point mériterait ainsi d'être mieux contrôlé par certains établissements.

    C'est aussi ce qu'a souligné Mario Gonzalez, exprimant un certain énervement face aux débordements qu'il a lui-même constatés au niveau de la Chope de Château Rouge (absente ce soir-là) et annonçant qu'il allait lui adresser un courrier officiel de rappel des engagements pris. Qu'on se le dise.

    Nous avons appris par ailleurs la création d'une association de commerçants autour du carrefour, baptisée « Union des commerçants et riverains ».

    Nous y retrouvons M. Ghames au secrétariat de la nouvelle association, l'interlocuteur habituel de la mairie qui s'est beaucoup investi aux côtés des bars au cours de la médiation. Il nous informe alors que leur première action a consisté à réaliser une enquête auprès des habitants des deux immeubles situés en face du bar Le Troquet, en présence des Pierrots de la Nuit. Nous regrettons en passant que les associations de riverains n'aient pas été sollicitées, à la fois pour donner leur avis, et pour étendre le nombre des sondés. Il s'agissait de connaître leur opinion sur les activités du bar, le niveau de gêne relatif au bruit de la terrasse notamment. Face aux doutes d'une partie de l'assistance quant aux résultats de cette enquête, très localisée, admettons-le, et ne reflétant pas l'ensemble de la problématique du quartier, M. Ghames a souligné que le but était d'apprécier le taux de satisfaction des habitants les plus proches après les mesures mises en œuvre par Le Troquet depuis la signature de la charte. Partant des bons résultats obtenus — dont le détail a été donné mais qui seraient trop longs ici — la direction souhaiterait retarder d'une heure la fermeture de sa terrasse (fixée à minuit conformément à la charte signée le 10 mars dernier) et l'élargir si possible.

    La demande a été perçue par les riverains présents et par l'élu comme très prématurée. En effet, la charte n'a été appliquée que pendant trois mois, avec des résultats globalement positifs vu les retours évoqués par la mairie, mais malheureusement partiels puisque que l'un des bars ne joue pas le jeu. Soyons clairs, la Chope de Château rouge en ne se conformant pas aux règles communément acceptés par les bars et restaurants nuit à l'ensemble et écorne l'image de respect du vivre-ensemble, souhaité par tous et qui commence seulement à se reformer. Un retour d'expérience d'environ un an a semblé nécessaire avant d'envisager des aménagements de la charte plus favorables aux établissements. Le cas par cas a été jugé inacceptable. Mario Gonzalez n'a pas caché qu'il comptait un peu sur les gérants présents pour faire pression au besoin sur les récalcitrants...

    Enfin, l'association Les Pierrots de la Nuit, qui, selon son site internet, intervient pour "préserver la qualité de la vie nocturne à Paris en prévenant les nuisances sonores aux abords des lieux de vie" (http://www.lespierrotsdelanuit.org) a informé de la mise en oeuvre d'un nouveau parcours dans le 18e incluant le quartier Clignancourt-Ramey-Muller avec une 1ère intervention le 12 juin 2015. Les Pierrots de la Nuit sont très critiqués par le réseau Vivre Paris (plusieurs associations de riverains dans différents quartiers de Paris), mais ici, ne connaissant pas vraiment ce qu'ils sont en mesure d'apporter, nous voulons croire que leurs actions seront positives et apaisantes pour la vie nocturne des habitants aussi.

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    En conclusion, une réunion de suivi plus intéressante que la première en raison notamment d'une présence plus importante des riverains qui a permis un échange franc. Espérons qu'elle ne diminuera pas dans l'avenir et qu'elle s'accompagnera de la présence du commissariat.

     

  • Petite conversation avec un conducteur d'autocar

    Depuis plusieurs semaines, nous interpelons l'Adjoint à la Maire de Paris chargé des Transports ainsi que le Préfet de police au sujet des stationnements illicites dans certains quartiers des 9e, 10e, 18e; interpellations quasi-quotidiennes avec photos éloquentes. Nous avons écrit, il y a peu, un article sur le sujet.

    En prenant nos photos, il n'est pas rare que nous engagions une conversation avec les conducteurs d'autocars de tourisme. Avec plus ou moins de bonheur, il faut bien le dire, surtout si l'on se permet de leur demander d'éteindre le moteur ! Parfois, il arrive que s'engage une discussion intéressante. Ainsi dernièrement, rue de Maubeuge, avec un conducteur qui nous a dit voyager pas mal à l'étranger.

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    Quand on lui parle du manque de places de stationnement dans Paris, il ne nous contredit pas. Se garer en périphérie, sur des parkings réservés, il ne demande pas mieux. A Rome, il se gare au grand parking sous le Vatican et ensuite, les touristes se débrouillent. «  Mais en France, ajoute-t-il, rien n'est jamais possible ! »

    Il peste également contre les PV distribués aux autocars étrangers, notamment ceux des pays de l'Est et qui ne servent à rien puisque jamais ils ne sont payés.

    Il explique que les opérateurs de tourisme organisent des visites au pas de charge, 30 minutes à la Tour Eiffel, 30 minutes par-ci, 30 minutes par-là. "Et puis, fait-il remarquer judicieusement, il faut savoir ce que veut la Ville, on ne peut pas vouloir accueillir toujours plus de touristes et ne pas penser à la problématique du stationnement."

    Enfin notre conversation s'achève sur un soupir de sa part : « Moi je n'attends qu'une chose, c'est rentrer chez moi et surtout ne pas prendre ma voiture ! »

     

  • Salle de conso : un débat impossible

    Le conseil de quartier Saint-Vincent-de-Paul Lariboisière (10e arrondissement) s'est tenu mardi 9 juin avec un important nombre de participants (environ 90). Il faut dire que le sujet était la salle de consommation à moindre risque (SCMR), sujet d'actualité qui attire à la fois ceux qui viennent chercher de l'information mais aussi ceux qui y sont clairement opposés. Les interventions étaient faites par l'association GAIA qui va gérer la SCMR, une sociologue de l'INSERM et le commissaire de police adjoint du 10e.

    Beaucoup d'informations ont été données - rien de nouveau pour les lecteurs assidus de ce blog* - mais le jeu des questions réponses avec la salle a montré encore une fois s'il était nécessaire que le débat entre partisans et opposants au projet était impossible. Il faut ici le regretter tant le sujet est important et devrait faire l'objet d'un consensus.

    * retrouver tous nos articles en cliquant sur SCMR

     

    Les éléments du non-débat

    1 - Les opposants reprochent aux organisateurs du conseil de quartier de n'avoir entendu que des présentations favorables au projet de SCMR : le but de la réunion était une présentation du projet en présence des principaux acteurs de celui-ci. Fallait-il attendre de l'association GAIA, qui va gérer la SCMR ou de l'INSERM qui prône depuis la publication de son fameux rapport la mise en place en France de telles structures, une présentation critique du projet ?

    2 - Les opposants réfutent la nécessité d'installer la SCMR dans le 10e et suggèrent qu'elle aurait tout aussi bien sa place n'importe où ailleurs dans Paris : l'avis des opposants ne changera pas parce qu'on leur expliquera que parmi les centaines de sanisettes JCDecaux installées dans Paris, celles où l'on trouve les plus grandes quantités de seringues usagées sont exactement celles de la rue Ambroise Paré et du boulevard de La Chapelle et qu'en conséquence le problème est bien localisé là, dans le 10e, que c'est bien là qu'il faut le résoudre.

    3 - Les opposants affirment de façon péremptoire que cela va "évidemment" entrainer l'installation de "super-marchés" de la drogue dans le quartier et augmenter la délinquance : la Police explique que les deals qui ont lieu dans le quartier sont des achats de très petites quantités ("de dépannage", dit la Police) par rapport à ce qui est vendu dans certaines villes de banlieue, que le nombre d'actes de délinquance dus aux toxicomanes n'est pas significatif dans l'ensemble des actes de délinquance du quartier, enfin qu'aucune étude internationale ne corrobore cette affirmation, rien n'y fait.

    4 - Certains opposants restent accrocher à leur demande de sevrage des toxicomanes au sein de communautés thérapeutiques : GAIA leur explique que le sevrage n'est pas forcément la demande des usagers de drogues, que l'efficacité des communautés thérapeutiques est difficile à évaluer, que le coût de ces mêmes communautés est extrêmement élevé au regard du nombre de personnes concernées, là encore rien n'y fait.

    5 - Les opposants prétendent, sans vraiment citer d'exemples concrets, que des SCMR auraient fermé leurs portes, autrement dit, que ça ne marche pas, qu'il y a eu des échecs : L'INSERM explique que oui, quelques SCMR ont fermé mais les causes de ces fermetures sont d'abord des questions budgétaires et ensuite des erreurs dans le choix d'implantation de la structure (ce qui nous ramène au point 2). Le président de GAIA-PARIS, médecin spécialiste de ces questions, explique que la salle fermée en Hollande ne se justifiait plus par manque d'usagers, mais non, les opposants ne le croient pas.

    6 - Les opposants toujours péremptoires affirment que les toxicomanes avec lesquels ils ont parlé disent que quoiqu'il arrive, ils n'iront pas dans la salle de consommation : l'association GAIA explique qu'elle fréquente les usagers de drogue depuis 20 ans, qu'elle en rencontre des milliers chaque année, qu'elle leur a parlé de la SCMR et que beaucoup d'entre eux souhaitent l'installation de cette structure ne serait-ce que pour s'injecter tranquillement sans anxiété et peur du regard de l'autre dans l'espace public, mais non, les opposants n'entendent rien.

    7 - Les opposants avancent le montant de 1,2 millions € pour le coût annuel de la SCMR mais ne parlent pas du coût des soins pour les malades atteints par le virus de l'hépatite C par exemple. Prévenir est toujours mieux que guérir, ils l'ont oublié.

    Entendons-nous bien : une salle de consommation de drogue à moindre risque n'est pas la panacée. Elle n'est qu'un élément parmi beaucoup d'autres dans le cadre d'une politique de santé publique visant la réduction des risques. Des études scientifiques incontestables nous prouvent l'utilité de telles structures.

     

    Alors, que se passe t-il ?

    Deux aspects sont ici présents de façon concomitante.

    Il y a d'abord un aspect moral proche de l'idéologie. En bref, la drogue, c'est le Mal et donc tout ce qui consiste à traiter des problèmes liés à la drogue est l'objet d'avis bien tranchés. Pas de débat.

    Ensuite, le projet de SCMR à Paris est clairement instrumentalisé politiquement par les conservateurs de toute sorte voire pire puisqu'on remarquait la présence du candidat Front National aux dernières élections municpales dans le 10e. C'est un sujet facile pour caresser l'électeur dans le sens du poil, pour jouer sur ses peurs et ses fantasmes liés à la drogue et développer un discours moralisateur. Ce qui là encore enferme le débat.

    Mais rassurons-nous. Toutes les personnes présentes à ce conseil de quartier n'avaient pas ce type de comportement et beaucoup ont manifesté leur satisfaction des informations données et l'espoir que la salle de consommation à moindre risque apportera un début de solution aux problèmes rencontrés dans le quartier.

     

  • Au Conseil d'Arrondissement du 10e : notre "NON !" à l'occupation abusive et à la préemption de l'espace public

    Demain, lundi 15 juin se dérouleront les derniers conseils d'arrondissement de l'année scolaire, dans les 9e, 10e et 18e arrondissements. Vous pouvez cliquer sur l'arrondissement qui vous intéresse pour prendre connaissance des délibérations qui y seront débattues et votées :

    Conseil d'arrondissement du 9e à 18h45, à la suite du Comité d'Initiative et de Consultation d'Arrondissement - CICA -).

    Conseil d'arrondissement du 10e à 18h30, avec une première partie correspondant à un pré-conseil pendant lequel les associations et les conseils de quartier peuvent poser des questions ; aussi notre association présentera-t-elle le voeu ci-dessous

    Conseil d'arrondissement du 18e à 18h30, avec une retransmission sur internet, en direct et en intégralité en cliquant sur ce lien.

     

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    Notre voeu présenté en mairie du 10e

    Depuis plusieurs mois, nous évoquons la valse des autocars de tourisme dans nos quartiers et leur stationnement intempestif.

    En ligne avec nos nombreux signalements de stationnement illicite dans l'espace public, nous présenterons en pré-conseil du 10e un voeu que nous invitons à consulter en cliquant sur le fichier ci-dessous : 

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    Cliquez sur le voeu ci-dessus pour le télécharger

     

    Pour illustrer cette occupation abusive de l'espace public devant la Gare de l'Est, cette triple-file d'autocars stationnant sur la chaussée, qui pourrait certainement être utilisée et aménagée à meilleur escient (e.g. pistes cyclables, végétalisation, piétonnisation)...

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    Notons qu'au Conseil d'Arrondissement du 9e, la maire Delphine Bürkli et son exécutif municipal présenteront également un voeu destiné à la Préfecture de Police et à la maire de Paris sur la gestion des cars de tourisme à Paris.