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  • Au Conseil d'Arrondissement du 10e : notre "NON !" à l'occupation abusive et à la préemption de l'espace public

    Demain, lundi 15 juin se dérouleront les derniers conseils d'arrondissement de l'année scolaire, dans les 9e, 10e et 18e arrondissements. Vous pouvez cliquer sur l'arrondissement qui vous intéresse pour prendre connaissance des délibérations qui y seront débattues et votées :

    Conseil d'arrondissement du 9e à 18h45, à la suite du Comité d'Initiative et de Consultation d'Arrondissement - CICA -).

    Conseil d'arrondissement du 10e à 18h30, avec une première partie correspondant à un pré-conseil pendant lequel les associations et les conseils de quartier peuvent poser des questions ; aussi notre association présentera-t-elle le voeu ci-dessous

    Conseil d'arrondissement du 18e à 18h30, avec une retransmission sur internet, en direct et en intégralité en cliquant sur ce lien.

     

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    Notre voeu présenté en mairie du 10e

    Depuis plusieurs mois, nous évoquons la valse des autocars de tourisme dans nos quartiers et leur stationnement intempestif.

    En ligne avec nos nombreux signalements de stationnement illicite dans l'espace public, nous présenterons en pré-conseil du 10e un voeu que nous invitons à consulter en cliquant sur le fichier ci-dessous : 

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    Cliquez sur le voeu ci-dessus pour le télécharger

     

    Pour illustrer cette occupation abusive de l'espace public devant la Gare de l'Est, cette triple-file d'autocars stationnant sur la chaussée, qui pourrait certainement être utilisée et aménagée à meilleur escient (e.g. pistes cyclables, végétalisation, piétonnisation)...

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    Notons qu'au Conseil d'Arrondissement du 9e, la maire Delphine Bürkli et son exécutif municipal présenteront également un voeu destiné à la Préfecture de Police et à la maire de Paris sur la gestion des cars de tourisme à Paris.

     

  • Montmartre : protection du commerce de proximité au conseil de quartier

    paris,18e,montmartre,conseil-d-arrondissement,voeu,conseil-municipal-du-18e,conseil-de-quartier,artisanat,commerces,protection,pluLe dernier Conseil de Quartier de Montmartre, tenu le 2 décembre 2014 sur le thème "modification du PLU : quels enjeux pour Montmartre" s'est déclaré unanime sur la nécessité de prévoir une extension de la protection particulière de l'artisanat (définition) à la totalité de Montmartre, seul outil disponible à ce jour pour permettre une protection du commerce de proximité. En effet, cette protection, bien qu'imparfaite, peut permettre de maintenir autant que possible un type de commerces assurant une vie de quartier satisfaisante et limiter l'implantation de magasins de grandes marques. Devant cette unanimité, il avait été convenu qu'un vœu, à l'initiative du conseil de quartier, serait proposé en ce sens au prochain conseil d'arrondissement (voir notre article du 10 décembre dernier). 

    L'équipe d'animation du conseil de quartier Montmartre, réunie le 6 janvier 2015, a ainsi élaboré un voeu intitulé "pour la protection du commerce de proximité dans le quartier Montmartre- modification du PLU prévue en 2015", sur la base d'une proposition réalisée par ACTION BARBES, membre du collège association de l'équipe d'animation. Ce voeu sollicite ainsi une extension du périmètre de protection particulière de l'artisanat à minima aux rues suivantes :

    • . rue des Abesses en intégralité;

    • . rue Lepic en intégralité;

    • . rue des Martyrs, au nord du boulevard de Rochechouart;

    • . rue Caulaincourt, entre la rue Joseph de Maistre et la rue du Mont Cenis;

    • . rue Durantin entre la rue Ravignan et la rue Tholozé;

    • . rue Tholozé;

    • . rue Custine entre la rue Ramey et la rue du Mont Cenis;

    Lire la suite

  • Voeu commun au conseil d'arrondissement du 10e le 4 février

    Nous avons évoqué brièvement dans notre article du 2 février le dernier conseil de quartier Lariboisière-St Vincent de Paul.

    C'est à cette occasion qu'Action Barbès a reçu le soutien des habitants présents pour demander la mise en zone 30 des abords de l'hôpital. C'est un souhait que nous avions déjà émis lors de la concertation sur les double sens cyclables (DSC). Bertrand Delanoë a insisté sur sa volonté d'augmenter le nombre de zones 30 dans la capitale lors de ses voeux pour 2013, notamment près des crèches, des écoles et des hôpitaux. L'occasion de réitérer notre demande était là, à ne pas manquer.

    Elisabeth Carteron, présidente de notre association, a donc présenté le voeu commun (ici le texte complet) lors du conseil d'arrondissement du 4 février en mairie du 10e.

    C'est Elise Fajgeles qui a répondu avec des arguments sans surprise : il faudra un financement pour réaliser cette mise en zone 30, examiner le coût des aménagements qui seront nécessaires (panneaux, modifications éventuelles de voirie....).

    Certes, nous avons un avis favorable de l'élue mais aucune certitude sur la faisibilité, aucun calendrier si le projet était validé.

    3417504662.jpgNous ne l'avons pas évoqué en conseil, car ce n'était pas le sujet, mais des modifications de voirie sont déjà envisagées pour pérenniser l'expérience en cours de réduction de la rue Ambroise-Paré à une seule voie roulante. Le dispositif actuel, à base de palissades, qui empêchent le stationnement gênant des camions de transport "porte-huit" devant l'hôpital est chaudement plébiscité par ce même hôpital. Ne serait-ce pas une opportunité pour faire d'une pierre deux coups ? Avec des économies d'échelle... comme on dit en langage économique ?

    Au risque d'en repasser une couche, n'est-il pas dans les tuyaux également d'ouvrir le passage Paré-Patin aux taxis.... ce changement ne se fera pas sans l'intervention de la section territoriale de voirie. Alors, réfléchissons et globalisons. Autant pour les finances de la Ville que pour la tranquillité des riverains.

    Action Barbès a par ailleurs suggéré que le budget alloué au déplacement de la piste cyclable sur la chaussée du Magenta au niveau du Louxor soit plutôt utilisé pour les abords de l'hôpital. Rappelons que nous avions demandé, puis rejeté cet aménagement au vu du coût prohibitf de l'opération (voir article du 13 octobre 2012).

    Encore un dossier à suivre... 

  • Les salles de consommation à moindre risque de retour au Conseil de Paris

    Vous savez que c'est un sujet qui nous tient à coeur. Plusieurs fois déjà, nous avons écrit des articles en faveur de l'expérimentation des salles de consommation à moindre risque, qui existent dans plusieurs pays d'Europe. En France, la loi les interdit. Le gouvernement Fillon s'était opposé catégoriquement à porter le débat sur la place publique, y compris après les déclarations de Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, et elle-même favorable à une expérimentation. Les salles de conso, là où elles existent, ont montré qu'elles peuvent apporter un apaisement dans les relations entre riverains et toxicomanes et surtout une amélioration du suivi des personnes sous l'emprise de drogues. Elles conduisent aussi à une réduction des risques de transmission des hépatites virales et du VIH.

    paris,conseil-de-paris,voeu,alain-lhostis,scmr,salle-de-consommation-à-moindres-risques,toxicomanie,préventionDes voix autorisées se sont élevées souvent, parmi elles le Prix Nobel de médecine, Françoise Barré-Sinoussi (photo ci-contre en août 2010), l'INSERM, les leaders des associations militantes, l'association Elus, santé publique,territoire, les Verts et d'autres, pour défendre la création de salles de consommation, mais jusque là elles n'ont pas pu convaincre les autorités de passer à la réalisation. 

    De loin en loin, des médecins invitent à des colloques pour remettre la prévention sur le devant de la scène. Des politiques le font aussi, moins souvent. Ces jours-ci, le sujet est revenu sous les projecteurs : la presse du 9 octobre relatait le projet d'expérimentation présenté par les associations Médecins du Monde et Gaïa (voir article du Parisien, et celui de Métro). Plus près de chez nous, Alain Lhostis, conseiller de Paris du groupe communiste et conseiller du 10e, a organisé un débat sur le sujet au Point Ephémère, avec Marie Debrus (Vice-Présidente de l’AFR), Pierre Chappard paris,conseil-de-paris,voeu,alain-lhostis,scmr,salle-de-consommation-à-moindres-risques,toxicomanie,prévention(Coordinateur du Réseau Français de Réduction des Risques, ancien co-président d’Act Up) et Emmanuel Hirsch (Professeur d’éthique médicale). Si la ministre des affaires sociales et de la santé du gouvernement Ayrault a déclaré récemment qu'elle prendrait rapidement des mesures réglementaires qui permettent l'ouverture des salles de consommation, avec le dépôt d'un voeu en Conseil de Paris, Alain Lhostis souhaite accélèrer la procédure, car il y a urgence. 

    Son cabinet nous a transmis le texte du voeu qui, nous l'espérons, recevra l'aval du Conseil de Paris. 

    Conseil de Paris

    Séances des 15 et 16 Octobre 2012

    Vœu présenté par Alain Lhostis au nom du groupe communiste et élus du parti de gauche relatif à l’ouverture et l’expérimentation d’une salle de consommation à moindres risques à Paris

    Dans sa séance du 19 octobre 2011, le Conseil de Paris, sur proposition du Maire de Paris, a adopté un vœu relatif aux salles de consommations à moindres risques pour les usagers de drogues.

    Ce vœu rappelle que dans le cadre de la politique de réduction des risques, de tels lieux dans lesquels les usagers de drogues peuvent consommer des produits qu’ils apportent, sous la surveillance de personnels qualifiés, ont fait leurs preuves en Allemagne, en Espagne, au Pays-Bas, au Canada par exemple.

    Ces salles permettent de réduire les risques sanitaires, offrent un contact médical, social et psychologique et sont un atout pour la sureté publique et la tranquillité des habitants en ville.

    Le Conseil de Paris a donc, dans ces conditions, voté favorablement pour l’ouverture d’au moins une salle de consommation à moindres risques dans le Nord Est de la capitale.

    Le Conseil d’arrondissement du 10e s’est prononcé à plusieurs reprises favorablement à l’examen de la possibilité d’une installation de ce type dans un quartier du 10e.

    La Ministre de la Santé a déclaré, il y a déjà plusieurs semaines, que le décret permettant ces premières installations dans les villes candidates était quasiment rédigé.

    Les associations de réduction des risques renouvellent l’urgence de prendre la décision d’installation de telles salles dans le cadre des 4e rencontres nationales de réduction des risques qui se tiendront les 25 et 26 octobre prochains. Les associations d’aide aux usagers de drogues et les associations de quartiers du 10e l’ont fait avec beaucoup d’engagement à l’occasion d’une récente réunion qui les a rassemblées à l’initiative de l’auteur du vœu.

    Dans ces conditions, sur proposition d’Alain Lhostis au nom du groupe communiste et élus du parti de gauche, le Conseil de Paris demande :

    - que le Maire de Paris s’adresse à la Ministre de la Santé pour une publication de ce décret sans délai

    - que le Maire de Paris créé dès à présent les conditions d’une mise en place d’un premier lieu expérimental en organisant la concertation avec les habitants du Nord-Est parisien et la préfiguration d’une telle création avec les associations de prévention des risques.


    Toujours sur le même sujet, le maire du 10e, Rémi Féraud organisait mercredi soir, le 10, en mairie une réunion de travail, à la fois pour répondre à l'inquiétude, pour ne pas dire exaspération, des riverains des rues Ambroise-Paré et Saint-Vincent de Paul, principalement, et également pour présenter les associations qui tout au long de l'année font un travail de médiation et de prévention auprès des usagers de drogues. Ils ne sont pas toujours visibles pour les habitants, néanmoins leur présence fait progresser la situation. Comme l'ont exprimé différents intervenants, les programmes de réduction des risques ont fait reculer les épidémies de sida et de maladies virales qui transitaient par les seringues à usage multiple, de même que les interventions des associations permettent aux toxicomanes prêts à raccrocher de le faire. Un pas déterminant pour pacifier ce secteur très restreint mais grande source d'inquiétude pour les habitants et leurs enfants sera la création d'une salle de consommation à moindre risque. Les expérimentations sont encourageantes, ne tardons pas.

  • Voeu commun d'Action Barbès et du CQLariboisière

    Le 15 juin dernier, le conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul, réuni en plénière, a voté un voeu avec l'association Action Barbès sur le Louxor. Il s'agit de rappeler aux élus les promesses de campagne pendant lesquelles ils avaient annoncé une concertation avec les habitants, conseils de quartier et associations, pour définir ensemble un cahier des charges qui tienne compte des souhaits et des besoins locaux. Le projet culturel semble déjà bien avancé quant à la définition des activités futures de l'établissement. La communication de la Ville et les vidéos dans lesquelles apparaît l'architecte chargé de la rénovation, Philippe Pumain, annoncent trois salles destinées à des projections cinématographiques d'Art et essai, mais également à des activités tournées vers le jeune public dans le cadre de l'initiation à l'image, un espace de restauration au niveau de la terrasse et un espace d'exposition.

    mairie du 10e.jpgCe voeu a été présenté par Elisabeth Carteron, présidente d'Action Barbès et membre de l'équipe d'animation du Conseil de quartier, en tout début du conseil d'arrondissement du 28 juin à la mairie du 10e.

    Nous vous restituons ici la réponse des élus, aussi fidèlement que possible.

    Rémi Féraud, le maire du 10e, a donné son accord sur la nécessité d'associer conseils de quartier et associations à l'élaboration du cahier des charges. La concertation devrait bien commencer au début de l'automne. Sur le dernier point, à savoir la possibilité de permettre la tenue de conseils de quartier et des réunions associatives locales dans une salle du Louxor, il a précisé que cela ne pourrait se faire qu'en activité annexe. En effet, le Louxor restera avant tout un cinéma. Cependant, il espère que cela sera possible notamment pour une activité démocratique comme le conseil de quartier, l'ancrage local ayant sa place dans le projet.