Le conseil de quartier Faubourg Montmartre (9e) vous propose un vide-grenier dans la rue Cadet demain, en même temps que sa fête de quartier annuelle.
Voyez le détail sur l'affiche ci-dessous :
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Le conseil de quartier Faubourg Montmartre (9e) vous propose un vide-grenier dans la rue Cadet demain, en même temps que sa fête de quartier annuelle.
Voyez le détail sur l'affiche ci-dessous :
Le 30 mai prochain aura lieu une nouvelle journée d'hommage à Jacques Decour à l'occasion du 75e anniversaire de sa mort. L'accueil se fera dès 9h30 puis chants, lecture de textes, table ronde occuperont la matinée. Après le buffet, la journée se poursuivra au cimetière de Montmartre à 15h avec là encore des chants et des lectures par des élèves du lycée.
Il est préférable de signaler votre présence aux organisateurs. Tous les renseignements sont ici.
L'association Action Barbès prend un peu d'avance sur son calendrier habituel et propose à ses adhérents un apéritif de quartier le 17 mai, dès 19h, au Café le BEAUJOLAIS, dans le faubourg Poissonnière (167), peu avant la rue de Dunkerque, dans le 9e.
Ce sera l'occasion d'échanger sur les dossiers en cours et particulièrement sur la Promenade Urbaine qui est à la peine, c'est le moins qu'on puisse en dire. Nos activités se réduiront progressivement d'ici l'été mais nous resterons vigilants !
Comme à l'habitude, les habitants qui souhaitent faire connaissance et nous rejoindre sont les bienvenus.
Nous ne sommes pas franchement là dans le même quartier ! Le Conseil de quartier qui organise cette réunion autour du thème des sans-abri est celui du Quartier Faubourg Montmartre, mais nous saluons l'initiative, qui montre que le problème touche tous les quartiers et peut-être toutes les consciences.
Une des associations invitée est Entourage. Elle a initié un vecteur de communication original, à savoir prendre les billets de 5 euros comme support d'un message d'appel au lien social, à la solidarité envers les sans-abri, en soulignant que les billets passent de main en main, de nombreuses fois — et peuvent être plus efficaces que certaines campagnes plus coûteuses —, pour une meilleure prise de conscience de nos concitoyens. Pour le reste elle vous expliquera quel est le coeur de son action. Une vision sans doute plus moderne de la solidarité et des méthodes en phase avec les normes collaboratives et les réseaux sociaux. Découvrez les sur les pages de leur plateforme.
L'autre association invitée est la FNARS, la Fédération des acteurs de la solidarité, qui fédère 870 associations travaillant dans ce domaine.
Nos recherches avant publication de cet article nous ont conduits à lire ce document témoignage paru dans le Monde du 12 avril dernier, qui décrit la situation de la prise en charge et de l'aide aux migrants demandeurs d'asile en France, dans la ville de Rennes. "Le centre d'accueil, une parenthèse pour préparer le futur des exilés" décrit la complexité du travail pour les uns et la difficile intégration suite aux traumatismes qu'ils subissent pour les autres. A lire !
Nous l'avons déjà signalé ici, dans le blog, le quartier autour de Barbès est largement concerné par le problème des sans-logis, de même que les abords des gares, de l'hôpital, et bien sûr de la salle de consommation à moindre risque. Les associations qui leur viennent en aide s'appellent ici Emmaüs Solidarité, Aurore, Les Enfants du canal, Aux Captifs la libération, France Terre d'asile, etc.
Le secteur de La Chapelle a été confronté à la présence de campements de migrants au cours des dernières années, campements devenus totalement indignes, présentant des conditions sanitaires insupportables aussi bien pour les personnes réduites à y vivre, que pour les riverains. Tous les espaces qui étaient régulièrement occupés par ces habitats plus que précaires sont désormais grillagés, en interdisant l'accès tant aux migrants qu'aux habitants. Est-ce bien la solution ? Le Conseil de Paris a récemment voté un voeu pour leur dépose sous la pression du groupe des Verts. On avance une date : l'été. L'émotion dans le quartier grandit.... Nous sommes plus que démunis pour prendre une position rigide sur le sujet. Il nous semble toutefois que les moyens manquent pour traiter le problème au niveau de l'Etat, mais la Ville a-t-elle un début de projet construit et global, financièrement cohérent, qui la sortirait du traitement au jour le jour d'hébergement des familles en chambres d'hôtel ? Un hébergement très coûteux, qui plombe ses comptes dédiés à la solidarité et qui enrichit tous les propriétaires de pensions ou d'hôtels de qualité médiocre.
L'association Paris en Selle, que nous vous avons déjà présentée, organise une table ronde intitulée No Bike No Business : le vélo, atout pour l'économie locale ? Cela se passe le 23 mars à 19h dans les locaux de la prestigieuse Ecole Normale Supérieure de la rue Ulm.
Le thème est grosso modo "Est-ce que le vélo/la voiture contribue au dynamisme des quartiers ?". La question vaut d'être posée surtout si l'on se réfère à l'ambitieux plan vélo lancé par la Mairie de Paris et qui prévoit 15% des déplacements en vélo à Paris en 2020 (voir notre article du 17 février dernier sur les ratés de ce plan vélo). Et aussi aux réticences souvent exprimées par les commerçants lors du lancement des projets de réduction de la circulation automobile sur certaines artères, voire dans le cadre des projets de piétonnisation. Nos quartiers autour de Barbès n'échappent pas à cette question, que ce soit pour le projet de promenade urbaine Barbès-Stalingrad ou pour celui de la piétionnisation d'une partie de la rue des Martyrs, par exemple.
Vous trouverez sur la page Facebook "No bike, no business" de l'événement toutes les informations nécessaires ainsi que que sur la page de la manifestation sur le site Que faire à Paris "Table ronde : no bike, no business".
L'association 9e Histoire propose une conférence le Jeudi 16 mars à 18h30
Pauline VIARDOT dans le 9e arrondissement
Conférence d’Elizabeth Giuliani, ancienne directrice du département musique à la BNF.
Lieu : Salle du Conseil de la mairie du 9e, 6 rue Drouot
Pauline Viardot (1821-1910) est une figure éminemment cosmopolite qui, fit de l’appartement qu’elle occupa rue de Douai de 1850 à 1884 l’un des centres de gravité de la vie musicale et intellectuelle européenne. Fille du ténor et compositeur espagnol Manuel Garcia, sœur benjamine de la Malibran, devenue cantatrice et pianiste, elle s’illustra à son tour sur les scènes internationales de Bruxelles à Londres, et fut au cœur d’un réseau d’amitiés de toute l’Europe, de George Sand (qui en fit l’héroïne de Consuelo) à Ivan Tourgueniev ou Clara Schumann.
Tel est le thème du prochain concert organisé le dimanche 5 mars prochain à 16h30 au Phonomuseum Paris, à deux pas de Barbès boulevard de Rochechouart.
On y écoutera des chansons poétiques et réalistes interprétées par Isabelle Servol, chant, accompagnée par Mathieu Geghre au piano.
La chanson « réaliste » a surtout été popularisée au cours de l’entre-deux guerres par des interprètes féminines comme Fréhel, Damia ou même Edith Piaf, et les thèmes récurrents de ces chansons traitaient de sujets dramatiques, imprégnés d’une noirceur certaine et très souvent inspirés par le quotidien des quartiers populaires de Paris. « La chanson de Margaret » qui a pourtant été écrite au début des années 50, est véritablement à la frontière entre cette chanson dite réaliste et la chanson à texte qui connaîtra son essor à la fin des années 50 et au début des années 60. - Pierre Mac Orlan -
Vous pouvez consulter le programme complet de ce concert ainsi que des informations supplémentaires sur la page Facebook du musée du son enregistré.
En avant goût, une petite vidéo d'Isabelle Servol
Il y a quelques années, le haut de la rue de Rochechouart a accueilli des arbres, tout jeunes, au nombre de quatre, sur le côté des numéros impairs, après l’élargissement du trottoir. L’opération avait eu lieu en deux temps : la rue de Rochechouart avait déjà bénéficié d’un aménagement de chaussée, appelé requalification, jusqu’au niveau de la rue Thimonnier, face au magasin Carrefour. Il convenait de réaliser la partie non encore aménagée et de se conformer aux conseils des Architectes des Bâtiments de France (ABF) qui prônent un certain respect des perspectives, et surtout veillent à que rien ne nuise à la beauté des monuments historiques ou classés quand on s’en approche. C’est ce que l’on appelle les espaces protégés. Ici, a priori, rien de tel à l’horizon, sauf peut-être le Sacré-Coeur au débouché de la rue.
Aux confins des 9e et 18e arrondissements se trouve la place Pigalle. Le promeneur parisien sait que celle-ci n'est pas très éloignée de Barbès. Débouchant sur cette place, l'avenue Frochot est une des artères les plus typiques du 9e. Hélas désormais "privatisée", elle n'est pas accessible à notre promeneur parisien mais l'association 9e Histoire nous propose un article fort intéressant à son sujet que nous avons souhaité partager avec vous
Devenu une des premières priorités de la mandature, le vélo comme mode de transport dans la capitale connait néanmoins quelques soucis. Un ambitieux plan vélo a été annoncé en 2015 mais il y a du retard à l'allumage. L'adjoint d'Anne Hidalgo chargé des transports le reconnait lui même aussi 2017 devrait être l'année de résurrection de ce plan. Gageons que les voeux 2017 de la maire de Paris à ce propos soient respectés. Prenons là au mot.
Découvrez les voeux d'Anne Hidalgo aux... par mairiedeparis
Personne ne doute de la nécessité de faire de Paris une ville plus accueillante pour les vélos même si, il faut bien le reconnaitre, certains cyclistes en prennent un peu à leur aise sur les trottoirs.