Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : street art

  • Le graffeur Thoma Vuille

    Les balades dans les articles et même dans les archives du Monde sont source de découvertes.  Par exemple, tenez : nous venons de découvrir - d'autres le connaissaient sans doute avant nous... - le nom de l'auteur du gros matou jaune qui se dore au soleil couchant sur les larges souches de cheminée d'un immeuble du boulevard de Magenta.

    Regardez

    photo - CHAT CHAT CHAT 16 avril 2009.JPGphoto - CHAT CHAT CHATdétail 16 avril 2009.JPG

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ci-dessus le 16 avril 2009, et ci-dessous, le  27 octobre 2005

    photo - CHAT CHAT de Thomas Vuille 27 oct 2005.JPGphoto - CHAT CHAT détail de Thomas Vuille 27 oct 2005.JPG

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et écoutez ce que dit l'artiste de son travail :

    Notre stock de photos faites tout au long des années d'existence de notre association renvoie à des sujets que nous n'avions pas imaginés. Ici, bien sûr, ce sont les façades du Louxor qui étaient visées et non le Chat de Thomas Vuille, apparu presque par hasard.

  • Mardi prochain : conseil de quartier LARIBOISIERE SAINT VINCENT de PAUL

     

    Mardi 25 janvier 2011

     à l’école élémentaire, 3 rue de Belzunce, de 19 h à 21 h

    Le « nouveau » Louxor : Point sur le projet, comment l’enrichir ?

    avec Michel Gomez, délégué de la Mission cinéma de la Ville de Paris 

    suivi des projets d’investissements (escalier Alsace) et  aménagements 2011.

     

     

    le 25 janvier vous sera offerte la possibilité de dire à la Mission cinéma combien ce lieu a besoin de s’ancrer dans le quartier si l’on veut qu’il vive réellement du et avec le quartier. Nous le répétons sans varier et sans être vraiment compris, que le choix du projet culturel, un cinéma Art et essai, s’il devait rester dans ces limites, ne pourrait à lui-seul attirer suffisamment de spectateurs pour atteindre un équilibre d’exploitation, sans non plus répondre aux besoins du quartier Barbès.

     

    Nous nous retrouverons sur place.

    L'affiche officicelle de la mairie avec le bulletin pour s'inscrire et intégrer l'équipe d'animation ici.

     

  • Festival de danse aux Bouffes du Nord

    A partir de ce soir et jusqu'au 26 novembre a lieu un festival de danse au Théâtre des Bouffes du Nord.

    Pour accéder aux détails du programme : ici

     

    L' art change parce que le réel a changé. Créations, inédits, performances, reprises... Voici un panorama de quelques musts de ces danses fragiles à travers le monde du continent africain au continent américain en passant par l'Europe, avec les nouvelles créations de Raphäelle Delaunay et de Benoît Lachambre, trois chorégraphes interprètes venues d'Afrique : Kettly Noël, Nellisiwe Xaba et Dada Masilo (une inconnue en Europe), une œuvre mythique de Steven Cohen et le danseur au passé circassien Yoann Bourgeois.

    Pour vous donner envie et attiser votre curiosité, voici une brève vidéo où l'on peut voir Raphaëlle Delaunay à Poitiers en 2010 :

    Bitter Sugar from Tap Scène Nationale de Poitiers on Vimeo.

    Raphaëlle Delaunay a travaillé avec Pina Bausch au Tanztheater Wuppertal que le cinéma et la caméra de Wim Wenders ont mis en lumière au printemps de cette année : Pina. Et quelle lumière ! Une autre scène l'accueillera très bientôt : le Centre national de la dance à Pantin

  • Exposition de peintures et de collages à l'Espace Canopy 18e

    L'Espace Canopy, galerie d'art et association culturelle au cœur du quartier La Chapelle expose les peintures de Foupier, avec une série "Pas de quartier à La Chapelle !" Il s'agit de peintures et de collages. Pierre Fouillet signe sous le nom de Foupier ses oeuvres de peintre et d'observateur du quartier où il vit : La Chapelle. Son regard irraisonnable et passionné sur ce lieu est empreint d'émotion et de subjectivité. Pas de quartier à La Chapelle, c'est un grand carrefour entre deux gares, ouvert sur le monde entre tradition et modernité, entre sacré et païen. Pas d'ennui à La Chapelle ! 

    paris, paris 18e, exposition,

    Après sa BD "iMagic Magid, La Sardine du Cannibale" (@Sarbacane Edition) retraçant le parcours émouvant de Magic Bâ et son combat de sans-papiers, c'est une autre façette de son travail à découvrir.

     
    Une exposition qui commence avec un vernissage vendredi soir à 19h et qui se poursuivra jusqu’au 28 juin (15h-20h) à l'ESPACE CANOPY, 19 rue Pajol.
     
     
  • Dimanche 20 septembre : l'Université Populaire du Louxor avec Gérard Lefort

    Le principe de cette Université Populaire : un dimanche matin par mois, l'équipe du Louxor convie une personnalité du monde des arts, des sciences, de la politique, des médias... et lui propose d'animer une séance autour d'un film de son choix. 

    paris,10e,louxor,université-populaire

    Ce prochain dimanche 20 septembre à 10h30, l'invité sera donc le journaliste, critique, chroniqueur et animateur d'émissions de radio et de télévision, Gérard Lefort, qui a, pendant plus de 30 ans, écrit sur le cinéma, la télé ou la photo pour le journal Libération dont il a aussi dirigé le service Culture.

    Gérard Lefort présentera le film "Les contrebandiers de Moonfleet(Etats-Unis, 1955, VOSTF, 1h27) de Fritz Lang . L'histoire : "En Angleterre, au 18e siècle, un jeune garçon recherche la protection d'un homme qui se révèle être un séducteur et un contrebandier. Au cours d'une chasse au trésor, un lien se crée entre le cynique aristocrate et le jeune innocent."

    paris,10e,louxor,université-populaire

    Ces séances sont au tarif unique de 4 € et animée par Alexandre TsekenisVous pouvez réserver sur le site du Louxor : en cliquant ici.

     

  • L'exposition Louxor dès ce soir à la mairie du 10e

    paris,10e,louxor,expo,amis-du-louxorLe maire du 10e, Rémi Féraud, accueille dans le hall de sa mairie

    à partir du 25 mars à 19 heures

    l'exposition réalisée par les Amis du Louxor sur 

    LE LOUXOR-PALAIS du CINEMA

    A l'occasion de l'ouverture prochaine du cinéma Louxor, avant qu'il soit rendu aux Parisiens, enfin, il était important de retracer l'histoire de ce bâtiment : luxueux écrin du cinéma muet en 1921, lors de son inauguration, il finira en discothèque avant de fermer ses portes à la fin des années 80.

    Au-delà de cette histoire, une partie de l'exposition est également consacrée au travail de rénovation mis en oeuvre par la Ville de Paris afin de réhabiliter et de mettre en valeur cet exemple remarquable de patrimoine architectural et de permettre la réouverture au public du Louxor, cinéma de quartier "art et essai". 

    VERNISSAGE CE SOIR à 19 heures

    L'exposition se tiendra du 25 mars au 25 mai 2013.  Horaires : du lundi au vendredi de 8h30 à 17h, jeudi de 8h30 à 19h30 et samedi de 9h à 12h30.

  • Demain soir Bertrand Delanoë en visite au centre sportif de la ZAC Pajol

    Une fois n'est pas coutume : le compte rendu de mandat de Bertrand Delanoë n'aura pas lieu dans sa mairie bien aimée du 18e arrondissement, mais sur le terrain de tous les aménagemens, dans la ZAC Pajol. Précisément au 22ter rue Pajol, au centre sportif. Le thème ? Le renouveau architectural et urbain de Paris.

    On ne pouvait trouver mieux pour illustrer le thème. Et surtout faire venir les habitants et les journalistes qui ignoreraient encore l'existence de cet équipement, qui compte un gymnase avec une tribune de 100 places, une salle d’arts martiaux, une salle de danse et une salle polyvalente.

    viewmultimediadocument?multimediadocument-id=110944&role=2

     Inauguré le 25 janvier 2012, le centre sportif Pajol est le septième des 18 centres sportifs couverts que Bertrand Delanoë s'est engagé à faire sortir de terre au cours de sa seconde mandature (2008-2014). 

    Notons encore le gymnase Saint-Lazare dans le 10e qui devrait bientôt ouvrir également, dans un ensemble d'équipements municipaux (crèche, centre social et médiathèque) 

     

  • La Guimard ou le passé perdu

    paris,guimard,danse
    Hôtel particulier de Mlle Guimard à La Chaussée d'Antin

    Que reste t-il au juste du quartier de la Chaussée d’Antin, de celui des hôtels particuliers avec leurs salles de théâtre privées, des jardins, de la fin du 18e siècle ? C’est à un voyage dans cet univers que nous invite Guy Scarpetta à travers son roman La Guimard publié chez Gallimard. Pas uniquement dans ce quartier de la Chaussée d’Antin d’ailleurs, mais dans un monde finissant, celui des années précédant 1789.

    Il faut vraiment beaucoup d’imagination aujourd’hui pour essayer de voir ce que pouvait être la rue de la Chaussée d’Antin vers 1780. Pas mal de livres en parlent et là n’est pas l’objet de cet article. Il fut le lieu d’une vie brillante, bien sûr réservée à une minorité de grands privilégiés et c’est dans ce monde fait à la fois d’un extrême raffinement  mais aussi d’une grande violence sociale que l’auteur nous invite. Rue de la Chaussée d’Antin où Mlle Guimard avait fait construire son hôtel particulier, un des premiers du genre —architecte Ledoux, décorateur Fragonard — et qu’elle voulait voir comme un temple dédié à la danse et à sa muse, Terpsichore. Il ne reste rien de tout cela, détruit par Haussmann au 19e siècle.

    paris,guimard,danse

    La Guimard par Fragonard*

    Marie Madeleine Guimard (1743/1816) — on dit La Guimard comme on dit La Callas, signe d’un talent et d’une notoriété sans pareils — était à la fois danseuse à l’Opéra et courtisane. Sa vie agitée d’artiste et de femme entretenue permet à Guy Scarpetta de nous proposer un roman s’appuyant sur des faits historiques mais l’œuvre reste un roman dans le sens où l’auteur nous invite à d’intéressants et originaux allers-retours entre le passé et le présent, à des considérations sur l’art et la danse en particulier, mais surtout à une description d’un passé à jamais perdu qu’il essaie de nous restituer non pas au travers des faits comme le font les historiens, mais par la narration de la vie des personnes, de leurs émotions, de leurs envies voire de leur psychologie au moment où elles ont croisé celles de La Guimard. Le tout dans une vision décapante de nos critères contemporains inadaptés à bien évaluer cette époque. Femme entretenue, La Guimard n’était pas une prostituée. Membre du corps de ballet de l’Opéra qui, à l’époque, ressemblait plus à un sérail pour les nobles libertins, elle n’en est pas moins une véritable artiste soucieuse de son art dont elle devient rapidement la grande figure, la dernière de la danse baroque.

    Ponctué de considérations diverses et souvent étonnantes sur les arts, le temps qui passe, l’évolution des choses, le roman vaut surtout par la puissante évocation de ce passé que nous avons bien du mal à appréhender. Que ce soit les codes sociaux et les relations humaines qui y sont associées, les relations amoureuses et les plaisirs liés à l’amour qui y tiennent une place prépondérante, que ce soit les façons de s’habiller et les extravagances qui vont avec, le goût pour les arts et le théâtre tel qu’on le concevait alors en particulier, beaucoup de choses de cette fin du 18e siècle nous sont devenues étrangères au sens strict du terme et ce n’est pas le moindre des mérites de Guy Scarpetta d’essayer de nous restituer cette atmosphère évanescente et raffinée d’une part, intellectuellement et artistiquement féconde d’autre part. Tocqueville lui-même, après son voyage en Amérique en1832, a reconnu que malgré l’espèce de supériorité du « modèle » américain, le fait de n’avoir pas connu cette période de civilisation achevée de la fin de l’Ancien Régime donnait aux Etats-Unis un désavantage certain. On pourra reprocher à l’auteur de parfois se complaire dans la description de scènes érotiques, non pas qu’elles soient inutiles dans la description du processus psychologique des personnages, mais ponctuées de détails qui n’apportent rien au récit. Enfin, outre ce voyage dans le passé, le roman vaut aussi par sa fin qu’il ne faut pas dévoiler mais qui, jusqu’à la dernière ligne, maintient l’attention du lecteur.

    Guy Scarpetta pense que La Guimard est oubliée et le regrette. En parler ici lui montre qu’il n’a peut être pas raison.

    La Guimard 
    Guy Scarpetta
    NRF – Gallimard – 18.50€

    * le tableau de Mlle Guimard par Fragonard présenté au Louvre a fait l'objet d'une vive controverse. Les experts disent aujourd'hui qu'il s'agirait non pas de Mlle Guimard mais de Mme de Grave.

  • Fresque rue de Maubeuge : mission accomplie

    L'emprise SNCF située rue de Maubeuge en contrebas de la salle d'accueil des voyageurs de l'Eurostar aura bien été terminée à temps- soit juste au moment de l'ouverture des Jeux Olympiques. (pour l'historique voir nos articles du 27 mai et du 1er juin).

    paris,gare-du-nord,parking-vinci,fresques,artemisia

    On voit en plein travail de décoration deux jeunes peintres, dont un orienté par l'atelier et chantier d'insertion ART 75. La collaboration a été fructueuse et la fin heureuse, puisque le jeune peintre a participé au chantier sur toute sa durée, et va pouvoir entrer en formation chez Artemisia qui signe la réalisation.  Il s'agit de fausses mosaiques mais le rendu est plutôt réussi. Pas d'odeurs d'urine lors de la prise de photos, la présence des peintres y était sans doute pour quelque chose. Mais on peut aussi espérer que le beau impose le respect....

    P1030268_2.jpg

    La descente d'escalier du parking Vinci a eu droit également à une décoration. 

    paris,10e,gare-du-nord,espace-public,environnement,eurosport,parking-vinci

    paris,10e,gare-du-nord,espace-public,environnement,eurosport,parking-vinciEspérons que ce décor signé Artemisia réalise la performance de résister au-delà des Jeux. Qui sait, jusqu'aux prochains peut-être. Quatre ans, ce serait un vrai record !

    paris,10e,gare-du-nord,espace-public,environnement,eurosport,parking-vinci

  • Paris et ses hôtels particuliers

    expo hotel particulier.JPGLe projet de réhabilitation du Louxor a permis à Action Barbès de s’intéresser de plus près aux questions liées au patrimoine. C’est dans cette optique que nous vous recommandons vivement d’aller visiter l’’exposition L’hôtel particulier, une ambition parisienne qui se tient depuis le 5 octobre et jusqu’au 19 février 2012 à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine au Trocadéro.

    Beaucoup d’hôtels particuliers ont été détruits au cours des siècles, mais Paris en garde encore pas mal d’exemples. On peut même dire que ceux-ci ont structuré la ville. Du Marais et de la place des Vosges au quartier de la Chaussée d’Antin, à deux pas du carrefour Barbès, en passant par le faubourg Saint-Germain, la ville de Paris reste profondément marquée par ces demeures qui reflètent un art de vivre, certes réservé  à quelques très rares privilégiés, mais témoins d’une civilisation en plein épanouissement.

    Disons le tout net, l’exposition est remarquable ! Elle est en gros organisée en trois étapes qui nous font comprendre l’évolution de l’architecture des hôtels particuliers, leur place dans la ville et la floraison d’arts connexes liés à ce développement.

    La première étape est celle de l’évolution de la structure de l’hôtel particulier. De la Renaissance où l’organisation du bâtiment reste encore très simple autour de la chambre qui sert à la fois de lieu de réception, de repas et de repos jusqu’au salon du XVIIIème siècle, lieu de réception, pièce centrale de l’édifice, là où s’expriment l’art de vivre, la sociabilité, en passant par la pièce d’apparat du Grand Siècle, celui de Louis XIV, l’exposition nous explique, nous montre, cette évolution qui est assimilable à celle de la civilisation. Pour ce faire, et de manière très pédagogique, une suite typique a été reconstituée, formée d’un vestibule, d’une antichambre, d’un salon, d’un cabinet bibliothèque plus intime, puis d’une galerie, permettant de comprendre comment on passe de la cour au jardin, du vestibule pour l’accueil au salon pour la réception, dans un ordre social très structuré.

    Hôtel_de_Thellusson_(par_Jean-Baptiste_Lallemand_(1716-1803)).jpg

    Hôtel de Thellusson par Jean Baptiste Lallment (1716-1803) (source WIkipédiA)

    La seconde étape nous montre quatre hôtels particuliers représentatifs de leur époque. Le plus ancien, celui de Cluny au Quartier latin, construit pour l’abbé de Cluny lors de ses séjours à Paris. Ensuite l’hôtel Lambert, joyau du XVIIème siècle à la pointe orientale de l’île Saint-Louis, œuvre de Le Vau. Puis l’hôtel de Thélluson, si typique du XVIIIème siècle et enfin  le Palais Rose construit au tout début du XXème siècle. Quatre représentants de leur époque dont, hélas, seuls l’hôtel de Cluny et l’hôtel Lambert subsistent aujourd’hui.

    Enfin, la troisième étape nous montre le développement de l’art de la décoration (peintures murales, mobilier) et des jardins.

    Autour du quartier Barbès, peu d’hôtels particuliers encore en place. Notons la maison de Thiers, place Saint-Georges, d’un intérêt en vérité limité, la mairie du 9ème, l’hôtel d’Augny, l'hôtel Wendel, mais surtout l’hôtel  Bourrienne au 58 rue d’Hauteville, véritable bijou du début du XIXème siècle avec sa décoration Directoire. Le visiter, c’est se remettre dans l’ambiance des fêtes de cette époque postrévolutionnaire, celle des Merveilleuses, de Mme Tallien, de Mme de Beauharnais, qui y vivaient des amours intenses et agitées.

    Donc en un mot comme en cent, allez visiter l’exposition L’hôtel particulier, une ambition parisienne.

    Bourrienne1.jpg

    Salon hôtel Bourrienne (source)

  • Exposition collective à découvrir rue de Rivoli

    Pourquoi vous parler de cette exposition au 59 rue de Rivoli, bien loin de notre quartier? Tout simplement parce que ce sont deux artistes du 18e qui en sont à l'origine. Nous vous avons déjà parlé d'elles pour les avoir rencontrées dans leur atelier de sculpture: Ange et Dam au  50, rue Labat.

    Elles ont réuni une trentaine d'artistes pour une exposition intitulée " De l'air, de l'air, ouvrons les frontières" dédiée aux migrants, un thème qui leur est cher. A voir du 8 au 19 juin.

    paris,paris 4e,culture,exposition,ange&dam

    Cliquez sur l'affiche pour télécharger l'invitation avec les détails.

     Si vous avez envie d'en savoir plus à propos de ces deux artistes, connectez-vous à la page de Facebook et laissez défiler les articles, c'est ici facebook.com/LaSoupapeAilee/ et l'association, bien sûr, s'appelle La Soupape Ailée, aussi étonnant que poétique, un "souffle d'art et de créativité" à Bobo Dioulasso. 

    et aussi un lien pour un clip sur l’installation sur la façade : https://vimeo.com/168411139
  • Le premier mur végétalisé du 9e est situé rue Pierre Sémard

    Ce n'est pas un mur aussi grand que ceux que vous connaissez peut-être, par exemple rue de la Verrerie (façade du BHV Homme), quai Branly (Musée des Arts Premiers), emprise de la SNCF entre la gare de l'Est et la Gare du Nord, entrée rue d'Alsace, etc.... 

    Là, non, il s'agit de mettre un peu de vert sous le viaduc de la rue de Bellefond. Les côtés des escaliers qui relient la rue Pierre Sémart à la rue de Bellefond sont en briques sombres et ont été rénovés il y a quelques années. C'est une bonne idée de les mettre en valeur, du moins de végétaliser un côté sur les deux, sans doute choisi par les jardiniers de la Ville pour sa bonne exposition, avec quelques plantes grimpantes parmi lesquelles nous avons repéré de la vigne et des clématites Armandii.

    paris,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefond

    C'est bien sûr le square de Montholon que l'on découvre en bas de la rue. 

    paris,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefondparis,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefond

     

     

     

    La municipalité a ajouté un panneau qui prend tout son sens, quand on connaît le niveau d'incivilité qui sévit dans Paris. 

     

    Voir plus bas.

     

    Dommage que les noms des plantes qui doivent coloniser le mur n'y figurent pas.

     

     

    paris,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefond