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Le mercredi 5 février, la médiathèque Françoise Sagan vous propose une séance avec des extraits du spectacle théâtre-danse "Transmettre", de la compagnie Avril Enchanté. Le spectacle sera suivi d’un débat sur notre relation aux autres.
Mélange des âges et des cultures, la Compagnie Avril Enchanté présente un spectacle écrit par le collectif Traverse à partir de récoltes de paroles sur le thème de la transmission : Qu’avons-nous reçu ? Que voulons-nous transmettre.
Ce spectacle théâtre-danse est écrit par le collectif Traverse, avec Adrien Cornaggia, Kevin Keiss, Julie Ménard, Yann Verburgh ; la mise en scène est de Catherine Hubeau, la chorégraphie de Corinne Réquéna, et la direction musicale de Jean-Jacques Nyssen.
L'entrée est libre et gratuite.
C'est où ?
Médiathèque Françoise Sagan, 8 rue Léon Schwartzenberg, Paris 10e C'est quand ?
Le lavoir Moderne parisien (LMP) vous propose de la danse, avec une séance unique de "L'Illusion", ce vendredi 31 janvier après-midi.
« Je me voile la face, je me recouvre d’illusions dans ce monde que je ne comprends pas , sans doute parce que je suis différent … »
L’Illusion questionne entre danse et texte avec légèreté et gravité, la différence, le handicap, le parcours d’individus en perte de repères. Comment trouver sa place dans une société qui nous rejette ? De quelle manière un individu devenu vulnérable sera influencé par ceux qu’il croisera sur son chemin? Il s’inscrit dans un cycle de travail de la Cie Magali Lesueur sur la prévention de la rupture sociale en triptyque avec Addict ( Prévention des addictions ) et L’Egalité (Égalité hommes-femmes et lutte contre les discriminations et les violences faites aux femmes)
Direction artistique – chorégraphie : Magali Lesueur Textes : Alexandre Josse Interprètes présents sur scène : Fabienne Haustant , Yann Hervé , Fanny Rouyé. Production Cie Magali Lesueur
C'est où ?
Lavoir Moderne Parisien (LMP), 35 rue Léon, Paris 18e
Avec Wissal le Lavoir Moderne Parisien accueille de la danse en ses murs, du 27 février au 3 mars. "Wissal, c’est la rencontre spirituelle. Ce qui relie, au-delà d’apparences plurielles, les êtres comme les espaces. À la croisée de calligraphies et de photographies urbaines, la danse se déploie, questionnant graphismes et perspectives comme les contours d’une mémoire.
Alexia Martin inscrit sa gestuelle entre couleurs, musique et paysages. En quête à travers le corps, à travers l’ivresse du mouvement, du coeur battant de la ville. Écrin de la danse, les œuvres de RamZ témoignent de la fusion entre calligraphie arabe et art contemporain, de la symbiose entre deux cultures, entre deux mondes, Orient et Occident. Après Wissal, Alexia ouvre chaque soir un libre espace aux femmes artistes qui questionnent l’expression du corps et de la voix.
Dans la continuité de la danse, le public est invité à parcourir la scène, à vivre un temps de création spontanée auprès d’Alexia et d’artistes invités, à se laisser inspirer par les univers visuels qui investissent les murs du théâtre."
Dans la continuité de Wissal, Alexia Martin et Ramzi Saibi invitent chaque soir une femme artiste à partager son univers sur la scène du Lavoir Moderne Parisien :
- Mercredi 27 Février : Chloé Breillot, chanteuse, musicienne
- Jeudi 28 Février : Habi Diabagate, danseuse
- Vendredi 1er Mars et Dimanche 3 Mars : Sissi Imaziten, chanteuse, musicienne
- Samedi 2 Mars :Marylène Famel, danseuse, chercheuse
Pour finir la journée agréablement, pourquoi ne pas faire quelques pas de danse place de La République mardi soir entre 18h30 et 20h? Organisée par le Comité international de la Danse, cette manifestation existe depuis 1982. Pourquoi un 29 avril? C'est la date anniversaire du jour de la naissance du chorégraphe français Jean George Noverre.
Manifestation ouverte à tous. On souhaite aux professionnels et aux amateurs un répit côté pluie!
Hôtel particulier de Mlle Guimard à La Chaussée d'Antin
Que reste t-il au juste du quartier de la Chaussée d’Antin, de celui des hôtels particuliers avec leurs salles de théâtre privées, des jardins, de la fin du 18e siècle ? C’est à un voyage dans cet univers que nous invite Guy Scarpetta à travers son roman La Guimard publié chez Gallimard. Pas uniquement dans ce quartier de la Chaussée d’Antin d’ailleurs, mais dans un monde finissant, celui des années précédant 1789.
Il faut vraiment beaucoup d’imagination aujourd’hui pour essayer de voir ce que pouvait être la rue de la Chaussée d’Antin vers 1780. Pas mal de livres en parlent et là n’est pas l’objet de cet article. Il fut le lieu d’une vie brillante, bien sûr réservée à une minorité de grands privilégiés et c’est dans ce monde fait à la fois d’un extrême raffinement mais aussi d’une grande violence sociale que l’auteur nous invite. Rue de la Chaussée d’Antin où Mlle Guimard avait fait construire son hôtel particulier, un des premiers du genre —architecte Ledoux, décorateur Fragonard — et qu’elle voulait voir comme un temple dédié à la danse et à sa muse, Terpsichore. Il ne reste rien de tout cela, détruit par Haussmann au 19e siècle.