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Action Barbès - Page 148

  • Un bilan décevant du voeu présenté par le Conseil de Quartier Montmartre au dernier Conseil d'arrondissement du 18e

    En lien avec la modification du Plan Local d'Urbanisme (PLU), le conseil de quartier (CQ) Montmartre a présenté lors du dernier conseil d'arrondissement du 18e, le 26 janvier 2014, un vœu intitulé "Pour la protection du commerce de proximité dans le quartier Montmartre - modification du PLU prévue en 2015". L'objectif était de compléter la demande d'extension de la protection commerciale et artisanale dans le cadre de la modification du PLU transmise par le Maire du 18e à Mme POLSKI, adjointe à la maire de Paris chargée du commerce, de l'artisanat et des professions libérales et indépendantes. Cette demande a été élaborée sans concertation avec les conseils de quartier, notamment celui de Montmartre pourtant bien engagé dans cette réflexion (cf. notre article du 18 janvier).

    Le bilan de la présentation de ce voeu est particulièrement décevant.

    Tout d'abord sur la forme : les représentants du CQ Monmartre ont eu la mauvaise surprise de constater que le conseil d'arrondissement ne votait pas sur le voeu proposé mais sur sa réponse au voeu, élaborée par l'exécutif sans échange avec le CQ. Après coup, M. Daviaud, élu référent du CQ Montmartre, a précisé que cela s'expliquait par une évolution récente du règlement intérieur du conseil d’arrondissement relative aux vœux des conseils de quartier, qui inclut la présentation directe du voeu par le CQ lui-même (ce qui est une bonne chose) et l'élaboration par la mairie de son propre voeu à partir de celui du CQ dans la rédaction qui lui semble la plus opportune au regard des objectifs recherchés et des contraintes administratives, réglementaires ou autres (ce qui peut être acceptable sous réserve d'un échange adapté avec le CQ).

    Et surtout, sur le fond : le voeu élaboré par la mairie et voté par le conseil d’arrondissement correspond uniquement à la reprise exacte des demandes de protection  transmises par le maire du 18e à Mme Polski, sans aucun des compléments demandés par le CQ dans son voeu. Au delà de la déception que ces compléments n'aient pas été pris en compte, le point le plus regrettable a été l'absence de débats sur ces demandes. Aucune précision, aucune justification n'est venue expliquer ce choix.

    Seul point positif : le vote de ce voeu (ici celui finalement voté) par le conseil d'arrondissement devrait renforcer la demande déjà formulée par le maire et ainsi favoriser l'extension de protection commerciale et artisanale à plusieurs rues du 18e, notamment dans le quartier Montmartre,  dans le cadre de la modification du PLU.

    Toutefois, afin de permettre aux conseils de quartier de ne pas revivre une telle déception,  il reste à espérer qu'une information soit rapidement faite auprès des équipes d'animation des CQs afin que chacun ait le mode d'emploi des voeux présentés par ces derniers au conseil d'arrondissement, comme s'y est engagé la mairie du 18e suite à ce bilan décevant.

     

  • Carrefour Clignancourt- Ramey : végétalisation de l'ilot dans le cadre de l'opération "du vert près de chez moi"

    Suite à la mobilisation d'un de nos adhérents, l'îlot situé au carrefour des rues de Clignancourt et Ramey va accueillir des jardinières dans le cadre de l'opération "du vert près de chez moi"  : voir notre article du 17 septembre sur le projet et la carte des projets retenus par la mairie de Paris  pour le 42 rue de Clignancourt.

    Au-delà de la végétalisation, relativement ponctuelle, cet aménagement devrait permettre de supprimer le stationnement illégal et quasiment permanent des deux-roues motorisés, particulièrement gênant pour le passage des piétons. Il est d'ailleurs regrettable que ce point n'ait pas été intégré de façon satisfaisante lors de l'aménagement  du carrefour il y deux ans. En effet, dès la réalisation de cet îlot, il est devenu un parking à motos ! Et, surtout, aucune action correctrice n'a été mise en œuvre immédiatement par la mairie.

    Il reste à espérer que les prochaines phases de requalification du quartier (notamment rue de Clignancourt et rue Ramey) intégreront une végétalisation plus ambitieuse, par exemple via la plantation d'arbres d'alignement comme l'a déjà proposé Action Barbès.

     

    Etat actuel des lieux : le jour

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    Etat actuel des lieux : la nuit

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  • ZSP Barbès-Chateau-Rouge : quel bilan?

    La Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP) Barbès-Château-Rouge, première du genre, a été mise en place en septembre 2012. Depuis, plusieurs réunions de bilan se sont tenues à la mairie du 18e. Action Barbès a également été invitée deux fois à assister aux réunions bi-mensuelles au commissariat de l'arrondissement (dernière en date celle de janvier 2014)

    Le 10 février dernier, il s'agissait notamment de présenter l'analyse d'un questionnaire envoyé à un échantillon de 1 200 habitants et professionnels du quartier avec le même panel que pour le questionnaire 2013.

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  • En attendant la rénovation du boulevard de La Chapelle

    ... nous profitons de quelques rayons de soleil hivernal pour vous faire visiter. Voulez-vous un avant-goût de ce que pourrait afficher dans quelques années (quelques mois.... ?) les murs actuellement gris et fissurés de l'hôpital Lariboisière ? Avec une bonne couche d'enduit, ils pourraient offrir une longue bande continue de street art, cet art très urbain, coloré et parfois surprenant, qui a évolué au cours des dernières décennies jusqu'à acquérir quelques lettres de noblesse. Au point d'avoir ses galeries, ses blogs, ses enchères, ses expos, ses figures labellisées et ses adeptes ! 
     
    Voici quelques camions qui appartiennent aux marchands de fruits et légumes du marché de Barbès pour vous en donner une idée. Nous avions présenté en octobre 2012 les palissades sur Magenta des collectifs TRBDDSGN et French Kiss et  le portrait d'un autre artiste reconnu, Jean Moderne aka RCF1 le 11 mai 2014. Autres auteurs, autres inspirations. (voir ici le 1er octobre 2012, sur le bd de Magenta)

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  • Salle de conso : pour bien comprendre le projet

    Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement

    Et les mots pour le dire arrivent aisément

    Nicolas Boileau

     

    Allons, ne jouons pas les cuistres mais c'est cette phrase, tout droit sortie de notre mémoire de l'école de la République qui nous est venue à l'esprit en lisant le dernier article de Marie Jauffret-Roustide intitulé sobrement Les salles de consommation à moindre risque, de l'épidémiologie à la politique.

    Nous vous avons déjà présenté cette chercheuse de l'INSERM dans un article du 6 juin 2014 : salle de conso : l'INSERM à l'enquête ! Ces derniers mois, Action Barbès a beaucoup fréquenté les milieux liés à la réduction des risques en matière de toxicomanie et, de ces contacts, il ressort un point commun : à l'unanimité, tous les spécialistes du sujet reconnaissent l'exceptionnelle qualité du travail de Marie Jauffret-Roustide qui fait aujourd'hui référence dans le  domaine de la réduction des risques liés à la toxicomanie en France.

    Marie Jauffret-Roustide a publié le 22 janvier dernier un article dans la revue de sciences humaines et sociales de la Vie des Idées qui fait un point complet de la situation.

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    Cliquer sur l'image pour accéder à l'article

     

    Le style de l'article est clair, point de termes techniques, ce qui le rend accessible à tout un chacun. Marie Jauffret-Roustide n'élude aucun problème et présente le sujet de façon neutre faisant la part entre les partisans et les opposants au projet de salle d'injection supervisée.

    Pour ceux que le sujet intéresse et surtout pour ceux pour qui le projet pose encore problème, il faut lire cet article qui fait référence en l'état actuel des choses.

     

  • Les toits de Paris

    Logo toits de Paris.pngLa salle Rossini à la mairie du 9e était pleine à craquer ce jeudi 5 février pour le lancement du comité de soutien à la candidature de la Ville de Paris au classement au patrimoine mondial de l'UNESCO des toits de la capitale.
     
    Revenons cinq mois en arrière
     
    Tout a commencé au cours du conseil d'arrondissement du 9e le 15 septembre 2014 lorsque la nouvelle maire Delphine Bürkli (UMP) et l'exécutif ont déposé un vœu afin de demander le classement des toits de Paris au patrimoine mondial de l'UNESCO, voeu adopté à l'unanimité de ce conseil. Sur le même sujet et dans la foulée, un second vœu a été porté au Conseil de Paris par les trois représentants du 9e et le Premier adjoint Bruno Julliard (PS). Ce voeu a été adopté à l'unanimité le 1er octobre. Il demande à la maire de Paris la mise en place d'un "groupe de travail visant à définir une stratégie patrimoniale à appliquer, en vue de présenter, le cas échéant, la candidature des toits de Paris au patrimoine mondial de l’UNESCO" (lire le texte complet du voeu). Mais voilà que les choses se gâtent puisque Anne Hidalgo doute de l'intérêt de ce classement comme l'indique l'article paru sur LCP/AN "Toits de Paris, Hidalgo ne veut pas mettre la capitale dans le formol".
     
    Le parcours du combattant débute alors pour cette initiative car, évidemment, de nombreuses étapes sont à franchir avant que l'UNESCO en approuve le principe. Cela commence par un soutien du ministère de la Culture qui devra inscrire ce projet sur la liste indicative des biens français au patrimoine mondial, avant d’être ensuite sélectionné par l’État français pour être présenté à l’UNESCO. Tel est donc l'objectif du comité de soutien lancé en ce 5 février.
     
    De quoi s'agit-il ?
     
    Le site de l'UNESCO explique très bien à la fois l'objet d'un classement au patrimoine mondial et la procédure à suivre pour obtenir un tel classement. Disons qu'en gros il s'agit de préserver afin de transmettre aux générations futures les œuvres culturelles les plus remarquables de l'humanité. C'est à ce titre que les berges de la Seine ont été classées au patrimoine mondial au milieu des années 80. (Vous pouvez accéder à la liste des monuments et sites classés par l'UNESCO en cliquant sur ce lien).

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    Les toits de Paris - Paris vu des toits - Source : site Les toits de Paris vous invitent à prendre de la hauteur

     
     
    Pourquoi cette demande de classement ?
     
    "Les toits de Paris forment un paysage urbain unique grâce à ses formes, à ses monuments, à ses contrastes" a déclaré Delphine Bürkli en présentant son vœu au conseil de Paris le 1er octobre dernier. Il s'agit de mettre en valeur un patrimoine encore inconnu et en même temps de faire le nécessaire pour sa sauvegarde.
     
    Mais d'autres motifs semblent pointer leur nez et la maire du 9e n'en fait pas mystère : "Je veux ainsi que cette candidature soit l’occasion d’imaginer l’urbanisme de demain, avec de nouveaux usages à définir sur les toits des immeubles nouveaux" ajoutant "c'est aussi une dimension touristique de Paris qui est à réinventer".
     
    Il ne s'agit pas ici de faire un procès d'intention mais de bien regarder la réalité en face. Personne ne doute du profond désir, de la volonté des élus parisiens de préserver ce patrimoine que sont nos toits. Cela ne nous empêche pas de voir que l'urbanisme et le tourisme restent en arrière fond du projet. L'urbanisme parce que Paris étouffe dans ses murs, que la densité de la ville est extraordinaire et que pour sortir un peu de ce carcan, c'est en hauteur, ou plus exactement en volume, que des solutions peuvent être trouvées. L'actuel processus de modification du Plan Local d'Urbanisme en est un autre signe. Le tourisme car une énorme bagarre a lieu depuis des années entre différentes grandes villes d'Europe pour le leadership des visites de touristes. Paris demeure en tête mais cette position reste fragile vis-à-vis de Londres par exemple. Classer les toits ne serait-il un argument de plus pour la capitale du romantisme mondial ?
     
    Comment arriver à ce classement ?
     
    Au delà des arguments culturels, artistiques, techniques qui seront développés par les experts et notamment les architectes et historiens du patrimoine paris,toits de paris,urbanisme,patrimoinedont le travail commence, il est évident que la communication jouera un grand rôle. Dans sa déclaration d'ouverture, le Président du comité de soutien ne l'a pas caché et de nombreuses manifestations (expositions, conférences, ...) seront organisées pour obtenir le soutien du public. En attendant, et puisque nous sommes au tout début d'une longue marche qui pourrait durer des années, le comité de soutien a mis en ligne un site "Les toits de Paris vous invitent à prendre de la hauteur" qui regroupe les premières informations et quelques photos et a déjà son logo, assez joli ma foi !

     

    En attendant, régalons nous avec  Sous les toits de Paris chanté par Albert Préjean

     

  • Du Pavillon de l'Arsenal à la Promenade Urbaine

    paris,urbanisme,promenade-urbaine,pavillon de l'arsenalLa Promenade urbaine, notre projet phare depuis plusieurs mois déjà, exige des compétences d'urbanisme. C'est enfoncer des portes ouvertes que de l'affirmer. Notre association abrite quelques sages de la discipline, mais dans son immense majorité, nos adhérents ne sont pas experts.

    Pour combler, un peu, ces lacunes, nous nous sommes inscrits à un cycle de conférences, intitulées modestement « Petites leçons de ville », qui se tient le premier jeudi de chaque mois de février à juin, au Pavillon de l'Arsenal, à 19h, pilotées par le Conseil d'architecture, d'urbanisme et d'environnement (CAUE) de Paris.

    La première leçon a été donnée jeudi dernier 5 février — donnée est le mot juste, puisque nous étions en train de cacher que ces conférences sont gratuites et ouvertes à tous, sur simple inscription.

    La première de la série de cinq leçons était intitulée « Mobiliser »…………

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  • Mais qui est SOS Paris ?

    Dès 2001, Action Barbès a tout de suite été sensible à la valeur du patrimoine puisque la protection du cinéma Le Louxor était, dès le début, une des raisons de sa création. Notre intérêt pour la sauvegarde de ce patrimoine et de sa problématique spécifique a  décuplé au contact de l'historien de très grande importance qu'est François Loyer puisque c'est lui qui nous a conseillés et aidés dans notre tentative, hélas vouée à l'échec, de sauver l'intérieur du cinéma, une fois celui-ci racheté par la Ville de Paris (voir dans la colonne de droite de ce blog dans la catégorie Histoire Louxor).

    paris,patrimoine,sos-parisLes polémiques à propos de la sauvegarde du patrimoine parisien se sont multipliées ces derniers mois. Que ce soit le projet d'extension du stade Roland Garros et du sort réservé au serres d'Auteuil, celui de création de la tour Triangle porte de Versailles ou bien encore celui de LVMH à l'emplacement de l'ancienne Samaritaine rue de Rivoli, sans oublier celui de restructuration de la poste centrale de la rue du Louvre pour ne parler que des projets les plus médiatisés, les articles de presse et les prises de positions n'ont pas manqué. Au centre de tout cela, outre les acteurs impliqués, on retrouve l'association SOS Paris. Nous avons voulu en savoir plus et comme son Secrétaire Général, Jan Wyers, habite le 9e, il nous a été facile de l'interviewer.

     

    Action Barbès (AB) : Quand SOS Paris a-t-il été créé et dans quels buts ?

    Jan Wyers SOS Paris (JW) : En 1973, avec comme but la protection du patrimoine et le cadre de vie des Parisiens. C’était la période Pompidou : la tour Montparnasse, les voies sur berges, le projet d’autoroute urbaine traversant Paris du Nord au Sud en passant sous des gratte-ciel …

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  • Notre promenade urbaine à .... New York

    Sans être trop optimiste et en restant très vigilant quand même, le projet de promenade urbaine entre Barbès et Stalingrad initié par Action Barbès est sur de bons rails. Il va certes falloir être patient car c'est un projet d'envergure mais tout nous incite à penser que le processus est lancé, volonté de le faire maintes fois réitérée par le maire du 18e, Eric Lejoindre, avec le soutien manifeste de Jean-Louis Missika, adjoint d'Anne Hidalgo chargé de l'urbanisme, sans oublier bien sûr le précieux concours du maire du 10e, Rémi Féraud.

    Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, voilà que notre projet a définitivement traversé l'Atlantique. Nous vous avions parlé en octobre de la visite de Design Trust for Public Space, et bien nos amis New-Yorkais parlent de Barbès et de nous dans leur dernière Newsletter de janvier 2015.

     

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    Cliquer sur l'image pour avoir accès à l'ensemble de l'article en anglais

    Que nous dit cet article ? Resitué dans le contexte tragique qu'a connu Paris en ce début 2015, il réaffirme la vocation des lieux comme celui-là d'être des endroits de vie, de convivialité, d'échanges dans la cité.

    "These public spaces are the lifeblood of cities, that shape our civic and individual identities" Ces espaces sont essentiels à nos cités, façonnant nos identités qu'elles soient civiques ou individuelles. (ndlr : comment ne pas partager cet avis ?)

    Et plus loin : "When a person sets foot outside their door onto the street, into a park or playground, or into a subway station, they perceive whether they are valued and respected, or not. Is this place clean, well-maintained and lit ? Are there trees and plantings? Or is it dark and desolate, trash strewn and dirty, filled with vermin?" Quand une personne sort de chez elle, va dans un parc ou une aire de jeux, dans une station de métro, elle perçoit si elle est valorisée et respectée ou non. Ce endroit est-il propre, bien entretenu et éclairé ? Y a t-il des arbres et des plantations ? Ou est-ce sombre et désolée, avec des ordures qui jonchent le sol, sale, et rempli de vermine ?

    Emporté par son enthousiasme, Design Trust prête à Action Barbès la réalisation de projets dont nous ne sommes pas à l'origine. Mais il est bien connu qu'on ne prête qu'aux riches et il faut y voir là une preuve d'amitié.

    Une fois le projet à peu près mis au point, nous demanderons à nos amis ce qu'ils en pensent. Nous avons intérêt à bien travailler !

    Nota : pour ceux qui ne parlent pas anglais, Google Traduction propose une traduction acceptable.

     

  • Projet Paris Nord Est Elargi : Promenade Urbaine et gares en sont !

    Salle comble à  la mairie du 18e le 2 février. On pouvait s'y attendre au vu du projet présenté. Mais, plus surprenant, des élus venus d'arrondissements et de communes limitrophes à la même tribune. Pour Action Barbès qui a toujours souhaité que les élus des 9-10-18 (et maintenant 19 dans le cadre de la Promenade urbaine) s'associent pour avancer dans notre quartier, une certaine satisfaction.

    En présence de Jean-Louis Missika, adjoint à la maire de Paris chargé de l'urbanisme, c'est François Leclercq, architecte urbaniste qui a présenté les grandes lignes de ce vaste projet.

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  • Révision du PLU : où en est-on ?

    paris,plu,environnement,logement,démocratie localeLa première phase de concertation dans le cadre de la révision du Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Paris s'est achevée fin décembre. Les propositions, les avis, les commentaires .... et les critiques ont été recueillis sur la plate forme imaginons.paris mais aussi au cours des réunions d'information qui se sont tenues dans les 20 mairies d'arrondissement (voir notre article du 18 octobre).

    Une réunion de restitution des informations ainsi collectées au cours du dernier trimestre 2014 était organisée le samedi 24 janvier au Pavillon de l'Arsenal dans le 4e arrondissement. Bien sûr, la réunion s'est tenue en présence de Jean-Louis Missika, adjoint d'Anne Hidalgo chargé de l'Urbanisme, de la Direction de l'Urbanisme de la Mairie de Paris et également de l'agence Strateact' chargée, elle, de la plate forme participative pour le compte de cette même Mairie de Paris.

    La salle, bien remplie de personnes manifestement motivées (on y a reconnu par exemple la présence de l'association SOS Paris mais aussi des membres de Conseils de quartier), a été très attentive à toutes les informations issues de cette première concertation.

    Quelques chiffres d'abord

    Au cours de ses trois mois d'ouverture, ...

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  • L'avenir du nord du 10e au conseil de quartier Louis Blanc jeudi prochain

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    Voici un conseil de quartier qui intéresse notre association pour son projet de promenade urbaine entre Barbès et Stalingrad puisque le boulevard de la Chapelle y sera évoqué. Le conseil Louis-Blanc Aqueduc est d'ailleurs partie prenante des réunions qui ont commencé avec l'APUR. Le devenir de l'hôpital Lariboisière a aussi été l'objet de plusieurs articles.

     

    Rendez-vous jeudi 12 février à 19 h au 49 bis rue Louis-Blanc, à deux pas de Barbès.