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Dans le 18ème - Page 4

  • Les P'tits Baudets vous donnent le "Smile"

    Les Trois Baudets proposent "Smile" à son jeune public dans le cadre des P'tits Baudets. La séance de ce dimanche est complète, donc rendez-vous le 10 avril, ne tardez pas à réserver vos places !

    "Smile" est un ciné-concert original sur les émotions. Illustré par les films de Charlie Chaplin et animé par une voix off inimitable et une silhouette extravagante, le spectacle jongle avec les sentiments des petits et des grands, de la tristesse à la joie en passant par la surprise, la colère, la peur et le dégoût, préparez-vous à vivre une drôle d'aventure ! Dans "Smile" chaque émotion est mise en valeur par une chanson ou une mélodie et par des scènes de films de Chaplin, entre poésie, sensibilité et humour bien-sûr !

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    C'est où ?

    Les Trois Baudets, 64 boulevard de Clichy, Paris 18e

    C'est quand ?

    Dimanche 10 avril 2022, à 15 h 30

  • "Au printemps de l'Art", spectacle en ligne du Lapin Agile

    Pour les amateurs de l'histoire des arts, de la chanson et de Montmartre, le Lapin Agile vous propose ce soir, 31 mars, un concert en ligne : "Au printemps de l'Art". Pour la somme modique de 5 euros, vous pourrez assister en direct à un concert de chansons montmartroises tout en contribuant à faire (re)vivre ce lieu mythique de la Butte s'il en est.

    Pour vous inscrire c'est par ici.

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    C'est où ?

    Le Lapin Agile,  22 rue des Saules, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 31 mars 2022, à 21 h 30

  • Printemps neigeux à la Goutte d'Or !

    C'est à n'en pas revenir ! Il a neigé sur l'esplanade de l'église Saint-Bernard de La Chapelle, en plein milieu de la Goutte d'Or, les 16 et 17 mars !! De la neige, et une épaisse brume, et un peu de pluie. Le changement climatique a encore frappé... tandis le printemps, lui, frappe à la porte du square voisin !?

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    Un truc bizarre, quand même : de la terre au sol, des boutiques 1900, charmantes, autour de la place ? Et cent-cinquante passants habillés 1900, du bourgeois au mendiant, et cinq attelages, calèches ou coupés… et puis à quinze mètres, une huitaine de camions bien rangés.

    cinema,tournage,serie,parisNeige et brume rue Saint-Luc

    Eh oui, bien sûr, il s'agit d'un tournage de cinéma, qui se déroule en hiver, notre place, son square et quelques rues voisines n'ayant pas besoin de trop de modifications pour nous ramener cent-dix-sept ans en arrière ! Pour informer nos lecteurs, Action Barbès a capturé le régisseur adjoint, Gilles Reignier. Oh ! quelques minutes, un café à la "table régie",  "petit gâteau ?" parce qu'on a besoin de lui toutes les 90 secondes.

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    Alors voilà ! Il s'agit de "Paris Police 1905". C'est, pour être exact une série pour la chaîne Canal+, de six fois 52 minutes, à tendance politique. De quoi nous passionner de longs moments, vers mars 2023. Le réalisateur s'appelle Julien Despaux, et tourne sur deux plateaux en même temps : dans l'église Saint-Bernard, pleine de figurants, pour l'arrivée du Préfet, et sur le parvis et les rues avoisinant l'église et les boutiques, et les hautes nacelles d'où sont balancées la brume, la neige … (de petits morceaux de cellulose blanche, illusion parfaite, et facile à remballer après usage). À signaler un superbe "panier à salade" 1900, c'est à dire une calèche tirée par deux chevaux, qui fait un passage en trombe après une arrestation, le 30 Kmh atteint en 2,5 secondes, retour à l'arrêt juste à la rue Jessaint ! Ouf. "Elle est bonne ! On la refait !".

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    Rue Saint-Luc, mise en miroir du décor reconstitué et du "vrai décor" de 1905

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    Le tout au milieu de l'équipe, des figurants, des autochtones curieux devant ce beau coup d’œil d'hiver, ou d'hier…

    Le camion cuisine (un des meilleurs du métier, nous dit Gilles Reignier) et sa grande tente blanche, le barnum pour servir 280 couverts, sont eux installés un peu plus loin, sur l'esplanade Pajol.

    Le 17 mars dans la nuit, et le 18 au matin, tout aura été remis en place, les potelets, les panneaux routiers, la terre et la "neige" seront retirées, et les rideaux de fer auront réapparu. Dommage, on aurait bien gardé ces charmantes boutiques 1900 au lieu des rideaux de fer !

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    À l'angle des rues Affre et Saint-Bruno, le tournage a fait revivre par hasard un café disparu qui existait ici en 1905

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  • "Répression, domination, violences coloniales : parler aujourd'hui de la Guerre d'Algérie" : Table ronde à la bibliothèque Goutte d'Or

    Ce jeudi 24 mars, la bibliothèque Goutte d'Or vous convie à une table ronde ayant pour thème : "Répression, domination, violences coloniales : parler aujourd'hui de la Guerre d'Algérie", avec les historiens Emmanuel Blanchard, Christelle Taraud et Sylvie Thénault. La journaliste Rachida El Azzouzi animera cette table ronde.

    L'entrée est libre mais dans la limite des places disponibles, il est donc impératif de réserver sa place (01 53 09 26 10 / bibliotheque.goutte-dor@paris.fr).

    "À l'occasion de la commémoration des soixante ans des accords d'Evian, cette table ronde réunira des universitaires spécialistes de la Guerre d'Algérie pour nous éclairer sur un sujet encore brûlant aujourd'hui.

    Nous commémorons cette année les accords d'Evian, qui mettaient fin à la Guerre d'Algérie et ouvraient à l'indépendance du pays. Soixante ans après, les enjeux mémoriels sont d'une intense actualité.

    En effet, le contexte est celui du rapport remis en janvier 2021 au Président de la République par Benjamin Stora : "Les questions mémorielles portant sur la colonisation et la Guerre d'Algérie", avec les vives réactions qu'il a suscitées. Et la situation actuelle est celle d'une société française parcourue par l'expression publique d'un racisme assumé et par des vagues de nostalgie pour la colonisation.

    Il importe donc de parler des réalités d'hier encore brûlantes aujourd'hui, particulièrement dans ce quartier Barbès - Goutte d'Or, où la tradition d'accueil des immigrations est historique, aujourd'hui encore incarnée par la présence de nombreuses personnes de nationalité ou d'origine algérienne. La résistance contre l'oppression coloniale, la lutte pour l'indépendance, leur répression brutale par les forces de l'ordre ont durablement marqué le quartier et restent vivaces dans les mémoires.

    Cette table ronde nous permettra de saisir la réalité coloniale caractérisée par les inégalités, la violence et le racisme et de comprendre par quels mécanismes les Algériens sont passés de la révolte contre cette oppression au désir politique de l'indépendance. La place des femmes dans cette lutte sera particulièrement éclairée. Nous aborderons aussi la répression exercée par le pouvoir politique français, en Algérie comme à Paris à l'encontre des immigrés algériens."

    Les intervenants :

    • Emmanuel Blanchard, historien et politiste, chercheur au CESDIP (CNRS), maître de conférences au département de science politique de l'Université de Versailles-Saint-Quentin et à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye. Ses principaux axes de recherche sont la sociologie et l'histoire de la police, la sociologie et l'histoire de l'immigration, l'histoire de la guerre d'indépendance algérienne, la formation des États coloniaux, le maintien de l'ordre en situation coloniale. Il a publié notamment : La Police parisienne et les Algériens, 1944-1962 (Nouveau Monde Édition, 2011) et Histoire des polices en France : des guerres de religion à nos jours, avec V. Denis, A. Houte, V. Milliot (Belin, 2020).
    • Christelle Taraud, historienne, membre du Centre d'histoire du XIXe siècle (Paris 1/Paris IV), spécialiste de l'histoire des femmes, du genre et des sexualités en contexte colonial, tout particulièrement au Maghreb. Elle a notamment publié : Amour interdit : prostitution, marginalité et colonialisme. Maghreb 1830-1962, (Payot, 2012) ; La Colonisation (Le Cavalier Bleu, 2008) ; Mauresques : femmes orientales dans la photographie coloniale, 1860-1910 (Albin Michel, 2003).
    • Sylvie Thénault, historienne, directrice de recherche au CNRS, spécialiste de la colonisation en Algérie et de la guerre d’indépendance algérienne. Ses recherches portent sur le droit et la répression, elle a publié notamment : Violence ordinaire dans l’Algérie coloniale : camps, internements, assignations à résidence (Odile Jacob, 2012) ; Algérie, des « événements » à la guerre : idées reçues sur la guerre d’indépendance algérienne (Le Cavalier Bleu, 2012) ; Histoire de la guerre d’indépendance algérienne (Flammarion, 2005) ; à paraître : Les Ratonnades d'Alger, 1956 : une histoire du racisme colonial (Le Seuil, février 2022).
      Modératrice :
    • Rachida El Azzouzi, journaliste à Médiapart.

    À l'issue de la séance sera proposée, une vente-dédicace du livre de Sylvie Thénault, Les Ratonnades d'Alger, 1956 : une histoire du racisme colonial (Le Seuil, 2022, 23 €) en partenariat avec la librairie La Régulière.

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    C'est où ?

    Bibliothèque de la Goutte d'Or, 2-4 rue Fleury, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 24 mars 2022, de 19 h 30 à 21 h 30

  • "Les mots nous engagent !" Table ronde à la bibliothèque de la Goutte d'Or

    Dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la francophonie, la bibliothèque de la Goutte d'Or vous convie ce soir, jeudi 17 mars, à une rencontre pour redécouvrir la puissance subversive des mots et leur pouvoir potentiellement détonant, avec les éditions Anamosa, autour de leur collection "Le mot est faible".

    "Dans notre société figée, où les pouvoirs en place tendent à éteindre toute braise de contestation, où l'individualisme douillet conforte la pérennité de l'ordre établi, nombre de mots sont dévoyés, pervertis, vidés de leur substance et de leur pouvoir subversif.

    Avec leur collection "Le mot est faible", les éditions Anamosa ont décidé de redonner aux mots leur puissance. "Environnement", "Utopie", "Science", "Histoire", "Démocratie", "Mérite", "Journalisme", "Ecole",… autant de termes aujourd'hui affadis à force d'être ressassés dans des discours creux. Chacun d'entre eux (et d'autres encore) fait l'objet d'un petit livre percutant, dont la richesse et la rigueur scientifique sont nourries par la recherche universitaire la plus exigeante. Chaque mot est étudié, ses enjeux sont mis à jour, sa puissance originelle régénérée. Redonner aux mots leur sens, c'est dévoiler la réalité qu'ils expriment, c'est donc nous mettre face à la réalité, nous engager."

    Intervenants :

    • Cécile Canut, sociolinguiste, enseignante à l'Université de Paris, auteure de Langue
    • Christophe Granger, membre du Centre d’histoire sociale du XXe siècle (Paris-1/CNRS), directeur de la collection "Le Mot est faible"
    • Guillaume Mazeau, historien, maître de conférences en histoire moderne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, auteur de Histoire
    • Chloé Pathé, éditrice, fondatrice des éditions Anamosa, parlera notamment de Race, écrit par Sarah Mazouz

    À l'issue de la séance, une vente dédicace sera proposée, en partenariat avec la librairie La Régulière.

    C'est à 19 h 30, l'entrée est libre mais dans la limite des places disponibles, il est donc plus prudent de réserver (01 53 09 26 10 / bibliotheque.goutte-dor@paris.fr).

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    C'est où ?

    Bibliothèque de la Goutte d'Or, 2-4 rue Fleury, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 17 mars 2022, de 19 h 30 à 21 h 30

  • Assistez à la "La leçon de français" de Pépito Matéo

    Ce vendredi 18 mars, dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la francophonie, Bibliocité vous propose "La leçon de français", un spectacle de Pépito Matéo. C'est donc ce vendredi, à 20 h et c'est à l'auberge de jeunesse Yves Robert, sur l'esplanade Nathalie Sarraute. Inscription en ligne : cliquer ici.

    "Pépito Matéo est un comédien et conteur dont l’ensemble du travail est un jeu autour du langage. Il présentera sa "Leçon de français" dans une salle de classe imaginaire et s'intéressera aux malentendus, aux décalages d'une langue à l'autre, à la façon de nommer les choses dans tous les pays pour nous interroger sur la manière dont nous vivons."

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    C'est où ?

    Auberge de jeunesse Yves Robert, 20, esplanade Nathalie Sarraute, Paris 18e

    C'est quand ?

    Vendredi 18 mars 2022, de 20 h à 21 h

  • Réunion de préparation de la Fête de la Goutte d'Or

    Vous êtes habitant.e, associatif, commerçant.e de la Goutte d'Or, vous souhaitez en savoir plus sur la fête de la Goutte d’Or, son histoire, son organisation..., et comment participer à la prochaine édition ? Pour cela, et dans l’optique de l’organisation de la fête cet été, plusieurs temps d’information sont prévus, le prochain rendez-vous est le jeudi 17 mars, à la Salle Saint Bruno, à 10h. Car la Fête de la Goutte d'Or c'est avant tout les habitants du quartier qui la font !

    Inscription à l’adresse suivante : gouttedorenfete@gmail.com

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    C'est où ?

    Salle Saint-Bruno, 9 rue Saint-Bruno, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 17 mars 2022, à 10 h

  • Une plaque en hommage à un couple de femmes résistantes : Suzanne Leclézio et Yvonne Ziegler

    À l'occasion de la journée mondiale pour les droits des femmes, le 8 mars prochain, se déroulera une cérémonie de dévoilement de la plaque en hommage aux résistantes Suzanne Leclézio et Yvonne Ziegler, au 22 rue Marcadet.

    C'est à un couple de femmes engagées dans la Résistance qu'il sera rendu hommage. Quand on découvre leur histoire, que l'on voit la force qui a animé ces femmes, on ne peut que comprendre cet hommage à deux femmes d'exception.

    "Suzanne Leclézio, assistante sociale et Yvonne Ziegler, sa compagne, peintre, professeur de dessin, bénévole, ont travaillé à partir de 1935 au Centre d’hygiène sociale du 22 rue Marcadet dans le 18e arrondissement de Paris. Ce dispensaire appartenait à cette époque à la Compagnie des chemins de fer du Nord.  Suzanne est née à l’ile Maurice en 1898 et décédée le 1er mai 1987 Elle est chevalier de l’ordre de la Légion d’honneur, décorée de la Croix de guerre et de la médaille de la Résistance française. Yvonne, née à Garches en 1902, a également reçu la Croix de guerre et la médaille de la Résistance. Elle est décédée le 16 janvier 1988.

    Elles furent citées à l’ordre de la SNCF en 1942 pour leur rôle dans l’accueil et les soins aux réfugiés lors de l’exode de 1940 et notamment pour avoir procuré du lait aux enfants évacués. En 1942, lors des grandes rafles de Juifs à Paris, elles aident les Scharapan, famille juive du quartier Marcadet en procurant un logement et un emploi à la grand-mère de Nelly Scharapan lui permettant ainsi de survivre et d’échapper à la déportation. Les 21 et 22 avril 1944, elles apportent réconfort et soins aux blessés lors des bombardements des installations ferroviaires du quartier de la Chapelle qui firent plus de 500 morts. Le dispensaire épargné accueille les cheminots, leur famille et les habitants et enfants du quartier. Suzanne Leclézio s’investit également à la maison des enfants de cheminots de Crouy-sur-Ourcq qu’elle visite très régulièrement pour voir les petits patients soignés au dispensaire et dont l’état de santé nécessite leur placement temporaire dans cet établissement.

    Patriotes et éprises de liberté, ces deux femmes ont intégré le réseau de résistance Cohors-Asturie le 1er octobre 1943 avec le grade de sous-lieutenant. Elles habitent toutes les deux rue Boissonade et hébergent plusieurs résistants recherchés par la Gestapo. Elles sont dénoncées en juillet 1944. La Gestapo les arrête à leur domicile le 27 juillet 1944 et les torture rue des Saussaies. Elles sont ensuite déportées par le dernier convoi parti de Pantin le 15 aout 1944 pour le camp de Ravensbrück. Elles sont ensuite transférées dans plusieurs Kommandos où elles travaillent dans des conditions effroyables. Elles s’évadent au cours des marches de la mort et après quelques jours, elles sont libérées par l’armée soviétique. Elles sont confiées à la Croix-Rouge internationale et rapatriées en France le 25 mai 1945. Suzanne Leclézio est nommée directrice du Centre d’hygiène sociale à son retour. Elle quittera la SNCF en 1958 pour une retraite en Normandie avec Yvonne. Membres de l’Association des anciennes Déportées, Internées de la Résistante, entourées d’amis, neveux, nièces, elles ont été, avec humilité, des belles personnes, impressionnantes par leur courage tranquille et leur dévouement modeste. Leur parcours découvre des problématiques longtemps restées dans l'ombre, et désormais mises en avant : le rôle des femmes et des travailleuses sociales dans la résistance et la déportation, la place des couples de femmes dans certains secteurs comme l'action sociale."

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    C'est où ?

    22 rue Marcadet à Paris

    C'est quand ?

    8 mars 2022, à 10 h 45

     

  • "Game Girls", projection-débat à la bibliothèque de la Goutte d'Or

    Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes, la bibliothèque de la Goutte d'Or propose ce samedi une projection-débat autour du film documentaire "Game Girls" d'Alina Skrzeszewska. Le film sera présenté par Julien Marsa, réalisateur, professeur et critique cinématographique, qui animera l'échange avec le public. 

    C'est donc ce samedi 5 mars, à 14 h 30, et c'est libre d'accès sans réservation, dans la limite des places disponibles.

    "Un documentaire fascinant. Game Girls suit deux jeunes femmes noires, Teri et son amie Tiahna dans le monde chaotique de Skid Row, quartier de Los Angeles connu pour être la “capitale des sans-abris des États-Unis".
    Un dilemme attise les tensions entre les deux femmes : s’il semble que Tiahna accepte de faire partie de l’économie souterraine du quartier, Teri est animée par une puissante volonté d’en sortir.
    Avec d’autres femmes, elles participent chaque semaine à un atelier d’expression artistique, lieu de réflexion, de rêve et de guérison. C'est cet atelier, initié par la réalisatrice avec le concours d'une dramathérapeute, qui a fait naître et enrichi le projet de film.
    Très vite, l'attention s'est focalisée sur le couple incandescent formé par Tiahna et Teri. Leur histoire d'amour chaotique est devenue le fil conducteur d'une immersion dans ce quartier où la présence des caméras suscite des réactions parfois violentes de la part des habitants.
    La caméra accompagne les deux femmes dans les rues, dans les locaux des services sociaux, dans leur intimité et lors de la préparation et de la cérémonie de leur mariage, scène d'anthologie qui tient à la fois de la comédie et de la tragédie, où rien ne se passe comme prévu…"

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    C'est où ?

  • Les fleurs débarquent dans la rue-jardin Richomme

    La "rue-jardin Richomme", un projet qu'Action Barbès avait proposé au Budget participatif et qui avait été retenu par les votes des habitants en 2017, arrive à son achèvement avec la plantation d'arbustes et de vivaces dans les plates-bandes aménagées cet automne (voir notre article du 17 novembre 2021 à ce sujet).

    Nous vous proposons donc aujourd'hui un petit tour en quelques photos dans cette rue de la Goutte d'Or, dorénavant piétonne, pour apprécier ses dernières évolutions. Et même si le printemps n'est pas encore là, il s'annonce prometteur rue Richomme.

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  • La Goutte d'or accueille en mars un nouveau festival parisien "Africapitales : Bamako à Paris"

    Le mois de mars 2022 sera pour le moins malien à la Goutte d'Or, qui accueille un mois d'une programmation riche et diverse dans le cadre du nouveau festival Africapitales : Bamako à Paris.

    Concerts, films, théâtre, expositions, conférences, ateliers, boutiques éphémères... c'est un programme très riche qui s'annonce dans les semaines à venir pour ce festival qui s'imagine comme le lieu d'"Hyper-Rencontres". Et si le Lavoir Moderne Parisien (35 rue Léon) est le point central, le cœur  de cet évènement d'ampleur, beaucoup de lieux culturels du quartier y sont associés (même le square Léon en est !) :

    LE POULPE RESSOURCERIE
    4 bis rue d’Oran, Paris 18

    ÉCHOMUSÉE
    21 rue Cavé, Paris 18

    360 PARIS MUSIC FACTORY
    32 rue Myrrha, Paris 18

    LOUXOR
    170 boulevard de magenta Paris 10

    FGO BARBARA
    1 rue Fleury, Paris 18

    ESPRIT D’EBÈNE
    15 rue de la Goutte d’Or, 18e

    BIBLIOTHÈQUE DE LA GOUTTE D’OR
    2, rue Fleury, 18e

    LES XÉROGRAPHES

    rue Cavé, 18e

    Nous vous laissons découvrir en détail, et en prenant le temps, le programme foisonnant de cette immersion culturelle parisiano-malienne à l'invitation de la compagnie Graine de Soleil et du LMP : Télécharger le programme 

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  • Conférence au FGO : "Ces morceaux qui ont changé le rap français"

    Le jeudi 24 février, le FGO-Barbara vous propose une conférence du journaliste musical Maxime Delcourt : "Ces morceaux qui ont changé le rap français". L'entrée est libre, dans la limite des places disponibles.

    "Depuis son apparition dans les années 1980, le rap français n’a cessé de se réinventer, souvent en lien avec les innovations en cours de l’autre côté de l’Atlantique, parfois en étant parfaitement en phase avec différentes réalités du territoire hexagonal : l’architecture spécifique de ses banlieues, un certain héritage de la poésie et de la chanson française, la persistance du racisme, des inégalités et autres problèmes sociaux, le passé colonial, etc.

    De «Bouge de là » de MC Solaar à « Le Monde ou rien » de PNL, de « Retour aux pyramides » des X-Men à « Pour ceux » de la Mafia K’1 Fry, en passant par « Demain c’est loin » d’IAM ou encore « DJ » de Diams, tous ces morceaux n’appartiennent pas seulement à notre mémoire collective : ils ont également changé la face du rap français."

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    Maxime Delcourt

    C'est où ?

    FGO-Barbara, 1 rue Fleury, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 24 février 2022, à 18 h 30