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Dans le 10ème - Page 99

  • Salle de conso : un premier point après l'ouverture

    La salle de consommation à moindre risque (SCMR) a donc ouvert ses portes il y a un peu plus de deux semaines maintenant. Il est bien sûr beaucoup trop tôt pour tirer quelque conclusion que ce soit de ce début mais nous pouvons néanmoins apporter quelques informations.

    Dans un entretien qu'elle nous a accordé récemment, la nouvelle directrice de l'hôpital Lariboisière se dit satisfaite de ce démarrage, aucun problème n'étant intervenu depuis l'ouverture. Selon les informations qu'elle nous a données, entre 70 et 110 passages quotidiens ont lieu dans la salle qui peut en accueillir 400 chaque jour. Petit à petit, cette quantité de passages devrait augmenter. Il faut noter que les personnels de différents services de l'hôpital, notamment celui des urgences, ont visité la salle et ont pu échanger avec l'association GAIA qui la gère. La Directrice confirme que tous les processus sont en place entre GAIA et l'hôpital en cas problème.

    Nous vous avons rapporté ce qui s'est dit lors du premier Comité de Voisinage et nous participerons au deuxième qui se tiendra le 21 novembre. A noter que l'hôpital Lariboisière fait également partie de ce comité.

    Depuis l'ouverture de la SCMR, il semble que le ton des articles parus dans la presse ait quelque peu changé. De sceptiques voire hostiles il y a encore quelques mois, les contacts que nous avons eus et ce qui a été écrit ces derniers jours, tout semble indiquer un changement, une vision plus équilibrée des choses. Pour preuve ce reportage fait par la RTBF, la télévision belge, qui nous a sollicités.

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  • Métro aérien: le bruit est-il une fatalité?

    Un adhérent nouvellement arrivé dans le quartier nous a interrogés sur les nuisances sonores du métro de la ligne 2 afin de savoir s'il était envisageable de les réduire.

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    Nous avons relayé ces questions à Didier Perret de l'Agence du développement pour Paris de la RATP que nous croisons dans les réunions du Comité de pilotage Barbès. Voici en intégralité sa réponse.

    Effectivement, faire circuler un métro génère des bruits et des vibrations, et en raison de la densité d'habitations à proximité de nos réseaux, cette question est bien évidemment au cœur de nos préoccupations.
    Pour cette raison, depuis plusieurs dizaines d'années, la RATP s'est dotée d'une cellule composée d'ingénieurs acousticiens et d'experts sur les questions environnementales. Un laboratoire d'essais et mesures interne RATP vient compléter ce dispositif d'analyse.
    Concrètement, et c'est aussi la force d'une entreprise intégrée comme la RATP qui regroupe toutes les activités - exploitation, maintenance du matériel roulant, gestionnaire des infrastructures, Maîtrise d'Ouvrage et Maîtrise d'Œuvre des projets, nous intervenons à tous les niveaux :
    • Sur les infrastructures, avec des expertises techniques et acoustiques qui conduisent à réaliser de la maintenance des infrastructures à un niveau d'exigence qui permet la prise en compte des problématiques environnementales - dispositifs spécifiques, pas de maintenance adaptés ...
    • Sur le matériel roulant, avec des cahiers des charges qui intègrent ces questions de bruit et vibration – acquisition de matériel roulant moins sonore.
    • Sur les projets, avec l'intégration en phase conception de projets des solutions identifiées par retour d’expérience, ou bien lors de partages avec les autres gestionnaires d’infrastructures et exploitants de réseaux urbains.

    Par cette approche globale, la RATP s’inscrit dans une dynamique de réduction continue des impacts de ses activités sur son environnement, et concernant plus particulièrement la ligne 2 du métro, un matériel roulant dernière technologie et des maintenances rigoureuses - infrastructures voie et matériel, permettent de limiter le plus possible les bruits et vibrations lors de la circulation des rames. Pour compléter cette organisation, et parce que les riverains de nos lignes sont des témoins privilégiés d’éventuels dysfonctionnements, nous disposons d’une cellule spécifique qui assure un suivi des plaintes qui concernent le bruit et les vibrations.

    Pour faciliter les démarches clients, le point d’entrée reste le service clientèle de la RATP (http://www.ratp.fr/contact/client) ou par téléphone.

     

    Maintenant, vous en savez autant que nous, et si des dysfonctionnements sont à signaler, n'hésitez pas. 

     
  • Action Barbès : un nom connu au-delà du quartier...

    En toute modestie, nous devons reconnaitre qu'Action Barbès est très souvent sollicitée. Il ne se passe guère de semaine (mis à part pendant l'été et encore) sans que des journalistes ou des étudiants (ENA, Sciences PO, écoles de commerce, étudiants en sociologie...) ne nous sollicitent pour un entretien ou une interview.

    Ah, j'en entends déjà certains dire qu'on cherche à mettre en avant une notoriété flatteuse. Et bien pour une fois, nous nous sommes dits qu'on pouvait l'écrire. Bien sûr, tout cela est aussi fonction de l'actualité. Avec l'ouverture de la salle de consommation à moindre risque, avant et après, un intérêt et une curiosité pour notre position jusqu'en Belgique,  avec le projet de Promenade Urbaine qui a aussi traversé l'Atlantique et qui nous a permis de rencontrer des architectes de New-York et de Chicago (voir article d'octobre 2014), sur la "gentrification" du quartier notamment au moment de l'ouverture de la brasserie Barbès...

    Nous essayons autant que faire se peut de répondre favorablement à tous et notamment de rencontrer les étudiants qui ont souvent besoin d'informations pour leur travail et croyez-nous, tout cela est chronophage.

    Alors, voilà c'était la minute d'autosatisfaction de l'équipe d'Action Barbès. Allez, promis, il n'y en aura pas d'autre!

  • Un exemple venu des USA ?

    Paris a vu ces dernières années beaucoup d'initiatives se développer sous forme de coopératives. Nous essayons de suivre ce phénomène dans les quartiers qui nous intéressent plus particulièrement. Si ces élans de solidarité quelques fois utopiques semblent être l'apanage des Européens et des Français en particulier, il y a un exemple qui nous vient de Brooklyn, la Park Slope Food Coop. On ne va pas vous le présenter car ce sera l'objet d'une réunion avec projection d'un documentaire qui se tiendra au Louxor le vendredi 4 novembre à l'initiative du magasine Alternatives Economiques.

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  • La Librairie solidaire propose un atelier Brico-récup'

    La Librairie solidaire du 10e propose un atelier intergénérationnnel de brico-récup, atelier qui s'inscrit dans le cadre de la Semaine de l'économie circulaire. Ouvert à tous et gratuit.

    Rendez-vous jeudi 27 octobre de 16h à 17h ou de 17h à 18h au 27 rue du Château d'eau.

     

    librairie solidaire

    Entrée libre sur inscription au 01 42 01 46 83 / culture@lamaisonducanal.fr