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Le traditionnel forum des associations du 9e se déroulera le samedi 13 septembre prochain de 11h à 18h à la mairie du 9e, rue Drouot.
La mairie du 9e étant assez éloignée de Barbès, nous avons décidé de ne pas participer à ce forum cette année mais que cela ne vous empêche pas d'y faire un tour !
Que se passe t-il dans le 9e ? Pas de conseils de quartier depuis 6 mois, un CICA réaménagé, regardons ces sujets de plus près.
La nouvelle municipalité issue des élections de mars dernier a abandonné l'intitulé démocratie locale pour celui d'animation locale en y incluant les relations avec les associations pour la conseillère d'arrondissement déléguée, Isabelle Vught. Il ne faut peut-être pas attacher trop d'importance à ce changement mais les mots ont néanmoins un sens.
Le Comité d'Initiative et de Consultation d'Arrondissement (CICA)
Le Comité d'Initiative et de Consultation d'Arrondissement (CICA) est l'organisme qui fait le lien entre les associations qui souhaitent s'impliquer dans la vie locale et la municipalité. Par une lettre datée du 27 juin reçue par Action Barbès, Delphine Bürkli, la nouvelle maire du 9e, annonce sa volonté de réaménager le fonctionnement du CICA afin de permettre aux associations d'interpeller le Conseil d'arrondissement et se mettre ainsi en conformité avec le code général des collectivités territoriales (loi de décentralisation de 1982). Action Barbès milite depuis longtemps pour que dans le 9e, à l'instar de ce qui est fait dans le 10e par exemple, les associations puissent poser des questions, émettre des voeux devant les élus rassemblés. Nous en avons souvent parlé avec la maire qui y semblait favorable. La formule retenue ici est hybride. En effet, si les associations pourront bien s'exprimer devant la municipalité, elles ne pourront le faire qu'épisodiquement, le CICA ne se réunissant qu'une fois tous les trois mois au mieux. Par ailleurs, sous couvert d'efficacité et de préparation des réponses par les élus, la mairie envisage de faire une sélection des thèmes mis à l'ordre du jour. Il est clair que cette manière de procéder n'est pas acceptable. Que les associations envoient quelques jours à l'avance les sujets qui les préoccupent pour ne pas prendre par surprise les élus est évident, mais une sélection de ceux-ci est inacceptable, quand bien même celle-ci serait faite par le bureau du CICA et quand bien même cette disposition serait conforme à la loi de 1982. Tout ceci pour dire qu'en fait l'interpellation de la municipalité via le CICA n'est probablement pas la meilleure façon de procéder. Pourquoi ne pas incorporer une telle disposition dans le règlement intérieur du conseil d'arrondissement qui se tient lui une fois par mois, sachant que si elle respecte le champ de compétence du conseil, l'interpellation est acceptée de droit, c'est à dire sans pré-sélection ?
Conseils de quartier
Dès son arrivée à la mairie du 9e, Delphine Bürkli n'a pas caché sa volonté d'actualiser la charte des conseils de quartier du 9e. Il est vrai que cette question avait fait consensus dans Paris lors de la campagne électorale, chacun constatant un net essoufflement de ces conseils. Concernant le 9e, il faut aussi remarquer que ces conseils de quartier n'ont jamais vraiment fonctionné comme ils auraient du le faire. Pour prendre exemple encore sur le 10e, il suffit d'avoir assisté à une séance du conseil de quartier Saint-Vincent de Paul Lariboisière dans le 10e et à une séance du conseil de quartier voisin Trudaine Rochechouart pour bien voir la différence, sans dire pour autant que le fonctionnement de celui du 10e est exemplaire. Où en est-on de cette mise à jour ? Y a t-il eu concertation avec les équipes d'animation voire les conseils eux-mêmes ? Personne ne semble le savoir aujourd'hui. En tout cas, Action Barbès ne le sait pas.
Ce que nous constatons par contre, c'est qu'aucun conseil de quartier ne s'est tenu depuis 6 mois, toujours à notre connaissance, et que cela n'est pas normal.
Vous connaissez évidemment le constructeur automobile français Citroën - marque qui est, dans le monde, la plus collectionnée par les amateurs de voitures anciennes!
Cependant, peut-être êtes-vous moins familiers avec son fondateur, André Citroën (photo ci-contre), le père de l'automobile moderne qui a révolutionné l'industrie automobile?
Et pourtant... nous ne pouvons rester indifférents à la vie d'André Citroën, qui est loin d'être un inconnu pour nos quartiers.
Cet industriel visionnaire, cet entrepreneur avant-gardiste, est en effet un enfant du 9e arrondissement, où il grandit à la fin du XIXe siècle. Puis, au début du XXe siècle, le jeune homme fait ses premiers pas d'industriel dans le nord du 10e arrondissement.
Bien évidemment, on ne peut pas parler de son histoire sans évoquer sa voiture la plus emblématique, la "Traction Avant",qui bouleversa le paysage automobile de l'époque. D'autant que ce modèle de légende fête cette année ses 80 ans, avec notamment, la tenue d'un grand rassemblement de véhicules anciens non loin de Paris le week-end prochain...
Autant de bonnes raisons, donc, pour raconter cet homme audacieux sur ce blog!
Et pour approfondir ce sujet, ne ratez surtout pas les 2 supports multimédias uniques que nous avons intégrés à la fin de cet article: d'une part, la vidéo passionnante expliquant la révolution et le pari de la Traction et, d'autre part, l'émission de radio diffusée sur France Culture il y a quelques années.
Pour bien des sujets, la rentrée de septembre est le moment des bonnes résolutions mais aussi l'occasion de faire le point sur ce que nous avons un peu délaissé pendant l'été !
Le projet de salle de consommation de drogues à moindre risque (SCMR) va son train de sénateur. Inutile de rappeler ici les péripéties de l'hiver et du printemps 2014 (voir là). Le texte de loi traitant de Santé publique incluant des dispositions à propos de la mise en place des SCMR sera présenté au Conseil des ministres en septembre pour un examen au printemps 2015 par le Parlement. Rien de bien nouveau jusque là mais quelques détails ont quand même filtré si on en croit la dépêche AFP du 29 Août dernier et le projet de texte lui même qui a fuité dans la presse.
A ce stade, deux informations doivent retenir notre attention.
La mise en place de ce type d'établissement ayant pour objectifs (mais pas seulement) la réduction du risque lié à l'injection de drogues sera "expérimentale" pour une durée de 6 ans. L'autorisation de lancement et d'ouverture de projets sera donnée par Décret du ministère de la Santé. On ne touche donc pas à la très répressive Loi de 1970. Ni la dépêche de l'AFP ni les articles publiés dans la presse sur le sujet ne mentionnent les dispositions légales à mettre en place pour que la détention de drogue et son utilisation par les toxicomanes ne tombent sous le coup de cette Loi de 1970. Autrement dit, que la police puisse agir dans un cadre légal clair d'une part, que les usagers de drogues puissent aller à la SCMR sans crainte de problèmes avec cette même police d'autre part. Espérons que le texte de la loi éclaircira cette question fondamentale.
Il faut noter aussi que le projet de loi ne semble pas comporter de limitation du nombre de SCMR qui pourraient être installées en France. Jusqu'à présent, chacun s'accordait à penser que Paris, ville candidate pour cette "expérimentation", serait l'unique projet. Le projet de loi semble ouvrir des perspectives plus larges et des villes comme Bordeaux ou Marseille, qui avaient fait aussi acte de candidature, pourraient peut-être à leur tour envisager une ouverture de SCMR. Ce serait là un cas de figure intéressant car il pourrait sans doute mettre fin à la lamentable récupération politicienne des détracteurs du projet.
En juillet, la Fédération Addiction a brièvement publié des informations à propos des programmes de réduction des risques dans le monde, notamment en Australie, et le journal gratuit 20minutes a publié un article très bien renseigné sur les expériences discrètes françaises.
Enfin, pour se convaincre de l'utilité des SCMR s'il en était encore besoin, voilà un article publié par Le blog des médecins qui est très clair.
Peut-être vous souvenez-vous de nos articles au cours desquels nous vous faisions part de notre découverte imprévue de M. Chat sur un pignon ou un pan de mur, au hasard, au détour d'une promenade? Ce fut épisodiquement, plusieurs années... en 2010, 2011 puis 2013. Souvenez-vous !
L'édition du quotidien Le Parisien en date du 27 août dernier nous apprend que la RATP a décidé de poursuivre le graffeur franco-suisse qui se cache derrière notre "M. Chat", Thomas Vuille (37 ans), et ce, pour dégradations dans les couloirs de la station de métro Châtelet.
Dans notre article du 5 janvier 2013, nous l'avions précisément aperçu, ce désormais fameux chat jaune à la grimace énigmatique mais sympathique, dans le métro, à la station Barbès-Rochechouart, sur un emplacement publicitaire inutilisé ou mis à nu. Ce fut une belle surprise! La photo prise alors, semble corroborer les propos de cet artiste dans Le Parisien: "Je ne suis pas quelqu'un de malveillant, je respecte les gens et les lieux où je peins".
Le graffeur Thomas Vuille, devenu un artiste urbain incontournable de la scène Street Art, est désormais installé à Saint-Ouen, où il avait accepté d'être filmé dans son atelier (Vidéo via Le Parisien du 16.06.2014). Son personnage, M. Chat, a sa page Facebook "officielle", sur laquelle ses apparitions urbaines sont mentionnées: il revient par ailleurs sur ses ennuis judiciaires avec la RATP. Si le cœur vous en dit, vous pouvez le soutenir dans cette épreuve, soit sur cette page Facebook ou via cette page demandant le retrait de la plainte.
Nous avons même retrouvé notre M. Chat sur les deux souches de l'immeuble situé au 138 rue La Fayette, dans le 10e, à l'angle avec le boulevard Magenta. Pour l'anecdote, cet immeuble a été récemment totalement ravalé, mais les têtes de cheminée ont été conservées en l'état, arborant fièrement les grimaces de M. Chat.
Pour satisfaire votre curiosité, d'autres articles sur ce litige entre M. Chat et la RATP:
Nous avons relayé à plusieurs reprises les événements - expositions, colloques - autour de la célébration du centenaire de la Première Guerre Mondiale qui ont eu lieu dans le 10e arrondissement. Cette année 2014 est également le 70e anniversaire de la Libération de Paris. Une exposition y est consacrée à l'Hôtel de Ville. Il vous reste encore un peu de temps pour en profiter d'ici le 27 septembre, dernier jour prévu. Les visiteurs sont encore nombreux, beaucoup de touristes, mais pas d'attente pour entrer. Pour les plus jeunes qu'il faut parfois motiver... un jeu avec des questions est disponible à l'entrée.
Nombreuses photographies mais aussi documents, journaux, extraits radiophoniques, films d'archives.
Si vous manquez de temps (ou de courage), vous pouvez visionner de nombreuses photos sur le quotidien des parisiens pendant l'occupation.
Action Barbès place la préservation et la mise en valeur de notre patrimoine dans ses sujets de prédilection. Nous avons approfondi notre connaissance en la matière dans le combat hélas perdu pour la sauvegarde du Louxor en son état originel de 1921.
Dans la capitale, la Commission du Vieux Paris est au coeur du sujet. Nous vous avons déjà présenté cet organisme en février 2011 à l'occasion de la polémique à propos de l'extension du stade Roland Garros et du mauvais sort réservé aux serres d'Auteuil.
En plein milieu de l'été, un court article paru dans le Canard Enchaîné annonçant que la maire de Paris avait l'intention de réorganiser la Commission (cf. article du 13 août 2014) et notamment ses champs d'investigation a mis le feu aux poudres ! Dans un article bien renseigné, Libération explique la situation.
Il est vrai que le feu couvait depuis un moment et que la bataille entre la Ville de Paris, d'une part, et les associations de défense du patrimoine, d'autre part, s'est clairement radicalisée notamment avec les déconvenues judiciaires rencontrées par LVMH pour le projet de La Samaritaine rue de Rivoli ou bien la très vive contestation du projet de modernisation de la poste centrale du Louvre par La Poste sans parler du feuilleton du projet de la fameuse canopée aux Halles pour ne citer que des projets emblématiques. La bataille n'est d'ailleurs pas près de se terminer à en juger par un article très argumenté publié le 2 septembre dernier sur le site de La Tribune de l'Art et intitulé "La Samaritaine : une question architecturale ou de liberté de la presse" que nous vous incitons à lire avec attention malgré la longueur.
Les associations de défense de Paris n'ont pas manqué de réagir, notamment SOS Paris qui a mis en ligne une pétition.
Action Barbès s'associe à cette action et vous incite donc à signer cette pétition. Pourquoi ? Si certains avis d'associations de préservation du patrimoine nous paraissent quelques fois excessives, relevant d'un conservatisme pas toujours justifié (par exemple, les arguments des défenseurs du projet LVMH rue de Rivoli sont recevables), il est bon que les velléités des responsables politiques puissent être étudiées et parfois contestées par d'incontestables spécialistes comme ceux qui font partie de la Commission du Vieux Paris.
Le gymnase Micheline Ostermeyer, au cœur du nouvel éco-quartier de la ZAC Pajol, accueillera demain, samedi 6 septembre de 10h à 18h, le 13e forum du Temps Libre et des Loisirs du 18e.
Au programme: démonstrations artistiques et sportives, espace jeux et agora citoyenne pour vous exprimer...
Des navettes gratuites, en petit train, seront assurées depuis la Mairie du 18e (un départ à chaque heure sonnante).
Cliquez sur l'affiche pour avoir tous les détails du programme.
Un événement à ne rater sous aucun prétexte, pour bien commencer le week-end, clôturer en grande pompe le colloque "Gares en Guerre, 1914-1918" et découvrir à cette occasion l'Expo 14 s'affichant dans les halles de la gare et sur les grilles de son parvis...
Pour retrouver les paroles des airs populaires chantés pendant ce concert, cliquez ici.
Nous avons déjà évoqué quelques événements, qui se déroulent actuellement dans le 10e avec le label de la Mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale: le colloque "Gares en Guerre 1914-1918", le parcours "1914-2014, du pain et des liens" sur le parvis de la Gare de l'Est et enfin l'exposition "Le 10e dans la Guerre" (que vous pourrez voir en Mairie du 10e jusqu'au 24 septembre).
En vous rendant à la Gare de l'Est, notamment dans le cadre de l'événement se déroulant sur le parvis, vous pourrez également découvrir l'exposition "14, Visages et Vestiges de la Grande Guerre" rendant hommage aux millions de soldats qui ont transité pour aller combattre.
Nous avions déjà, mais trop rapidement, mentionné cette exposition au début d'un de nos articles en mars dernier. Nous revenons plus en détail sur cette très originale présentation de 80 photographies grands formats, à la Gare de l'Est, à l'intérieur des différents halls et sur les grilles du Parvis, depuis fin juin et jusqu'au 30 novembre 2014.
Cette "Expo 14" est une installation spectaculaire de photographies uniques réalisées par Didier Pazery: des portraits des derniers survivants, réalisés entre 1996 et 2007 (avant la disparition du dernier des Poilus: Lazare Ponticelli, en 2008), des paysages sur les champs de batailles de l'ancienne ligne de front (traversant l'Est de la France), des natures mortes d'objets (masque à gaz, projectiles, casque respiratoire, matraques etc.) appartenant à la collection de l'historien Jean-Pierre Verney cédée au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux (ouvert le 11 novembre 2011 et désormais incontournable pour comprendre la Première Guerre mondiale).
Avant que vous ne découvriez vous-même cette exposition dans le lieu emblématique de la Gare de l'Est, voici quelques impressions en vidéo :
L'Expo 14 a aussi son site internet, que vous pouvez découvrir en cliquant ici. Elle sera également présentée à Altkirch (située sur l'ancien front de 14-18, dans le Haut-Rhin, en Alsace) du 10 octobre au 14 novembre 2014.
Pour retrouver ces photos, nous vous recommandons ce très beau livre de l'Expo 14, qui associe ces portraits des ultimes témoins de la Grande Guerre et les récits de ces survivants, aux photos d'objets sélectionnés du Musée de Meaux et de paysages de l'ancien front:
"14, Visages et vestiges de la Grande Guerre"
de Didier Pazery, aux éditions Michalon.
Vous pouvez rechercher ce bel ouvrage, dans une librairie proche de chez vous, avec l'aide par exemple via le site parislibrairies.fr que nous avions déjà évoqué (cf. notre article "Des livres à portée de main").
Nous avons ainsi déjà effectué la recherche des librairies où ce livre est actuellement disponible; pour les résultats, cliquez ici.
Outre le colloque "Gares en Guerre 1914-1918" et l'exposition "Le 10e dans la Guerre", un projet présentera, à partir de vendredi après-midi, d'une part, le rôle essentiel de la gare comme "sas" entre le front et l'Arrière et, d'autre part, la question de l'alimentation des soldats pendant la Grande Guerre.
Cet événement "1914-2014, Du pain & des liens" vous sensibilisera au rôle de la nourriture durant la Première Guerre Mondiale, devenant un moment de partage et le symbole de la solidarité entre les permissionnaires et la population civile. Et c'est à la Gare de l'Est, carrefour entre les soldats mobilisés et leurs familles, que sont exprimées ces émotions, entre les départs, les retrouvailles et les peurs.
Cet événement se déroulera sur le parvis de la Gare de l'Est du vendredi 5 septembre à partir de 14h jusqu'au dimanche 7 septembre (chaque jour dès 9h), et se composera d'un parcours dans un univers sonore et participatif. Les visiteurs et les passants seront ainsi conviés à un univers sensoriel, inspiré par le travail d'Emmanuelle Cronier (Maître de conférence en histoire contemporaine à l'université Picardie-Jules Verne) avec une scénographie conçue par les étudiants de l'une des plus grandes écoles d'art et de design en Europe, l'Ecole Boulle.
Cliquez sur l'affiche pour télécharger le programme détaillé.
Ouvert dès 14h vendredi 5 septembre, l’événement sera inauguré à 18h. A 19h, vous pourrez assister au concert de l'Orchestre d'harmonie du chemin de fer du Nord.
Plusieurs visites guidées (du parcours mais aussi de la Gare de l'Est, du quartier des 2 Gares) sont proposées pendant cette exposition. L'inscription pour ces visites (dans la limite des places disponibles) se fait en cliquant soit sur les liens dans le programme téléchargeable ci-dessus soit sur le site de "Rails et histoire"ici.
Vous pourrez également y découvrir, en avant-première (avant son exposition au musée La Piscine de Roubaix) l'oeuvre "Wool War One" de la plasticienne Délit Maille, qui sera présente à la Gare de l'Est le dimanche 7 septembre à 15h pour présenter son projet (Délit Maille vous invite également à découvrir sur sa page Facebook les différents personnages de "Wool War One").
Dans le cadre du colloque "Gares en Guerre", la présidente d'honneur de la société historique du 10e Histoire & Vies du 10e, Jeannine Christophe, vous invite à sa communication "Guerre à la Guerre" d'après l'oeuvre de l'illustrateur Théophile-Alexandre Steinlen (1859-1923) en Mairie du 10e: