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  • La RATP se met à l'heure du Louxor

    Par le nez de Cléopâtre ! La RATP voudrait-elle accompagner l'ouverture du Louxor ?

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    Une brève lue dans le Parisien du 26 mars, que nous reprenons ci-dessous, nous a amusés, car l'ouverture du Louxor fait beaucoup de bruit dans la presse et dans les médias en général. Est-ce au point d'influencer les agences de communication qu'emploie la RATP ? Ou bien est-ce un certain retour à l'égyptomania dont aime nous parler Jean-Marcel Humbert (Président des Amis du Louxor) avec toujours autant de fougue ?

    Un oubli qui peut coûter cher. Depuis hier, il vous en coûtera une amende de 5 € si vous ne validez pas votre passe Navigo en montant dans les bus ou tramways de la RATP. 30 € si vous ne payez pas tout de suite. « Nous avons lancé une campagne de communication en février pour sensibiliser les usagers », explique la RATP. « La validation répond à un vrai besoin de l’entreprise car elle permet de connaître précisément le nombre de voyageurs et leurs horaires de déplacement afin d’adapter l’offre. Aujourd’hui, 42% oublient de le faire. » De plus, la validation des titres est maintenant l’un des indicateurs du contrat Stif 2012-2015, dont l’objectif est d’améliorer la qualité de l’offre de transport.

    Nous formulons toutefois un regret : il nous semblait que la RATP aurait pu jouer le partenariat avec son service culturel et proposer une exposition de photos relatant l'histoire du Louxor ou ses plus beaux moments, comme elle l'a si bien fait dans diversess stations parisiennes pour marquer une rénovation ou un événement particulier. Une belle opportunité ratée pour redorer la station Barbès-Rochechouart. Nous l'avions suggéré longtemps à l'avance mais notre voix n'a pas porté...
    Nous continuons toutefois à relancer la régie sur la dégradation de ses piliers, et sur sa responsabilité à les maintenir propres, mais aussi sur la tendance fâcheuse qu'ont les hommes du quartier à confondre les mêmes piliers avec des pissotières.... comme nous le rappelait encore récemment un lecteur un peu énervé. 
     
  • SCMR : Billet d'une présidente un peu choquée par tant d'animosité

     

    scmr,toxicomanie,démocratie-localeLa réunion du 27 mars à la mairie du 10e, réunion publique d'information sur les salles d'injection, a fait l'objet de multiples articles et reportages dans les médias. Rappelons que si les journalistes s'étaient déplacés en si grand nombre ce mercredi-là, c'est bien le fait que la ministre Marisol Touraine avait décidé d'une seule expérimentation en France, ce que nous regrettons en passant. Quelques uns se sont contentés de reprendre la dépêche AFP. D'autres, assez nombreux, ont mis en avant les oppositions laissant croire que la salle était comme un seul homme arc-boutée contre le projet. Certes, on a écrit par ci par là que des riverains favorables avaient pu s'exprimer, mais ce n'est pas ce qui va rester dans les esprits.

    Comme le commentait Rémi Féraud après les débats, faisant preuve de sa détermination : « Si on est déjà à 50-50, c'est bien ! ».

    Rien de surprenant à ce que les opposants à un projet — quel que soit le projet — se mobilisent plus aisément que ses partisans. Nous nous sommes retrouvés parmi les premiers, les opposants donc, à occuper le devant de la salle, et les propos entendus nous ont procuré un vrai malaise. Empêcher l'expression d'autrui, se mettre à crier lorsque le maire ou un participant prenait la parole en faveur du projet... Nous avons entendu des propos inacceptables de la part d'un groupe de personnes qui, de toute évidence, ne souhaitaient pas dialoguer. Attirant ainsi micros et caméras sur eux. Des scènes et des propos qui font vendre du papier ou font grimper l'audimat...

    Mais qu'en retiendra le grand public ? « On n'en veut pas ! »

    Des infos qu'on ne retrouve pas dans les médias

    « Vous êtes nuls ! » « Vous n'êtes pas impartial. » « Quelle prétention ! » « Pourquoi ne pas mettre la salle dans le 16e ? » Voilà un échantillonnage des exclamations entendues notamment lors de l'intervention de Sylvie Wievorka, coordinatrice du projet pour la Ville, lorsqu'elle a dit qu'elle ne doutait pas que les riverains valideraient le projet.

    Mis en place tout récemment, le Comité de pilotage est présidé conjointement par Jean-Marie Le Guen, adjoint au maire de Paris chargé de la santé, et Myriam El Khomery, également adjointe au maire de Paris, chargée de la sécurité. Il réunit les mairies concernées par le sujet (10e-18e-19e), la Préfecture de police, l'Agence régionale de santé (ARS), la DPP (Direction Prévention et Protection), la DASES (Direction de l'action sociale, de l'enfance et de la santé), les associations Gaïa et Coordination Toxicomanies, la MILDT, Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie.

     Quatre réunions en tout

    Les deux premières ont déjà eu lieu : l'une pour la mise en forme et l'autre pour la présentation du projet par Gaïa.

    Viendront ensuite une réunion avec les acteurs Police/Justice, puis une dernière à laquelle seront conviées les associations de quartier.

    Sylvie Wievorka a aussi évoqué la possibilité d'inviter des responsables de la salle de Luxembourg-ville pour illustrer ce qui se fait ailleurs en Europe. Il serait question d'en ouvrir une seconde à Esch-sur-Alzette, deuxième ville du Luxembourg à une vingtaine de kilomètres de la capitale, proche de la frontière française (voir l'info sur RTL ici). C'était un des souhaits exprimés par Action Barbès lors de l'intervention de sa représentante.

    Nous avons apprécié l'intervention de Myriam El Khomery que nous connaissons bien pour son franc parler : «  Il faut réduire les nuisances en direction des habitants » a-t-elle martelé. Comme les participants, elle a regretté l'absence du commissaire du 10e et du Parquet, mais l'a expliqué aussi, car le cadrage juridique du projet n'étant pas encore finalisé, il leur aurait été difficile, en effet, de donner des réponses au public, notamment sur le périmètre d'intervention des forces de police. 

    « Nous ne voulons pas d'une zone de non droit; nous souhaitons un renforcement des effectifs de police autour de la gare du Nord — Serait-ce le début d'une annonce timide et sous entendue de la future 3e ZSP demandée par le maire de Paris ?  Il faut des policiers avertis et fidélisés sur le site, des personnes qui connaissent le quartier et les commerçants ». Elle a terminé son intervention en rappelant la suppression de 400 policiers pendant la présidence de Nicolas Sarkozy sous les huées de nos voisins opposants. Mais elle ne s'est pas laissée impressionnée et n'a pas hésité à hausser le ton.

    Peut-être aurait-il fallu insister davantage sur le caractère expérimental du projet : 3 ans ! Et conclure par une clause de revoyure avec les habitants, puisque les exemples étrangers ont montré que les premiers à s'opposer à un démantèlement des salles une fois opérationnelles sont les habitants eux-mêmes. 

  • Conseil de quartier Lariboisière sur la culture : compte rendu détaillé

    L'équipe d'animation du conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul nous a adressé son compte rendu détaillé de la réunion publique consacrée à la présentation des nouveaux équipements municipaux, nouveaux ou futurs. Il s'agissait bien sûr du Louxor, cinéma art et essai qui ouvrira ses portes au public le 18 avril prochain, et la médiathèque du Carré Saint-Lazare, dont l'ouverture au public aura lieu en 2014.

    Notre article du 26 mars résumait les débats, là, vous en aurez le détail. Cliquez ici pour la version PDF.

  • Une friche sur le versant nord de Montmartre

    129x97_5910593bb5b9df1977aa77c784af6dcc.jpgDécouvrez une friche urbaine, vieille de plus de 50 ans, transformée en jardin sauvage ou la faune et la flore se sont implantées naturellement. Une colonisation du milieu totalement libre.

    Rendez-vous: rue Saint-Vincent, face au n° 14
    (métro Lamarck-Caulaincourt)


    JARDIN SAUVAGE SAINT-VINCENT

    17, rue Saint-Vincent, Paris 18e 

    les mercredis  3 et 17 avril et 1er et 15 mai de 14h30 à 16h30

    les dimanches 7 avril et 5 mai de 10h30 à 12h30  

    visite gratuite, 30 places, contact 

  • Du côté de Pajol, 10 ans déjà !

    Pajol : 10 ans de concertation, ça se fête…

    A l’occasion de l’ouverture de la halle Pajol, la Coordination Espace Pajol vous invite à une rencontre/débat
    Le mardi 2 avril 2013 à 18h30 au Grand Parquet
    Jardins d’Eole  -  35, rue d’Aubervilliers  -  75018 Paris

    Image 10.jpg 

    Dans une ambiance que nous espérons festive et conviviale…

    Des témoignages et tables rondes évoqueront l’histoire de la concertation et du projet urbain, suivis d’échanges avec le public.

     

    Contact : Olivier ANSART, porte-parole Coordination Espace Pajol

    Tél. 06.21.89.91.97.

    @mail : ansart.o@laposte.net

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