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Rechercher : opération Barbès Respire

  • ”Couleurs ! Couleurs de l'Inde !” Le 360 fait monter les enfants de la Goutte d'Or sur scène

    Cela faisait quatre mois que les élèves de l’école Cavé révisaient consciencieusement… au 360 Music Factory. Pas au restaurant-bar, sur la scène !

    C’est une initiative de Au Fil des Voix, avec la SACEM ; le compositeur et musicien Henri Tournier les a accompagnés pour la création d’une chanson sur le thème de l’Inde : "Couleurs ! Couleurs de l'Inde !

    Suspens et trac, l’œuvre a été présentée samedi 29 mai au 360 Paris Music Factory.

    Sur la scène une dizaine d’élèves accompagnés par le king français des percussions indiennes Prabhu Edouard, la violoncelliste Laure Volpato, la professeure Julie Pager et Henri Tournier, spécialiste de musique indienne. Devant la scène, les familles et l’équipe de l’école Cavé.

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    Ce n’est pas qu" Action Barbès vous prévienne tard, c’est que, évidemment, la salle du 360 n'était pas ouverte au "public".

    Pour celui-là, c'est raté, mais un nouveau projet (2022) est en route pour, cette fois, les élèves du Lycée Camille Jenatzy, aussi dans le 18e, et toujours le 360 Paris Music Factory. Toutes les informations sur : le360paris.com

    Promis : l’année prochaine, cette présentation sera ouverte à tous, avec un goûter à la sortie !

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  • ”L'Épicerie - Le Livreur du bled”, une épicerie fine africaine à Château Rouge

    À Château Rouge vient d’ouvrir sans doute l'une des plus élégantes épiceries africaines de France !

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    Elle s’appelle Épicerie, en gros sur la devanture du 48 rue des Poissonniers (juste en dessous du carrefour Doudeauville), avec en plus un logo marrant représentant un souriant "Livreur du bled", puisque c’est aussi le nom de l’Épicerie (L’Épicerie, c’est plus chaleureux que Carrefour City, non ?)

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    Entrez, droit devant vous, une première pièce, joliment habillée de murs sable ou vert wagon, sol en béton ciré gris. C’est la pièce "luxe" de l’Épicerie. Plein de bonnes choses, importées en direct de l’Afrique subsaharienne (Côte d’Ivoire, Cameroun, Congo, Sénégal …).

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    Présentés sur des étagères, avec des étiquettes écrites à la main, pas du tout électroniques, des sachets de graines (mil, millet, farine de haricot, feuilles de bissap, poudre de Moringa, de Baobab …), des cafés (nous voulons essayer une spécialité : le Café Touba, mélange arabica, robusta, poivre de Guinée et clou de girofle !), des petits pots de confitures faites maison : Crème Saka saka, velours de gingembre, de noix de cola …), un import créole : la Sauce Chien (citron, oignon, piments végétariens). "Pas dangereux !" nous a indiqué Hamel Tchakui, l’un des associés.

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    On s’étonne : "Autant d’élégance ne va-t-elle pas intimider la clientèle du quartier ?". "On verra ! On est compétitifs, ils vont le voir. Et aussi on a toutes les choses courantes…"

    La pièce à côté, à droite en entrant, propose effectivement des fruits et légumes, des sodas "courants", du poisson surgelé, des sacs de divers riz (pas en 70 kg !), des fruits, des légumes frais… Plus classique, mais toujours délicatement présenté.

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    Joyeux accueil à L’Epicerie, et à ce moment de volupté élégante qu’elle apporte à notre quartier.

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    L’Epicerie – Le Livreur du Bled est ouverte tous les jours de 10 à 20 h (le dimanche, 10 h à 18 h) et bien sûr, "le Livreur du Bled"… livre !

    48 rue des Poissonniers – Paris 18e

    ServiceClient@LeLivreurduBled.com

  • Une boulangerie à découvrir rue de Dunkerque

    La boulangerie du 36 bis rue de Dunkerque n'est pas nouvelle mais elle a changé de main (et de pains) depuis mars de cette année. Aurélie Ribay a repris le flambeau dans un domaine peu investi par des femmes. Nous sommes allés à sa rencontre un jour de canicule ! Pour autant, elle n'a pas été avare de son temps pour répondre à nos questions.

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    D'où vient votre envie de reconversion ?

    J'ai travaillé pendant vingt-cinq ans dans le secteur bancaire, un emploi qui m'a donné des satisfactions certes, mais un monde devenu trop abstrait. Me reconnecter à la vie et aux choses essentielles devenait nécessaire, et j'avais besoin de créer du lien, de retrouver des contacts. Il y a deux ans, j'ai donc quitté mon entreprise. Je ne savais pas alors ce que j'allais faire et je n'aurais jamais imaginé être aujourd'hui boulangère et chef d'une petite entreprise. Au hasard d'une rencontre chez un boulanger, j'ai eu un vrai déclic. Les odeurs, le toucher et les sensations quand on met les mains dans la farine ont été comme une révélation. Pourtant, on part de presque rien : de la farine, de l'eau et du sel pour créer des pains différents. On est dans le vivant !

    J'ai donc suivi une formation de neuf mois à l'Ecole des boulangers de Paris et cherché un local. La boutique de la rue de Dunkerque a été un coup de cœur. Je tenais à avoir la possibilité d'un enfournement à la pelle et sans façonneuse. Les baguettes sont ainsi faites à la main.

    Comment s'est passée votre installation dans le quartier ?

    J'ai reçu un excellent accueil des commerçants du secteur et des riverains. J'ai ouvert avec deux employés. Mais après deux jours d'ouverture, j'ai vite compris que je ne pourrais pas assurer. Sous-estimation de l'organisation générale  et une clientèle au rendez-vous plus nombreuse que celle que j'avais imaginée. Il me fallait embaucher et vite ! L'équipe est désormais constituée d'un autre boulanger, d'un pâtissier tourier (tartes, gâteaux, viennoiseries) et de deux personnes à la vente. Je viens juste de recevoir la certification bio pour les pains.

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    Des idées pour la suite ?

    Actuellement, je vends  des fromages au lait de brebis du pays basque proposés par un Basque qui est dans le quartier. Il a fait des animations récemment dans la boulangerie. J'ai envie de développer d'autres ventes en fonction de mes rencontres, et toujours avec des produits de qualité. Mais le temps me manque. Je commence à cinq heures du matin et termine souvent après vingt et une heures. Ce sont de longues journées.

    N'hésitez pas à pousser la porte d'Aurélie Ribay. L'accueil est chaleureux et le pain est bon. Souhaitons longue vie à ce commerce de proximité !

  • Pause estivale

    Notre blog est en vacances pour l'été, nous nous retrouvons à la rentrée !

     

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    Rue du Delta (9e), juillet 2021

  • Repas de quartier à la Goutte d'Or

    Retour du blog d'Action Barbès pour cette année 2021-2022. Un retour avec l'annonce du rendez-vous désormais traditionnel des associations La Table ouverte et Paris Goutte d'Or ce dimanche 12 septembre.

    Cet évènement convivial est l'occasion de rencontres entre les anciens et nouveaux habitants autour d'un repas. C'est une occasion d'apprendre à se connaître davantage et d'échanger ensemble.

    Le rendez-vous est fixé sur la "friche Polonceau", à l'angle de la rue des Poissonniers, ce dimanche de 11 h à 17 h.

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    C'est où ?

    "Friche Polonceau", angle des rue des Poissonniers et Polonceau, Paris 18e

    C'est quand ?

    Dimanche 12 septembre 2021, de 11 h à 17 h

  • Lavoir Moderne Parisien : demandez le programme !

    Le Lavoir Moderne Parisien, dynamique petit théâtre de la rue Léon dans le 18e, vous propose sa programmation pour la saison 2021-2022. 

    Dans le programme ci-dessous, vous retrouverez les affiches qui s'annoncent pour l'année à venir au LMP. Le choix est varié et riche, et les tarifs sont très doux (avec des réductions pour les habitants du 18e arrondissement !), alors à vos agendas pour ne rien manquer de cette nouvelle saison au Lavoir Moderne Parisien.

     
  • SCMR : les études confirment les apports positifs de ce dispositif

    L'Institut de Santé Publique de l'Inserm vient de publier le rapport scientifique sur les Salles de consommation à moindre risque en France. Ce rapport était attendu par beaucoup, car après cinq ans d'expérimentation des SCMR en France (Paris et Strasbourg), cette étude vient apporter des données objectives sur l'impact de ce dispositif, ainsi que des préconisations pour l'avenir. 

    Cet épais rapport de 349 pages comporte trois volets présentant les résultats de trois études complémentaires :

    • COSINUS : COhorte pour l’évaluation des facteurs Structurels et INdividuels de l’USage de drogues
    • COSINUS éco : Évaluation économique des salles de consommation à moindre risque
    • Recherche sociologique sur l’impact de la salle de consommation à moindre risque sur la tranquillité publique et son acceptabilité sociale

    Les résultats de ces études montrent des résultats clairement positifs, à des différents degrés, sur l'ensemble des axes de recherches : santé publique et réduction des risques,  diminution des coûts de santé publique, tranquillité publique.

    Nous avons lu attentivement ce rapport scientifique et nous en faisons ici une courte synthèse pour exposer les points saillants. Pour plus de précisions et de détails, vous pouvez vous reporter au rapport, un lien de téléchargement est disponible en bas de l'article.

     

    Un effet bénéfique pour la santé publique

    Commençons par l'étude COSINUS (COhorte pour l’évaluation des facteurs Structurels et INdividuels de l’USage de drogues), une étude lancée sur plusieurs années pour suivre l'évolution de la santé d'une cohorte d'usagers de drogue (p. 28-96). Cette partie s'intéresse aux usagers de drogues et aux effets d'une SCMR sur leur santé, leur lien avec le système de soins et leur insertion sociale.

    Côté santé, le rapport fait état notamment d'une diminution modeste des contaminations au VIH et à l'hépatite C (infections VIH - 6% et VHC  - 11%), d'une baisse significative des complications liées aux injections, et d'une réduction des overdoses pour les usagers "exposés" à une SCMR. Cela entraine une diminution des passages en service d'urgences mais également des consultations chez les médecins généralistes et spécialistes. Le rapport précise toutefois que "[…] le fait d’avoir fréquenté les SCMR n’a pas permis d’améliorer l’accès au dépistage VHC, aux médicaments de l’addiction aux opiacés, à la médecine de ville".

    Autres points marquants de cette étude : les usagers de drogues fréquentant une SCMR sont beaucoup moins enclins à commettre des délits. De même, et très logiquement, ils s'injectent nettement moins dans l'espace public. Conséquemment, les seringues abandonnées dans l'espace public sont beaucoup moins nombreuses.

     

    Les SCMR permettent des réductions de dépenses publiques

    Le second volet de ce rapport présente les résultats de Cosinus Éco (Évaluation économique des salles de consommation à moindre risque). Les chercheurs mobilisés pour cette étude ont produit une estimation du rapport coûts/efficacité  des SCMR vis à vis des dispositifs existants comme les CAARUD (p. 97-122). 

    L'étude économique s'est attachée à mettre en balance les coûts et les bénéfices apportés par les SCMR. Les résultats exprimés sur une projection à dix ans d'existence des SCMR. L'étude montre que la SCMR parisienne évite 22 décès (- 6,7 %), elle réduit les risques de contamination aux VIH VHC (voir plus haut). Mais les coûts médicaux évités les plus importants sont ceux liés aux passages aux urgences évités (3.487 millions d'euros), puis ceux liés aux endocardites (1.730 millions d’euros), aux abcès (1.045 millions d’euros), aux overdoses (0.495 millions d’euros). 

    Et même si l'implantation entraine des dépenses et des coûts supplémentaires dus à son efficacité (une vie sauvée engendre des coûts de santé à plus à long terme), les chercheurs de l'Inserm de conclure que "[les] analyses et les conclusions qui en découlent sont conservatrices et suggèrent que les SCMR seraient coût-efficaces dans le contexte de la France". Autrement dit, qu'il serait économiquement bénéfique pour la société de déployer le système de SCMR en France.

     

    La présence d'une SCMR n'entraine pas de dégradation du quartier qui l'accueille

    Cette partie nous intéresse particulièrement, et ses analyses et ses conclusions ne surprendront pas celles et ceux qui suivent de près ce dossier de manière objective. Il s'agit donc de "La recherche sociologique sur l’impact de la SCMR sur la tranquillité publique et son acceptabilité sociale", une étude dirigée par la chercheuse Marie Jauffret-Roustide (p. 124-303).

    Cette étude s'appuie sur plusieurs matériaux :  une série d'entretiens avec des riverains de la salle (pro, opposants et indifférents), des professionnels de la RDR, des policiers du secteur, des agents de la gare du Nord... ;  une analyse des discours médiatiques sur la SCMR ; ainsi que l'analyse de l’enquête EROPP (Enquête sur les représentations, Opinions et Perceptions sur les Psychotropes) menée en 2018.

    Plusieurs points sont à retenir. Commençons par l'aspect médiatique où l'ont voit, sans surprise, que les médias généralistes ont une tendance nette à donner plus la parole aux riverains opposants à la SCMR, faisant souvent le choix du sensationnalisme. C'est ce que nous constatons avec le journal Le Parisien, par exemple, dont la journaliste en charge du secteur à cesser subitement de nous interroger depuis que la salle est ouverte alors que cette même journaliste faisait très régulièrement appel à notre association auparavant. Un choix de la subjectivité délibéré donc. Ce traitement médiatique biaise forcément la perception que l'on se fait du quartier vu de l'extérieur. Pour autant, les riverains affichent une pluralité de positions que l'on retrouve à travers les différents entretiens menés avec eux.

    L'étude montre clairement que le secteur Gare du Nord/Lariboisière accueillait une scène ouverte de toxicomanie bien avant l'implantation de la SCMR et que les problèmes rencontrés aujourd'hui dans les rues avoisinantes ne sont pas tous imputables à la SCMR (amalgame que peuvent faire les opposants, souligne le rapport), tant s'en faut !

    Les chiffres émanant du commissariat du 10e ne montre aucune augmentation de la délinquance imputable à la SCMR. Le secteur Lariboisière ne fait d'ailleurs pas plus l'objet d'appels de riverains pour des questions de toxicomanie que les autres secteurs du 10e arrondissement.

    Ce qu'il ressort globalement c'est que dans ce périmètre, c'est bien la Gare du Nord qui attire des usagers de drogues et non la SCMR.

     

    Un outil efficace à déployer

    Le rapport scientifique de l'Inserm conclut à des effets positifs de l'implantation de SCMR là où existent des scènes ouvertes de toxicomanie. Il est préconisé d'ouvrir d'autres structures, dont certaines pourraient s'adosser à des dispositifs existants, comme certains CAARUD qui pourraient se voir adjoindre une salle de consommation. Cela permettrait des économies substantielles en terme d'investissement.

    Il revient maintenant au gouvernement de prendre ses responsabilités et de mettre en œuvre ces recommandations pour une meilleure prise en charge des usagers de drogues et particulièrement ceux sans hébergement, pour des raisons évidentes de santé publique mais également de tranquillité publique.

     

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    Entrée de la SCMR rue Ambroise Paré, mai 2021

  • Le jardin ”L'Univert” fête ses 10 ans

    C'est un joli petit jardin partagé, bien caché, et bienheureux ceux qui connaissent ce petit oasis de verdure niché au coeur de la Goutte d'Or, rue Polonceau. Les initiés auront compris que l'on parle ici du jardin L'Univert, un jardin partagé dans une résidence de Paris Habitat sise au 35 rue Polonceau.

    Cela fait dix ans que fût lancée cette belle initiative par Caroline Falletta (aujourd'hui c'est Anne Plouzennec qui anime le jardin avec les habitants). Ce jeudi 16 septembre vous êtes conviés à fêter cet anniversaire. Le programme est alléchant (voir ci-dessous), avec de la poésie, de la musique et de la convivialité au menu !

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    C'est où ?

    35 rue Polonceau, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 16 septembre 2021, de 16 h à 20 h

     

  • Budget Participatif, des nouveautés pour l'édition 2021

    Après une année sans, municipales obligent, le Budget Participatif revient en 2021.  Le Budget Participatif c'est 5 % du budget d'investissement de la Ville qui sont affectés par ce dispositif. Et cette nouvelle édition connait quelques changements  notables par rapport aux précédentes.

    La première nouveauté de ce Budget Participatif concerne le budget dit "Tout Paris". Les propositions ne seront pas totalement libres, elles devront s'inscrire dans des thématiques déterminées. 

    Comme habituellement, chaque arrondissement aura son Budget Participatif. La municipalité semble avoir compris que la surabondance de projets lauréats embouteille les services qui peinent à mettre en oeuvre l'ensemble des projets retenus par les Parisiens (bon nombre de projets élus il y a plusieurs années sommeillent encore dans les cartons). Cette année, le nombre de projets lauréats sera limité, de deux à cinq projets par arrondissement, en fonction du nombre d’habitants et de la présence de quartiers populaires.

    Autre changement important, qui concerne, lui, le mode de scrutin. Jusque-là, on choisissait ses projets préférés, au niveau de l'arrondissement et à celui de "Tout Paris", et les projets emportant le plus de suffrages étaient lauréats. En 2021, la Ville de Paris introduit le système de "jugement majoritaire". Il s'agit d'un mode de scrutin, créé par deux chercheurs du CNRS, Michel Balinski et Rida Laraki, qui repose sur la méthode dite "de la meilleure médiane". On ne se contente pas de choisir ses projets préférés, mais on donne une appréciation aux projets, de l'adhésion complète au rejet. Pour l'emporter, un projet doit non seulement engranger des voix mais surtout une appréciation la plus favorable possible. Cette méthode permet d'éviter de retenir un projet qui serait certes populaire, mais qui rencontrerait aussi une forte opposition parmi les votants. Avec ce système, seuls les projets les plus consensuels l'emporteront désormais.

    Question calendrier, la plateforme de dépôt des projets sera ouverte le 4 février 2021 jusqu'à la fin du mois février. Le vote par les Parisiens sera organisé à l’automne 2021.

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  • Exposition : ”Bravo” j'écris ton nom

    La Mairie du 9e arrondissement, en partenariat avec JC Decaux, vous propose une exposition photos jusqu'à la fin de ce mois : "Bravo" j'écris ton nom, par l'artiste Caroline Moreau. Pour leur rendre hommage, la photographe fait le portrait d'acteurs du quotidiens mobilisées durant les périodes de confinement en 2020. 

    L'exposition, en plein air gestes barrière obligent, est visible jusqu'au 31 janvier 2021 à la Mairie du 9e. Les occasions de se cultiver sont bien rares ces temps, alors profitons-en !

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    C'est où ?

    Mairie du 9e, 6 rue Drouot

    C'est quand ?

    Du 11 au 31 janvier 2021

  • Jeu : devinette confinée

    Privés de sorties, privés de terrasses et d’apéro entre amis, nous sommes un peu sombres. Peu à peu, une lassitude nous gagne. Pour notre blog aussi, c’est la disette. Pas de réunions où se retrouver entre adhérents, ou entre citoyens autour d’un thème qui nous anime, qui nous fait débattre…et nous chamailler. Seules quelques consultations en ligne viennent réveiller notre conscience citoyenne, et nous ne manquons pas de vous en avertir quand votre participation est possible, et parfois même attendue. Telle cette sollicitation de la mairie du 18e sur le thème de la restauration scolaire du jeudi 4 février. 

    Et entre temps… ? Pour ne pas perdre le contact avec vous, nous avons créé la rubrique de la "culture confinée" : présentations en ligne d’expositions de peinture, captures de pièces de théâtre, concerts enregistrés en vidéo, etc…. Inspirés par un ami blogueur du 12e arrondissement, nous essayons maintenant une série de devinette : retrouver l’adresse d'une boutique disparue, comme aujourd’hui, ou localiser une curiosité architecturale. Nos archives photographiques sont très riches et y plonger fait ressortir des souvenirs associatifs, que les plus anciens de l’asso sauront peut-être apprécier. 

    Bien sûr, nous sommes toujours à l’écoute des remarques que vous pourrez faire, vos observations sont les bienvenues. Et dans la mesure de notre savoir et de nos connaissances, nous nous engageons à répondre à vos sollicitations. 

    Devinette n° 1 : Le monde des reptiles 

    Nous avons beaucoup d’archives dans l’association, et notamment de nombreuses vues du quartier, des quartiers quand on considère les trois arrondissements autour du carrefour Barbès.

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    Celle-ci date de 2004, et présente un singulier commerce…. la vente de serpents, de toutes sortes. C’était un grand magasin, assez profond pour comporter de grandes boites vitrées, chauffées pour certaines, avec des reptiles plus ou moins impressionnants, à l’allure endormie, souvent.

    Le magasin en question était installé dans notre quartier au 43... Mais de quelle rue ? Vous souvenez-vous ?

     

  • Devinette confinée : le rideau des clowns

    Deuxième épisode de notre petit jeu de "devinettes confinées" sur le passé récent de nos quartiers.

    Qui se souvient de ce rideau de fer si joliment illustré ?rideau jonglerie 1.JPG

    C’était une grande boutique de matériel de cirque, de jonglerie, de loisirs et de jeux pour les enfants, avec une vitrine d’une bonne vingtaine de mètres. On y trouvait des diabolos, des balles, des massues, des ballons, des échasses, du maquillages, des yoyos, des bilboquets et des kendamas, des trottinettes, des équipements de magiciens, etc, etc… une grotte d’Alibaba.

    Où était-ce donc ?

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