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Action Barbès - Page 285

  • Conseils de quartier : le sondage

    Nous vous avons proposé du 31 mars au 18 avril de vous exprimer à propos des Conseils de quartier. Voici les résultats de ce sondage* :

    Nombre de visiteurs du blog  du 31 mars au 18 avril : 4946

    Nombre de votants : 17

    Parmi lesquels :

    • 47% de satisfaits de l’actuel découpage géographique de notre arrondissement
    • 53% de non satisfaits

     

    Autant dire que ce sondage n’a aucune signification quant au sujet traité. Il a néanmoins une signification autre. 17 votants sur 4946 visiteurs, soit 0.34% de lecteurs ayant voté ! Intéressant non ? Sauf à penser que seulement 0.34% des lecteurs de ce blog sont du 9ème arrondissement !

     

    Conseils de quartier :
    Le découpage en 5 quartiers (Lorette-Martyrs, Clichy-Trinité, La Fayette-Richer, Trudaine-Rochechouart, Provence-Opéra) tel qu'il existe dans notre arrondissement aujourd'hui est :

    - satisfaisant et peut être maintenu

    - n'est pas satisfaisant et doit être modifié
  • Un Premier adjoint passionné

    Laurent Chabas est Premier adjoint au Maire du 9ème arrondissement, délégué à l'éducation, la jeunesse, et la propreté.

     

    Laurent Chabas appartient peut-être à une espèce en voie de disparition : il pense et agit  collectif, intérêt général, dans une époque où l’individuel, l’intérêt personnel, si ce n’est privé, prédominent. Pourtant son parcours est des plus classiques. Ce parisien de 52 ans, marié et père de 4 enfants, habitant du quartier Trudaine Rochechouart, est cadre supérieur au Ministère des Finances, Receveur municipal dans une commune de banlieue ainsi que de l’office HLM de la même commune. En ancien français, cela donne « percepteur », ce qui fait que beaucoup de rigueur anime le personnage. Pensez donc, comptable ! Dans un sourire significatif, Laurent Chabas souligne que cela lui donne de la crédibilité en tant qu’élu, ce qui n’est pas faux. Titulaire d’une Maîtrise d’économie, ayant suivi le cursus traditionnel de l’Ecole du Trésor, c’est une carrière de fonctionnaire qu’il a suivie au gré des missions qui l’ont souvent confrontées aux problèmes très concrets des élus locaux, comme son séjour en Normandie par exemple – les anecdotes qu’il raconte à ce sujet, bien que se déroulant dans les années 80, renvoient aux Contes et Nouvelles de Maupassant.

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  • Hier et aujourd’hui

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    Connaître l’Histoire pour comprendre le présent. Certains historiens critiquent sévèrement cette approche par trop « utilitariste » de l’Histoire mais les mêmes causes provoquant les mêmes effets, il n’est pas inutile de regarder le passé.

    A un peu plus de 150 ans d’intervalle, deux phrases, ou plus exactement deux slogans, peuvent retenir notre attention.

    Le premier est le fameux « Enrichissez-vous » de François Guizot. Avant d’être un homme politique de premier plan sous la Monarchie de Juillet, Guizot est un penseur, un intellectuel libéral au sens politique du terme, fils de la Révolution française et lecteur assidu de Montesquieu et de Benjamin Constant. Sa conception de la démocratie, quand bien même apparaissant très réactionnaire aujourd’hui, ne manque pas d’intérêt, notamment son concept de « capacité » qui a longtemps marqué le débat avant que ne s’instaure le suffrage universel. La phrase de Guizot a été et est encore utilisée par certains, notamment à gauche, pour ce qu’elle n’était pas, à savoir un slogan économique dans la frénésie ambiante, il est vrai assez affairiste, régnant sous Louis-Philippe. Le véritable sens de la phrase de Guizot était en fait politique : le suffrage - le droit de vote - étant fixé par le cens, c'est-à-dire le montant de l’impôt payé par le citoyen lié à son revenu, l’idée de Guizot consistait à dire que si vous voulez être un citoyen avec un droit de vote, il faut vous enrichir – et donc payer le cens - pour être en « capacité » de voter. La phrase n’était pas un appel au développement de l’affairisme ou à l’exploitation des uns par les autres.

    Le second slogan est actuel : « Travailler plus pour gagner plus », phrase qui a, en partie, fait l’élection de l’actuel Président de la République. A l’inverse de Guizot, Nicolas Sarkozy n’est pas un intellectuel – ce n’est pas un reproche – et sa phrase est, elle, à l’inverse encore, une phrase économique qui a eu une utilisation politique. Le succès annoncé par le gouvernement Fillon des mesures venant appuyer la volonté politique exprimée par le slogan ne laisse pas de surprendre, car si le nombre d’heures supplémentaires déclarées a bien considérablement augmenté, il semble que le nombre moyen d’heures travaillées dans le mois soit stable sur le dernier trimestre ! Chacun interprétera cette contradiction suivant sa sensibilité politique.

    Ces deux slogans ont quand même deux choses en commun. D’abord ils font appel au bon sens. Après tout « Enrichissez-vous » n’est pas, pris au pied de la lettre, forcément une mauvaise chose, tout comme le « Travailler plus pour gagner plus » qui vante indirectement le mérite du travail. Le problème est que ce bon sens est mal traité dans l’affaire car les deux slogans donnent par trop dans le simplisme. Ensuite ils sont des leurres pour la démocratie. Qui peut raisonnablement croire que François Guizot était partisan d’un suffrage élargi et qu’il faisait le nécessaire pour que la richesse se développe de telle manière que le plus grand nombre puisse voter. Qui peut raisonnablement penser que Nicolas Sarkozy créé – ou est en position de  créer - aujourd’hui les conditions économiques pour que les personnes puissent travailler plus pour gagner plus ? En cela, les deux slogans sont essentiellement démagogiques, chacun à leur manière.

    Hélas, Chers Lecteurs, il n’y a aucun lien direct avec notre arrondissement sauf peut-être que Guizot a vécu un bon moment au Ministère des Affaires étrangères qui se trouvait au 19ème siècle au coin du boulevard des Capucines et de la rue du même nom et que Thiers, acteur de la chute de Guizot en 1848, habitait place Saint Georges. A notre connaissance, Nicolas Sarkozy n’a pas de lien particulier avec le 9ème arrondissement de Paris.

  • Conseil d’arrondissement

    Le conseil d’arrondissement s’est tenu lundi 14 avril en Mairie. Il était le premier du genre en « vitesse de croisière » et l’auditoire était assez nombreux. Contrairement aux pratiques en cours sous l'ancienne mandature, la table du Conseil est désormais en forme de U de manière à ce que les Conseillers soient en face du public "dans un esprit de convivialité et d'ouverture"  explique le  Maire.

     

    Quelques points à retenir :

    A/ Le logement constitue la priorité de la nouvelle équipe dirigeante à Paris aussi sera t-il l’objet de la première communication de Bertrand Delanoë lors du prochain Conseil de Paris. Pauline Véron, Conseillère de Paris, 2ème adjointe au Maire du 9e en charge entre autres de l’habitat a résumé cette communication.

    Six objectifs sont visés à Paris :

    1. Financer 40 000 logements sociaux d’ici 2014 (30 000 de 2001 à 2008) dont un tiers pour les classes moyennes et un tiers pour les plus défavorisés. Le Maire du 9ème fait remarquer que de 670 logements sociaux en 2001, l’arrondissement en compte 1500 en 2008 et qu’il s’est engagé à en créer 1000 d’ici 2014.
    2. Créer 20 000 logements neufs.
    3. Résorber l’insalubrité d’ici 3 ans. Cela concerne encore 1030 logements à  Paris, aucun dans le 9ème.
    4. Améliorer la qualité des logements et notamment faire en sorte qu’ils soient plus respectueux de l’environnement (objectif moins 30% d’émissions de gaz à effet de serre pour les équipements de la ville d’ici 2020 – voir le plan climat).
    5. Faciliter l’accès des familles au logement par différents mécanismes comme une agence immobilière à vocation sociale ou une aide au logement accrue pour les familles de 2 enfants et plus par exemple).
    6. Augmenter la capacité d’hébergement des moins favorisés, notamment les SDF.

    L’ensemble de ces objectifs fera l’objet d’un suivi par une commission ad hoc présidée par une personnalité indépendante.

     

    B/ Le Conseil a ensuite procédé à l’élection de ses représentants aux différents organismes de l’arrondissement :

    • Au comité de gestion du Centre d’Action Sociale du 9e : Pauline Véron, Philippe Torreton, Claire Morel, Laurent Chabas, Xavier Laugaudin, Delphine Burkli, le Maire de l’arrondissement étant membre de droit.
    • Au conseil d’établissement du conservatoire Nadia et Lili Boulanger : Thierry Cazaux, Philippe Torreton, Amina Bécheur, Claire Gibault.
    • A la commission d’attribution des logements sociaux : Claire Morel, Pauline Véron, Xavier Laugaudin, Claire Gibault, le Maire de l’arrondissement étant membre de droit. Rappelons que cette importante commission comprend 3 collèges : les élus, les services sociaux de la Ville et du Département, les associations.
    • A la commission d’attribution des places en crèche : Xavier Laugaudin, Laurent Chabas, Catherine Dreyfus, Delphine Burkli.
    • Au bureau du CICA : Thierry Cazaux, Frédéric Hervo, Catherine Dreyfus, Delphine Burkli. Amina Bécheur ayant la délégation à la vie associative étant membre de droit.

    Le Maire s’est engagé par ailleurs a nommé par arrêté municipal au conseil de gestion de la caisse des écoles Laurent Chabas, Amina Bécheur, Catherine Dreyfus et Claire Gibault.

    Notons que si, conformément aux engagements pris, l’opposition se voit attribuer systématiquement un siège aux différents conseils, le partenaire du PS dans la majorité municipale – Les Verts – n’a rien obtenu. Interrogé sur le sujet, Jacques Bravo, Maire du 9ème, affirme que Les Verts ont été consultés et n’ont pas manifesté d’intention particulière alors que Nicole Azzaro – 5ème adjointe, Les Verts - affirme, elle, le contraire et notamment le souhait qu'elle avait de participer au conseil de la caisse des écoles. Voilà sans doute une anecdote significative des rapports au sein de la majorité municipale.

    Mentionnons enfin un point curieux : le Conseil de Paris aura dans sa prochaine séance à se prononcer sur l’attribution par la Ville de deux subventions à des associations d’élèves de collèges ou lycées du 9ème pour des montants respectivement de 580€ et de 1800€ (une de ces subventions pour l’aide à un voyage d’élèves dans le cadre de travaux archéologiques). Au cours de la séance du Conseil d’arrondissement, ce ne sont pas moins de 17 500€ de subventions qui ont été alloués à deux associations de commerçants du 9ème pour les illuminations de Noël 2007. Sans contester le principe de ces subventions, l’opposition par la voix de Delphine Burkli a fait remarquer que les conditions dans lesquelles certaines illuminations ont été organisées en 2007 n’étaient pas satisfaisantes – par exemple rue Joubert ou rue des Martyrs où celles-ci ont été installées le 23 décembre ! Sans démagogie, on est aussi frappé par l’importance des montants : 17 500€ pour les commerçants des seuls rue Joubert et Grands Boulevards !

    Prochain Conseil le 19 mai.
  • Parlons des Verts

    On l’a déjà maintes fois répété dans ces colonnes, l’enjeu environnemental est crucial pour notre avenir. Il ne s’agit pas là de dramatiser la chose mais de faire en sorte que chacun prenne conscience que si rien ne change, l’avenir de notre planète deviendra incertain. Et comme nous sommes de ceux qui pensent que la politique joue encore un rôle essentiel, la place d’un parti comme Les Verts ne peut pas laisser indifférent. Analyser les raisons de leur perte d’influence – certains plus sévères parleront d’échec - dans une ville comme Paris devient un passage quasi-obligé.

    Pour Les Verts à Paris, les lendemains d’élection sont moroses. De 17 Conseillers, il n’en reste que 9 ! Ce ne sont pas les quelques postes d’adjoints au Maire avec des délégations non pas mineures mais enfin pas primordiales, à l’exception peut-être de celle touchant le développement durable, qui consolent. Dans le 9ème, plus qu’un seul représentant au Conseil d’arrondissement contre trois entre 2001 et 2008 ! Reflet de leur perte en voix, à Paris en général comme dans notre arrondissement en particulier.

    Les raisons de la perte d’influence des Verts sont de deux natures.

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  • Ulipo : 15 avril - La performance jusqu'où ?

    Les débats citoyens d'ULIPO continuent leur chemin

    La prochaine réunion aura lieu au salon André, entrée par le Théâtre Trévise - 14 rue de Trévise - Paris 9ème

    le mardi 15 avril 2008à partir de19h30 sur le thème :

     

    La performance jusqu'où ?

     

    Entre libre : chacun paie sa consommation.

     

    La performance jusqu'où ?

    Quels sont les ressorts de la compétition généralisée que nous vivons ?

    Comment cela se fait que l'instauration d'une société de marché est considérée naturelle, voire juste ?

    Le primat de l'économie sur le politique, l'éducation au service de l'économie : comment cette idéologie a trouvé sa légitimité ?

    L'idéologie gestionnaire en politique et la dictature du chiffre : est-ce encore de la politique ?

    Le politique est-ce un marché dont les partis se partagent les parts ?

    Vincent de Gaulejac* a développe cette réflexion dans son ouvrage La société malade de la gestion aux éditions du Seuil.

    Il nous aidera à mettre de l'ordre dans cette foule de questions et à dégager des pistes de réflexion.

     

    *Vincent de Gaulejac est directeur du Laboratoire de changement social et professeur de sociologie à l'Université Paris-VII

     

    Les autres rencontres :

    • Jeudi 22 mai : Le storytelling ou la nouvelle ruse pour nous mener en bateau avec Christian Salmon
    • Mercredi 19 juin : Entre punir et soigner l'éloge de la prison avec Pierre-Victor Tournier

     

    Nous sommes ouverts à :

    - vos propositions de thèmes,

    - vos propositions de partenariat,

    - vos suggestions de lieux de rencontre.

     

    ULIPO Université libre populaire

    11 rue de Rochechouart 75009 PARIS

    Pour informations : ulipo9@gmail.com 

    Et pour en savoir plus www.ulipo.com: sur le site vous trouverez les comptes-rendus des séances

    précédentes.

     

  • La démocratie : représentative ou participative ? Les deux svp !

    « La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une case, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus, puis à se désintéresser, s’abstenir, se taire pendant cinq ans. Elle est action continuelle du citoyen et requiert à ce titre sa présence vigilante »

    Pierre Mendès France dans la République moderne publié chez Gallimard.

     

    Bertrand Delanoë nous l’a promis pendant la campagne électorale, Jacques Bravo nous a annoncé des bonnes surprises pour bientôt, la démocratie locale va se développer à Paris et dans le 9ème en particulier.

     

    Dans ce contexte, la lecture du dernier essai de Loïc Blondiaux intitulé Le nouvel esprit de la démocratie ne manque pas d’intérêt. Certes, on peut reprocher à l’auteur un parti pris certain pour le développement de la démocratie participative et son manque d’esprit critique sur certains points mais l’état des lieux qu’il brosse et les perspectives qu’il envisage méritent attention.

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  • Théâtre : Entre père et Maire

    4bc792088c6f2c7708686e93f0ca856e.jpegAlexandre est un jeune juriste ambitieux qui n’a pas connu son père. Il est prisonnier d’un paradoxe : à la fois introverti et assoiffé de reconnaissance. Le jeune homme, qui vit avec une femme comédienne sensuelle et extravertie, sollicite et obtient le poste de Chef de cabinet d’un Maire de grande ville dont l’ego n’a d’égal que le besoin, lui aussi, de reconnaissance. Dans ces deux personnalités différentes mais en fait plus proches qu’on ne l’imagine et dans leurs relations tumultueuses tient le ressort de la pièce Entre père et Maire. Témoignage, la pièce est une sorte de documentaire sur la vie ordinaire d’un "chef" et de son plus proche collaborateur, avec son lot de médiocrités quotidiennes, de bouffonneries mais surtout de cynisme dans le jeu de rôles assumé par les protagonistes. Elle sonne juste dans le tableau de nos vies même si quelques clichés, voire caricatures, s’y glissent de temps à autre. Témoignage qui peut être interprété comme une espèce de dénonciation de cette comédie humaine à laquelle chacun est plus ou moins soumis.

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  • Un métier en voie de disparition

    Dans le quartier ont disparu depuis longtemps les bougnats, les « charbougna »*, venus d’Auvergne à la fin du XIXe siècle. Ils sont devenus vraiment très rares, même ceux qui viennent de banlieue en camion pour alimenter une vielle chaudière à charbon, cachée dans quelque cave d’immeuble. Ou peut-être un petit Godin, voire une Salamandre ?

     

    c992ac94baa740516b1833af54bf124c.jpgCôté pile : le charbon.

     

     

    Côté face : le bois.dec29e6ad4ac08a9f204938d6ce9a8bc.jpg

     

     

     

    Le plaisir du feu dans la cheminée, pour les appartements qui en sont encore pourvus, les sauvera quelques temps encore…

     

    * Appellation plaisante, parodiant le parler auvergnat ; 1889 (Lexis, dictionnaire de la langue française, p 203, Larousse)

  • Retour sur un échec

    Le bon fonctionnement de la démocratie impose l’existence d’une opposition structurée, vivante, porteuse d’une réelle alternative. L’échec de l’UMP dans sa reconquête de Paris lors des dernières élections municipales pose à la capitale le problème de ce bon fonctionnement démocratique et l’étude de cet échec n’est pas inutile, notamment pour mieux comprendre ce qui risque de se dérouler au sein de l’UMP, ou plutôt au sein de  l’opposition, à Paris dans les prochains mois.

    Soyons clairs, l’échec de l’UMP à Paris est en apparence relatif. Pour paraphraser son slogan de campagne, Françoise de Panafieu a su préserver « l’essentiel », c'est-à-dire ne pas céder à Bertrand Delanoë un des huit arrondissements détenus par la droite. Mais à bien des égards les apparences sont trompeuses. Qui ne voit d’ailleurs que l’échec de la droite à Paris est plus celui de l’UMP que celui de Mme de Panafieu ? Comment un parti qui avait fait le grand chelem en 1989, récupérant alors les 20 mairies d’arrondissements, a-t-il pu tomber là où il est en moins de 20 ans ? Les changements sociologiques dans la capitale n’expliquent pas tout ! A certains égards, la situation actuelle de l’UMP dans le 9ème reflète assez bien celle de ce parti dans Paris, analyser l’échec de la liste Burkli donne des indications sur les raisons de l’échec de l’UMP à Paris en général.

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  • Un petit sondage

    Les sondages sont à traiter avec précaution mais enfin, on peut tenter l'expérience.
     
    Jusqu'au vendredi 18 avril nous vous proposons de vous exprimer sur la découpe géographique de notre arrondissement pour la tenue des Conseils de quartier en répondant à la petite question dans la colonne de droite. Il faut aussi faire preuve d'auto-discipline en ne votant qu'une fois - merci.