Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Action Barbès - Page 11

  • Exposition : "Visages d'ici et d'ailleurs"

    La ressourcerie Le Poulpe vous invite à partir de vendredi à une exposition : "Visages d'ici et d'ailleurs". 

    Regards rêveurs, lointains, interrogateurs, visages d'ailleurs... et d'ici. L'artiste, la peintre Françoise Chartier, habite à la Goutte d'Or depuis 1989. Ses portraits appartiennent à un univers métissé et coloré, à l'image du quartier.

    L'exposition est visible du 14 janvier au 2 février (vernissage le 14 janvier à 18 h 30).

    270178835_673951380678709_4222041953350975315_n.jpg

    C'est où ?

    Le Poulpe, 4 bis rue d'Oran, Paris 18e

    C'est quand  ?

    Du 14 janvier au 2 février 2022

  • Maires de Paris, du Grand Paris : prenez vos responsabilités face à la toxicomanie de rue !

    Avec d'autres collectifs d'habitants du Nord parisien, Action Barbès signe une tribune publiée sur Médiapart, nous la reproduisons ci-dessous.

     

    Crack : des habitants répondent à l’initiative des maires du 19e, de Pantin et d’Aubervilliers

    Depuis trois mois, des consommateurs de crack vivent dans des conditions déplorables à Porte de la Villette. Plusieurs collectifs d'habitants demandent aux maires concernés - signataires d'une pétition implorant le Président de la République - de mettre en place « solutions structurelles et pérennes ». Ils les exhortent à « faire rimer santé publique avec tranquillité et sécurité publiques » sur leurs territoires.
     
     
    Madame et Messieurs les Maires,

    Vous avez lancé une pétition le 22 décembre dernier implorant le Président de la République de se saisir de la situation révoltante qui s’est installée Porte de la Villette, où plusieurs centaines de consommateurs de crack ont été déplacés dans un square, en bordure de périphérique et à la jonction des villes de Pantin, d’Aubervilliers et du 19e arrondissement de Paris. Cela fait désormais plus de trois mois qu’ils y croupissent dans des conditions déplorables.

    Cet épisode n’est que la répétition d’un film que les habitants du nord-est parisien ont fini par connaître par cœur : quand, après un certain temps, une scène de consommation à ciel ouvert atteint les limites de l’indignité des consommateurs et de l’exaspération des  riverains, le Ministère de l’Intérieur ordonne son déplacement vers un autre quartier, sans pour autant participer à la mise en place de solutions structurelles et pérennes qui sont pourtant connues, de part les réussites des projets menés en Europe et à l’international, et préconisées depuis des années par la communauté scientifique et le champ médico-social.

    Certes, nous partageons votre colère face aux mensonges et aux manquements du Ministère de l’Intérieur. Cependant, un passage de votre pétition nous a fait réagir, par son inexactitude ou sa malhonnêteté, et souhaitons en informer nos concitoyens.

    Vous déclarez : « Vous seul, Monsieur le Président de la République, avez l’autorité pour impulser et imposer une coordination des acteurs, mettre fin à cette honte et mettre en place un modèle français de sortie du crack. »

    De fait, vous n’êtes pas impuissants. Si l’État porte effectivement une responsabilité dans ce statu quo insupportable, les élus locaux ont néanmoins bel et bien la capacité d’agir à leur niveau. Et lorsque ceux-ci décident sciemment de ne rien faire, ils deviennent eux aussi responsables de l’enlisement de la « crise du crack » dans nos quartiers.

    Quand nous constatons qu’un distributeur de kits stériles a été démonté à Aubervilliers sur demande de la Mairie ou quand nous apprenons que la Mairie du 19e a refusé l’installation d’un algéco temporaire Square Forceval et, contrairement à l’engagement pris par le Maire avant sa réélection, a également rejeté de multiples propositions d’ouverture de centres d’accueil, de repos et d’hébergement, dont un pour femmes, nous ne pouvons pas totalement croire en la sincérité de votre démarche.

    Par ailleurs, nous notons que, lorsque les quelque 250 personnes qui vivaient dans le tunnel Sigmund Freud dans le 19e, ont été mises à l’abri, cela a essentiellement été le fruit d’une action municipale, alors que cela relevait avant tout des compétences de l’État. Cette réussite démontre bien votre pouvoir d’agir en tant que maires.

    Vous enjoignez le Président de la République à avoir « le courage de réquisitionner certains lieux vacants pour en faire des centres de soins et d’hébergement à taille humaine ». 

    Nous vous disons, chiche ! C’est la raison pour laquelle nos collectifs ont signé votre pétition, mais puisque les territoires touchés par la toxicomanie de rue font nécessairement partie de la solution, il vous appartient de montrer l’exemple en vous prononçant en faveur de l’ouverture de tels centres. En effet, les expériences montrent, en France comme à l’international, que les dispositifs de prise en charge des toxicomanes ne sont efficaces que s’ils se trouvent avant tout à proximité des scènes de consommation. En la matière, il relève de votre seul pouvoir de Premier Magistrat d’initier l’ouverture de ces centres. Votre pétition prendra alors tout son sens, si dans un second temps, le gouvernement devait en refuser le principe.

    Mais tout refus de votre part qui instrumentaliserait la précarité des quartiers touchés pour justifier de la non-ouverture de structures, arguant qu’il ne faudrait pas « rajouter de la misère à la misère », serait indécent. En effet, il est aujourd’hui admis que les structures de prise en charge apaisent et soulagent les quartiers qui font face à la toxicomanie de rue, comme nous l’avons observé depuis six ans aux abords de la Gare du Nord et comme l’attestent les différents rapports de l’Inserm ou de l’Assemblée nationale.

    Pour mettre fin à ce film qui a trop duré et construire le « modèle français de sortie du crack » que vous appelez de vos vœux, nous vous invitons à éviter deux pièges dans lesquels la majorité des responsables politiques sont tombés :

      1. L’électoralisme : faites confiance aux recommandations du corps médico-social, inspirez-vous des réussites de nos voisins européens et ne vous laissez pas prendre en otage par des collectifs d’habitants en colère qui ne représentent pas nécessairement la majorité de la population ;
      2. Les nombreux préjugés sur les dispositifs de réduction des risques et les consommateurs de drogues : contrairement à ce que l’on entend sur les réseaux sociaux, les dispositifs de réduction des risques conviennent à la consommation de crack, sont majoritairement acceptés par la population (80 % des Français y sont favorables et 55 % accepteraient l’installation d’une structure à proximité de chez eux, voir le rapport de l’Inserm), apaisent le quartier d’implantation et réduisent les troubles à l’ordre public, et sont complémentaires à des dispositifs de sevrage.

    Enfin, nous vous demandons de faire preuve du même courage politique que celui que vous invoquez au Président de la République, pour engager concrètement votre territoire dans la co-construction d’un maillage francilien de centres de prise en charge des toxicomanes.

    Il n’existe pas de solution unique. C’est pourquoi l’extrême complexité de la situation convoque une grande diversité de dispositifs de petites tailles : centres d’hébergement, espaces de repos ouverts jour et nuit, SCMR, centres de soin, en passant par la distribution de matériels de prévention et l’analyse des drogues, jusqu’aux cures de désintoxication et aux communautés thérapeutiques.

    S’il doit y avoir un début de réponse, celle-ci ne viendra pas d’en haut : elle viendra d’élus locaux courageux, comme vous, à Paris et dans le Grand Paris, dans le Nord-Est parisien comme dans le centre. Votre courage sera récompensé car vous aurez su faire rimer santé publique avec tranquillité et sécurité publiques sur vos territoires, dont vous avez, nous n’en doutons pas, la plus grande préoccupation.

    Action Barbès (Paris 9, 10 et 18)
    DASCQ (Paris 19)
    Mieux Agir Contre le Crack (Paris 10, 18 et 19)
    Parents-Riverains SCMR (Paris 10)

     

    Si vous souhaitez soutenir cette initiative, vous pouvez le faire en partageant cette tribune et en signant cette pétition : "Maires de Paris, du Grand Paris : prenez vos responsabilités face à la toxicomanie de rue !

    uGkLYXHchNnVsHz-800x450-noPad.jpg

  • Réunion de présentation du projet de réhabilitation des magasins Tati

    À noter dans vos agendas : Immobel, le groupe qui a emporté le marché pour transformer les anciens magasins Tati, et la Ville de Paris proposent une présentation du projet lors d'une réunion d'information en visioconférence le mardi 18 janvier 2022 à 18 h. Ce sra l'occasion de connaitre plus en détail ce projet qui va transformer le visage de Barbès dans un avenir proche.

    BARBES CONNEXION - Rochechouart_low.jpg

  • "Goutte d’Or Palace", un court-métrage au Louxor

    À noter dans vos agenda : l'Institut des Cultures d'Islam (ICI) vous invite à la projection du court-métrage Goutte d’Or Palace le 15 janvier prochain au Louxor. L'entrée est libre, dans la limite des places disponibles.

    En 2021, l’artiste Marie de Busscher a mené avec l’ICI, le café social  Ayyem Zammen, au cœur de la Goutte d’Or, le projet « Mémoires des salles obscures ». Ce projet intergénérationnel autour des cinémas autrefois présents dans le Nord de Paris a convoqué les souvenirs des aînés ayant fréquentés ces lieux de Culture pour les confronter au regard que portent des jeunes sur ce patrimoine. L’ensemble des rencontres, visites et ateliers qui ont eu lieu tout au long de l’année, ont fait naître le film Goutte d’Or Palace. Ce court-métrage nous entraine dans l’histoire de ces cinémas devant lesquels nous passons tous les jours sans connaître leur riche passé.

    Marie de Busscher est cinéaste. La disparition des lieux et des liens qui s’y construisent sont au cœur de son travail. C’est aujourd’hui sur les salles de cinéma de quartier, bien patrimonial commun, lieu collectif de culture, de transmission, d’échanges, de projection et d’émancipation, qu’elle a souhaité poser son regard et le partager."

    ici,institut-des-cultures-d-islam,louxor,18e,10e

    C'est où ?

    Cinéma Le Louxor, 170 boulevard Magenta, Paris 10e

    C'est quand ?

    15 janvier 2022, à 10 h 30

  • Recyclons nos sapins de Noël

    Les fêtes de fin d'année sont passées et revoilà l'épineuse question du sapin à débarrasser. La réponse n'est pas sur le trottoir, il est toujours bon de le rappeler. 

    Pour cela il existe presque deux cents points de collecte dans tout Paris pour recycler les sapins de Noël, ces points de collecte sont ouverts jusqu'au 20 janvier 2022.

    Les sapins sont broyés sur place, et ce broyat est ensuite utilisé dans le cadre de l’exploitation des jardins. Pas de transport, c’est aussi moins de pollution ! Le broyat obtenu est utilisé par les jardiniers de la Ville comme paillage, pour protéger les sols et plantations des jardins de l’évaporation de l’eau ou du froid. Le broyat de conifères étant particulièrement acide, il n'est pas adapté à l'utilisation en compost ; en revanche, ses propriétés anti-germinatives sont parfaites pour limiter la prolifération des herbes folles de manière écologique, il agit comme désherbant naturel.

    Parmi tous ces points, retenons-en trois qui concernent nos quartiers :

    • Square d'Anvers (9e) – 3, place d’Anvers
    • Square Cavaillé-Coll (10e), Place Franz-Liszt
    • Square Saint-Bernard-Saïd Bouziri (18e) – rue Affre

    sapin-de-noel,recyclage,9e,10e,18e

  • "Neige", un peu de Barbès sur l'écran du Louxor

    À partir de ce mardi 4 janvier, le Louxor projète Neige, un film de Jean-Henri Roger et Juliet Berto, sorti en 1981 (avec Jean-François Stévenin, Juliet Berto, Robert Liensol). L'intrigue du film se déroule dans un décor bien connu de nos lecteurs, entre Barbès et Pigalle.

    Ce soir, la séance sera suivie d'une rencontre avec Alain Nahum, premier assistant sur le tournage du film et de Jane Roger, distributrice et fille de Jean-Henri Roger. (réservation)

     

    "Anita, elle est barmaid à « La Vielleuse », elle a un grand cœur. Willy lui, Anita il l’aime et c’est pas tous les jours facile. Jocko est antillais, pour vivre son exil, son « truc » c’est l’église de la Sainte-Trinité dont il est le Pasteur. Tous les trois, ils vivent sur les 800 mètres de boulevard entre Barbès et Pigalle. Bobby c’est le môme du quartier, il fait profession de « dealer ». Anita l’a presque élevé et elle ferait tout pour le protéger. Anita et ses deux copains, ils vont vite apprendre le prix du gramme d’héroine.

    « Le film est sorti en mai 1981, le contexte politique de l’époque a-t-il eu une influence sur le film ?
    Il n’y a pas de lien direct entre le contexte politique, le film et son tournage. Le succès de Neige a accompagné la victoire de la gauche au moment de la sortie du film. Tout simplement parce que le film répondait à un désir des gens. La disparition complète de ces personnages et de ces lieux populaires dans le cinéma français était vécu comme un manque. Aussi, le désir de mettre en avant cette galerie de personnages de la rue a rencontré le désir de changement politique. Parfois, la situation nous échappe, il y avait Court circuits de Patrick Grandperret, un film cousin de Neige, lui à la Semaine de la Critique, nous à la Quinzaine des réalisateurs, la sélection aurait pu être inverse, tout comme la réception par le public. Nous étions de la même bande, de la même tribu. Pour Neige, il y a eu un processus d’identification, ce film était dans l’air du temps, les gens voulaient ce film là, à ce moment là. Ils en avaient marre de cette occupation de l’espace par les mêmes gens et les mêmes films. 

    Pour ce qui des personnages et du quartier. Ce qui nous agite avec Juju (Juliet Berto, actrice et co-réalisatrice ndlr), c’est en quelque sorte de réhabiliter, de rééquilibrer cet ensemble, de faire en sorte que ces personnages secondaires deviennent des personnages principaux. Qu’un quartier populaire, dénigré, devienne le référent d’un film, et pas d’une manière folklorique, ni en bien ni en mal, tout simplement le décor, un lieu, parce que cette histoire se passe là, en prise avec une réalité. Voilà comment se caractérise le désir politique. 

    (...) Vous fréquentiez le Louxor ?
    Non, pas vraiment. C’était un cinéma qui passait du cinéma de genre ou communautaire. Mais si on me propose une projection de Neige au Louxor, je ne dis pas non et je pense sincèrement que ça aurait de la gueule ! (rires). D’ailleurs, on a failli occuper le Louxor en 1997 avec le mouvement des cinéastes en soutien aux sans-papiers ! Nous avions réalisé un film et nous cherchions un QG, l’idée du Louxor est venue après une rencontre avec l’ancien propriétaire, Fabien Ouaki, mais Jean-François Bizot (ancien patron d’Actuel et de Radio Nova ndlr) l’a convaincu que ce n’était pas une bonne idée ! (rires).»
    Jean-Henri Roger - Entretien avec Laurent Laborie, Paris Louxor, le 16 janvier 2013"

    neige,film,louxor,projection

    C'est où ?
    Cinéma Le Louxor, 170 boulevard Magenta, Paris 10e
    C'est quand ?
    du 4 au 11 janvier 2022
  • Bonne année 2022 !

    Et une de plus, une nouvelle année qui s'ouvre à nous. Une nouvelle année qui hélas commence, encore, avec un épisode de la crise du Covid. Mais cela ne doit pas altérer notre envie d'agir pour que nos quartiers vivent mieux, plus harmonieusement et sereinement.

    Ce début d'année est le moment de se projeter dans l'avenir, d'espérer voir se concrétiser le souhait des habitants à vivre dans un espace public apaisé, sécurisé et convivial, ou tout du moins d'en prendre le chemin. Cela implique évidemment une mobilisation concertée des responsables politiques et administratifs pour assurer la sécurité de chacun, le droit à la tranquillité publique et offrir un cadre de vie de qualité pour tous les quartiers parisiens.

    Espérons qu'en cette année électorale nos élus, de tous bords, soient un peu plus à l'écoute de leur concitoyens, et montrent leur sens du service public dans leur action. Espérons surtout que les élus, parisiens, franciliens et. nationaux, ne se servent pas des problèmes que nous rencontrons dans nos quartier, pensons à la crise du crack, comme d'un prétexte à s'affronter, tout le monde y perdrait, à commencer par les habitants.

    Pour notre part, nous continuerons en 2022, comme durant les vingt années précédentes, à agir avec mesure et détermination pour contribuer à l'amélioration du cadre de vie de nos quartiers.

    Nous souhaitons à tous nos adhérents et nos lecteurs une excellente année 2022 pleine de bonheur et d'accomplissement.

    2022,voeux,action-barbès,9e,10e,18e

    Le boulevard de La Chapelle vu depuis la rue Fleury

     

    Adhésion à Action Barbès

    Adhérer à Action Barbès, c'est se donner la possibilité de faire évoluer positivement le cadre de vie de nos quartiers des 9e, 10e et 18e arrondissements, ou c'est tout simplement un bon moyens de soutenir nos actions et nos projets, de renforcer notre voix auprès des autorités.

    Vous voulez en savoir plus sur Action Barbès ? C'est par ici.

    Que ce soit pour une première adhésion ou pour la renouveler, vous avez trois possibilités pour régler votre cotisation, qui reste inchangée, toujours fixée à 10 € par foyer :

    • Par CB en ligne (via Helloasso) : cliquer ici  ;
    • En espèces auprès d'un membre du conseil d'administration ;
    • Par chèque : à l'ordre d'Action Barbès, à envoyer accompagné du bulletin d'adhésion 2021-2022 complété à l'adresse suivante :

    Action Barbès

    28 rue Affre

    75018 PARIS

     

    PS : Il y a quelques places disponibles pour former le prochain conseil d'administration d'Action Barbès, si vous souhaitez vous investir un peu plus activement dans l'association, n'hésitez pas à nous envoyer un mail pour directement faire acte de candidature (mail à actionbarbes@gmail.com) ou pour en savoir plus sur l'investissement au sein du CA.

     

  • Pause hivernale

    Le blog d'Action Barbès marque une pause à l'occasion des vacances de fin d'année. Nous vous retrouvons pour de nouveaux articles en 2022.

    Nous souhaitons à toutes et tous de joyeuses fêtes de fin d'année !

    image0000091.jpg

     

  • "Créez une boite solidaire pour les personnes sans-abri"

    À l'occasion des fêtes de fin d'année, la ville de Paris et la Fabrique solidaire organisent une collecte de "boites de Noël solidaires" destinées aux personnes sans-abri. L'idée est d'offrir un colis de Noël qui sera ensuite distribué à une personne sans-abri.

    Pour composer votre boite, vous devez glisser dans une boîte à chaussures vide :
    • Un accessoire chaud : gant, bonnet, chaufferette, etc…
    • Un loisir : un jeu de cartes, un magazine, etc…
    • Un petit mot
    • Un produit d'hygiène (non entamé et non périmé) : crème pour les mains, savon, etc…
    • Une petite douceur (non entamée et non périmée) : du chocolat, quelques bonbons, etc…
    Ensuite, décorez votre boîte, indiquez s'il s'agit d'une boîte pour un homme (H) ou pour une femme (F). Votre boite est prête, vous pouvez l'apporter à un point de collecte proche de chez vous, par exemple : 
     
    10e (jusqu'au 20 décembre)
    Mairie du 10e
    72 rue du Faubourg Saint-Martin
    Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 17 h
    Jeudi, de 8 h 30 à 19 h 30
     
    18e (jusqu'au 18 décembre)
    Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 18e
    15 passage Ramey
    Mardi, mercredi et vendredi, de 10 h à 18 h 30
    Jeudi, de 13 h 30 à 19 h
    Samedi, de 10 h à 14 h

    La Cantine du 18e
    46 rue Ramey

    Du mardi au samedi, de 12 h à 22 h

    Le Centre Social Belliard
    145 rue Belliard

    Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30
     

    noël,solidaire,mairie-du-10e,boite

     

  • Un Noël solidaire avec Le Poulpe

    Faire Noël avec un poulpe ? Drôle d'idée nous direz-vous. Mais attention, ce n'est pas avec n'importe lequel des céphalopodes que nous vous convions à un Noël solidaire, mais avec Le Poulpe. Vous avez forcément reconnu cette "ressourcerie", nous vous l'avions présentée ici même l'an passé (voir notre article de mars 2020).

    C'est donc ce samedi 18 décembre et c'est au Poulpe, rue d'Oran dans le 18e, il y aura plein d'activités, et de quoi se restaurer, pour les petits et aussi pour les plus grands.

    noel_solidaire_page-0001.jpg

    C'est où ?

    Le Poulpe, 4 bis rue d’Oran, Paris 18e

    C'est quand ?

    Samedi 18 décembre, de 13 h à 21 h

  • Venez fêter Noël avec la Goutte verte au square Bashung

    L'association de jardinier amateur Goutte Verte a repris la gestion de la partie arrière du square Alain Bashung, un espace que la Petite ferme a quitté à présent. C'est là que la Goutte verte vous convie à fêter Noël, ce dimanche 19 décembre. Au programme de cet après-midi pour les petits et les grands : fabrication de couronnes, crêpes, vin, chocolat chaud et chants de Noël...

    fete_noel_goutte_verte_bashung_19_dec_2021_page-0001.jpg

    C'est où ?

    Square Alain Bashung, rue de Jessaint, Paris 18e

    C'est quand ? 

    Dimache 19 décembre 2021, de 14 h à 17 h

  • "Offrez de l’art à vos amis"

    "Offrez de l’art à vos amis", c'est l'amicale proposition que l'Échomusée vous fait en cette fin d'année. Du 10 décembre jusqu'au 11 janvier, vous pourrez découvrir le travail d'un grand nombre d'artistes dont vous pourrez acquérir les oeuvres à des prix très accessibles (tarifs de 3 à 300 €).

    Les artistes participants : WILD WONDER WOMAN – LAURA ZERBIB – END OF ANIMALS – PIERRE CORCOS – WATER FLO COLOR – GLAD POW - CAROLINE AURAIX– DAWAL – SCRED CONNEXION DIDIER PAUPER– FIR – TEGMO

    Le vernissage se déroulera ce vendredi 10 décembre, à partir de 18 h 30.

    29982866_1649753401798720_4100463996446689397_o.png

    C'est où ?

    Échomusée, 21 rue Cavé, Paris 18e

    C'est quand ?

    Du vendredi 10 décembre 2021 au samedi 11 janvier 2022

    Ouverture de 14 h à 19 h du mardi au dimanche