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Rechercher : conseils de quartier

  • FRACTALES et l'ART

    C'était le titre des livres de maths en premières et en terminales de nos enfants, non ?

    Ici c'est le nom d'une exposition qui a lieu au centre d'animation Valeyre, 24 rue de Rochechouart, du 4 au 18 janvier. Vous pourrez y voir les oeuvres de DJM, un artiste qui utilise la puissance de calcul de l'ordinateur, les mathématiques, les fonctions fractales, pour créer des images. Pour faire image immédiatement, pensez à certains fonds d'écran sur Mac, qui projettent des fulgurances de couleurs entre les bords de votre fenêtre restée en stand by. Vous voyez ? Chez Microsoft Windows, il y a eu aussi des choses comme cela (pour ne pas faire de jaloux..)

    Les résultats sont innombrables, variés, magiques... et c'est là qu'on voit le talent de l'artiste. C'est l'art fractal.

    Nous ne résistons pas : voici un lien vers une page du web contenant des images fabuleuses et des explications qui ne le sont pas moins, notamment "quelques remarques concernant la nature des mathématiques" par Jean-françois Colonna.

    image quaternionic julia J.-F. Colonna.jpg

    Ne croirait-on pas une sorte de méduse des abysses insondables ? Image de Jean François Colonna.

  • Circul Livre au square d'Anvers près du marché

    Les abords du square d'Anvers accueillent depuis quelques mois les bénévoles de Circul'livres. Le froid ne les arrête pas : ils seront présents vendredi à l'heure du marché, qui se tient le long du square. Ne les ratez pas, ils vous attendent place d'Anvers, près de la sortie du parking, côté restaurant d'Anvers, les livres sont en prêt gratuit sans autre formalité. L'engagement n'est que moral : vous rapportez le livre dans un stand de Circul'livre ou vous le laissez dans un endroit public qui favorisera sa lecture par une autre personne. On ne peut faire ni plus simple, ni moins contraignant.

    Les prochains rendez-vous près de chez vous :

    • dans le 9e, aujourd'hui 7 janvier, à partir de 17h30-19h, avenue Trudaine-square d'Anvers.
    • dans le 10e, dimanche 9 janvier, à l'entrée du marché Saint Quentin à 11h-13h (88 bd de Magenta).
    • dans le 18e, certes un peu plus loin, 4 rue du Poteau, où le marché bat son plein aussi. 11h-13h.

    Toutes les informations relatives à circul'livres se trouvent sur leur site.

    Regardez le reportage récent fait par une équipe d'étudiants de la Sorbonne.


    Le bon plan : circul'livre
    envoyé par telesorbonne. - Cours, soirées et beaucoup d'autres vidéos de la vie étudiante.

  • Dans ses voeux pour 2011, Delanoë souhaite mettre un frein à la hausse des loyers à Paris

    Le 5 janvier, Bertrand Delanoë a déclaré avec force qu'il souhaitait enrayer la hausse des loyers à Paris. Ils ont doublé en dix ans et le prix moyen du mètre carré a augmenté de 36% en cinq ans. Trop, c'est trop !

    Pour se faire, il n'y a pas mille solutions. Il faut rééquilibrer l'offre et la demande, en un mot construire beaucoup de logements pour décourager la spéculation. Le but du maire est de construire 6 000 logements par an d'ici à 2014 pour arriver à un taux de 20% de logement social dans la capitale. Cela suffira-t-il ? Réussira-t-il à obtenir la mixité sociale si souvent évoquée par lui et éviter ainsi des poches d'exclusion ? On a vu dans nos quartiers du Nord-Est  parisien les méfaits d'une trop grande concentration de logements aidés.

    D'autres mesures sont annoncées, comme l'extension de l'allocation Paris Logement  aux retraités et aux personnes en situation de handicap, le doublement du prêt à taux zéro maintenu en 2011. Ce qui provoque des remous est la proposition d'encadrement des loyers lors de la première mise en location et lors du changement de locataire. Cette mesure pourra être expérimentée à Paris si le gouvernement le permet et donne aux élus parisiens les moyens législatifs pour l'appliquer. Or fin 2010, Jean-Pierre Caffet avait déjà présenté ce projet à l'assemblée qui l'avait rejeté.

    Ecoutons-le :

    Logement envoyé par mairiedeparis. - L'info internationale vidéo.

    Une récente polémique a mis en avant l'occupation de logements du parc social par des familles aux revenus élevés, L'Expansion est revenu sur ce dossier en donnant des explications détaillées.

  • Dernière minute : CIRCUL'LIVRE

    Nos amis de Circul'Livre de l'avenue Trudaine (9e) seront un peu en retard, ils n'ouvriront le stand qu'à 18 heures ce soir. Pour autant ne quittez pas le marché sans leur rendre visite.

  • Qu'avons-nous appris sur le futur règlement des terrasses et étalages ?

    La refonte du nouveau règlement parisien sur les terrasses et étalages, annoncée depuis de nombreux mois, et qui a fait l’objet de débats publics entre habitants et professionnels à travers les arrondissements, arrive maintenant peu à peu à son terme.

    La dernière réunion sur ce sujet dans notre quartier a eu lieu à la mairie du 18e, lundi 10 janvier  et Action Barbès était présente, fidèle au poste. Nous y avons retrouvé et salué des associations attentives à la question aussi, bien connues des autorités municipales et de nous. Dans ce type d'assemblée, tout le monde se connaît et se reconnaît, associatifs, élus et services.

    Le maire, Daniel Vaillant, a immédiatement cherché à désamorcer toute polémique qui aurait pu opposer commerçants et riverains. On avait compris que les relations s'étaient tendues entre les deux, depuis l'interdiction de fumer dans les lieux fermés, bars, restaurants notamment, jetant sur les trottoirs nombre de fumeurs et créant ainsi des brouhahas particulièrement dérangeant la nuit. Le bruit est d'un des aspects, l'emprise croissante des terrasses sur l'espace public étant l'autre.

    La presse s’est fait l’écho des avis des uns et des autres tout au long de l’année et également des États généraux de la nuit qui ont eu lieu en novembre et qu’il faut bien rattacher à la problématique globale du partage de l’espace public. Ce blog aussi.

    Qu'avons-nous appris cette fois dans le 18e ? De la bouche même du maire, que la consultation a permis d’y voir plus clair et que le projet, vingt ans après le règlement de 1990, devait tenir compte des besoins de Paris. Les terrasses appartiendraient à l’imaginaire de Paris… Rien de nouveau ? Non, certes. Le maire a encore dit avec force que des amendements avaient été retenus, que le projet n’était pas figé et qu’il pouvait encore évolué, que sa mouture finale devrait pouvoir éviter les conflits et être commun aux vingt arrondissements. En résumé : oui,  aux commerces parce qu’ils font vivre Paris et dans certaines rues on aimerait en voir davantage, mais non aux commerçants qui ne respectent pas les règles, car ceux-là aussi existent et le nouveau règlement devrait donner les moyens de les rappeler à l’ordre.

    Comment ?  C’est le nœud du problème. La Ville fait le règlement mais a peu de moyens pour le faire respecter. On ne revient pas sur les effectifs de la CAPP… En parallèle, il y a les forces de police, qui ne se penchent pas trop sur le problème et ont d’autres chats à fouetter, souvent.

    Ce qui nous a semblé aller dans le bon sens : Félix Beppo, adjoint du 18e chargé de l’espace public, a ouvert une porte prometteuse. Il propose de se donner un délai de réflexion avant de reconduire une autorisation de terrasse, délai qui permettrait de faire un bilan sur l’attitude du commerçant bénéficiaire de l’autorisation. Il a joué le jeu, il conserve son autorisation, sinon…. on revoit l’accord. Il demande également des délais de réaction de la Direction de l’urbanisme beaucoup plus courts. Tout le monde approuve… Il se positionne radicalement contre le chauffage des terrasses. Ambiguïté cependant dans l’intervention suivante de la DU qui annonce un délai de 2 ans pour que les chauffages soient mis en conformité. Ce qui veut dire ? Qu’on interdirait le chauffage au gaz, jugé dangereux, au profit du chauffage électrique. NON, c’est le chauffage des terrasses qu’il faut interdire, c’est un non sens vis-à-vis de l’environnement ! Admettons qu’on permette leur fonctionnement jusqu'à la fin de l’année 2011 pour amortir les investissements faits, mais en fixant une date limite d’utilisation officielle et irrévocable. Nous signalons un petit café restaurant de quartier, angle Maubeuge-Belzunce (9e) qui dispose des plaids en polaire sur le dossier de ses chaises en terrasse ! Bon point pour eux.

    2010 10 22 rue de Rochechouart 38 espace trottoir terrasse web.JPGNous avons noté en vrac : la mairie du 18e maintient son rejet énergique des terrasses sur les trottoirs dont la largeur est inférieure à 1,60 m. Notons que si la terrasse est interdite au-dessous de 60 cm, l’étalage lui peut être plus étroit (40 cm par exemple). La végétalisation de l’espace public n’est pas taxable, mais elle doit toutefois être autorisée (bacs à plantes devant les devantures pour empêcher le stationnement des deux-roues…). Des riverains ont fait remarquer que la charte pour les enseignes est tombée dans les oubliettes, alors que certains quartiers souffrent d’une « esthétique » intolérable. Pourquoi ne pas profiter de ce règlement pour y inclure ce souci ?

    Vers la fin de la réunion, des participants ont souhaité connaître les tarifs du m² de terrasse autorisée… C’est complexe, il y a des zones, des types de terrasses différentes (fermées, ouvertes, contre terrasses), sur le tiers du trottoir, au-delà du tiers, etc., sachez toutefois que le tarif bas démarre à 16,13 euros le m² par an et culmine à 357 euros/m²/an sur les contre-terrasses des Champs Élysées. Le gros des tarifs varie plutôt dans la tranche des 20-40 euros/m²/an. Très avantageux comparés aux prix des mètres carrés construits, boutique ou appartement… On comprend que la possible extension des tables sur l’espace public ait attiré des entrepreneurs pas forcément amoureux des zincs parisiens, mais plutôt du tiroir caisse. Restons conscients aussi que dans les quartiers branchés, les propriétaires des bars-restaurants sont rarement aux manettes du percolateur… Ceux-là sont des investisseurs, qui ne viennent pas débattre en mairie. Certains professionnels que nous avons entendus le 20 janvier, étaient des gérants, qui se démènent comme ils peuvent entre prix de la conso au public, respect du règlement, masse salariale, taxes diverses, pour sortir une marge qui satisfasse le propriétaire. On est parfois loin du troquet de quartier et du patron de bar à la Simenon.

  • Ventes à la sauvette : est-ce que ça va changer?

    Sur le site de la Préfecture de Paris, la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) communique ces chiffres pour l'année 2010 :

    -          9 055 contraventions dressées pour vente à la sauvette.

    L'année 2011 semble commencer très fort avec 619 procédures en janvier. Beaucoup d'objets de contrefaçon (dont les fameuses cigarettes). Il faut savoir toutefois que les denrées périssables représentent 44% de l'ensemble des saisies.

    Avec le vote de la LOPPSI 2, adoptée définitivement par le Parlement le 8 février dernier, la contravention deviendra un délit passible de six mois d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende. Elle a aussi créé un délit d'exploitation de la vente à la sauvette afin de  permettre de lutter plus efficacement contre les réseaux organisés. On peut néanmoins douter de l'efficacité de cette mesure quand on connait  le problème de l'application des peines. Il n'est qu'à voir le  mouvement de grève très suivi des magistrats  réclamant les moyens nécessaires pour mener à bien leurs missions.

    Autre nouveauté, pas très loin de notre quartier, à Belleville :

  • La controverse du Louxor

    image001.jpgLa controverse de Valladolid est fameuse et a fait l'objet d'un film remarquable avec pour principaux acteurs Jean Carmet et Jean-Pierre Marielle. Mais le projet de rénovation du Louxor n'en est pas moins une vraie controverse sur laquelle l'Institut de Sciences Politiques de Paris, le célèbre et très réputé Sciences Po, par le biais de quelques étudiants de 4ème année, s'est penché.

    L'idée est de cartographier la controverse, c'est à dire de repérer ses acteurs et de les placer sur une carte afin de mieux comprendre les interactions et les rapports de force existants.

    Dans ce contexte, Action Barbès a été repérée et considérée comme un acteur majeur de cette controverse par les étudiants, opposante qu'elle a toujours été au projet de rénovation tel qu'il a été conçu par la Ville de Paris et son bras armé, la Mission Cinéma de la Ville de Paris.

    Sollicités pour participer à ce travail de réflexion, c'est avec plaisir que nous avons répondu à l'appel des étudiants de Sciences Po et que nous avons défendu notre position, à savoir que le projet actuel ne respecte pas le patrimoine, qu'il est inadapté au quartier Barbès et qu'il a été lancé sans la moindre concertation.

    Bien sûr, nous vous tiendrons informés des suites de ce travail. Il faut déjà noter qu'un travail similaire a été réalisé à propos de la tour Triangle, projet situé à la porte de Versailles, travail qui ne manque pas d'intérêt. On peut aussi se féliciter qu'un tel processus existe. Au delà des avis divergents qui peuvent exister et s'exprimer, il est absolument nécessaire qu'une réflexion se fasse. C'est là, nous pensons, la réalité d'une Démocratie vivante.

  • Un enclos sous le viaduc

    Nous avions évoqué en novembre dernier le campement de jeunes hommes, essentiellement, immigrés et selon toute vraisemblance sans papiers, campement démembré à la demande de la mairie.

    Depuis lors, des mesures de fermeture de cet espace ont été prises et il est désormais entouré d'un grillage vert d'environ deux mètres de hauteur, qui en interdit l'accès. On peut imaginer que la suppression de l'abri ne supprime pas les personnes qui s'y rassemblaient. Où sont-elles maintenant ?

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    On a connu ces dernières années, rien que dans le 10e, l'expulsion des tentes le long du Canal Saint-Martin, l'expulsion des jeunes Afghans du square Villemin, le réaménagement du parvis de la Gare du Nord (dépose de la marquise et fermeture des recoins au pied de la façade), et d'autres sans doute.

    En juillet dernier, Le Monde relatait l'évacuation, une de plus à cet endroit, des quelque deux cents personnes, qui vivaient le long du canal Saint-Martin, sous les ponts Louis-Blanc et La Fayette, dans des conditions d'insalubrité et de précarité qui ont conduit régulièrement à de la violence. Les communiqués de la Mairie de Paris et du Ministère de l'émigration d'alors sont ensuite contradictoires: les uns affirmaient qu'une majorité de migrants étaient des demandeurs d'asile et à ce titre étaient en attente d'un hébergement, que l'Etat tardait à mettre en place. Les autres prétendaient qu'ils étaient en situation irrégulière, sans autorisation de séjour en France et constituaient "la principale plate-forme de transit des filières d'immigration irrégulière à destination de la Grande-Bretagne"... Qui croire ?  La Ville de Paris réserve toutefois une part importante de son budget pour tenter d'apporter une aide suffisante à ces populations dont le nombre ne diminue pas. Pas simple!

     Oserons-nous reprendre quelques commentaires extraits du Monde à la suite de la publication de cet article paru le 20 juillet 2010 ?

    "A quand l'évacuation des nombreux camps français, composés d'individus lourdement armés, en Afghanistan. Tu viens désarmé chez l'occidental et t'es un problème, il vient chez toi armé, t'occupe et te bombarde et il trouve ça juste et bien. Quelle belle mentalité!"

    "Des soldats français se font tuer en Afghanistan pour libérer le pays de la dictature des talibans, et pendant ce temps, le contribuable français paie pour accueillir des Afghans qui préfèrent déserter leur pays plutôt que de contribuer à sa libération. On marche vraiment sur la tête."

    Le monde est compliqué, même vu du coin de la rue.

  • Chaufferette ou plaid ?

    Dans un précédent article, nous avions rendu hommage au sens de l'économie et au respect de l'environnement des patrons de cafés berlinois qui mettent à disposition de leurs clients des petites couvertures en polaire de couleurs plutôt que de chauffer leurs terrasses au gaz ou à l'énergie électrique, comme à Paris.

    Il semble que ce bon exemple ait trouvé des amateurs, puisque nous en avons remarqué à Honfleur sur la côte normande et également dans notre quartier. Voyez vous-même les photos ci-dessous :

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    Nous regrettons que lors de la dernière réunion sur le règlement des étalages et terrasses en mairie du 18e, les représentants de la Direction de l'urbanisme aient laissé entendre que seuls les chauffages au gaz seraient bientôt interdits parce que trop polluants. Il faut avoir bien peu le sens de l'économie pour vouloir chauffer la rue...

  • Le mystère des grilles d'arbre

    Nous nous sentons obligés de revenir sur le cas des pieds d'arbres et des grilles disparues sur le boulevard de Magenta. On avait cru comprendre que le nettoyage des pieds d'arbres par les services de la DPE se trouvait considérablement accru du fait de la présence des grilles, qu'elles laissaient s'entasser les mégots, les petits amas de papier, etc. Dans l'intérêt de tous, on avait décidé dans le 10e - ou peut-être sur les instances de la DPE - de supprimer lesdites grilles. A ce propos, que sont-elles devenues, physiquement ?

    Depuis l'inauguration du Magenta, de l'eau est passée sous les ponts et les pieds d'arbres ont vu aussi passé les ondées, les stabilisés, les pavés pour les jeunes arbres replantés, les entreprises pour tasser la terre, en remettre, tenter de donner un aspect propre... Le résulat est très mitigé. Des dépressions, voire des cuvettes, rendent encore le cheminement des piétons très hasardeux par endroit. Bon.

    Mais que ne constate-t-on pas lors de l'inauguration de la place Turgot, à quelques encablures de là ? Nous vous laissons juges :

    paris, 9e, turgot, grille-d'arbres,Non seulement la grille a été réinstallée tout autour du pied de l'arbre, mais il s'agit d'une grille toute neuve, carrée, parfaitement adaptée et ne présentant aucun ressaut  par rapport au pavement de la place. Est-ce à dire que les agents de la propreté du 9e (qui d'ailleurs dépendent de la même section de DPE que ceux du 10e) seraient plus habiles avec les grilles d'arbres ? Ou bien encore que les riverains ou usagers de cette place fumeraient moins que les promeneurs sur le Magenta ?

    paris, 10e, pied-d'arbre, grille

    C'est une question à élucider.

    Pourquoi deux poids, deux mesures ?

     

    A droite, les arbres de la place Madeleine Braun près du couvent des Récollets, dans le 10e. Magenta n'est pas seul à être privé de grilles...

  • Insolite : l'Ecosse à Monmartre

    A partir de 10 heures, sur l'esplanade du Sacré Coeur

    Défilé des Pipes bands, des Bagads

    et confréries folkloriques

    arrivée sur la place des Abbesses vers 12h30

     

    22-Dalhousie2.jpg

     

    Retraite aux flambeaux à partir de 18 heures

    du Pont Cauliancourt

    vers la place Charles-Dullin (théâtre de l'Atelier)

     

  • Institut des cultures d'Islam, rue Léon : des vraies questions

    Paris mon paradis d'Eléonore Yaméogo, mardi 15 février à 19h30

    Documentaire suivi d'un débat. Réalisation Eléonore Yaméogo.

     Projection suivie d’un débat.

    Avec Eléonore Yamviewmultimediadocument?multimediadocument-id=96490&role=1éogo, la réalisatrice.

     "Les Africains entretiennent le rêve, le mythe d’un eldorado. D’une immigration synonyme de réussite et de bonheur. Je suis Africaine. J’ai grandi dans ce mythe. Je veux désormais comprendre et montrer les mécanismes d’un phénomène qui entretient les illusions et les désillusions."

     

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