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Rechercher : conseils de quartier

  • Ironie du sort

    PHOTOS - métro Barbès la nuit.JPG

    Nous avons souvent déclaré notre opposition à l'implantation des caméras dans Paris (voir notre bulletin n°19 p.4), soulignant les bilans négatifs que d'autres pays en faisaient, en toute première position l'Angleterre très enthousiaste au début... et très désabusée à la lecture des résultats en matière d'élucidation des délits et crimes.

    On peut lire dans le Parisien du 1er novembre que le téléphone portable d'Olivier Besancenot, volé à la station Barbès, a été retrouvé grâce à une vidéo caméra, selon une source policière.Le leader du NPA ne semble pas pour autant avoir changé d'avis sur la vidéo surveillance, même si désormais elle porte le nom de vidéo protection. Glissade sémantique.

    En plus sérieux sur le sujet : - ne s'agit-il pas d'un vaste marché très lucratif en même temps qu'une charge lourde imposée aux collectivités locales ?

    Et dans le champ de la liberté et du droit : - L'opposition la plus communément avancée par les défenseurs de la surveillance est "Mais que vous importe d'être filmé, si vous n'avez rien à vous reprocher ? " - Reste à voir... car la vidéo surveillance banalise les contrôles des faits et gestes de tout un chacun sur l'espace public. Les normes de protection de la personne changent, elles ne sont pas immuables, qui sait quelle instance future décidera de l'opportunité d'en faire un autre usage que celui annoncé maintenant.

    Voir quelques sites qui apportent des éclairages intéressants :

    Vidéosurveillance : pour un nouvel encadrement juridique (Sénat)

    Les questions-réponses en lecture sur le site de la CNIL sont révélatrices de l'usage abusif qui peut en être fait. La CNIL demande entre autres un contrôle indépendant des dispositifs installés.

    En 3 minutes, la déclaration récente du Président de la CNIL, Alex Türk, sur la loi d'orientation et de programmation de la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI)

  • Interruption du trafic sur la Ligne 4 du métro

    La RAPT annonce des travaux de modernisation sur la ligne de métro 4, notamment à la station Chateau rouge, dans le 18e arrondissement..

    Le trafic sera interrompu entre les stations Porte de Clignancourt et Barbès-Rochechouart du 11 au 14 novembre inclus.

    Un service de bus de remplacement est mis à la disposition des usagers entre les stations Porte de Clignancourt et Barbès-Rochechouart.

    Voir l'affichage en stations et l'information sur www.ratp.fr

  • Et les motos s'entassent

    Voulez-vous une photo impressionnante des véhicules à deux-roues motorisés (2RM) momentanément expulsés de la place Turgot pour cause de travaux ?

    En voici une toute récente :

    des motos partout-web.JPG
    Vue sur la place à partir de la rue Turgot le vendredi 22 octobre 2010

    Les services de la voirie ont ménagé un espace devant l'immeuble d'angle (2 rue Turgot) pour que les habituels usagers de la place trouvent un emplacement pour y stationner leurs scooters et motos. Cette invraisemblable accumulation de deux-roues, en un même endroit et relativement ordonnée, montre bien qu'il est temps de repenser la voirie et le stationnement des deux-roues. Il ne suffira pas de dire qu'il est interdit, ni même de placarder des interdictions de stationner sur la place, pour que celle-ci reste libérée de cette occupation disgracieuse.

    Un groupe d'habitants a arpenté les rues aux abords de la place la semaine dernière pour observer les lieux de concentration de cycles, répertorier les aires de livraison peu utiles (absence de commerçants à proximité par exemple), imaginer des stationnements pour vélos et d'autres pour motos. En effet, le plan vélos prévoit qu'il sera de plus en plus rare de mélanger les deux catégories de cycles sur un même espace, car les besoins ne sont pas les mêmes : les cycles doivent trouver un support d'accroche, alors qu'un marquage peint au sol est suffisant pour les motos. Les propositions faites par les habitants ont été recueillies par Stéphane Gonzalez de la mairie du 9e et les services de la section de voirie en étudient maintenant la pertinence et la faisabilité.

    Il nous semble qu'une répartition entre les voies alentour plus équitable est indispensable. La rue Turgot ne doit pas à elle seule héberger tous les cycles rejetés de la place. De même, l'aire de stationnement qui est prévu le long de la place sur la rue de Rochechouart sera vite débordée, s'il reste la seule alternative. Les rues Lentonnet et Thimonnier pourraient accueillir des stationnements deux-roues. Pour l'instant elles en sont dépourvues.

    PHOTOS - 2009 01 31 motos place Turgot le long de Roch'.JPG
    Vue de l'aire de stationnement pour cycles le 31 janvier 2009....
  • Sortir à Barbès en 1921

    Copie de Sortir à Barbès 2.jpgTel est le titre de la prochaine conférence que proposent Les Amis du Louxor, Histoire et Vie du 10e et la Mairie du 18e demain soir, à 19 heures, à la mairie du 18e, place Jules Joffrin.

    Quelles transformations culturelles se préparaient dans ces années folles ?

    Quel avenir attendait les très nombreuses salles de spectacle ?

    Pour vous donner une idée du foisonnement des activités de spectacles dans la capitale de l'époque, et notamment dans notre quartier, offrez-vous une visite sur le site de ces amateurs de chansons françaises : Du temps des cerises aux Feuilles mortes

    Vous pourrez non seulement revisiter des lieux disparus, mais également entendre des extraits ou des versions complètes des chansons de l'époque par leurs interprêtes d'origine. Un des petits miracles de l'internet ! Par exemple, la version de 1928 de "On m'suit" (Peraly, Chagnon, Mistinguett, Lelièvre) par Mistinguett avec Jean Gabin.








  • Combattre les incivilités...

    Pas si facile, en vérité !

    Nous écrivions dans notre dernier bulletin (n° 23 accessible ci-contre) que les amendes plutôt dissuasives - 183 euros - qu'infligeaient les inspecteurs de la DU (Direction de l'urbanisme) ou de la DPP (Direction de la protection et de la prévention) avaient été déclarées illicites au vu du décret du 26 septembre 2007, redécouvert bien à propos et commenté dans un article du Parisien de décembre 2009, dans lequel Julien Solonel titrait avec humour "Les brigades anticrottes rappelées à l'ordre". Malgré un nombre assez limité d'inspecteurs affectés à ces missions, la perspective de devoir régler une amende de 183 euros avait réussi à convaincre les propriétaires de chien qu'il n'était pas si compliqué de ramasser les déjections de son animal de compagnie.

    Nous espérons que le pli est pris et qu'ils continueront sur cette voie, car dorénavant le montant se limitera à 35 euros comme pour toutes les infractions de seconde classe. François Dagnaud, l’adjoint au Maire chargé de la propreté, que nous avons rencontré lors de la 4e réunion du comité de pilotage de Barbès à l'Hôtel de ville le 17 mars, nous a assuré que ce n'est pas si grave. La verbalisation continue et, qui plus est, la procédure s'en trouve simplifiée. Quant aux inspecteurs, qui auraient du revêtir un uniforme pour être en conformité avec la loi, un compromis a été trouvé avec la préfecture : ils porteront un brassard orange, pour être reconnus, ou plutôt pour être identifiés, mais sans compromettre leur mission de verbalisation qui pourra ainsi se poursuivre.

    Touche d'humour : en surfant sur le net, découvrez cette page d'une société spécialisée dans la communication clé en main offerte aux collectivités locales. D'un clic, visualisez plus de 50 modèles d'affiches, juste pour convaincre les propriétaires de chiens qu'ils doivent ramasser les déjections de leur animal. Des idées, bonnes, moins bonnes, drôles, percutantes, vous trouverez même les tarifs !

     

    MiniArt1640.jpg
  • Square Jessaint, place nette

     

    Le printemps n'est pas encore arrivé sur cette terre-là...


    square Jessaint -.JPG

    Action Barbès a suivi de près la concertation, ou du moins la réflexion autour de la création d'un square dans l'est du quartier de la Goutte d'Or, depuis 2008. Vous trouverez un article dans notre journal  n°19, en page 6, avec le plan, représenté ici sur le panneau. (voir aussi p. 7 dans 18 Ensemble de juin 2009 édité par la mairie du 18e)

    Les entrepôts vétustes qui occupaient l'espace ont été démolis et le terrain est aplani, un espace de  1718 m² est « prêt à l'emploi », si cette expression peut trouver sa place ici. Ce n'est pas très vaste à côté des 5 ares et demi du square Léon, mais ce n'est pas loin, et l'on peut espérer qu'il sera tranquille et ensoleillé. Certainement moins bruyant et moins pollué que le square de la Place de La Chapelle, en contre bas de la ciculation...

    Nous nous renseignons pour connaître le calendrier des travaux et la date prévisionnelle de l'ouverture.

     

  • Pensez à la nouvelle déchetterie

    déchetterie-.JPG

    Des horaires suffisamment larges pour que les particuliers y déposent leurs encombrants :
    du lundi au samedi de 9h30 à 19 h.

    Encore faut-il qu'ils en prennent l'habitude...

    Le spectacle des matelas, machines à laver, sanitaires, et autres cartons qui encombrent à longueur de temps nos troittoirs est navrant. Il démoralise également les personnels de la Propreté très régulièrement. Leur travail est remis en cause, tout aussi régulièrement, car le résultat est décevant, jamais à la hauteur des ambitions. Les paroles encourageantes de l'adjoint chargé de la propreté à la Ville de Paris ne laisse pas augurer des améliorations rapides, puisqu'il plaide pour le salir moins plutôt que le nettoyer plus. Dans notre secteur, très fréquenté, où les règles qui régissent l'espace public, d'hygiène et de salubrité, ne sont pas bien respectées, c'est à notre avis illusoire de penser qu'on va éduquer certains passants à ne pas jeter leurs papiers gras au sol, certains maçons à ne pas déposer leurs sacs de gravas dans une rue peu passante, aux aurores, avant de rejoindre un chantier, certains hôteliers à ne pas déposer un peu à l'écart de l'entrée de leur établissement les derniers matelas remplacés ou des lés entiers de moquettes souillées... Restent échoués également les cartons soigneusement pliés des magasins de vêtements, si nombreux dans le quartier.
    Le problème est immense. Mais reprenons les propos de Daniel Vaillant lors de la dernière réunion du comité de pilotage Barbès, il faut néanmoins adapter les moyens au terrain et trouver les bonnes solutions.



  • Un monstre jaune rue du Delta

    section non téléscopique.jpg

    Pas de danger, pas de pollution, en un mot pas un vrai monstre.... juste un blocage de la rue du Delta ce dimanche matin entre 8 heures et midi, environ.

    Grue et cabine.jpgDes panneaux indiquaient la venue d'une grue devant le n° 9 pour le 16 mai et en conséquence la nécessité de ne pas stationner un véhicule automobile sur deux zones délimitées, de chaque côté de la chaussée. On a rapidement compris le bien fondé de cette interdiction. En effet, la grue, bel engin tout jaune (puissance utile de 25 à 250 tonnes, quand même...), avait pour mission de déposer délicatement une cabine d'ascenseur (résultat de notre observation assidue) sur le toit de l'immeuble situé au 9, rue du Delta.

    L'interdiction de stationnement n'a pas été respectée par tous, bien évidemment, et la sortie des quatre stabilisateurs de la grue a relevé du tour de force. Ensuite, il a fallu déployer la partie non téléscopique de la grue, dont la longueur se rapprochait très dangereusement de la largeur de la rue. Sans la dextérité du conducteur d'engin, les façades vitrées de l'immeuble du 7 volaient en éclat. Mais non, les cinq sections téléscopiques de la grue ont été déployées, la petite cabine arrimée à son "hameçon" a été élevée dans le ciel - bleu à ce moment-là - et déposée sur le toit où l'attendaient des techniciens déjà en place.

     

  • Sous le viaduc, les pigeons... et les filets

     

    Un bref message d'Isabelle Bellanger, de l'agence de développement pour Paris, RATP, nous apprend que le filet anti-pigeons sous le viaduc, juste au-dessus de la station Vélib', a été remplacé au début de cette semaine, très tranquillement, puisque l'opération a eu lieu en pleine nuit.

    Intervention efficace d'ACTION BARBES, notre demande datant du 22 février. Action efficace également de notre interlocutrice.

    P1000958 filets anti-pigeons web.JPGP1000963 piques anti pigeons web.JPG

    A  Barbès-Rochechouart, la station Vélib' est située sous le viaduc du métro aérien. Les voûtes et les structures métalliques offrent des abris et des perchoirs très confortables aux pigeons, dont les fientes rendent inutilisables les vélos qu'on pourrait y trouver. Les services de la RATP avaient déjà tendu un filet pour protéger les selles, notamment, mais celui-ci était devenu inefficace avec le temps et l'usure.

    Une visite sur place nous laisse toutefois perplexes. Le filet est bien là, tendu entre tous les points offrant une accroche. Le haut des piliers a été cerné de bandes de piques anti-pigeons, également. L'ensemble du dispositif devrait améliorer considérablement la situation. Pourtant, des pigeons continuent à s'introduire entre les voûtes et le filet, et restent pris au piège, au moins un certain temps, car ils tentent de s'échapper sans y parvenir rapidement. Les duvets accrochés au filet laissent penser qu'ils s'y efforcent avec ténacité.

    Nous souhaitons que ces volatiles comprennent assez rapidement que ce lieu n'est pas très accueillant. Si la personne que nous avons rencontrée en train de jeter des croutes de pain aux pigeons sous le viaduc pouvait, elle aussi, comprendre que le nourrissage des pigeons en milieu urbain est interdit, parce qu'il n'apporte rien aux pigeons, qui peuvent très bien se nourrir tout seuls, sinon favoriser des maladies et des nuisances, liées à leur déjection, comme ici... nous aurions beaucoup progressé. Des associations de défense des animaux sont très claires sur ce point, comme on peut le lire dans cette publication de Bâle.

    Ci-dessous, l'état peu encourageant de deux cycles de la station Vélib' de Barbès, quand les filets ne les protègent pas et le rassemblement des pigeons après le passage d'une habitante sans doute bienveillante vis à vis d'eux, mais mal informée.

     

    vélib' souillé sous le viaduc web.JPGP1000960 pigeons et pains web.JPG


     

  • Paris Nord-Est : ça bouge

    Le fabuleux destin du nord-est parisien

     

     

    L'association ASA Paris Nord - Est 18
    vous convie a une  le samedi 29 mai, dans l'après-midi.

    Il s'agit d'une ballade urbaine sur le site Pajol en observant de plus près le secteur Dupuy.

    Le point de rendez-vous est fixé à la sortie du métro Marx-Dormoy à 14 heures.

     

    Il est recommandé de s'inscrire

    PNE_SchemaEnsemble.jpg

    L’association ASA PNE 18 s’est donnée pour but le suivi de l’aménagement du Nord-Est de Paris et propose sur son blog des informations très pointues et toujours mises à jour sur l’ensemble du projet d’urbanisation du secteur Chapelle, vaste zone de 200 hectares qui va changer l’environnement de milliers de Parisiens et d’habitants de la proche banlieue, dans les prochaines années.

    N’hésitez pas à vous offrir le détour…

     

  • Vers une Charte du piéton ?

    Piétons, défendez-vous !

    A priori, les trottoirs ont été faits pour vous. Même si, comme ci-dessous sur la passage Paré-Patin, le piéton doit être très vigilent et s'attendre à tout moment à voir passer une voiture ou plusieurs... non autorisées, bien sûr! Rappelons que cet accès à Magenta n'a été conservé qu'à la demande de l'hôpital pour le passage des ambulances et des véhicules d'urgence.


    P1010036 web.JPG

    Les trottoirs ne doivent pas devenir des passages dégagés pour les vélos ou les motos, quand la chaussée est encombrée. Ni des espaces à conquérir pour les restaurateurs ou les limonadiers en mal de surface utile ! Nous sohaitons donc que la Ville et les services qui en ont la charge demeurent vigilents vis à vis de ce problème.

    Aux temps anciens, tout le monde utilisait le même espace. Utilisait...? Partageait donc. Avec les rapports de force en vigueur à l'époque. Un gueux contre une calèche : on sait qui doit se ranger, dos au mur.

    Puis vint l'époque de la civilisation.... A quelle date apparait l'idée de trottoir ? Au moins, dans les agglomérations d'importance, car aujourd'hui encore, bien des villages et même les centres de certaines bourgades sont dépourvus de tels aménagements. Comme si le trottoir relevait, à la fois, du nombre de personnes amenées à y circuler - et qu'il est opportun de protéger - et des moyens financiers disponibles et mis en oeuvre.

    Quand donc est-il apparu ? Peu avant la Révolution, peut-on lire sous la plume de Julie de la Pattelière, pour Evene : cliquez. Le trottoir passe d'un lieu vulgaire, vil et commun, celui des pieds, de l'espace de la population qui marche, et n'a pas le statut de celui qui se déplace en voiture (à cheval), à un lieu qui gagne, avec la modernité, le label de zone préservée, zone sécurisée.  Soit un peu plus de deux siècles, avec une progression régulière, puis une détérioration de la situation récente et rapide, si l'on en croit nos amis du quartier des Halles (Accomplir), très en pointe sur ce sujet avec leur réseau Vivre Paris !

    Pour résumer, si le piéton ne valorise pas son espace, ne le défend pas, il le perdra. Pour vous en convaincre, lisez l'article posté en mai sur le blog de Bel AIr Sud (Paris 12e).

     

     

  • LOUXOR : les visites du chantier continuent

     

     

    Louxor 25 mai - on se presse web.JPGMardi 25 mai,  l'une à 16 h, l'autre à 17 h, deux visites du chantier du Louxor ont eu lieu pour les habitants et les adhérents des associations locales. Comme annoncé lors des réunions du Comité de pilotage Barbès, la Mission cinéma de la Ville de Paris organise des visites d'une heure, par groupe de quinze personnes, ouvertes aux habitants sur inscription. Il s'agissait du deuxième cycle.

    Les élus ont récemment pu bénéficier d'une visite commentée également. Ils sont nombreux à n'avoir jamais vu ce lieu, resté si longtemps à l'abri des regards. De même, il est question d'organiser une visite pour les commerçants du quartier, à un horaire plus favorable que le milieu de l'après midi. On sait que la participation des commerçants aux instances de démocratie locale est souvent difficile, du fait des horaires qui ne sont pas aisés pour la profession. Cette fois, on se réjouit que la Mairie de Paris ait été sensible à leur demande et à leur curiosité bien légitime.

    Ci-dessus les adhérents d'Action Barbès qui se pressent dans le hall de l'ancien cinéma.

    visiteurs dans la gde salle web.JPG

     

    La grande salle, vue du premier balcon, impressionne les visiteurs. La sensation est proche de celle éprouvée au Rex, l'un des rares cinémas ayant gardé des proportions d'origine.

     

     

    Louxor 25 mai - personnage assis- web.JPG

     

    Sous les stucs ou les panneaux de plâtre ajoutés à différentes périodes se cachent encore des personnages, la trace des dieux égyptiens....