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pigeons

  • Entre Barbès et Chapelle

    Certains ont chanté il y a bien longtemps « Entre Pigalle et Blanche » et nous, nous parcourons l'espace entre Barbès et Chapelle ! Moins chaud du point de vue des distractions nocturnes, mais néanmoins plein de surprises. Plus ou moins bonnes.

    Prenons dans l'ordre :

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  • Une histoire sans fin

    Ils sont passés par ici, ils repasseront par là !

    De qui s'agit-il ? Des pigeons du carrefour Barbès (nous les avions déjà évoqués en juillet dernier "Station Barbès : les pigeons sont les plus forts !"). La RATP a fait l'effort après maintes sollicitations et photos à l'appui de tendre un nouveau filet anti-pigeons au printemps pour protéger son patrimoine centenaire, à savoir les structures de la ligne aérienne n°2. Le sous-viaduc mérite bien un peu d'attention.

    Peine perdue, ces volatiles ont déjà trouvé la faille et deux d'entre eux conversent tranquillement sous les voutes du métro aérien, comme le montre la photo ci-dessous, prise par un de nos fidèles lecteurs. 

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    Nous avons décidé de ne plus perdre notre temps avec les dégâts que causent les pigeons, pourtant bien réels, ni même de signaler aux personnes pleines de bonnes intentions qui les nourrissent que leur action de nourrissage est punie par la loi, et passible d'une amende. Non. Nous passerons simplement en levant la tête pour ne pas être décoré soudainement d'une fiente intempestive.... 

  • Station Barbès : les pigeons sont les plus forts !

    Nous ne ferons pas ici de longs commentaires au sujet du dispositif posé il y a quelques jours au niveau de la voûte de la station Barbès face à Tati (voir notre article du 11 juillet).

    Les photos suffiront!! Nous avons de nouveau contacté la RATP.

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  • Un nouveau filet anti-pigeons à Barbès

    Nous avions demandé, il y a plusieurs mois, à ce que le filet anti-pigeons au niveau de la station Barbès face à Tati soit changé. Rappelons que c'est un problème récurrent, les filets étant rapidement abimés. Soit les pigeons ont gagné en force, soit la matière des filets n'est pas adaptée.

    L'avenir le dira. Ouvrons l'oeil.

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    Installation du nouveau filet jeudi dernier

     

  • Petit, petit, petit....

    C'est certes une nuisance mineure face à des problèmes tellement plus importants... mais pourquoi donc certaines personnes pensent-elles que les pigeons auraient du mal à se nourrir. S'ils sont si nombreux dans les villes, c'est justement parce qu'ils y trouvent leur nourriture en quantité suffisante, sans trop se fatiguer. Un peu comme le rat des villes de La Fontaine. En revanche il y a certains risques à ce que le repas soit interrompu par quelques passants indélicats. "Fi du plaisir / Que la crainte peut corrompre.". 

    En des termes aimables, la préfecture avertissait récemment le citoyen parisien ou le touriste attendri devant les bestioles ailées : 
    Le pigeon fait partie intégrante du paysage parisien. Il va clopin-clopant, estropié, sur une patte, tourne autour de vous pendant que vous manger votre sandwich, salit votre voiture de ses déjections, prend possession du rebord de fenêtre et vous « berce » de ses roucoulements. Il a ses détracteurs… et ses amis qui, attendris par son regard langoureux, lui jettent miettes de pain et graines diverses en gage d’amour, quand ce n'est pas des sacs entiers de pain plus ou moins rassi. Si vous faites partie de ces derniers, savez-vous vraiment à qui vous avez affaire ?

    Puis en des termes plus inquiétants elle énumérait la série d'infections et de maladies susceptibles d'être contractées à proximité de ces pigeons :
    Si les déprédations qu’il occasionne sur les bâtiments et véhicules sont un témoignage visible des nuisances qu’il cause, d’autres le sont beaucoup moins mais peuvent avoir des conséquences bien plus graves. Le pigeon, comme les oiseaux en général, est porteur potentiel de nombreuses maladies transmissibles à l'homme : mycoses (aspergillose ou candidose, entre autres), infections bactériennes, particulièrement digestives (salmonellose, yersiniose) mais aussi chlamydioses (responsable de l'ornithose-psittacose), infections virales (dont le redoutable virus West Nile).

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    L’unité de prévention des nuisances animales (UPNA), service de la direction départementale de la protection des populations (DDPP), est notamment chargée de veiller au respect de la réglementation concernant le nourrissage « sauvage », auquel se livrent certaines personnes et ce en infraction au règlement sanitaire départemental de la ville de Paris. 

    Les inspecteurs de l’unité sont alors amenés à conduire de véritables investigations. Dans un premier temps, ils recueillent l’information auprès du ou des plaignants, puis procèdent à une enquête de voisinage effectuée dans le périmètre proche voire, parfois, dans l’ensemble du quartier. La personne ciblée pouvant agir à des horaires variables, des surveillances pédestres ou dans un véhicule aménagé sont effectuées, pendant parfois plusieurs jours, afin de prendre sur le fait les nourrisseurs. Une mobilisation de fonctionnaires qui peut paraître excessive au vu de l'objet du délit, toutefois la loi reste la loi et s'il y a plainte circonstanciée et préjudice réel, il faut réagir. Une fois l’infraction constatée, le contrevenant fait l’objet d’un rappel à la loi, un courrier – avec mise en demeure – lui est adressé afin que cesse le nourrissage et mentionne la sanction encourue, une contravention de 3e classe qui ne peut excéder 450€. Si après les injonctions, l’infraction se reproduit, une procédure est engagée et transmise au tribunal de police.

    Les maladies humaines dues aux pigeons restent néanmoins rarissimes, et la prolifération de ces oiseaux constitue plus une gêne qu'une menace sanitaire, mais c'est une gêne coûteuse pour la société.