Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : salle de consommation

  • Quelle façade !

    Notre dernier article sur les publicités et les bâches de chantier n'a pas convaincu tous les lecteurs. Certains trouvent même qu'une bâche laissant place à la publicité peut être plus esthétique que les filets ordinaires qui cachent plus ou moins bien les façades. C'est une question de goût.

    Pour ne pas en rester là, nous vous proposons une autre façade. Une animation sur une façade d'immeuble, à Berlin, a été proposée à la foule enthousiaste, émerveillée, subjuguée par les prouesses de la technique... Oui, on est loin des bâches de chantier parisiennes, mais faites vous plaisir et regardez ; c'est magique. Un peu publicitaire aussi, on le reconnaît.... 

  • PUB : ce qui devrait changer

    viewmultimediadocument?multimediadocument-id=102496&role=2

     

    La publicité à Paris en chiffres

    Pour éclairer le récent vote du Conseil de Paris en juin dernier en vue d'un nouveau réglement local de publicité, voici un état des lieux de la présence publicitaire à Paris à ce jour :

    - Sur le domaine privé (ex : panneaux publicitaires sur les murs d’immeubles), la ville compte 2413 panneaux sur les murs d’immeubles, 16 murs peints publicitaires et 24 publicités lumineuses.

    - Sur le domaine public  la publicité est présente sur le mobilier urbain ainsi que sur les palissades des chantiers. On dénombre 1731 abribus/abritaxis, 1627 mobiliers urbains de 2 à 8m², 550 colonnes d’affichage, 700 mâts porte-affiches, 390 kiosques.

    - 112 000 enseignes commerciales pour 65 000 commerces.

     

    Le site officiel de la Maire de Paris affichait :

    Vers un tiers de publicité en moins dans les rues de Paris ?

    Hum ? Nous sommes très attentifs à cette présence publicitaire qui a gagné du terrain au cours de ces dernières années. Aussi avons-nous suivi de près les débats au Conseil de Paris les 20 et 21 juin  Si vous êtes intéressés par ce problème comme nous, pourquoi ne pas regarder vous aussi les élus en débattre en vidéo cliquez ici.   Les débats restent en ligne sur le site de la Ville un "certain" temps.

    Les principales propositions de la révision du règlement local de publicité (RLP) étaient ainsi présentées : (Pour en voir le détail, c'est ici.)

    • Placer l’ensemble du territoire parisien en zones de publicité restreinte afin de limiter les excès constatés dans certaines zones (ex : le long du boulevard périphérique)
    • Supprimer les 4 par 3, ces panneaux de 12m2 principalement visible sur le périphérique et dans les quartiers limitrophes. La taille limite est désormais de 8m2.
    • Interdire totalement la publicité, à l’exception des colonnes et mâts porte-affiches à vocation culturelle, sur deux sites d’exceptions : les berges de Seine et la Butte Montmartre
    • Limiter à 2m2 la surface des mobiliers urbains d'information à partir de 2017 (contre 8m2 pour certains actuellement).
    • Encadrer l'insertion de publicités sur les bâches de chantier, limités à 16m2.
    • Limiter la publicité lumineuse aux seuls toits terrasses.
    • Interdiction des publicités sur les bâtiments protégés et devant les établissements scolaires.
    • Instaurer une interdistance minimum entre deux emplacements publicitaire (entre 25 et 60 mètres selon les zones)
    • Limiter la publicité sur les véhicules : 16m2 pour les bus et 2m2 pour les autres véhicules.

    Le Figaro a bien perçu le ras le bol des Parisiens (dans son article du 22 juin) devant le nombre croissant des panneaux publicitaires :

    "Les afficheurs JCDecaux, Clear Channel et CBS Outdoor devront démonter leurs parcs respectifs de 850, 385 et 145 panneaux de 12 m². JCDecaux, leader dans la capitale (16 000 emplacements tous réseaux confondus dont les abris bus) est donc le plus touché. Il devra notamment réduire ses 300 panneaux «déroulants» sur le périphérique. Le nouveau règlement local met en effet un terme au système de 1986 qui instituait des zones de publicité élargie, plus souples en matière d'affichage. Désormais, tout le territoire parisien est placé en zone de publicité restreinte ou interdite. Objectif : gommer les excès constatés aux abords et le long du boulevard périphérique."

    Note technique : si vous ne réussissez pas à voir la retransmission des débats en conseil de Paris sur votre écran, voyez cette page du site de Paris.fr, qui balaie à peu près tous les problèmes que vous pouvez rencontrer.

    Nous suivrons la progression de ce nouveau réglement, son application et les manifestations visibles sur l'environnement dans nos quartiers, à la rentrée. N'hésitez pas à nous adresser des commentaires ou même des photos quand il vous semble que son application est bafouée. Pour mémoire, c'est ce que nous avons fait en signalant aux élues du 10e et aux adjointes de Bertrand Delanoë, concernées par le sujet, une accroche un peu trop sexiste à notre goût qui occupait toute la devanture d'un loueur de vidéo, boulevard de Magenta. Notre environnement quotidien mérite qu'on s'y arrête un peu et qu'on prenne la peine de dire ce qui ne va pas. Soulignons que notre remarque a été prise en compte rapidement et que l'enseigne a été déposée et remplacée par autre chose, disons, moins voyant, comme nous le rappelions dans notre dernier bulletin (marge de droite, n°27, page 6).

  • Les ateliers d'artistes du quartier ouvrent leurs portes

    Dès maintenant vous pouvez toquer à la porte des ateliers qui participent à l'événement, devenu traditionnel au cours de ces dernières années D'Anvers aux Abbesses !

    document?id=16869&id_attribute=111

      70 ateliers accueilleront les amateurs d'art pendant ces trois jours exceptionnels, les 18, 19 et 20 novembre. Plus d'une centaine d'artistes seront présents pour bavarder, expliquer, communiquer avec le public, avec les habitants du quartier qui tout au long de l'année passent devant les ateliers, parfois sans soupçonner toute la créativité qui s'y cache.

    Ne ratez pas cette aubaine.

    Une affiche-plan est remise gratuitement dans chaque atelier, qui vous permettra d'élaborer votre itinéraire. Une visite s'impose au 12 rue Hippolyte Lebas, où sont exposés les Emiles. Voir le détail du concours des Emiles sur le site de l'association : www.anversauxabbesses.fr

    Découvrez le parcours culturel concocté autour des adresses des ateliers ouverts aux amateurs : en cliquant ici. Plus d'une vingtaine de lieux y sont présentés.

    Si parmi les beaux arts, vous avez toutefois des préférences, l'association a aussi pensé à vous, en créant cette année des  parcours par discipline : une autre façon de découvrir les ateliers (plans à télécharger et à imprimer, cliquez sur les liens ci-dessous).

     

    Informations pratiques
    Portes Ouvertes « d'Anvers aux Abbesses »
    le vendredi 18 novembre de 18h à 21h
    le samedi 19 et le dimanche 20 novembre de 11h à 20h
    Entrée libre
    Informations au 01 40 23 02 92

    Nos mairies du 9e et du 18e relaient fidèlement les informations essentielles sur la manifestation. Mais le mieux n'est-il pas de pousser la porte des artistes qui affichent leur disponibilité ?

  • Les vélos aussi, parfois, sont abandonnés

    Epaviste. Sorti de son contexte, le mot ne parle pas vraiment. C'est pourtant le nom donné à un agent de la préfecture de police de Paris qui est chargé de repérer les vélos abandonnés, non indentifiables, le plus souvent non réparables, sur la voirie parisienne. La Propreté de Paris travaille en collaboration avec la préfecture et procède à l'enlèvement des épaves signalées.

    Le mieux est de regarder cette vidéo dans lequel tout est dit et montré.


    Epaves de vélo : la brigade est dans la rue! par mairiedeparis

    Pourquoi ne pas essayer de mettre en place une procédure analogue pour les épaves de véhicules automobiles. Par manque de moyens sans doute. Nous avons déjà évoqué deux véhicules abandonnés dans notre quartier, le 16 novembre dernier. Si vous en croisez d'autres, pensez à les signaler aux services de police (commissariat de votre quartier), faute de quoi il n'y a aucune chance qu'elles ne rouillent pas sur place.

    Enlevement-epave-gratuit.jpg


  • Vous qui habitez à Barbès, qu'en pensez-vous ?

    Sous la plume de SIBYLLE VINCENDON, on pouvait lire hier matin dans Libé une présentation des conclusions de la sociologue Virginie Milliot, qui livre un rapport intitutlé "Laboratoire du pluralisme". La journaliste n'est pas loin de penser avec elle que Barbès est bien le dernier quartier parisien où la tchache a encore sa place. Après lecture de cet article, dites nous ce que vous en pensez. Les commentaires sont ouverts en bas de page. La discussion s'engage...

    Article de Libé du 18 novembre, rubrique Société.

    Barbès (XVIIIe arrondissement) est le plus ancien quartier cosmopolite de Paris et l’un des plus précaires. Virginie Milliot, sociologue, s’est demandé si ce n’était pas aussi «un laboratoire du pluralisme», titre de son rapport. Elle a traîné dans la rue, observé les passants et constaté que ces espaces où tous se croisent fonctionnaient comme «un creuset de la formation des mentalités citadines et citoyennes».

    «Discours enchanté». Dans ce quartier pauvre, où l’on trouve aussi bien un «dépaysement», une «atmosphère dans laquelle on baigne» que des ventes de cigarettes de contrebande à ciel ouvert (et, plus discrètement, de drogue), la cohabitation des populations est une pratique délicate qui se fabrique sur le terrain. Il y a de plus en plus de classes moyennes ou supérieures. Parmi elles, deux groupes. D’abord, ceux qui défendent le village exotique, multiculturel. «Le discours enchanté», résume la sociologue. Souvent arrivés dans les années 80, ils se sont parfois engagés dans l’associatif, voire la politique. Le constat des inégalités leur donnait envie d’agir. A l’opposé se trouvent les habitants qui exacerbent les problèmes sociaux, «ici plus visibles qu’ailleurs». Ils sont plutôt arrivés vers les années 2000, ont eu une réaction de rejet, se sont constitués en association exigeant le «droit au calme». L’occupation de la rue par les trafiquants ou ceux qui y traînent les insupporte. «Ces nouveaux propriétaires visent à délégitimer des activités informelles et des modes d’occupation de la rue qui caractérisent ce quartier depuis des décennies», constate la sociologue.

    De fait, à Barbès, la rue est particulière. Il s’y passe toujours quelque chose et tout le monde s’en mêle. Le «pacte d’anonymat», cette sorte de distance entre les passants, n’a pas cours. Assise sur un banc, Virginie Milliot est abordée, prise à témoin et même embringuée dans un contrôle de police qui tourne mal. Pour elle, l’opposition présente dans d’autres quartiers mixtes joue à plein à Barbès : «La rue pour les classes populaires est un espace où l’on vit alors qu’elle est avant tout pour les classes moyennes un espace que l’on traverse.»

    «Parfaits inconnus». Barbès s’embourgeoise, mais bien plus lentement que les autres quartiers parisiens. C’est «une gentryfication hésitante». En tout cas, «ce quartier joue un rôle d’espace formateur du citadin», écrit Virginie Milliot. Pour la chercheuse, Barbès «délimite un morceau de ville» différent des cités de périphérie parce que «la pluralité se rencontre sur un mode non conflictuel dans un espace public». En clair, on se retrouve, comme elle l’écrit, «à parler avec de parfaits inconnus». Barbès ne ressemble pas au reste de Paris. Pour combien de temps encore ?

    Paris se cherche, titre encore le journal...

    En effet, ce rapport fait partie d'un programme de recherches "Paris 2030" qui existe depuis sept ans et a permis de fournir aux gestionnaires et politiques parisiens des travaux sur des thèmes aussi variés que "l'Utilisation de l'espace par le pigeon urbain" ou "Le travail indépendant à Paris et son avenir".

    Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris chargé de l'université et de la recherche, plaide pour ce programme qui certes coûte à la ville -  n'était-ce pas toutefois une promesse de campagne du candidat Delanoé en 2008 d'aider la recherche  et les chercheurs ? - mais accroit indéniablement son attractivité auprès des chercheurs étrangers, que les villes d'importance mondiale tentent de séduire avec chacune leurs atouts propres.

    Pour en savoir plus sur le colloque qui a eu lieu hier à l'Hôtel de ville, ses lauréats, ses ambitions, visitez cette page riche de nombreux liens vers les lauréats des années précédentes et les rapports accessibles en ligne (comme par exemple celui-ci  : le rapport Depaule sur les quartiers de Paris, dont la Goutte d'Or...)

     

  • Le Louxor : visite du chantier

    La Mission Cinéma de la Ville de Paris (MCVP) organise le lundi 21 novembre une visite du chantier du Louxor. Quelques membres de l'association Action Barbès feront la visite puis participeront à la réunion organisée au Centre Barbara par la même MCVP.

    paris,louxor,cinéma,culture,patrimoine

    Si vous avez des questions - voire des préoccupations - merci de nous en faire part à actionbarbes9@club-internet.fr, nous ferons le relais.

    Et vous aurez droit à un compte-rendu, bien sûr.

  • le nouveau commissaire du 10e est arrivé

    Nous vous avions annoncé ici même le départ de Jacques Rigon, commissaire principal appelé à d’autres fonctions. Pour le remplacer voici Gilbert Grinstein, commissaire central du 10e arrondissement, depuis peu.

    Ancien chef du service national de la police ferroviaire (SNPF) avant d’être commissaire dans le 17e, il était tout indiqué de lui confier la sécurité du 10e arrondissement où se trouvent deux gares, dont la gare du Nord qui, en nombre de voyageurs tous réseaux confondus, est la plus grande gare européenne.

    Un petit rappel pour les lecteurs qui ne connaitraient pas le SNPF : il a été créé en juin 2006, après les incidents survenus dans le train Paris Nice du 1er janvier 2006. L’article du Parisien de 29 juillet 2006 donnait quelques compléments d’information :

    « … ce service, dont la principale vocation est de coordonner l'action des forces de sécurité sur les rails français, envoie tous les jours cinq cents patro

  • Le livre animé dans la Goutte d'Or

    paris,goutte-d-or,libraires-associés,salon-livres-animésLe 4e Salon du livre animé se tiendra dans les très beaux locaux des Libraires associés le jeudi 8 décembre 2011 à partir de 18 h.

    Vous ne connaissez pas encore ? C'est pourtant à deux pas, tout près de l'église Saint-Bernard. Dans un quartier qui se modifie lentement. N'avions-nous pas signalé ici même la construction d'un immeuble tout de métal vêtu ? C'est au coin de la rue.

    Tout le programme est en ligne ici avec des vues de livres, ouverts bien sûr, plus impressionnants de savoir faire et de poésie les uns que les autres. Nous vous engageons à visiter cet univers qu'on ne peut pas abandonner aux seuls enfants !

    Ah, l'adresse peut-être ? C'est 3 rue Pierre l'Ermite.

  • Demain samedi 3 décembre 11 heures : vin chaud place Turgot Paris 9e

    paris,9e,place-turgot,convivialité,vin-chaud,conseil-de-quartier

    Vous vous souvenez des pavés, des bordures en granit ?

    Déjà un an que nous avons inauguré la nouvelle place Turgot en fanfare. Ce n'est pas une formule, la fanfare était bien là. Nous en avions fait un article avec plan ici même.

    paris,9e,place-turgot,convivialité,vin-chaud,conseil-de-quartierLe conseil de quartier Trudaine Rochechouart est fier de sa réalisation et compte sur votre présence pour boire un coup... Les occasions sont beaucoup moins nombreuses en hiver. Aussi les membres de l'équipe qui animent les activités du conseil ont-ils pensé vous attirer avec un vin chaud. C'est une bonne idée. Mais que de soucis pour organiser ce vin chaud !! En effet, la mairie de Paris si elle est attribue un budget de fonctionnement non négligeable à chacun de ses conseils de quartier,  ne les autorise pas pour autant à les utiliser pour régler quelques bouteilles de vin, fussent-elles de nos terroirs. Il faut donc trouver un limonadier - là c'est une formule - assez souple et compatissant pour faire un devis, forfaitaire - car on ne sait jamais bien quel sera le volume de l'assistance - limonadier pas trop pressé non plus, car les factures externes ne sont pas réglées sous huitaine... Mais ne reprochons rien à la ville, elle ne fait qu'appliquer les règles et que ne dirait-on pas si les deniers publics servaient à enivrer les citoyens ?

     

    paris,9e,palce-turgot,vin-chaud

  • Au Trianon : Slava's snowshow

    Une brève pour signaler ce spectacle qui sort du commun :

    Voyez ce qu'écrivait Fabienne Darge dans Le Monde du 22 décembre 2009 : "Prononcez le nom de Slava Polunin devant n'importe quel Russe de 7 à 97 ans. Et observez la réaction. Dire que dans son pays Slava est une légende est encore un peu en dessous de la réalité. Ses numéros de clowns ont été vus à la télévision, depuis trente ans, par des millions de spectateurs." (Quel dommage que le reste de l'article soit réservé aux abonnés... pas de lien disponible.)

    Mélange subtil de mime et de clown, ce "snowshow" propose un voyage merveilleux dans l'univers glacé de Slava Polunin, fondateur de Licedeï, grand clown russe contemporain, empruntant sa gestuelle à Marceau et à Chaplin.

    Au théâtre du Trianon : 80 boulevard de Rochechouart 75018 PARIS

    Du 29 novembre 2011 au 31 decembre 2011
    Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi
    De 19h00 à 22h00

    Du 03 decembre 2011 au 01 janvier 2012
    Samedi, Dimanche
    De 15h00 à 18h00

  • La controverse du Louxor suite

    Camera Egyptica web.jpgLe blog d’Action Barbès vous a informés fin février de l’intérêt porté par des étudiants de l’Institut de Sciences Politiques de Paris (Sciences Po) à la controverse née du projet de réhabilitation du Louxor tel que lancé par la mairie de Paris.

    A peine trois mois après avoir rencontré tous les acteurs de cette controverse, nos étudiants ont publié le résultat de leurs travaux par le biais d’un site web « Louxor, palais du cinéma ».

    Tant sur la forme que sur le fond, le travail est remarquable. On en n’attend pas moins d’étudiants censés faire partie de l’élite et sans doute appelés à de hautes responsabilités. Mais disons le tout net, il est quand même rassurant de constater que dans notre monde où tout va souvent trop vite et où les avis sont parfois trop abruptement exprimés et souvent mal étayés, quelques-uns prennent le temps de mener une réflexion approfondie sur nos modes de fonctionnement,  car c’est bien de cela dont il s’agit en réalité.

    Bien sûr, de petites erreurs se sont glissées dans ce travail. Inutile d’insister sur des détails qui ne changent rien au fond de la question.

    Le projet Louxor continue mais une phase essentielle s’est terminée avec le début des travaux. Même si le combat d’Action Barbès pour sauvegarder le Louxor dans son état originel a été perdu, celui-ci a quand même permis de dégager une idée force : l’incompréhension voire la méconnaissance de certains du mot patrimoine. Au mieux, le terme fait l’objet d’une interprétation à géométrie variable en fonction des intérêts du moment. Les récentes polémiques à propos des serres d’Auteuil ou de l’hôtel de la Marine place de la Concorde nous le montrent clairement.

    Lisez attentivement le site « Louxor, palais du cinéma ». Tout y est traité avec honnêteté et talent.

  • Démocratie locale : Louis Blanc Aqueduc, réunion le 24 mai

    Le conseil de quartier le plus proche dans le 10e est Louis Blanc Aqueduc : il tiendra sa dernière réunion de la saison mardi 24 mai, à l'école élémentaire, située 49 rue Louis Blanc, de 19h à 21h.

    Plusieurs sujets à l'ordre du jour :

    - en bonne place, le plan de propreté du quartier, un thème récurrent dans tous les conseils de quartier... Faut-il en déduire que sur ce point il y a matière à insatisfaction ?

    - le respect des réglementation et la sécurité dans le quartier : nous avons évoqué des projets d'urbanisme ici même en relatant la réunion du 3 mai dernier, en mairie du 10e, qui portait sur les budgets de voirie. L'un d'eux a l'ambition de modifier certains passages dangereux comme le carrefour Chateau-Landon / rue du faubourg Saint-Martin. Ce sera l'occasion d'en débattre avec les habitants.

    - l'implantation de jardinières et de murs végétalisés : malgré les déclarations passées, assez radicales, de la direction des parcs et jardins, qui ne voulaient plus en entendre parler tant leur entretien leur posait problème, nous voyons reparaître de ci de là des bacs et des jardinières...

    Des bacs assez modestes ont ainsi été placés sur la place Turgot (9e) récemment réaménagée, pour dissuader les motocylcistes de parker leurs véhicules sur des emplacements dédiés au passage des piétons.

    - une information sur les autres projets en cours sera faite en fin de réunion.

    L'équipe d'animation du conseil de quartier Louis Blanc Aqueduc appelle qu'elle constituée de personnes bénévoles, et indépendante de la mairie du 10ème arrondissement, de ses élus et élues, et que vous êtes invité(e)s à la rejoindre pour animer la vie de votre quartier, promouvoir et coordonner la concertation, les échanges et l'information entre les habitants et les différents acteurs de ce quartier.