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Rechercher : conseils de quartier

  • Une friche sur le versant nord de Montmartre

    129x97_5910593bb5b9df1977aa77c784af6dcc.jpgDécouvrez une friche urbaine, vieille de plus de 50 ans, transformée en jardin sauvage ou la faune et la flore se sont implantées naturellement. Une colonisation du milieu totalement libre.

    Rendez-vous: rue Saint-Vincent, face au n° 14
    (métro Lamarck-Caulaincourt)


    JARDIN SAUVAGE SAINT-VINCENT

    17, rue Saint-Vincent, Paris 18e 

    les mercredis  3 et 17 avril et 1er et 15 mai de 14h30 à 16h30

    les dimanches 7 avril et 5 mai de 10h30 à 12h30  

    visite gratuite, 30 places, contact 

  • Les inscriptions aux cours pour adultes de la Ville approchent...

    Lundi 3 septembre prochain: c'est, comme chaque année à la même époque, l'échéance à ne pas rater pour ceux et celles qui souhaitent s'inscrire et bénéficier des formations à prix très modérés organisées par la Ville de Paris dans le cadre de ses cours Municipaux d'Adultes. Comme chaque année, les retardataires vont s'en mordre les doigts, car les cours vont vite, très vite, faire le plein: les places disponibles partent rapidement et très souvent, "après l'heure, ce n'est plus l'heure"... Ceux et celles qui rateront les premiers jours suivant le début de la période d'inscription des cours 2012-2013, fixé au 3 septembre, devront patienter un an pour la prochaine saison.... Dommage, car il y en a pour tous les besoins, avec des cours couvrant 12 domaines: de l'enseignement du français à celui des langues étrangères, aux formations de techniques industrielles, aux métiers d'arts, aux cours de gestion etc.... La liste est longue. 
    A ne pas manquer donc, sous aucun prétexte, pour simplement satisfaire sa curiosité d'esprit, s'ouvrir au monde réel qui nous entoure, perfectionner ses compétences ou encore développer une nouvelle expertise, jusqu'à obtenir un nouveau diplôme!
    Un accueil pour répondre à toutes les questions pratiques sur ce thème se fera dans chacune des mairies d'arrondissement le lundi 3 septembre, et plus spécifiquement de 8h30 à 17h dans les mairies du 9e, 10e et 18e.


    Pour télécharger le catalogue des cours, c'est ici ou copier le lien suivant dans votre navigateur
    http://www.cours-municipal-d-adultes-cma.cma-paris.org/files/CMA-2012-2013.pdf


    Le site des cours municipaux de la Ville de Paris est

  • On danse place de la République demain soir

    Pour finir la journée agréablement, pourquoi ne pas faire quelques pas de danse place de La République mardi soir entre 18h30 et 20h? Organisée par le Comité international de la Danse, cette manifestation existe depuis  1982. Pourquoi un 29 avril?  C'est la date anniversaire du jour de la naissance  du chorégraphe français Jean George Noverre.

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    Manifestation ouverte à tous. On souhaite aux professionnels et aux amateurs un répit  côté pluie!

    Et vive Terpsichore

  • Cars de tourisme: stationnement à revoir

    Dans le projet de Promenade Urbaine entre Barbès et Stalingrad que nous avons remis à Anne Hidalgo pendant la campagne municipale, un des sujets abordés concerne la problématique du stationnement des cars de tourisme autour de la Gare du Nord. Autocars qui se garent rue de Maubeuge — stationnement autorisé mais largement insuffisant — mais surtout sur le pont des voies de la gare, en infraction au code de la route. On le constate également dans le 9e arrondissement, la place manque pour déposer ou attendre les touristes devant le lycée Jacques-Decour (ci-dessous) où des emplacements sont prévus (mais pour quelques cars seulement). Aussi stationnent-ils un peu n'importe où. 

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    (Photo prise le 21 avril dans le 9e, boulevard de Rochechouart, derrière le lycée Jacques-Decour: ici le stationnement est autorisé, mais la surabondance des cars de tourisme cause certaines nuisances en termes de pollution, bruit etc...) 

     

    Voici quelques exemples de stationnement non autorisé de cars de tourisme... 

    Les 3 photos suivantes ont été prises vers 11h30 le 30 avril, mais pourraient être identiques d'autres jours:

     

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    9e, boulevard de Rochechouart, dans le couloir de bus

     

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    18e, boulevard de Rochechouart, à l'angle de la rue de Clignancourt

     

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    18e, rue de Clignancourt devant l'arrêt du bus 85

    (On peut même apercevoir un peu plus loin un autre car stationné dans cette même rue dans le couloir de bus)

     

    Pour terminer cette promenade, une photo prise dans le 10e, devant la Gare de l'Est, une file de cars stationnant au beau milieu de la chaussée dimanche 27 avril dernier à l'heure du déjeuner:

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    Nous ajouterons que bien souvent les chauffeurs laissent leur moteur allumé, sans souci de la pollution et du bruit occasionnés.

    Une réflexion devra donc être menée rapidement par la Ville, qui s'est aussi engagée à réduire le nombre de véhicules Diesel très polluants dans la capitale. L'Adjoint de la Maire de Paris, Jean-François Martins, chargé du Tourisme (et du sport), nous l'a confirmé via Twitter (cliquez ici pour voir cet échange).

  • Kiosque de Barbès, l’institution

    Le contraste est frappant entre le chaos alentour – le fracas du métro aérien, quelques mètres au-dessus de nos têtes, les interpellations des vendeurs de cigarettes, les sirènes des voitures de police et tout le brouhaha urbain – et la sereine douceur de Jean-Michel Lebcher – la tranquillité de ses propos, son amabilité envers les clients, son empathie pour autrui. 

    Cela fait une quarantaine d’années, il est vrai, que Jean-Michel est le kiosquier du métro Barbès-Rochechouart – autant dire, une institution. Il y a pris ses quartiers en 1976, au sortir d’une première expérience de vendeur de Libération aux côtés de Jean-Paul Sartre. « À l’époque, ici, il n’y avait pas de courant, pas de lumière. France-Soir, Le Monde, avaient plusieurs éditions quotidiennes », raconte « ce camelot », comme on désigne alors son métier. 

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    Histoire de famille

    Jean-Michel est retraité depuis 2010. Impossible à deviner pour ceux qui le voient renseigner les clients, vendre, plastifier des permis de séjour et autres papiers d’identité. Mais facile à comprendre, dit-il : « D’accord, j’ai une grande baraque. Mais je ne joue pas aux courses, je ne suis pas buveur, qu’est-ce que je ferais si je ne venais pas ici ? » C’est Samir, son fils, qui a repris le kiosque. Il ouvre sept jours sur sept, aidé d’un vendeur. Un rythme qu’il préfère à celui qu’il a connu durant sa brève expérience de chauffeur de bus à la RATP : « Cinq heures de service par jour, mais le temps passait moins vite qu’au kiosque de 6 heures 30 à 20 heures ! » Le kiosque de Barbès, c’est une histoire de famille. Le samedi, d’ailleurs, vous apercevez aussi Jean-Louis, l’oncle de Samir et frère de Jean-Michel.


    paris,barbès,kiosque,journaux,presse,lebcherCe samedi du mois d’avril, c’est jour de scrutin présidentiel en Algérie – et de réélection annoncée d’Abdelaziz Bouteflika. Une Algérienne s’enquiert des journaux : « Pas de livraison aujourd’hui, mais on aura tout lundi », répond Jean-Michel. La discussion se déroule en français, mais cet homme aux origines bretonnes et marocaines « parle toute la journée en arabe ». Non sans précaution : « Je n’aborde pas la politique, ça envenime les choses ». Il se rappelle très bien « le passé noir de l’Algérie », les photos des bébés égorgés en couverture des journaux maghrébins, durant la guerre civile : « On ne montre pas ça dans la presse française ». À l’époque, des Algériens – des médecins, notamment – ont trouvé refuge « dans des hôtels de Barbès ». Certains clients, habitants du quartier, « ont été tués pendant leurs vacances au pays ».

    Esprit sportif

    Aujourd’hui encore, beaucoup de Maghrébins « achètent les journaux du bled ». De leur côté, les Africains préfèrent les Tiercé magazines ; les femmes de tous âges, la presse people ; quant aux jeunes, « ils s’informent sur Internet. Car après Dieu, Internet, c’est la deuxième religion au monde ! » Quant aux « Français » – c’est-à-dire les Blancs – ils représentent « environ 30% de la clientèle », estime Jean-Michel – qui est, pour sa part, un fidèle du Parisien.

    Et de préciser que certains jeunes achètent aussi les magazines sportifs : « Tout le monde oublie que ce quartier a l’esprit sportif ! » Et pourtant, la Goutte d’or doit au sport certaines de ses figures les plus célèbres : Ibrahim Ba, l’ancien milieu de terrain du Milan AC ; Mamadou Sakho, défenseur central au Liverpool FC et auteur de deux des trois buts qualificatifs pour la Coupe du monde de football 2014 : « C’est un gars formidable, parti de rien, un gosse de la Goutte d’or, orphelin de père tout jeune et qui n’est pas tombé dans la délinquance ».  

    Encyclopédie vivante du quartier, Jean-Michel en connaît l’histoire, les célébrités – les sportifs, mais aussi la réalisatrice Coline Serreau ou le peintre Hervé Di Rosa – et les figures emblématiques, à l’instar de Jules Tati, le fondateur des magasins éponymes, et ses descendants. Le président Mitterrand est passé par le kiosque de Barbès, ainsi que Jacques Chirac. Ce jour-là, le maire de Paris avait tendu la main à une vieille dame qui se trouvait là : « Elle avait Alzheimer, elle m’a demandé, c’est qui, lui ? »

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    Calme barbésien

    Il jette un regard mélangé sur l’évolution présente de la Goutte d’or. Certes, il est désolé « de la misère humaine » croissante – en Syrie, au Maghreb ou ailleurs – et de l’écho qu’elle trouve dans le quartier : « Les Roumains sont amenés par la misère, ils arrivent sans argent et on ne les prend pas en charge, même si certains s’enrichissent au profit des autres ». Mais il se félicite « qu’ici, il n’y ait pas de racisme entre les Arabes, les Noirs et les Juifs », même si, durant la guerre du Golfe, il a connu des tensions : « J’ai parlé aux jeunes, certains étaient influencés par l’islamisme, je les ai calmés ». Il fait l’éloge de Myriam El Khomri, chargée des questions de sécurité à la mairie de Paris : « Elle a pris les choses en main pour mobiliser les policiers, ça fait une différence sur le terrain ».

    Non que le quartier soit dangereux – « Les bagarres sont très rares » – mais Jean-Michel regrette l’animation du carrefour à l’époque des grandes brasseries comme le Dupont Barbès ou le Rousseau : « Il n’y a plus de bon restau dans le quartier, or les touristes, ce qu’ils veulent, c’est manger un bon steak. En outre, les cafés, ça reste ouvert tard et ça crée de l’animation. Quand il n’y a que des commerces, le soir vous ne récupérez que la faune ». Il se réjouit donc de l’ouverture prochaine d’une brasserie au coin, sur l’ancien emplacement de Vano.

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    Né à l’hôpital Lariboisière, élevé rue des Islettes, grandi à la Goutte d’or, son fils Samir reconnaît de même une amélioration depuis deux ans : « Ne pas le reconnaître, ce serait cracher dans la soupe ». Ce qu’il aimerait ? « Un peu plus de calme ». Mais pas trop quand même : en somme, « un calme barbésien ». 

  • Un coffee shop près de Barbès

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    Il règne dans ce lieu un entêtant parfum anglo-saxon. L’anglais y est la langue la plus pratiquée et c’est l’idiome commun – avec le français – à un personnel multinational, venu d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud. Les clients peuvent demeurer sur place longtemps, tout en profitant du Wi fi, sans être chassé par un serveur agacé, personnage répandu dans les cafés parisiens. Les bar tenders – tous jeunes – ne lésinent pas sur les sourires.

    Coffee shop ouvert 7 jours sur 7, Lomi a été inauguré il y a un an et demi dans une zone un peu retirée du quartier, à l’angle des rues Stephenson et Marcadet, disons à peu près à l"angle... Pas de problème, vous trouverez ! Dans « ce lieu de découverte et de dégustation du café », il y a du monde tout le temps. Et pour Paul, un des deux patrons du lieu, Australien de 30 ans, aucun doute : c’est « la qualité du café » qui attire la clientèle.

    Côté coulisses

    Car Lomi, avant d’être un café aux allures branchées, est un atelier de torréfaction, d’ailleurs facilement accessible derrière la salle. L’entreprise a été fondée en 2010 par un Français, Aleaume — tout le monde est désigné par son prénom — et Paul. Le duo franco-australien vend son café à des hôtels et restaurants tels que le Sergent Recruteur, Eggs & Co ou Broken Arm Café.

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    De fait, la qualité est choyée. Paul s’affaire autour de la machine à torréfier, verse le grain vert, lance la cuisson, vérifie sur un écran d’ordinateur l’évolution des températures du grain et de l’air, récupère le produit torréfié, éprouve de la main les progrès du refroidissement… Chaque étape doit être méticuleusement respectée, souligne-t-il, depuis la récolte jusqu’à la préparation finale en tasse. Couleur, forme, taille, arôme, température : Paul surveille un large choix d’indicateurs grâce à un mélange de mesures informatiques et d’appréciations visuelles (lorsque le grain vire du jaune au brun), sonores (le « pop-corn » lorsque le grain éclate et double de volume) et odorantes. Il partage son métier avec un évident plaisir : « Le vin, ça fait 2000 ans qu’on sait le travailler. Le café, 200 ans seulement. C’est une connaissance très jeune, on n’arrête jamais d’apprendre ».

    Dégustation et ateliers

    Image 4 copie.jpgBien sûr, tous les cafés servis chez Lomi sont produits sur place. En outre, des ateliers d’une heure sont organisés le week-end à l’intention du grand public sur les méthodes d’extraction filtre pour la maison, la préparation du cappuccino, les diverses origines de café…

    En moyenne, le café Lomi propose huit à dix cafés différents par saison, avec une carte qui change plusieurs fois par an. Pourquoi un tel renouvellement ? « Le café, c’est comme une bonne tomate, ça pousse l’été. Chaque pays producteur a sa propre période de récolte et c’est ainsi qu’on a du café frais toute l’année, ce qui permet d’offrir de bons produits », explique Paul. Le café Lomi élabore aussi des assemblages – des mélanges de grains de différentes origines – afin de proposer des options constantes tout au long de l’année.

    Café Lomi
    3ter rue Marcadet, 75018 Paris
    Ouvert 7/7 j, de 10 à 19 heures
    Restauration le midi et brunch le week-end à 22 €
    Expresso à partir de 2,20 €, café filtre à 3€
    Café en grain à emporter à partir de 8,70€ les 250 grammes
    Site Internet : www.cafelomi.com Ateliers d’une heure à 10 €. Sans réservation.

    Planning consultable sur Facebook. https://www.facebook.com/cafelomi/events

  • Rue de Clignancourt : comment améliorer le fonctionnement du bus 85 ?

    Nous avons évoqué dernièrement le problème de stationnement illégal au niveau de la rue de Clignancourt (voir notre article du  6 janvier dernier). C'est un problème que l'on rencontre principalement au niveau des couloirs de bus ou au niveau des arrêts de bus, mais il est particulièrement gênant pour les usagers de la ligne 85 qui relie la Mairie de Saint-Ouen au Luxembourg (terminus Hôtel de ville les dimanches et fêtes), en traversant notamment le 18e.

    bus85.jpg

    Sensibilisée par des riverains et des associations, la Mairie du 18e semble vouloir agir pour que cette situation inacceptable ne perdure pas. Un adhérent vient ainsi de nous faire parvenir copie d'un courrier adressé le 4 février 2014 par le Maire du 18e au directeur de la Direction de la Voirie et des Déplacements (DVD) de la Ville lui demandant d'étudier l'aménagement de "quais bus", notamment le long du parcours du bus 85 dans la rue de Clignancourt (cf. ci-dessous le courrier de Daniel Vaillant en cliquant sur l'image).

    Capture d’écran 2014-04-17 à 22.40.12.jpg

    Il reste à espérer que la nouvelle équipe municipale portera de façon efficace cette démarche d'améliorer le fonctionnement du bus 85. En effet, il est probable qu'aucune action concrète n'a été engagée par les services de la DVD pendant la campagne électorale.

    Toutefois, pour remédier aux dysfonctionnements constatés sur le parcours du 85, il nous semble nécessaire de prévoir un aménagement plus global qu'un dispositif limité aux seuls "quais bus". Il faudrait, par exemple,  créer des couloirs de bus protégés dans la rue de Clignancourt, pour ne citer qu'elle. Ce point est essentiel pour le quartier Clignancourt/ Ramey qui a déjà connu ces 3 dernières années deux aménagements très localisés avec un résultat mitigé par rapport aux objectifs (relire notre article sur le sujet).

    En outre, il est dommage que le commissariat du 18e ne mène pas d'action soutenue contre le stationnement illégal sur le parcours du bus 85. Ce manque d'action est particulièrement visible au niveau de l'arrêt  "Labat" situé en face du commissariat central du 18e, occupé en permanence par des véhicules en infraction. Le bus doit alors s'arrêter en pleine voie pour laisser monter ou descendre les usagers !  Il est à noter que, malgré les nombreuses sollicitations écrites et orales auprès du commissariat pour résoudre ce problème, aucune volonté d'améliorer la situation n'apparaît.

    Autre piste : la vidéosurveillance pourrait également être un moyen de renforcer la verbalisation des véhicules stationnés dans les couloirs de bus ou au niveau des arrêts de bus.

  • Salle de conso : chez nos amis canadiens

    A Ottawa, la municipalité refuse l'ouverture d'une salle d'injection médicalisée pour les toxicomanes, alors certains manifestent !

    Verrons-nous cela à Paris ?

     

     

    Et puisque nous sommes au Canada, restons-y !

    Le site de l'Institut National de Santé du Québec nous propose une définition toute canadienne de ce qu'ils appellent "la réduction des méfaits". Ce court article intitulé L'approche de la réduction des méfaits nous propose un description assez complète de ce qu'il convient de faire pour réduire ces "méfaits".

    Enfin, ICI Radio Canada à Montréal a annoncé en décembre 2013 l'ouverture de quatre salles d'injection supervisée.

     

  • Abolition de l'esclavage : ne pas oublier

    La mairie du 18e arrondissement nous invite à célébrer l'abolition de l'esclavage le samedi 10 mai, soit sur l'esplanade Nathalie Sarraute devant la halle Pajol, soit au collège Aimé Césaire.

    Affiche abolition esclavage 10 mai 2014.png

    Aimé Césaire est mort en 2008. Nous lui avions alors consacré un article que vous pouvez relire ici.

    Et puis, même si cette chanson si magnifiquement interprétée par Nina Simone est triste à pleurer, il faut l'écouter, regarder les images. Mais attention, les images sont très dures.

  • Fête de la nature aux Jardins du Ruisseau

    Nous n'annonçons pas souvent les événements plusieurs jours à l'avance mais cette fois, nous pensons qu'il serait dommage que vous ratiez une balade dans une verdure exceptionnelle, parce qu'on ne s'attend pas à la trouver là, derrière la gare d'Ornano, dont nous vous parlions récemment, dans notre article sur les deux anciennes gares du 18e. C'était le 10 mai.

    fête de la Nature des Amis des jardins du ruisseau 

    Depuis à présent 10 ans, l'association des amis des jardins du ruisseau a investi l'un des quais de l'ancienne gare d'Ornano de la voie ferrée de la petite ceinture, située porte de Clignancourt. Après avoir nettoyé cet espace qui était devenu une décharge sauvage, l'association a réussi à créer un lieu magique, véritable havre de paix et de verdure dans le 18e — peu pourvu en espaces verts par ailleurs. Ce jardin partagé, initialement à vocation éducative pour les écoles du quartier afin de les sensibiliser à l'environnement et au civisme par le biais du jardinage, est devenu incontournable pour le quartier (et même plus loin). Au-delà d'un jardinage qui n'utilise aucun produit phytosanitaire conformément à la Charte Main Verte de la Ville de Paris, les jardins du ruisseau ont mis en œuvre plusieurs projets de gestion et de sensibilisation au respect à l'environnement :

    • compostage pour les jardiniers, les adhérents et les habitants du quartier,
    • lombricompostage,
    • implantation d'une monumentale structure de récupération des eaux de pluie primée en 2010
    • implantation d'une jachère fleurie
    • implantation d'un poulailler
    • implantation d'un rucher

    Vous pouvez venir profiter des jardins du ruisseau lors de la Fête de la Nature et de la Biodiversité aux Jardins du Ruisseau, le samedi 24 mai 2014 de 12h00 à 19h00.

    Au programme : Découvertes des installations environnementales exemplaires des jardins du ruisseau, troc de plantes, distribution de graines, troc de confitures, musique et buvette, etc..

    le programme complet ici

    Nous vous proposons ci-dessous 5 minutes de vidéo pour visiter le lieu et vous donner envie d'y faire un tour et vraiment, ça donne envie ! 

  • Hé, Petit, un tournoi de pétanque ?

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    La Boule du 10e et Quartier Partagé organisent...

            Les Compagnons de saint Vincent de Paul

    La Maison Camara – Aux Captifs la Libération –  Pari’s des Faubourgs – Association Jeunesse St Vincent de Paul – Français Langue d’Accueil

    vous invitent demain après midi .... 

     

    Alors, venez avec ou sans vos boules pour participer à une journée chaleureuse. 

    Avec du cœur … et des carreaux !

    Tournoi de Pétanque : Samedi 31 mai à 14 heures

    Square Villemin (face à la Gare de l'Est)

     

  • Travaux station Barbès: encore un peu de patience

    Préoccupés par les travaux dans la station de métro Barbès-Rochechouart, nous avions contacté fin février Didier Perret de l'agence de développement RATP pour Paris. Il nous avait assurés du maintien d'un guichet vente à l'entrée face à Tati (voir notre dernier article). Or, les travaux se poursuivent et il n'y a plus aucun guichet de vente actuellement. Celui en haut de l'escalier monumental est depuis longtemps un simple point d'information. Et encore n'est-il pas ouvert en permanence. Testée mercredi vers 17h, la borne d'appel en haut de l'escalier monumental est restée muette... Plusieurs personnes  à la recherche d'une information n'ont pu obtenir satisfaction. 

    Notre interlocuteur Didier Perret répond volontiers à nos questions. Ainsi, nous avons reçu ce nouveau message mercredi dernier : 

     

    "Au terme des travaux d'aménagement et d'embellissement réalisés par la RATP, je vous confirme le maintien d'un guichet de ventes à la station Barbès.
    Je viens de faire un point avec l'équipe projet concernant notre planning d'intervention, effectivement nous sommes actuellement dans une phase pénalisante, mais transitoire, qui correspond à la dépose des équipements anciens en attendant la construction du nouvel espace de ventes en lieu et place.
    Au regard des éléments de planning en ma possession, la phase de construction devrait débuter dans les prochains jours, pour une remise d'ouvrage fin mai.
    Par ailleurs, je me suis permis de transmettre votre message à la responsable de la ligne 4, en charge de l'accueil et de la vente à la station Barbès, afin qu'elle puisse intégrer votre remarque dans l'organisation du service pendant cette phase travaux.
    Je reste bien évidemment disposé à vous apporter toutes les précisions utiles si besoin."

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    Nous avons insisté pour que le guichet d'information soit ouvert davantage en terme d'amplitude horaire. En souhaitant que nous soyons entendus et que le guichet flambant neuf ouvre bien fin mai.