A Ottawa, la municipalité refuse l'ouverture d'une salle d'injection médicalisée pour les toxicomanes, alors certains manifestent !
Verrons-nous cela à Paris ?
Et puisque nous sommes au Canada, restons-y !
Le site de l'Institut National de Santé du Québec nous propose une définition toute canadienne de ce qu'ils appellent "la réduction des méfaits". Ce court article intitulé L'approche de la réduction des méfaits nous propose un description assez complète de ce qu'il convient de faire pour réduire ces "méfaits".
Enfin, ICI Radio Canada à Montréal a annoncé en décembre 2013 l'ouverture de quatre salles d'injection supervisée.
Commentaires
et quand ferez-vous un encadré sur les villes qui ont tenté l'expérience, mais l'ont abandonnée à cause des trop nombreuses retombées négatives?
Merci